LES POUVOIRS D'ANNABELLE - histoire érotique

LES AVENTURES D'ANNABELLE

Les pouvoirs d’Annabelle…


Je m’appelle Annabelle, la quarantaine passée, brune cheveux mi-long, allure classique ni trop grande ni trop petite, j’aime m’habiller en tailleur jupe, mettre mes jolies jambes et mon petit cul en valeur, les hommes en raffolent et ne se privent pas de me le rappeler.

Les hommes me disent que j’ai un cul magnifique et des beaux seins malgré mon petit 85B, mais faut il les croire ?

Je vis dans l’est à proximité d’une grande ville où je me rends pour mon travail, comme beaucoup je me berce avec les trams, boulot, dodo, plus d’une bonne heure de transport ou je laisse divaguer mon esprit et mes fantasmes.

Sinon, que puis je vous dire de plus sur moi, je suis une véritable petite salope, j’aime le sexe et je ne perds jamais une occasion de me faire culbuter par les mecs qui m’excitent.

Si je suis célibataire ? Non, bien sur je suis mariée avec un homme que j’aime depuis de nombreuses années, mais pour la bagatelle ce n’est plus trop le top, cela ne l’a jamais été en fait.

Mariés trop jeune, éducation de qualité mais très rigide avec les règles, les traditions, les obligations et les tabous qui vont avec.

Vous savez toutes ces contraintes qui sont surtout faites pour les femmes, pour garantir aux hommes une épouse fidèle et bien docile, s’occupant de la maison et des enfants la journée pour bichonner son gentil mari le soir lorsqu’il rentre du bureau.

Et bien moi j’ai décidé depuis longtemps de contourner ces obligations, je suis une femme libre de ses choix et de son corps, je milite pour la liberté sexuelle et même pire j’essai de recruter et de pervertir tout ce qui bouge.

Comment ? Et bien grâce à mes pouvoirs, j’ai le pouvoir de contrôler l’esprit de n’importe quel personne, ce n’est pas de l’hypnose comme à la télé, moi je pénètre l’esprit et en prend le contrôle.

Je ne sais pas comment cela m’est venu mais je peus le faire instantanément sur n’importe quelle personne, homme ou femme, je me retrouve dans leur corps, vois au travers de leurs yeux et ressent leurs sensations.

Mais le plus excitant c’est que je peux leur faire faire n’importe quoi, ils ne se contrôle plus et exécutent sans rechigner tout ce que je veut même si pour eux c’est mal, immoral ou humiliant, c’est un pouvoir fantastique que je me régale à utiliser.

La première fois que je me suis aperçu de mon pouvoir c’était chez une amie, en fait chez ma meilleure amie.

Comme moi elle est mariée depuis plusieurs années sauf que son mari est un beau mâle viril qui me fait fantasmer depuis trop de temps, si ce n’était pas ma copine je lui aurais déjà piqué.

Mais bon, il me reste encore des principes et je ne veux surtout pas casser leur couple si mignon, par contre je ne dirais pas non à tester la virilité de son homme juste une ou deux fois, surtout s’il assure.

Nos deux couples se voyaient très souvent, invités les uns chez les autres à tour de rôle.

Cela me permettait de côtoyer très souvent ce beau mec qui me faisait si souvent mouiller ma petite culotte, mon mari et sa femme ne se sont jamais doutés de quoi que ce soit.

Je sais…je suis une belle petite salope, mais je vous ai prévenu et vous n’avez encore rien vu.

Un soir d’été, alors qu’ils nous avaient invités chez eux je me suis sentie particulièrement excitée.

Toute la journée des hommes m’avaient dragué, complimentant mes jolies formes que je ne cachais presque pas dans ma petite robe, bien trop courte et vaporeuse.

C’était une de ces belles journées ou je me sentais radieuse, belle et très féminine, ces journées où j’osais sortir entièrement nue sous ma robe, pas de petite culotte ni de soutien gorge, rien aucune contrainte.

Laissant l’air frais venir me caresser sous le fin tissu au gré de la brise et de mes mouvements, jouir de cette agréable sensation qui m’excite et me chauffe le bas du ventre.

Cela me rend irrésistible et tous les hommes craquent sur mon passage, ils ne peuvent s’empêcher de poser leur regards sur mes belles fesses et mes jolies courbes sensuelles.

Certains restent galant, discret et polis, mais d’autres se font plus entreprenant et même parfois à la limite du manque de respect, mais j’aime ça et garde parfaitement le contrôle de la situation.

Sauf que toute une journée à ce faire désirer comme cela ça me rend folle d’envie et arrivée au soir j’ai le sexe en ébullition et ce n’est pas de mon homme dont j’ai envie.

