Les vacances inoubliables (1): Une journée à la piscine - histoire érotique

Avec Hélène nous sommes en couple depuis 11 ans. Nous avons tous les deux 31 ans et on s’est rencontré à la fac, faisant les mêmes études et ayant beaucoup de points communs ça a été le coup de foudre immédiat.
Hélène était plutôt timide mais ravissante et très douce, avant moi, elle n’avait connu personne. Aucune relation sérieuse, pas de plan cul non plus, précision importante pour la suite.
Pour ma part, je n’avais jamais été en couple non plus en revanche j’avais enchainé quelques petites histoires sans lendemain lors de virées nocturnes et avant elle je m’en accommodait parfaitement.
Après quelques mois à nous tourner autour à la fac (je vous épargne les détails) nous avons donc fini par nous mettre ensemble pour ne plus nous quitter.


Nous revoici 11 ans après, les temps ont changé mais Hélène est toujours aussi belle femme, les années n’ont eu que peu d’emprise sur elle et on s’aime toujours comme aux premiers jours. Niveau sexe en revanche, ce n’est plus la même. De jeune femme prude et inexpérimentée elle est devenu avec le temps une vraie déesse au lit et sa curiosité nous a permis de tester à peu près tout ce qu’on voulait tester. Maintenant il est vrai aussi qu’avec les années, et bien que ce soit toujours aussi intense et plein d’amour, la fréquence de nos ébats se sont espacés au fil du temps et ont parfois laissé la place à la routine.

Seulement voilà, depuis quelques années déjà et bien que c’était jusqu’alors impensable pour moi, je fantasme de plus en plus à l’idée de la partager. Je l’imagine se faire prendre devant moi, se laissant aller à son plaisir de femme pendant que je me délecte du spectacle. La laissant découvrir ce qu’est le sexe pour le sexe, elle qui n’a connu que le sexe par amour avec moi. J’aimerais qu’elle se fasse littéralement baiser.
Pas d’humiliation ou de jeux de domination, pas de cage de chasteté comme on en voit souvent dans le porno dit « cuckold » ou tout ce qui va avec … non, juste le plaisir de voir ma femme, celle que j’aime tant s’adonner aux plaisirs de la chair.
Je pense qu’avec le temps je me suis dit que je ne pouvais être sa seule expérience sexuelle et qu’ayant moi-même connu quelques expériences avant elle, c’est dommage qu’elle passe à côté de cela. Et puis je l’aime tant et quand on fait l’amour je me dis que j’adorerais la contempler dans un moment de jouissance où elle s’abandonne en ne pensant plus qu’à son plaisir et la voir d’un œil extérieur. Le temps et les sentiments grandissants ont aussi aidé à faire germer cette idée dans mon esprit et à « séparer » en quelque sorte l’acte sexuel de l’amour.
Mais attention, on parle bien là de fantasme. Et entre les idées et les actes il y a un monde et d’ailleurs je ne lui en avait alors jamais parlé à Hélène, qui reste quand même la principale intéressée dans l’histoire.


Ce fut chose faite un soir d’été, il y a moins d’un an. Nous avions un peu bu et sans rentrer dans les détails, j’ai pris mon courage à deux mains et lui ait avoué mon fantasme, qui avec le temps m’obsédait de plus en plus. Qu’elle ne fut pas ma surprise quand elle a réagit positivement, elle était plutôt enthousiasmée. S’en est suivi une belle nuit des plus torride, une nuit de jouissance à jouer de la situation en role play avec un gode de sa collection et à faire l’amour jusqu’au matin.
Une soirée que je n’oublierais jamais.

Seulement au matin, bien que soulagé d’avoir pu enfin lui avouer mon fantasme, les doutes m’envahirent. Était-elle vraiment enthousiaste, était-ce sous l’effet de l’alcool ou juste un jeu …
Je ne pouvais pas resté dans le doute plus longtemps maintenu que j’avais fait le plus dur en lui parlant hier soir et décidais alors d’en reparler avec elle dès le petit déjeuner.

