Les vespasiennes d'Anvers.

Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Les vespasiennes d'Anvers.
Gilles a encore frappé. Nous avons réussi à le convaincre de venir déjeuner avec nous et cette fois il a accepté... en râlant.
Mais quel plaisir d'avoir cet homme mature à notre table parlant de sa jeunesse, de sa découverte de l'homosexualité, de la difficulté de trouver des partenaires... C'étaient souvent des personnes beaucoup plus âgées qu'il rencontrait. Mais il n'a pas l'air de regretter tout ce qu'il a fait.
Je ne vous parlerais pas de ses baises, de ses partouses, certes exceptionnelles mais que je trouve sans intérêt si ce n'est que parler de cul.
Ce que j'aime avec Gilles, c'est qu'il a compris que je recherchais quelque chose de particulier, un lieu, un personnage.
A la fin du repas, il avait amené un bouteille de Vouvray en disant, c'est pour faire passer l'histoire que je vais vous raconter les jeunes!
-vous savez ce que c'est qu'une vespasienne ? a t-il commencé.
-oui mais je n'en ai jamais fréquenté à Paris... maintenant ce sont des sanisettes avec musique dis je en riant.
-là on n'avait pas la musique mais l'odeur en prime.
Mon chéri écoutait en fronçant les sourcils.
-pour te dire une vespasienne c'était un endroit en tôle, circulaire avec des pissotières tout le tour. L'eau coulait en permanence et les personnes étaient cachées on ne voyait juste que les pieds et le bas des jambes.
-ce n'était pas très discret!
-non dans la journée ça servait principalement à sa fonction et des fois des rencontres car les mecs ne se gênaient pas pour voir ta queue ou montrer la leur. Et souvent ils disparaissaient dans la nature, dans un parking ou une cave pour tirer un coup!
-donc si je comprends bien c'est le soir que cela devenait intéressant dit mon chéri.
-oui hé hé, figurez vous que je fréquentais souvent la vespasienne d'Anvers, tu sortais du métro sur le terre-plein et elle était à 20-30 mètres sous les arbres. Pour le confort il y avait même des bancs à proximité qui permettaient de voir qui entrait et sortait. Et quand un beau mec se présentait, c'était comme une nuée de mouches qui entraient à sa suite.
Quand tu observais, tu ne voyais que les jambes placées normalement devant les pissotières et tu savais quand les mecs se touchaient car les jambes se rapprochaient. Certains donnaient leur cul également dans ses pissotières et de l'extérieur ça se voyait alors la nuée revenait pour mater et se branler. Un vrai bordel à ciel ouvert.
Alors vous pensez bien que j'ai voulu en profiter.
J'étais jeune et vicieux et tout ce que je cherchais c'était une bonne queue à sucer ou à me prendre dans le cul et de fréquenter cette vespasienne j'en ai eu de la queue. Mais je n'aimais pas trop me faire baiser dedans, j'avais vu des descentes de flics et ça me faisait flipper quand même.
J'ai fait la connaissance d'un mec de mon âge, on s'est branlé, sucé et on aurait bien aimé aller plus loin, mais c'était l'époque où je ne ramenais personne chez moi et lui ne pouvait pas recevoir.
Il m'a proposé d'aller ailleurs, qu'il connaissait un coin pas loin où ça partousait même.
On a pris la rue de Steinkerque qui remonte vers le Sacré Cœur et tout en bas, en entrant dans le jardin il m'a emmené vers la gauche, il y avait une petite vespasienne de deux places... déjà occupée. Juste à côté, derrière une palissade qu'il a ouvert, on est entré dans une cour.
-c'est le coin des jardiniers du Sacré Cœur.
Il faisait nuit et l'on voyait des ombres un peu partout. Quand mes yeux se sont habitués, j'ai pu voir que ça baisait dans tous les coins, par deux, trois ou plus.
On a fait notre affaire dans un coin, bah c'était pas un bon baiseur, tout ce qu'il voulait c'était me la mettre et il est parti me laissant la queue raide.
Mais je n'ai pas été déçu par la suite...
Je me suis retrouvé cerné par trois mecs, la queue à l'air et l'un m'a dit :
-t'es venu faire ta salope parce qu'on est chaud tous les trois.
Je me souviens il y avait un arabe dans les trois, remarque que dans le coin c'était souvent le cas et c'était le mieux monté, alors je me suis occupé de lui.
