Les premières de Julien 1/3
Récit érotique écrit par Seblebeau [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Les premières de Julien 1/3
Julien et sa première branlette par une fille
Julien, c’est le prénom que m’ont donné mes parents à la naissance. Ce qui marque le plus dans la vie ce sont nos premières fois, la première fois que l’on marche, que l’on parle, notre première rentrée des classes…Mais celle qui nous marque en tant qu’adulte sont nos premières relations amoureuses. La première petite copine ou copain, la première fois que l’on tient la main de l’autre, la première fois que l’on embrasse l’autre. Pour mon premier baiser, j’étais au collège et c’était avec Cécile. Rien à dire de plus que : c’était humide et que je devais être nul car on n’a pas recommencé… Je suis plutôt timide comme garçon et l’étape suivante, la première fois avec une fille n’est pas arrivée tout de suite. C’est l’année de mes dix-huit ans que j’ai dû attendre pour ma première branlette par une fille, puis ma première pipe et ma première fois. Enfin bref toutes les premières fois qui compte… Je suis partie en vacances avec mes parents dans un très beau camping dans les landes près de la mer. C’était à trois heures de route de chez nous. Je passe mes après-midis à la plage seul ou avec mes parents. Cela fait presque une semaine que nous sommes là et pour une fois, je suis resté à la piscine à alterner quelque brasse pour me rafraichir et séance de lecture sur un transat pour bronzer.
Comme je suis timide, je n’ai pas réussi à m’intégrer au petit groupe de jeune de mon âge que j’ai croisé. Il y a bien une ou deux filles plutôt jolies mais bon il y a aussi des mecs plutôt bien foutu qui leur tourne autour.
Comme je viens de sortir de l’eau et après m’avoir essuyé, je me passe un peu de crème solaire. Je n’ai pas envie de ressembler à une écrevisse ébouillantée. Un ballon vient me reverser une bonne dose de crème blanche sur mon maillot de bain et ma serviette. Je regarde d’où vient le ballon et justement, il vient du groupe que j’ai repéré.
- Désolé ! me dit une fille en sortant de l’eau.
Je la regarde approcher de moi un peu agar… Je ne l’avais pas encore remarqué dans ce groupe. De toute façon, elle n’est pas vraiment mon genre. Elle reprend le ballon et repart vite fait dans l’eau, non sans se retourner plusieurs fois…Bien vite je reprends mes esprits et j’essaie d’enlever toute cette crème blanche. Je me rends compte que c’est peine perdue. Je n’ai plus qu’à rentrer, prendre une douche et me changer… Notre emplacement est de l’autre côté du camping. Je ramasse donc mes affaires et je suis parti vers notre logement. J’arrive devant notre bungalow, je me rends compte que je n’ai pas les clefs et les parents sont partie. Plus qu’une chose à faire attendre.
Au bout d’une demi-heure, pendant laquelle j’ai repris ma lecture sur une chaise de la terrasse, j’entends une voix féminine me dire : - Désolé pour tout à l’heureJe relève la tête et je voie la fille qui était venu récupérer le ballon. Par politesse je lui réponds- Pas grave, cela va partir au lavage, donc pas de mal.
- D’ailleurs tu ne t’es pas changé ? Me dit-elle en approchant- Non je suis enfermé dehors, mes parents sont partis avec les clefs.
- Si tu veux, tu peux venir avec moi, prendre une douche et on essaiera de détaché ton short.
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai accepté. Cette fille ne m’intimide pas et je ne perds pas mes moyens. Je ne sais pas comment la décrire. Elle est doit être aussi grande que moi avec une silhouette assez ronde. Son visage était charmant avec de belles joues rebondies. Les cheveux brun mi long. En revanche, elle une poitrine assez imposante et cul qui me donne finalement très envie.
Elle a mis sa serviette en paréo au-dessus de sa poitrine certainement pour cacher un peu ses formes généreuses. Pourquoi, je ne l’ai pas remarqué avant ? En plus, il n’y qu’une allée pour se diriger vers ce coin du camping et elle passe forcément devant notre bungalow.
En arrivant à son emplacement, elle m’explique que ses parents louent à l’année l’emplacement et que le Mobil home leur appartient. C’est pour cela qu’il y a une haie autour de leur emplacement et que l’on ne voit pas l’intérieur du jardin. En plus elle est encore seul pour 15 jours, ses parents travaillent encore. Elle profite seule du soleil et de la plage.
Elle m’indique la salle de bain et me demande de lui passer mon maillot de bain et ma serviette pour qu’elle les lave. Je m’exécute, j’entre dans la salle de bain et lui tend mes affaires par la porte discrètement. Je prends rapidement une douche et ressort avec une serviette autour de ma taille.
- J’ai mis à sécher tes affaires dehors. Avec ce soleil, ils seront vites sèches. Tu bois un Coca en entendant.
- Merci, je veux bien.