La situation et mon fantasme l’excitaient bel et bien ! L’idée de découvrir de nouvelles choses, de nouvelles sensations, de nouvelles façons de baiser, de nouvelles queues… l’attrait de l’inconnu, de la nouveauté. Expérimenter, tout simplement ! Elle qui était trop timide plus jeune pour des plans cul se demandait maintenant ce que ça pouvait être. Elle y avait déjà pensé mais n’aurait jamais osé franchir le pas, alors elle aussi gardait tout ça dans son jardin secret. Elle pensait cela impensable et elle n’avait aucunement envie de faire ça dans mon dos en me trompant, pour elle aussi c’était en couple ou rien alors mon aveu d’hier soir n’avait fait que confirmer tout ça !
Quand je vous dit qu’on est fusionnel et sur la même longueur d’onde depuis toutes ces années. Même notre plus grand fantasme était partagé.


Les mois passèrent, et de temps en temps on aimait à faire l’amour en jouant de ce fantasme. Parfois même sans faire l’amour, au resto, dans la rue ou en balade et même par message, on adorait jouer de cette situation et s’imaginer qu’untel ou untel pourrait être son amant. Elle adorait de plus en plus « s’exhiber » dans les lieux publics, ne portant pas de soutien gorge, ou de culotte. Parfois elle se baladait même seins nus dans des endroits où on aurait pu croiser du monde.
On adorait aussi de plus en plus se toucher et faire l’amour dans des lieux publics, imaginant se faire surprendre, c’est terriblement excitant ! Mais nous étions d’accord sur le fait que c’était un fantasme et que pour le moment nous n’étions pas prêts à franchir le pas.
Surtout Hélène, bien que plus ouverte d’esprit que jamais, elle n’avait que moi comme expérience et ne se sentait pas encore prête à aller au-delà du fantasme. Ce qui peut se comprendre car c’est quand même un vrai saut dans le vide !


Nous voici à présent quelques mois après…
Alors que nous sommes en vacances, on décide d’aller un jour dans une piscine non loin de l’hôtel où nous séjournions. Dans cette piscine il y a un espace bien-être, de quoi se relaxer et passer un bon moment en amoureux.
C’était une belle fin de matinée ensoleillée et un endroit agréable. Étant hors saison et en semaine, il n’y avait pas beaucoup de monde et ça aussi c’était plutôt agréable. Un ou deux autres couples, quelques personnes seules (dont beaucoup de personnes âgées) et évidemment aucun enfant dans la partie bien-être réservée exclusivement aux adultes.

On passait de douches en bains, de saunas en jacuzzis et de piscine en hammam, bref on profitait. Mais comme souvent, à la vue de son corps de déesse bien bronzé (avec ses origines italiennes elle est toujours bien bronzée le printemps et l’été) et en maillot échancré, il ne m’en fallait pas plus pour avoir envie d’elle. On commença alors à se chauffer dans le hammam où il n’y avait personne. Toute cette buée nous donna des idées et surtout elle nous permettait de ne pas se faire prendre si quelqu’un entrait.

Je sortis un de ses seins puis le deuxième et les lui caressa. Je lui massait, je lui pinçait aussi les tétons car c’est chez elle une zone très érogène tout en l’embrassant. Puis je descendit doucement vers le bas de son maillot. J’y introduisit la main et la caressa, elle était déjà toute excitée. A son tour elle baissa mon maillot de bain et commença à me branler j’étais moi aussi déjà bien dur.
Au bout d’un moment, on entendit du bruit s’approcher puis la porte s’ouvrir et ça nous a stoppé immédiatement. En quatrième vitesse elle remettait alors son haut de maillot de bain, quant à moi, j’essayais tant bien que mal de cacher mon. Nos cœurs battaient la chamade c’était terriblement excitant et stressant à la fois.
Un homme personne entra alors dans le hammam, c’était un homme assez âgé qui ne s’est visiblement douté de rien ou alors n’a rien dit. On a laissé descendre la pression et une fois que j’étais au repos nous sommes sorti.
Hélène était toute rouge, l’excitation ou la chaleur ? Sans doute un peu des deux. Un bain froid nous fit du bien mais l’excitation était toujours là et nous restions sur notre faim.

