Les pissotières de la gare

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Les pissotières de la gare Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les pissotières de la gare
Putain… une heure de retard, mon train affichait une heure de retard au départ! et dire que je m'étais dépêché pour arriver plus tôt.
En fin de compte c'était marrant de voir les têtes des personnes qui arrivaient et regardaient le panneau d'affichage.
Ca râlait dur, certains même avec colère mais c'est la SNCF mon bon monsieur déjà ils affichent.
J'avais une bonne heure à tuer.

J'ai regardé les gens et c'est marrant de regarder les gens. Bon c'est vrai que j'ai fait un tri, maman et gamins out. Les mâles oh y'en avait, pas tous de première fraîcheur mais ça passe le temps.

J'ai fait un tour dans la gare, mais pas un mec potable à se mettre sous la dent où à mater pour le plaisir.
L'envie de pisser me prend. je cherche les toilettes et aperçoit au loin le panneau libérateur.
Je regarde dans mes poches quelle monnaie je peux avoir et arrivé devant l'entrée pas un chat. je rentre en regardant à droite à gauche? personne. je vais dans le côté réservé aux mecs où j'avais cru entendre du bruit. Pas un chat. La rangée de pissotière est là qui me tend les bras. Je vais au fond, pose mon sac, contre le mur et, je sors coquette pas uniquement pour lui faire prendre l'air.

C'est de l'envie de pisser ça! ça gicle sur la porcelaine blanche et je suis heureux comme un mec qui pisse, tenant sa queue entre deux doigts et s'amusant à en mettre partout.

J'entends du bruit, du bruit qui vient des cabines. Je ne bouge plus, j'écoute, je tends l'oreille et croit entendre comme un gémissement, un râle, un petit cri!
Je deviens attentif. Ma queue doit vouloir écouter aussi, voilà qu'elle se redresse et, effectivement des gémissements viennent d'une cabine.

Bon, je suis pas neuneu pour croire qu'un mec fait un malaise disons que plutôt, il a l'air d'apprécier d'avoir quelque chose en bouche ou dans son petit cul.

Alors j'écoute, ma queue grimpe encore.
Le bruit s'accentue dans la cabine. Maintenant on discerne bien qu'il y a des chuchotements puis un cri plus fort.
-doucement ! j'entends.

Je rigole doucement tout seul car maintenant se sont des gémissements en continue et une deuxième voix qui râle.
Là y'en a un qui s'en prend plein le cul.
Et j'entends claquer, vous savez comme quand le mec accélère et que son pubis claque sur les fesses de l'enculé.
Les gémissements deviennent plus forts avec de petits cris et quand le mec doit jouir je reconnais le râle.
Il y a un brouhaha de petits cris, de froissements, de gémissements.

D'un seul coup la porte s'ouvre, un mec en sort et file vers la sortie sans un regard aux alentours laissant la porte ouverte.

Bien sûr que je regarde, pour voir un mec à quatre pattes, le cul offert, la tête au dessus de la cuvette qui regarde en arrière, me voit et me fait signe.

Bite qui bande n'a pas de conscience…

Je prends mon sac et file dans la cabine, je referme derrière moi, pose mon sac à terre.
Le mec s'est déjà retourné, à genoux devant moi et m'a saisi la queue.
Sans me vanter j'ai une belle queue bien dure, bien raide avec une belle paire de couilles en garniture.

Je vois le mecs se lécher les babines en me regardant et, sans façon, sans me demander la permission, le goujat, avale ma queue jusqu'à ce que ses lèvres soient dans mes poils pubiens.
oh! Nom de Dieu quelle sensation dans cette bouche chaude et humide et le mec sait se servir de ses lèvres et de sa langue. Sa main serre mes couilles gentiment. J'aime la chaleur de sa main et il me pipe avec savoir!

Je l'observe. C'est pas le premier prix de beauté le mec mais je lui donne le premier prix pour la pipe. On sent bien que c'est pas sa première et il me fait rapidement monter la sève. Mais il arrête, me regarde.
-tu me la mets dans le cul.
Je n'ai pas compris si c'était une question ou une obligation.
-t'as une capote ? demande t-il.
J'ai fait signe que non, il a plongé sa main dans une petite sacoche qu'il avait, en sortant une qu'il m'installe sur la queue. Elle était belle coquette ainsi habillée.

Le mec, sans façon se retourne, redressant son cul pour qu'il soit à hauteur de ma queue, sa main passe entre ses jambe, la saisit et la dirige vers son trou.

J'ai pas eu le temps d'apprécier la chaleur de son anus qu'il s'enfonçait tout seul sur ma queue.
Putain il avait le cul en chaleur ce mec, ça s'ouvrait tout seul et ma queue coulissait bien.

Mais j'ai voulu prendre les choses en mains et je l'ai saisi aux hanches pour le baiser le plus hard possible.
C'est ce qu'il attendait cette bonne salope de s'abandonner aux coups de reins et de bites et j'en ai donné des coups de reins. Ma queue n'a jamais si bien voyagé (à défaut des trains SNCF) dans le boyau de l'inconnu.
Plus j'allais fort, plus il gémissait et poussait des petits cris que j'ai reconnu.
Quand il sentait que j'allais jouir il me bloquait et on recommençait.

Mais tout à une une fin et quand j'ai joui pour remplir comme jamais la capote, j'ai gueulé moi aussi me foutant complètement qu'il pouvait y avoir des personnes dehors.

Quand je n'ai plus bougé, il a sorti ma queue de son cul, s'est retourné, assis sur la cuvette, m'a enlevé la capote, faisant un nœud et me regardant en souriant.
-souvenir mec! t'as un bon coup de bite! je remettrais bien ça.

Et le voilà qu'il repart à me sucer. Je regarde ma montre, le temps est passé si vite.
Je lui fais signe que je dois partir, je remballe ma queue à moitié raide, me rajuste correctement et, comme mon prédécesseur, je sors de la cabine, mais moi, curieux je regarde.

Il y a au moins six ou sept mecs qui pissent et, tous me suivent du regard quand je sors.
Le mec avait encore pas mal de queues à satisfaire.

J'arrive devant le panneau d'affichage et mon train est annoncé. Il part dans 3 minutes. Je cours, je fonce, je vole pour arriver au moment où le mec siffle. J'ai juste le temps de sauter dans le train… les couilles vides!

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Texte coquin : Les pissotières de la gare
Histoire sexe : Une rose rouge
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