J'avais la langue agile et la gorge profonde et fallait l'entendre gémir en disant :
-putain mais quelle salope!
Tout pour me faire plaisir.
J'avais trois queues à ma disposition, il m'aurait fallu deux bouches et l'un des mecs m'a fait relever le cul et j'ai été surpris qu'il vienne me le bouffer.
-putain cette salope s'est déjà fait remplir, quel trou!
J'ai été embroché rapidement et baisé en cadence, je tenais la queue de l'autre mec que je branlais. Quand l'arabe a joui le mec l'a remplacé pour m'inonder la façade et me gicler au fond de la gorge, pendant que l'autre derrière m'arrosait les entrailles.
Il était à peine sorti que l'arabe à grosse queue est venu m'embrocher.
Ca c'était du mâle les jeunes! J'ai couiné comme jamais, mais étouffé par une queue.
Il a pris son temps l'arabe et je peux vous dire que je m'en souviens encore de son zob et de la puissance qu'il avait quand il a juté.
Il m'a redressé contre lui, son zob toujours en moi :
-récompensez le les mecs il le mérite cette salope!
J'avais deux mecs à genoux pour me faire jouir et avaler tout mon jus.
Ils sont partis en me disant qu'ils étaient là souvent...
Tu parles que je suis revenu. Quand il n'y avait personne d'intéressant sur le boulevard, je montais dans le jardin et j'en ai vu défiler de la queue mes petits loulous!
J'ai même revu l'arabe, en fait c'est lui qui m'a reconnu et m'a entraîné à l'écart et j'ai pu voir qu'en fait c'était un type dans la quarantaine, au regard de macho, mais il aimait aussi les caresses et les bisous. J'ai cru que j'allais tomber amoureux de ce mec quand il m'a embrassé la première fois, me serrant contre lui, un doigt fouillant mon cul.
-j'veux te voir plus souvent mec m'a t-il dit, t'habites où ?
-j'peux pas recevoir j'ai dit car en fait j'avais un peu la trouille.
-mais tu peux venir chez moi ?
-t'habites où ?
-là derrière... mais avant j'veux te niquer ici, j'ai bien aimé l'autre soir! Tourne toi ma belle salope.
J'ai obéi, il a appuyé sur mon dos, m'a claqué les fesses et j'ai senti son gros gland passer dans la raie, trouver l'entrée, ses mains m'ont saisi les hanches et il l'a fait entrer d'un seul coup, me faisant gueuler!
-ta gueule les autres vont radiner!
Et il m'a baisé comme un chef et rempli complètement. Il m'a redressé contre lui, je sentais son gros zob vivre en moi, nageant dans son jus, m'a tourné la tête :
-ça embrasse une salope ? m'a t-il demandé en souriant avant de m'offrir sa langue et de prendre ma queue raide qu'il branle jusqu'à temps que je jute sur les pelles des jardiniers.
Je serrais sa queue comme un fou.
-tu veux une autre tournée hein ma salope ?
-oui j'adore ton zob !
-alors on va chez moi et j'te nique toute la nuit.
J'ai toujours aimé faire ma salope avec les beaux mecs dirigeants et je peux vous dire que lui savait commander, sans rien dire.
Quand je l'ai vu nu complètement, je n'en suis pas revenu du corps qu'il avait ce mec, légèrement poilu et on voyait bien tous les muscles du torse, la poitrine bien dessinée, les tétons bien raides, du poils sortait des dessous de bras, et sa queue, son énorme dard pointait au milieu d'une toison touffue, une paire de grosses couilles pendouillaient, des cuisses, j'en restais sur le cul.
Tout était pour moi et je l'ai dégusté ce mâle arabe, des pieds à la tête, j'ai léché chaque recoin, je lui ai bouffé le cul, son cul tellement poilu qu'il aurait fallu un GPS pour trouver le petit trou. Il m'a étouffé avec sa queue, a joui au fond de ma gorge, pour jouir ensuite dans mon cul, au plus profond qu'il pouvait.
Mais ce que j'ai apprécié en plus, c'est quand on s'est reposé la première fois, qu'il m'a pris dans ses bras pour me faire des compliments... j'ai trouvé qu'il était sincère! Il m'appelait "sa petite salope adorable".
On s'est revu plusieurs fois avec toujours la même intensité. Il bandait dur tout le temps et j'arrivais à le doigter, à l'entendre gémir, pousser des petits cris.