On décidait alors d’y retourner une demi-heure plus tard. Le hammam était à nouveau vide et nous reprenions où l’on s’était arrêté. Cette fois-ci elle eut le temps d’aller jusqu’à me sucer, ça faisait un bien fou. Seul problème, étant à genoux devant moi, mon sexe dans sa bouche, si quelqu’un rentrait maintenant ce serait beaucoup plus compliqué d’être discret !
Et ce qui devait arriver arriva, à nouveau la porte s’ouvrît, à nouveau nous tentions d’être le plus discret possible. Je remis mon maillot de bain, elle s’asseyait à toute vitesse à côté de moi et on pensait que le tour était joué puisque durant un instant il ne se passa rien.

Mais cette fois-ci la personne qui entra était un homme bien plus jeune que toute à l’heure, la trentaine comme nous et sans doute était-il plus perspicace que le monsieur d’avant, ou nous bien moins discrets … car en effet, il avait bien compris ce qui se passait et après un bonjour nous dit :
- Allez-y continuez il ne faut pas vous gêner pour moi, faites comme si je n’étais pas là !

On était abasourdi et bouche bée pendant quelques secondes qui parurent des heures. Après ce moment irréel on eut tous deux un rire nerveux. Cette situation n’était encore jamais arrivée, on ne savait pas comment réagir car jusqu’alors on ne s’était jamais fait prendre lors de nos ébats et soudain ça y est on y était.
Avant même qu’on fasse ou dise quoique ce soit, l’inconnu réitéra:
- Bon, je vais vous aider alors !
Ni une ni deux, il baissa son maillot de bain et commença à se masturber. Sa queue était plutôt impressionnante et bien que je n’ai pas à me plaindre avec mes 17cm, la sienne, alors qu’il ne bandait même pas encore faisait peut-être déjà la taille de la mienne au garde-à-vous.
Ça se confirma quelques secondes plus tard quand son sexe se dressa sous les yeux émerveillées d’Hélène. Il devait facilement faire entre 22 et 25 cm de long, le genre de queue qu’on ne voit que dans les pornos et qu’on ne s’attend pas à voir en vrai. surtout quand on ne s’attend pas à rencontrer quelqu’un. Hélène me confirma plus tard que quand elle a vu sa queue elle fut très impressionnée elle aussi. Aussi bien par sa longueur que son épaisseur qui était tout aussi impressionnante, elle qui n’avait jamais vu d’autre queue que la mienne avait devant elle un spécimen rare, elle avait bien des godes XXL mais c’était incomparable, elle n’avait alors qu’une envie et s’imaginait la prendre en bouche et la goûter.

Puisque monsieur était à l’aise, notre gêne se dissipa quelque peu et Hélène découvrir sa poitrine, ses tétons étaient étaient pointés, on aurait dit qu’ils allaient exploser. Elle sortit ma queue du maillot et me branla, je dégageais le bas du maillot de madame afin de laisser entrevoir sa vulve, elle écarta les jambes pour lui laisser une belle vue. Quand je mis un doigt dans sa petite chatte j’ai eu l’impression qu’elle n’avait jamais été aussi mouillée. J’en devint presque jaloux !

Elle se mit alors à genoux et me suça comme avant que l’inconnu n’entre, il avait alors une magnifique vue sur ses belles fesses et son dos cambré. Elle me suçait comme une chienne comme pour lui prouver ce dont elle était capable, une bonne pipe bien baveuse, et une belle gorge profonde. Lui, ne tarda évidement pas à bander bien dur, il continuait de se branler et ne ratait pas une miette du spectacle.