S’il n’y avait pas eu cette invitation chez ma copine, je me serais surement laissé baiser par un des inconnus croisé dans la journée, peut être même plusieurs jusqu'à calmer ma petite chatte.

Mais j’en reviens à notre soirée d’été, petite robe trop sexy et chatte en feu, c’est comme ça que je me suis présenté devant mon gibier du moment.

Dés les premières minutes j’ai su que ce serait ce soir là qu’il me culbuterait, qu’il me souillerait le corps de sa semence tiède et onctueuse.

Rien ni personne ne pourra m’empêcher d’atteindre ce but, le tout était simplement de savoir à quel moment de la soirée et surtout où, car il y avait nos conjoints respectifs et eux ne seraient surement pas d’accords
.

Mon avantage c’était la grande confiance que nous avions tous entre nous, s’ils avaient su que cela ne m’arrêterait pas, on ne peut vraiment faire confiance en personne, c’est ma leçon du jour.

En matière de cul il n’y a pas de confiance qui tienne, surtout si c’est un beau cul…

En bon mari, Marc, c’est son prénom, est parti à la cuisine pour nous préparer des mignardises avec l’apéro et en super copine que je suis, je lui ai emboité le pas sous prétexte de lui apporter mon aide.

Laissant les deux futurs cocus dans le salon à se raconter des banalités, comme une chasseresse déterminée j’ai suivi ma proie du jour.

Tous les prétextes étaient bons pour que je frotte mon corps contre lui, ne m’ayant jamais comporté de la sorte se l’ai senti déconcerté et surpris, il se demandait surement ce qui se passait dans ma tête car à ce stade il ne pensait pas encore à une parade sexuelle.

En véritable petite allumeuse j’ai utilisé tous mes artifices pour lui faire comprendre que le grand jour était arrivé, laissant tombé divers objets afin de pouvoir lui montrer que ma robe était vraiment trop courte et lui montrer que j’avais oubliée de mettre ma culotte.

Prenant le temps nécessaire au ramassage pour laisser mes petites fesses exposés à ses yeux gourmands, car malgré le respect qu’il me portait ses yeux ne se dérobaient pas à cette vision coquine.

Pour en rajouter, je me relevais lentement et en le regardant je lui ai dit :

- Ho… dit donc, je vois que mon Jean à raison ( Jean, étant mon mari ) ma robe est peut être un peu trop courte, tu ne pense pas ?

J’ai vu le visage de Marc légèrement rougir, le poisson était ferré et maintenant il me fallait agir vite

Pendant ce temps là, Marc venait de remplir nos verres d’apéritif avec un bon champagne, sans attendre, je me suis permise de prendre un verre et de le boire avec mon plus beau sourire.

- J’adore le champagne et tu sais bien que cela me rend toute chose… ce n’est pas bien de me tenter…

Là mon petit jeu la surement réveillé car il à baissé son regard pour me dire :

- Annabelle, là tu va un peu trop loin, non ? …tu ne t’es jamais comporter de la sorte, qu’est ce qui t’arrive ?

- Ce qui m’arrive, mon très chers Marc…mais j’ai envie que tu me baise…tu as bien entendu, je veut que tu me baise, que tu me fasse reluire…

- Mais tu es folle… tu cherche à tout gâcher…entre nous, entre toi, moi et…

Il n'a pas terminé sa phrase car sa femme venait juste de nous rejoindre dans la cuisine

- Et bien mes loulous, que nous faites vous de bon ?

- Heu….c’est pour l’apéro… tient ma chérie continue.... avec… Annabelle, car il faut que j’aille chercher une bouteille à la cave.

Le petit salaud venait de s’échapper par une pirouette alors que j’étais à deux doigts de le compromettre mais il ne perd rien pour attendre.

Il a résisté grâce à un dernier soupçon de morale, par ce que nous étions chez lui et que nos conjoints étaient juste à coté, la crainte de les voir débarquer à l’improviste à du lui faire peur.

Je ne vois que cela pour qu’il ai réussi à se retenir, car je l’ai vraiment allumé et n’importe quel homme aurait craqué devant une telle invitation

Ma copine toujours aussi charmante ne se doutait de rien, d’ailleurs mon mec non plus, j’aurai pu me faire baiser juste à coté de lui qu’il ne l’aurait pas remarqué.

En attendant ma proie est partie se planqué dans la cave, il croyait m’échapper mais j'allais le lui faire payer très vite

- Dit donc ma chérie, il fait très chaud… tu crois qu’une seule bouteille va suffire ?