Un jour j'ai voulu le baiser, mais il n'a pas voulu, je n'ai jamais vu des yeux si durs :
-déjà que tu mets ton doigt, ça suffit! T'es qu'une salope ne l'oublie pas!
-C'est pas gentil ! dit mon chéri.
-ah ah t'en fais pas, il ne m'a pas vexé car en plus il m'a baisé comme jamais et quand je le revoyais je faisais exprès de le doigter en lui disant qu'un jour j'y mettrais ma queue.
Il ne riait pas en me disant "jamais", mais il me prouvait que lui aimait mon cul et ma bouche!
Et il a disparu du jour au lendemain et comme je vous disais, on n'avait pas de portables à l'époque... alors je ne l'ai jamais revu!
-t'en as connu d'autres des vespasiennes ?
-oui il y en avait une autre au métro Barbès, le long du boulevard, mais pas pratique. Sinon je n'en fréquentais pas d'autres, mais il parait qu'il y avait d'autres endroits!
Tu sais dans ces vespasiennes, il y avait aussi un autre genre de mecs qui venaient, je n'ai jamais su si c'était vrai, je n'en ai jamais vu faire, des mecs que l'on appelait "les soupeurs".
-c'est quoi ça ? demande mon chéri.
J'avais remarqué plusieurs fois que des morceaux de pain traînaient dans la pisse... la première fois que j'avais vu ça, j'ai pensé que le mec avait fait tomber son pain, mais en fait j'en voyais souvent jusqu'au jour où j'ai demandé pourquoi et l'on m'a expliqué, mais ça comme je le disais je ne l'ai jamais vu, que des mecs passaient pour manger le pain qui avait trempé dans l'urine.
-tu parles d'un dessert que tu nous fais Gilles, dis je en grimaçant et riant en voyant la tête que fait mon chéri.
-que veux tu, je te dis ce que l'on m'a raconté... j'ai toujours eu des doutes, mais si c'est une légende elle était bien ancrée car tous ceux à qui j'ai demandé m'ont donné la même réponse.
-ouais dit mon chéri eh bien moi je préfère le pain perdu que fait ta mère!
On éclate tous de rire.
Allez bonne après-midi les jeunes, moi je vais faire une petite sieste...
Sitôt Gilles parti, mon chéri me demande ce que j'en pense de cette histoire de pain trempé.
-mais j'en sais rien, c'est vrai que j'avais entendu dire ça, mais d'abord j'ai jamais vu de vespasienne à Paris et dans les sanisettes l'eau coule, donc ça ne peut pas rester, et je ne pense pas avoir vu du pain tremper dans une pissotière dis je en riant.
-on fait une sieste ?
-t'es fatigué ?
-non, mais il m'a un peu excité Gilles...
On rigole en allant dans la chambre.
Mais quel plaisir d'avoir cet homme mature à notre table parlant de sa jeunesse, de sa découverte de l'homosexualité, de la difficulté de trouver des partenaires... C'étaient souvent des personnes beaucoup plus âgées qu'il rencontrait. Mais il n'a pas l'air de regretter tout ce qu'il a fait.
Je ne vous parlerais pas de ses baises, de ses partouses, certes exceptionnelles mais que je trouve sans intérêt si ce n'est que parler de cul.
Ce que j'aime avec Gilles, c'est qu'il a compris que je recherchais quelque chose de particulier, un lieu, un personnage.
A la fin du repas, il avait amené un bouteille de Vouvray en disant, c'est pour faire passer l'histoire que je vais vous raconter les jeunes!
-vous savez ce que c'est qu'une vespasienne ? a t-il commencé.
-oui mais je n'en ai jamais fréquenté à Paris... maintenant ce sont des sanisettes avec musique dis je en riant.
-là on n'avait pas la musique mais l'odeur en prime.
Mon chéri écoutait en fronçant les sourcils.
-pour te dire une vespasienne c'était un endroit en tôle, circulaire avec des pissotières tout le tour. L'eau coulait en permanence et les personnes étaient cachées on ne voyait juste que les pieds et le bas des jambes.
-ce n'était pas très discret!
-non dans la journée ça servait principalement à sa fonction et des fois des rencontres car les mecs ne se gênaient pas pour voir ta queue ou montrer la leur. Et souvent ils disparaissaient dans la nature, dans un parking ou une cave pour tirer un coup!
-donc si je comprends bien c'est le soir que cela devenait intéressant dit mon chéri.