À nouveau on entendit du bruit mais finalement personne n’entra, je me suis alors dit qu’il était temps d’arrêter avant qu’on ne se fasse à nouveau surprendre. Parce que si lui ça ne l’avait pas dérangé, ce ne serait peut-être pas le cas de tout le monde et qu’on pourrait avoir des problèmes.
Mais contre toute attente, Hélène, ma chérie n’avait pas du tout envie d’en rester là. Elle qui n’était jusqu’alors pas prête à passer du fantasme à la réalité me glissa à l’oreille dans un murmure:
- J’ai envie de le sucer !
À nouveau je ne su comment réagir. Ça y est le moment que je fantasmais depuis des années sans même imaginer qu’il puisse être réel un jour c’était maintenant. Mais comme c’est jamais pareil quand on l’imagine et quand on le vit je ressentais alors un sentiment étrange: une excitation extrême comme je n’avais alors jamais connu mêlé de jalousie et de l’envie d’en rester là. Je lui dis alors:
- T’es sûre de toi ? On ne le connaît même pas et je ne sais pas si je suis prêt mentalement à passer le cap aujourd’hui. On n’avait pas prévu ça.
J’étais vraiment tiraillé, d’un côté j’en mourrais d’envie mais de l’autre je me posais mille questions et j’étais épris de doute.
En guise de réponse elle me susurrât:
- Je me sens prête, j’en meure d’envie et je sais qu’au fond de toi tu en as envie autant que moi et depuis des années. Fais-moi confiance. Je t’aime.
Puis elle m’embrasse passionnément pendant une bonne minute.
Dans le feu de l’action je ne su quoi répondre, j’étais comme en plein rêve.

L’inconnu, qui n’était alors que voyeur jusqu’alors et qui était loin de s’imaginer ce que ma chérie venait de me confier nous dit:
- Je vais rester près de l’entrée comme ça je garde un œil et vous prévient si quelqu’un vient si ça peut vous rassurer.
Il avait cru comprendre qu’on hésitait à continuer de peur d’être surpris, ce qui était en partie vrai mais en réalité on n’en était plus là… ma femme voulait sa queue, j’étais perdu entre deux sentiments contradictoires et lui n’en savait encore rien.

C’est alors qu’Hélène, voyant que je doutais décida de prendre les choses en main, je ne l’avais jamais vu aussi sûre d’elle, elle semblait transcendée et ça la rendait encore plus attirante.
Elle me surprit en disant:
- Si tu veux, c’est mon chéri qui va surveiller pendant que je vais m’occuper de toi ! Je meure d’envie de sucer ta queue et lui il rêve de voir la salope que je suis m’occuper d’un autre homme.

Surpris à son tour il acquiesça d’un hochement de tête. Cette fois-ci c’est lui qui resta bouche bée face à ma chérie. Il s’approcha d’elle. Elle avait les yeux rivés sur cette queue qui l’hypnotisait depuis toute à l’heure, elle se mit à genoux sans ne dire mot.
Je me levais alors mécaniquement pour me rapprocher de ma porte du hammam afin de surveiller mais j’étais en réalité moi aussi hypnotisé par quelque chose…

Ma chérie était à genoux, face à cet homme, s’apprêtant à le sucer. Ma femme que j’aime plus que tout depuis plus de dix ans, cette femme que j’ai connu timide et inexpérimentée s’apprêtait à connaître sa première queue après la mienne. Ce qu’on avait imaginé a maintes reprises, ce que je pensais inimaginable avant de lui en parler (et elle aussi) il y a de ça un an, mon plus grand fantasme était sur le point de se réaliser ici et maintenant devant mes yeux. Je lui avais mis cette idée en tête et maintenant elle en avait envie, comment pourrais-je la blâmer ?

En réalité, bien qu’elle feignait d’être sûre d’elle, elle aussi était en plein doute à ce moment là (ce qu’elle me fit savoir par la suite) et ne savait pas si elle allait vraiment le faire ou si ça serait partie remise. Après tout ce n’était pas prévu, on ne connaissait pas cet homme et puis on n’avait jamais sérieusement pensé à passer du fantasme à la réalité.

Étais-je en plein rêve ? Allait-elle vraiment le faire elle qui me disait jusqu’alors ne pas être prête à franchir le pas ? M’aimerait-elle toujours comme avant ? Est-ce que ça ne va pas pas casser quelque chose entre nous ? Va-t’elle finalement se rebiffer ?

Je n’étais plus sûr de rien et à la fois, comme dans un état second, j’étais incapable d’arrêter ce qui allait se passer ou non. Ce n’était plus de mon ressort et je m’en remettait au bon vouloir d’Hélène …

Fin de la première partie