On s’installe sur la terrasse et je me rends compte qu’effectivement personne ne peut nous voir. On discute de nos vies et on se rend compte que l’on habite à moins de vingt kilomètres l’un de l’autre. Plus l‘on parle plus et plus je me détends. Elle a enlevé son paréo et elle est donc en maillot de bain deux pièces. Je ne peux m’empêcher de mater sa lourde poitrine que son haut a du mal à contenir.
Je ne sais pas pourquoi mais elle aussi a du mal à me regarder dans les yeux. Elle me matte aussi ? J’avais sans m’en rendre compte croiser les jambes et la serviette s’est largement ouverte. D’où elle est, elle doit pouvoir voir mon intimité. Je me rajuste rapidement en m’excusant rouge de honte.
- Ne t’excuse pas au contraire, vu ce que j’ai aperçue cela m’a l’aire plutôt pas mal… En tout cas cela m’a plus. Même si je ne suis pas une experte en la matière. J’en ai vue quelque unes bien loin dans les dunes environnantes. Mais d’aussi près, jamais.
A ces mots, je sens une érection pointer et faire doucement gonfler mon sexe.
- J’aimerais tellement la toucher si tu le permets.
- Je ne sais pas… lui dis-je d’une petite voix.
- En tout cas, elle en a envie. Me montrant mon érection.
Elle se lève et dégrafe son soutient gorge. j’ai pour la première fois, devant moi à la hauteur de mon regard les gros seins lourds d’une fille. Elle se mets à croupie devant, ouvre doucement la serviette qui protège de moins en moins mon intimité. C’est la première fois qu’une fille me touche la queue. D’abord un peu maladroitement mais elle trouve rapidement le bon mouvement et le bon rythme.
Pendant ce temps, je pose mes mains pour la première fois sur la poitrine d’une fille. Quelle sensation merveilleuse de pourvoir malaxer les gros nénés d’une fille. Plus tard, elle m’avouera qu’elle fait du 105G. Elle est là et ne perd pas une miette de mes réactions. Le regard plongé dans le mien. Il ne me faut pas longtemps pour jouir à grand flot. Je me suis déjà astiqué le manche mais cela n’a jamais était aussi bon.
Elle prend le temps d’essuyer toutes les traces sur ma queue me donnant même quelques coups de langue, en guise d’aperçue de notre prochaine première fois ? Je reprends à peine mes esprits que mon téléphone sonne. Ce sont mes parents qui m’envoient un sms pour me demander où je suis. Je me rhabille rapidement et je promets de passer la soirée avec elle. Et avant de partir, j’embrasse tendrement sur la bouche, Julie.
Julien, c’est le prénom que m’ont donné mes parents à la naissance. Ce qui marque le plus dans la vie ce sont nos premières fois, la première fois que l’on marche, que l’on parle, notre première rentrée des classes…Mais celle qui nous marque en tant qu’adulte sont nos premières relations amoureuses. La première petite copine ou copain, la première fois que l’on tient la main de l’autre, la première fois que l’on embrasse l’autre. Pour mon premier baiser, j’étais au collège et c’était avec Cécile. Rien à dire de plus que : c’était humide et que je devais être nul car on n’a pas recommencé… Je suis plutôt timide comme garçon et l’étape suivante, la première fois avec une fille n’est pas arrivée tout de suite. C’est l’année de mes dix-huit ans que j’ai dû attendre pour ma première branlette par une fille, puis ma première pipe et ma première fois. Enfin bref toutes les premières fois qui compte… Je suis partie en vacances avec mes parents dans un très beau camping dans les landes près de la mer. C’était à trois heures de route de chez nous. Je passe mes après-midis à la plage seul ou avec mes parents. Cela fait presque une semaine que nous sommes là et pour une fois, je suis resté à la piscine à alterner quelque brasse pour me rafraichir et séance de lecture sur un transat pour bronzer.
Comme je suis timide, je n’ai pas réussi à m’intégrer au petit groupe de jeune de mon âge que j’ai croisé. Il y a bien une ou deux filles plutôt jolies mais bon il y a aussi des mecs plutôt bien foutu qui leur tourne autour.
Comme je viens de sortir de l’eau et après m’avoir essuyé, je me passe un peu de crème solaire. Je n’ai pas envie de ressembler à une écrevisse ébouillantée. Un ballon vient me reverser une bonne dose de crème blanche sur mon maillot de bain et ma serviette. Je regarde d’où vient le ballon et justement, il vient du groupe que j’ai repéré.
- Désolé ! me dit une fille en sortant de l’eau.
Je la regarde approcher de moi un peu agar… Je ne l’avais pas encore remarqué dans ce groupe. De toute façon, elle n’est pas vraiment mon genre. Elle reprend le ballon et repart vite fait dans l’eau, non sans se retourner plusieurs fois…Bien vite je reprends mes esprits et j’essaie d’enlever toute cette crème blanche. Je me rends compte que c’est peine perdue. Je n’ai plus qu’à rentrer, prendre une douche et me changer… Notre emplacement est de l’autre côté du camping. Je ramasse donc mes affaires et je suis parti vers notre logement. J’arrive devant notre bungalow, je me rends compte que je n’ai pas les clefs et les parents sont partie. Plus qu’une chose à faire attendre.