- Non, bien sur, tu as raison et en plus vous pouvez dormir là, file rattraper Marc et dit lui dans remonter une ou deux de plus

Mon piège avait parfaitement fonctionné et mon amie me poussa vers mon futur crime, pour rejoindre mon baiseur je suis repassée devant mon mari qui nous attendait sagement assis sur le canapé du salon.

- je reviens de suite mon chéri je vais rejoindre Marc pour qu’il me bais… heu…qu’il remonte du vin

J’étais toute troublée comme une gamine qui se sent prise au piège, qui va faire une grosse bêtise mais que rien ne peu arrêter, trop excitée pour se contrôler

Arrivée sur le seuil de la cave, Marc m’a aperçu, j’étais là sous le halo de lumière qui dévoilait toute ma féminité par transparence, mais il ne me sembla pas ravi du tout

- Là Annabelle, je crois que tu abuse, ce n’est pas sérieux et il n’est pas question que nous…

Il a pris une bouteille dans sa main et en voulant sortir il m’a poussé sèchement contre les briques

A cet instant je me suis senti tellement vexée et humiliée que la colère m’a pris, je l’ai saisi par l’épaule pour le retourner vers moi et les yeux dans les yeux je lui ai dit :

- Maintenant je suis en toi…tu m’appartiens…et tu ferras ce que bon me semblera…

Je ne sais pas comment j’ai sortie ces mots, mais il est resté là sans bouger et moi je me suis retrouvée d’un seul coup en lui, oui en lui, dans son corps.

Je voyais à travers ses yeux, je me voyais à travers ses yeux, je ressentais parfaitement ma propre main appuyée sur son épaule ainsi que toutes les autres sensations

Je ne sais par quelle magie cela est arrivé mais c’est ainsi que j’ai découvert pour la première fois mon pouvoir de transfert, j’ai la capacité de prendre possession des corps, de rentrer en eux et d’agir à leur place

De son regard j’ai vu la superbe femme qui se tenait là devant moi, mon propre corps.

Je regardais mon propre corps avec les yeux de Marc et il m’a fallu quelques minutes pour vraiment réaliser la chose

Comme pour tenter de me pincer, j’ai décidé d’avancer son bras pour venir toucher mon corps, instantanément le corps emprunté à exécuté mes désirs et sa main est venu se poser délicatement sur moi.

Selon mon désir, elle a glissé lentement vers ma poitrine jusqu'à toucher mes seins et mes tétons déjà douloureux tellement j’étais excitée

Mon propre corps n’a pu s’empêché de libérer un soupir de satisfaction alors que moi j’étais aux commandes dans celui de Marc

D’abords très surprise, j’ai rapidement compris ce qui se passait et j'ai pris tout le sens de cet avantage incroyable sans même chercher le pourquoi du comment.

Très consciente de mon environnement, j’ai vite analysé que je n’avais que peu de temps avant que mon mari ou mon amie ne viennent voir ce qui pouvait bien se passer dans cette cave.

Mais cela me sera bien suffisant pour atteindre le nirvana, mon moi s’est retourné devant lui, appuyée sur un des murs pour me pencher en avant, façon idéale de mettre mon petit cul en évidence et le rendre plus accessible pour la suite des événements.

Je lui a fait approcher ses mains de mes anches, retroussé les pans de ma petite robe pour dévoiler le galbe de mes petites fesses et plus particulièrement le sillon moite et très humide de mon sexe qui palpitait déjà.

Mon cœur battait la chamade, excitée comme une jeune pucelle avec ce pouvoir mystérieux qui me rendait encore plus perverse qu’a mon habitude.

De ces yeux, je voyais ma liqueur couler entre mes cuisses alors que dans son corps je ressentais le sexe en érection, la partie s’annonçait troublante dans ce méli-mélo de sensations diverses et opposées.

Vite, il fallait faire vite, vient…approche toi, vient m’enfiler…oui comme ça… frotte ta queue contre ma chatte…oui, badigeonne mon jus sur ta queue…oui…hummm….

Tous ce que je pensais dans ma tête, il l’exécutait aussitôt, sans un mot tel un automate il agissait comme je le rêvais depuis si longtemps.

Les cuisses écartées comme une vulgaire catin, je me régalais de cette bonne et épaisse queue que j’allais enfin sentir en moi, m’écartant les chairs et me mettre bien profond.

Une fois sa queue bien mouillée de mon jus gluant, je lui ai demandé de me la mettre, d’abord lentement pour prendre sa place sans me déchirer et une fois qu’il a buté bien au fond, je l’ai fait aller et venir dans mon con pour me ramoner le conduit

Je commençais déjà à prendre mon pied, bien trop vite à mon gout mais le trop d’abstinence et l’excitation particulière de cette situation allaient me faire craquer rapidement

Vas y…oui… bien fort…hummmm… claque moi le cul….oui… tu l’aime mon cul….hummm…

Bien cramponné sur ses deux jambes il m’empoignait fort par mes poignées d’amour et faisait claquer mes petites fesses à chaque pénétration, butant son pubis et ses bourses bien pleines contre mon cul de salope.

