Les petites culottes
Récit érotique écrit par Fel [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2020 dans la catégorie Fétichisme
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Les petites culottes
Tout a commencé, je devais avoir 12 ans, environ. Il y avait une réunion de famille pour un baptême. Au cours de la journée, vers une table, je me trouvais derrière une femme vêtue d’une robe, qui s’est baissée pour ramasser quelque chose. A cette époque, dans les années 70, les jupes et robes étaient courtes. C’était la mode. Cette dame a sans doute oublié qu’elle en portait une courte.
Sa baissant sans plier les jambes, j’ai pu voir sa culotte blanche. La première de ma vie. Mais mère qui était à coté de moi, m’a vite fait oublier ceci.
Depuis, je n’ai eu cesse de voir sous les jupes.
C’est bien plus tard, dans les années 90, que j’ai pu me satisfaire dans des petites culottes.
Dans ces années, j’avais une collègue de travail avec qui je m’entendais très bien. C’était un plaisir de travailler avec elle. De plus, elle était charmante et sexy, mais aussi très prude.
Au fil du temps, nous faisions des repas ensemble, etc, Nous étions amis.
Un jour, partant en vacances, elle m’a laissé les clefs de son appartement, nous habitions le même immeuble, pas la même montée. Je devais aller arroser ses fleurs et voir si tout allait bien.
Dans son appartement, j’ai donc fait ce qu’elle m’avait demandé, Et puis, sachant qu’elle était à des kilomètres, j’ai décidé de rechercher ses sous-vêtements. J’ai d’abord scruté la salle de bains, mais il n’y avait aucune petite culotte dans la corbeille à linge sale. j’ai donc regardé dans le meuble de la chambre. Le 1° tiroir contenait divers linges, Puis dans le 2°, je découvrais le saint graal, Il était rempli de petites culottes (tangas, strings, shorty, culottes, etc) de toutes les couleurs. J’ai pris une, puis deux. Je les ai senti. Je me suis assis sur le bord du lit, après avoir ôté mon pantalon et mon slip. J’en ai mis une autour de mon sexe tendu et j’ai senti l’autre. En quelques minutes, j’ai joui comme je ne l’avais jamais fait. La culotte était inondée de ma semence. Je l’ai essuyée comme j’ai pu. J’ai tout remis en place et suis parti.
Les jours suivant, trop excité par cette découverte, j’y suis retourné. Mais là, j’étais prêt. J’allais en survêtement. J’entrais dans son appartement. Je me déshabillais complètement. J’ouvrais son lit. Je m’allongeais dessus, sentant son odeur. Je prenais des culottes et me caressait longuement. J’éjectais ma semence sur les sous-vêtements, sur le lit.
Au fil du temps, et à chaque fois, qu’elle partait plus sieurs jours, j’ai joui dans toutes ces culottes, et les quelques bodys qu’elle avait ainsi que ces shorts qu’elle se servait pour son vélo d’appartement. Je prenais mon pied. Et j’ai aussi pris soin de ne pas nettoyer correctement les culottes et les drap. Je pense, donc, qu’elle a pu voir ces traces.
Ceci a duré trois ans pendant lesquels j’allais me satisfaire sur son lit, son canapé, et d’autres meubles, J’ai joui, aussi en regardant des photos d’elle, les seins nus, et toujours dans ses sous-vêtements, Qu’est ce que c’était bon.
Depuis, je n’ai jamais eu d’autre faits comme cela. La petite compensation, est que par mon métier, j’ai pu voir beaucoup de petites culottes sous les jupes, les robes, etc. Mais cela n’a jamais été pareil.
Maintenant, je pense encore à cela en me caressant. Quel pied que j’ai pu prendre.
Sa baissant sans plier les jambes, j’ai pu voir sa culotte blanche. La première de ma vie. Mais mère qui était à coté de moi, m’a vite fait oublier ceci.
Depuis, je n’ai eu cesse de voir sous les jupes.
C’est bien plus tard, dans les années 90, que j’ai pu me satisfaire dans des petites culottes.
Dans ces années, j’avais une collègue de travail avec qui je m’entendais très bien. C’était un plaisir de travailler avec elle. De plus, elle était charmante et sexy, mais aussi très prude.
Au fil du temps, nous faisions des repas ensemble, etc, Nous étions amis.
Un jour, partant en vacances, elle m’a laissé les clefs de son appartement, nous habitions le même immeuble, pas la même montée. Je devais aller arroser ses fleurs et voir si tout allait bien.
Dans son appartement, j’ai donc fait ce qu’elle m’avait demandé, Et puis, sachant qu’elle était à des kilomètres, j’ai décidé de rechercher ses sous-vêtements. J’ai d’abord scruté la salle de bains, mais il n’y avait aucune petite culotte dans la corbeille à linge sale. j’ai donc regardé dans le meuble de la chambre. Le 1° tiroir contenait divers linges, Puis dans le 2°, je découvrais le saint graal, Il était rempli de petites culottes (tangas, strings, shorty, culottes, etc) de toutes les couleurs. J’ai pris une, puis deux. Je les ai senti. Je me suis assis sur le bord du lit, après avoir ôté mon pantalon et mon slip. J’en ai mis une autour de mon sexe tendu et j’ai senti l’autre. En quelques minutes, j’ai joui comme je ne l’avais jamais fait. La culotte était inondée de ma semence. Je l’ai essuyée comme j’ai pu. J’ai tout remis en place et suis parti.
Les jours suivant, trop excité par cette découverte, j’y suis retourné. Mais là, j’étais prêt. J’allais en survêtement. J’entrais dans son appartement. Je me déshabillais complètement. J’ouvrais son lit. Je m’allongeais dessus, sentant son odeur. Je prenais des culottes et me caressait longuement. J’éjectais ma semence sur les sous-vêtements, sur le lit.
Au fil du temps, et à chaque fois, qu’elle partait plus sieurs jours, j’ai joui dans toutes ces culottes, et les quelques bodys qu’elle avait ainsi que ces shorts qu’elle se servait pour son vélo d’appartement. Je prenais mon pied. Et j’ai aussi pris soin de ne pas nettoyer correctement les culottes et les drap. Je pense, donc, qu’elle a pu voir ces traces.
Ceci a duré trois ans pendant lesquels j’allais me satisfaire sur son lit, son canapé, et d’autres meubles, J’ai joui, aussi en regardant des photos d’elle, les seins nus, et toujours dans ses sous-vêtements, Qu’est ce que c’était bon.
Depuis, je n’ai jamais eu d’autre faits comme cela. La petite compensation, est que par mon métier, j’ai pu voir beaucoup de petites culottes sous les jupes, les robes, etc. Mais cela n’a jamais été pareil.
Maintenant, je pense encore à cela en me caressant. Quel pied que j’ai pu prendre.
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