Au bout d’une demi-heure, pendant laquelle j’ai repris ma lecture sur une chaise de la terrasse, j’entends une voix féminine me dire : - Désolé pour tout à l’heureJe relève la tête et je voie la fille qui était venu récupérer le ballon. Par politesse je lui réponds- Pas grave, cela va partir au lavage, donc pas de mal.
- D’ailleurs tu ne t’es pas changé ? Me dit-elle en approchant- Non je suis enfermé dehors, mes parents sont partis avec les clefs.
- Si tu veux, tu peux venir avec moi, prendre une douche et on essaiera de détaché ton short.
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai accepté. Cette fille ne m’intimide pas et je ne perds pas mes moyens. Je ne sais pas comment la décrire. Elle est doit être aussi grande que moi avec une silhouette assez ronde. Son visage était charmant avec de belles joues rebondies. Les cheveux brun mi long. En revanche, elle une poitrine assez imposante et cul qui me donne finalement très envie.
Elle a mis sa serviette en paréo au-dessus de sa poitrine certainement pour cacher un peu ses formes généreuses. Pourquoi, je ne l’ai pas remarqué avant ? En plus, il n’y qu’une allée pour se diriger vers ce coin du camping et elle passe forcément devant notre bungalow.
En arrivant à son emplacement, elle m’explique que ses parents louent à l’année l’emplacement et que le Mobil home leur appartient. C’est pour cela qu’il y a une haie autour de leur emplacement et que l’on ne voit pas l’intérieur du jardin. En plus elle est encore seul pour 15 jours, ses parents travaillent encore. Elle profite seule du soleil et de la plage.
Elle m’indique la salle de bain et me demande de lui passer mon maillot de bain et ma serviette pour qu’elle les lave. Je m’exécute, j’entre dans la salle de bain et lui tend mes affaires par la porte discrètement. Je prends rapidement une douche et ressort avec une serviette autour de ma taille.
- J’ai mis à sécher tes affaires dehors. Avec ce soleil, ils seront vites sèches. Tu bois un Coca en entendant.
- Merci, je veux bien.
On s’installe sur la terrasse et je me rends compte qu’effectivement personne ne peut nous voir. On discute de nos vies et on se rend compte que l’on habite à moins de vingt kilomètres l’un de l’autre. Plus l‘on parle plus et plus je me détends. Elle a enlevé son paréo et elle est donc en maillot de bain deux pièces. Je ne peux m’empêcher de mater sa lourde poitrine que son haut a du mal à contenir.
Je ne sais pas pourquoi mais elle aussi a du mal à me regarder dans les yeux. Elle me matte aussi ? J’avais sans m’en rendre compte croiser les jambes et la serviette s’est largement ouverte. D’où elle est, elle doit pouvoir voir mon intimité. Je me rajuste rapidement en m’excusant rouge de honte.
- Ne t’excuse pas au contraire, vu ce que j’ai aperçue cela m’a l’aire plutôt pas mal… En tout cas cela m’a plus. Même si je ne suis pas une experte en la matière. J’en ai vue quelque unes bien loin dans les dunes environnantes. Mais d’aussi près, jamais.
A ces mots, je sens une érection pointer et faire doucement gonfler mon sexe.
- J’aimerais tellement la toucher si tu le permets.
- Je ne sais pas… lui dis-je d’une petite voix.
- En tout cas, elle en a envie. Me montrant mon érection.
Elle se lève et dégrafe son soutient gorge. j’ai pour la première fois, devant moi à la hauteur de mon regard les gros seins lourds d’une fille. Elle se mets à croupie devant, ouvre doucement la serviette qui protège de moins en moins mon intimité. C’est la première fois qu’une fille me touche la queue. D’abord un peu maladroitement mais elle trouve rapidement le bon mouvement et le bon rythme.
Pendant ce temps, je pose mes mains pour la première fois sur la poitrine d’une fille. Quelle sensation merveilleuse de pourvoir malaxer les gros nénés d’une fille. Plus tard, elle m’avouera qu’elle fait du 105G. Elle est là et ne perd pas une miette de mes réactions. Le regard plongé dans le mien. Il ne me faut pas longtemps pour jouir à grand flot. Je me suis déjà astiqué le manche mais cela n’a jamais était aussi bon.
Elle prend le temps d’essuyer toutes les traces sur ma queue me donnant même quelques coups de langue, en guise d’aperçue de notre prochaine première fois ? Je reprends à peine mes esprits que mon téléphone sonne. Ce sont mes parents qui m’envoient un sms pour me demander où je suis. Je me rhabille rapidement et je promets de passer la soirée avec elle. Et avant de partir, j’embrasse tendrement sur la bouche, Julie.
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