Hummm…tu vois… c’était pas….hummm…si compliqué de…. me la mettre….hummm…

Je lui ai fait accélérer la cadence, maintenant il me burinai, que dis je, il me bourrait comme un sauvage, faisant écho dans la cave ses ( han…han…han…) annonçaient les réjouissances finales.

Je s’avais que je ne tiendrais pas longtemps, l’excitation était vraiment trop forte.

Il faut dire aussi que me faire prendre en levrette par le mari de ma meilleure copine, là chez elle, au risque qu’elle et mon mari ne découvrent notre adultère, cela aussi me rendais plus folle que jamais.

Deux, trois, bon coups de queue de plus et me voilà en train de trembler sur mes petites jambes, jouissant comme une déchainée, dans mon corps et le siens car lui aussi libérait sa semence bien au fond contre mes ovaires.

Nos deux corps convulsaient en harmonie, lui libérant son jus de couille et moi savourant ma victoire, je prenais mon pied en cocufiant mon mari adoré tout en me régalant de le faire avec le mec de ma copine, celui qui encore dix minutes avant se refusait à moi.

Je me régalais des dernières gouttes de sperme chaud et onctueux qu’il m’offrait collé contre mes fesses, agrippé à mes chairs délicates il se vidait entièrement avec les derniers petits coups de reins, histoire de bien se secouer la bite.

Les dernières vibrations de plaisir passés, je me suis relevée ce qui à dégagé sa queue toute poisseuse de sperme et de sécrétions intimes, elle ramollissait à vue d’œil et pendait vers le sol.

J’ai rajusté ma robe sur mes fesses, heureuse et fier de moi, je sentais le liquide chaud et poisseux qui me coulait onctueusement entre les cuisses, preuve irréfutable que je venais de me faire mettre par une bonne queue.

Passant mes doigts sur ma chatte endolorie, j’y ai puisé un peu de cette bonne crème pour l’humectée et en vérifier l’existence, mes doigts sentaient bon la bite et la semence virile.

Je n’avais donc pas rêvé, nous avions bien copulé, mon pouvoir était réel et je prenais à peine conscience de la puissance qu’il me prodiguait.

Marc lui, venait juste de ranger son sexe tout poisseux et gluant de nos liquides adultérins, puis il est resté un instant immobile attendant je ne sais quel signe de ma part.

Ne sachant quoi faire ou quoi dire, je lui ai souri, lui ai posé un doux baisé sur ses lèvres et au creux de son oreille je lui ai susurré :

- Merci pour ce moment, je te libère… je ne suis plus en toi et tu ne m’appartiens plus…

Je ne s’avais même pas si cela allait marcher, je l’ai dit tel que je le pensais et apparemment c’était ce qu’il fallait dire

Marc s’est frotté le visage comme pour se dégourdir les mâchoires, il a passé sa main dans ses cheveux puis il m’a souri et ma dit :

- Alors on la monte cette bouteille ?

- Attend, il en faut une ou deux de plus car on a tous très soif

J’étais heureuse comme jamais, non seulement je venais de découvrir mon incroyable pouvoir mais en plus Marc ne se souvenait de rien, c’était inespéré et très prometteur pour mes futures conquêtes.

Tout souriants, nous sommes remontés comme si de rien n’était, chacun avec une bonne bouteille dans la main

- Et bien mes coquins, vous étiez passé où, j’espère que vous n’avez pas tout bu

- Mais non, il en reste encore, Annabelle et moi on vous a sélectionné les meilleurs crus, vous allez m’en dire des nouvelles

Le reste de notre soirée s’est merveilleusement bien passé, curieusement je n’ai éprouvé aucun remord ni fierté de ce que je venais de faire, j’aimais toujours autant mon amie et j’étais contente d’avoir baisé avec son homme.

J’ai bien dit baisé, car c’était intense et rapide, aucun amour dans l’acte, pour moi il n’y a pas eu de trahison, c’est comme ca que j’aime cocufier mon chéri à moi, que j’aime baiser sans lui demander la permission.

J’aime rentrer à la maison pleine de foutre épais et sentir le sperme qui sèche sur ma peau, oui je vous l’ai dit, je suis une salope, j’assume et j’aime ça…

Je n’y peu rien, ma vie est ainsi et si vous êtes sages je vous raconterais la suite de mes aventures très, très, coquines…

Annabelle