Les raisons de mon absence [Mea Culpa]
Récit érotique écrit par Quintessence2017 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les raisons de mon absence [Mea Culpa]
Si je suis moins prolifique quant à mes récits ces derniers temps, il y a une raison à cela.
Il me semble important de la partager avec mes lecteurs pour qu’ils ne s’imaginent pas que j’ai ralenti mon rythme d’écriture par pure paresse.
Il y a plusieurs mois de cela, j’ai rencontré Gabriel sur un site de rencontre entre gays orienté « SM ». J’étais sur ce site pour chercher sans vraiment chercher. En effet, je sortais d’une relation hétérosexuelle qui m’avait laissé en morceaux. Cela m’a semblé le bon moment pour assumer mon penchant homosexuel. Pourtant j’avais toujours des réserves.
J’épluchais donc quotidiennement les annonces du site, sans jamais me résoudre à me lancer.
C’est alors que Gabriel m’a contacté. Il avait apprécié ma photo de profil, une photo de cette partie charnue de mon corps que l’on ne peut voir de face.
Le courant est immédiatement passé. Il faut dire que Gabriel était différent des autres mecs du site : il était cultivé et s’exprimait dans un bon français dépourvu de fautes d’orthographe, il était toujours subtil tout en sachant à quel moment il pouvait se montrer rentre-dedans.
Au départ, nous ne faisions que parler. Je lui ai expliqué ma situation. J’étais frileux. Il comprenait.
Il me semble utile de préciser que Gabriel cherchait un soumis pour ce qu’il appelait « une appartenance totale. » Mais il n’était pas fermé à la simple discussion, même si celle-ci pouvait ne mener nulle part.
Le temps passait, et nous discutions désormais quotidiennement. Au fil de nos discussions, je gagnais en confiance en moi, je me confortais dans mes positions.
Un jour, je lui ai dit que j’étais prêt à le rencontrer. Je suis donc allé chez lui. J’étais terrifié, mais il m’a immédiatement mis en confiance. C’est ainsi qu’a commencé mon « initiation. »Elle a duré quelques temps, période pendant laquelle nous nous voyions plusieurs fois par semaine. Parfois je n’osais pas y aller. Surtout lorsque je m’étais masturbé entre deux séances. En effet, l’excitation retombait alors, et laissait place à un fort sentiment de honte.
J’en ai parlé à Gabriel. Il m’a dit qu’il existait une solution, mais qu’elle impliquait une totale confiance en lui. Il m’a exposé le principe de la cage de chasteté. J’en avais déjà entendu parler, bien sûr, mais je n’avais jamais réfléchi à la raison qui pouvait pousser des hommes à confier ainsi leur virilité à quelqu’un.
Gabriel m’a expliqué qu’en lui confiant mon sexe, c’était mon désir que je remettais entre ses mains. Ainsi, plus de tentation de se masturber : je devenais une pure créature de désir, j’étais constamment plongé dans cette excitation qui m’avait poussé à le rencontrer et à accepter mon initiation en premier lieu.
Dès lors, tout a changé. J’étais toujours prêt à venir le voir pour une séance. À tout moment. Même lorsque cette dernière n’était pas planifiée à l’avance, surtout lorsque cette dernière n’était pas planifiée à l’avance.
Sans le savoir, j’avais déjà fait un premier pas vers l’appartenance. Le grand saut n’a plus tardé à suivre.
Un jour, après qu’il m’a autorisé à jouir, je suis rentré chez moi et me suis rendu compte que mon désir n’avait pas disparu. Plus de sentiment de honte. Même après l’orgasme, j’étais prêt à revenir chez Gabriel s’il m’appelait sur le champ.
Le lendemain, je l’ai appelé. Je lui ai dit que j’étais prêt à signer un contrat d’appartenance pour être à lui. Le soir-même, j’étais convoqué et le contrat signé.
Inutile de s’attarder ici sur le contenu de ce dernier, il ne regarde que Gabriel, qui l’a rédigé, et moi-même.
Je me suis installé chez lui, et ai commencé à céder progressivement mes affaires superflues, et à déménager le reste, soit chez lui, soit chez mes parents, de sorte que, un mois plus tard, j’avais rendu mon appartement.
Depuis, je vis chez Gabriel. Le jour de la signature du contrat, je lui ai remis le double des clés de ma cage qu’il m’avait laissé pour me mettre en confiance, et il m’a posé un collier de cuir orné d’un anneau autour du cou. Depuis, je n’ai quitté ces accessoires que pour me laver.
Je vis nu, à l’exception des sorties en public où je suis obligé de m’habiller, mais pas de quitter mon collier.
Gabriel gagne bien sa vie, aussi j’ai pu abandonner mon job étudiant. Je suis tout de même obligé de sortir pour me rendre à l’Université, c’est une chose que nous avons convenue ensemble.
Le reste du temps, je suis au service total de Gabriel.
Je fais les tâches ménagères, la cuisine, et je le satisfais sexuellement. C’est cette dernière tâche que je préfère, bien entendu, même si le contrôle de mon désir a donné une dimension érotique, voire sexuelle, à chaque activité de ma vie, surtout celles qui concernent ma soumission.
Une fois de temps en temps, Gabriel m’autorise à jouir pour des raisons d’hygiène. Le reste du temps, je reste en cage.
Contrairement à moi, Gabriel fréquente « le milieu ». Aussi, notre contrat stipule que je peux être amené à servir également quelques amis à lui, triés sur le volet.
Ainsi, il arrive que Gabriel invite lesdits amis pour le thé ou des soirées, ce qui, je l’avoue, ne me déplaît pas le moins du monde.
Les récits que j’ai publiés depuis que j’appartiens à Gabriel, l’ont été avec son accord et après révision par ses soins.
Il me semble important de la partager avec mes lecteurs pour qu’ils ne s’imaginent pas que j’ai ralenti mon rythme d’écriture par pure paresse.
Il y a plusieurs mois de cela, j’ai rencontré Gabriel sur un site de rencontre entre gays orienté « SM ». J’étais sur ce site pour chercher sans vraiment chercher. En effet, je sortais d’une relation hétérosexuelle qui m’avait laissé en morceaux. Cela m’a semblé le bon moment pour assumer mon penchant homosexuel. Pourtant j’avais toujours des réserves.
J’épluchais donc quotidiennement les annonces du site, sans jamais me résoudre à me lancer.
C’est alors que Gabriel m’a contacté. Il avait apprécié ma photo de profil, une photo de cette partie charnue de mon corps que l’on ne peut voir de face.
Le courant est immédiatement passé. Il faut dire que Gabriel était différent des autres mecs du site : il était cultivé et s’exprimait dans un bon français dépourvu de fautes d’orthographe, il était toujours subtil tout en sachant à quel moment il pouvait se montrer rentre-dedans.
Au départ, nous ne faisions que parler. Je lui ai expliqué ma situation. J’étais frileux. Il comprenait.
Il me semble utile de préciser que Gabriel cherchait un soumis pour ce qu’il appelait « une appartenance totale. » Mais il n’était pas fermé à la simple discussion, même si celle-ci pouvait ne mener nulle part.
Le temps passait, et nous discutions désormais quotidiennement. Au fil de nos discussions, je gagnais en confiance en moi, je me confortais dans mes positions.
Un jour, je lui ai dit que j’étais prêt à le rencontrer. Je suis donc allé chez lui. J’étais terrifié, mais il m’a immédiatement mis en confiance. C’est ainsi qu’a commencé mon « initiation. »Elle a duré quelques temps, période pendant laquelle nous nous voyions plusieurs fois par semaine. Parfois je n’osais pas y aller. Surtout lorsque je m’étais masturbé entre deux séances. En effet, l’excitation retombait alors, et laissait place à un fort sentiment de honte.
J’en ai parlé à Gabriel. Il m’a dit qu’il existait une solution, mais qu’elle impliquait une totale confiance en lui. Il m’a exposé le principe de la cage de chasteté. J’en avais déjà entendu parler, bien sûr, mais je n’avais jamais réfléchi à la raison qui pouvait pousser des hommes à confier ainsi leur virilité à quelqu’un.
Gabriel m’a expliqué qu’en lui confiant mon sexe, c’était mon désir que je remettais entre ses mains. Ainsi, plus de tentation de se masturber : je devenais une pure créature de désir, j’étais constamment plongé dans cette excitation qui m’avait poussé à le rencontrer et à accepter mon initiation en premier lieu.
Dès lors, tout a changé. J’étais toujours prêt à venir le voir pour une séance. À tout moment. Même lorsque cette dernière n’était pas planifiée à l’avance, surtout lorsque cette dernière n’était pas planifiée à l’avance.
Sans le savoir, j’avais déjà fait un premier pas vers l’appartenance. Le grand saut n’a plus tardé à suivre.
Un jour, après qu’il m’a autorisé à jouir, je suis rentré chez moi et me suis rendu compte que mon désir n’avait pas disparu. Plus de sentiment de honte. Même après l’orgasme, j’étais prêt à revenir chez Gabriel s’il m’appelait sur le champ.
Le lendemain, je l’ai appelé. Je lui ai dit que j’étais prêt à signer un contrat d’appartenance pour être à lui. Le soir-même, j’étais convoqué et le contrat signé.
Inutile de s’attarder ici sur le contenu de ce dernier, il ne regarde que Gabriel, qui l’a rédigé, et moi-même.
Je me suis installé chez lui, et ai commencé à céder progressivement mes affaires superflues, et à déménager le reste, soit chez lui, soit chez mes parents, de sorte que, un mois plus tard, j’avais rendu mon appartement.
Depuis, je vis chez Gabriel. Le jour de la signature du contrat, je lui ai remis le double des clés de ma cage qu’il m’avait laissé pour me mettre en confiance, et il m’a posé un collier de cuir orné d’un anneau autour du cou. Depuis, je n’ai quitté ces accessoires que pour me laver.
Je vis nu, à l’exception des sorties en public où je suis obligé de m’habiller, mais pas de quitter mon collier.
Gabriel gagne bien sa vie, aussi j’ai pu abandonner mon job étudiant. Je suis tout de même obligé de sortir pour me rendre à l’Université, c’est une chose que nous avons convenue ensemble.
Le reste du temps, je suis au service total de Gabriel.
Je fais les tâches ménagères, la cuisine, et je le satisfais sexuellement. C’est cette dernière tâche que je préfère, bien entendu, même si le contrôle de mon désir a donné une dimension érotique, voire sexuelle, à chaque activité de ma vie, surtout celles qui concernent ma soumission.
Une fois de temps en temps, Gabriel m’autorise à jouir pour des raisons d’hygiène. Le reste du temps, je reste en cage.
Contrairement à moi, Gabriel fréquente « le milieu ». Aussi, notre contrat stipule que je peux être amené à servir également quelques amis à lui, triés sur le volet.
Ainsi, il arrive que Gabriel invite lesdits amis pour le thé ou des soirées, ce qui, je l’avoue, ne me déplaît pas le moins du monde.
Les récits que j’ai publiés depuis que j’appartiens à Gabriel, l’ont été avec son accord et après révision par ses soins.
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Depuis que l'auteur cherchait une appartenance: BRAVO pour lui.