-oui hé hé, figurez vous que je fréquentais souvent la vespasienne d'Anvers, tu sortais du métro sur le terre-plein et elle était à 20-30 mètres sous les arbres. Pour le confort il y avait même des bancs à proximité qui permettaient de voir qui entrait et sortait. Et quand un beau mec se présentait, c'était comme une nuée de mouches qui entraient à sa suite.
Quand tu observais, tu ne voyais que les jambes placées normalement devant les pissotières et tu savais quand les mecs se touchaient car les jambes se rapprochaient. Certains donnaient leur cul également dans ses pissotières et de l'extérieur ça se voyait alors la nuée revenait pour mater et se branler. Un vrai bordel à ciel ouvert.
Alors vous pensez bien que j'ai voulu en profiter.
J'étais jeune et vicieux et tout ce que je cherchais c'était une bonne queue à sucer ou à me prendre dans le cul et de fréquenter cette vespasienne j'en ai eu de la queue. Mais je n'aimais pas trop me faire baiser dedans, j'avais vu des descentes de flics et ça me faisait flipper quand même.
J'ai fait la connaissance d'un mec de mon âge, on s'est branlé, sucé et on aurait bien aimé aller plus loin, mais c'était l'époque où je ne ramenais personne chez moi et lui ne pouvait pas recevoir.
Il m'a proposé d'aller ailleurs, qu'il connaissait un coin pas loin où ça partousait même.
On a pris la rue de Steinkerque qui remonte vers le Sacré Cœur et tout en bas, en entrant dans le jardin il m'a emmené vers la gauche, il y avait une petite vespasienne de deux places... déjà occupée. Juste à côté, derrière une palissade qu'il a ouvert, on est entré dans une cour.
-c'est le coin des jardiniers du Sacré Cœur.
Il faisait nuit et l'on voyait des ombres un peu partout. Quand mes yeux se sont habitués, j'ai pu voir que ça baisait dans tous les coins, par deux, trois ou plus.
On a fait notre affaire dans un coin, bah c'était pas un bon baiseur, tout ce qu'il voulait c'était me la mettre et il est parti me laissant la queue raide.
Mais je n'ai pas été déçu par la suite...
Je me suis retrouvé cerné par trois mecs, la queue à l'air et l'un m'a dit :
-t'es venu faire ta salope parce qu'on est chaud tous les trois.
Je me souviens il y avait un arabe dans les trois, remarque que dans le coin c'était souvent le cas et c'était le mieux monté, alors je me suis occupé de lui.
J'avais la langue agile et la gorge profonde et fallait l'entendre gémir en disant :
-putain mais quelle salope!
Tout pour me faire plaisir.
J'avais trois queues à ma disposition, il m'aurait fallu deux bouches et l'un des mecs m'a fait relever le cul et j'ai été surpris qu'il vienne me le bouffer.
-putain cette salope s'est déjà fait remplir, quel trou!
J'ai été embroché rapidement et baisé en cadence, je tenais la queue de l'autre mec que je branlais. Quand l'arabe a joui le mec l'a remplacé pour m'inonder la façade et me gicler au fond de la gorge, pendant que l'autre derrière m'arrosait les entrailles.
Il était à peine sorti que l'arabe à grosse queue est venu m'embrocher.
Ca c'était du mâle les jeunes! J'ai couiné comme jamais, mais étouffé par une queue.
Il a pris son temps l'arabe et je peux vous dire que je m'en souviens encore de son zob et de la puissance qu'il avait quand il a juté.
Il m'a redressé contre lui, son zob toujours en moi :
-récompensez le les mecs il le mérite cette salope!
J'avais deux mecs à genoux pour me faire jouir et avaler tout mon jus.
Ils sont partis en me disant qu'ils étaient là souvent...
Tu parles que je suis revenu. Quand il n'y avait personne d'intéressant sur le boulevard, je montais dans le jardin et j'en ai vu défiler de la queue mes petits loulous!
J'ai même revu l'arabe, en fait c'est lui qui m'a reconnu et m'a entraîné à l'écart et j'ai pu voir qu'en fait c'était un type dans la quarantaine, au regard de macho, mais il aimait aussi les caresses et les bisous. J'ai cru que j'allais tomber amoureux de ce mec quand il m'a embrassé la première fois, me serrant contre lui, un doigt fouillant mon cul.
-j'veux te voir plus souvent mec m'a t-il dit, t'habites où ?
-j'peux pas recevoir j'ai dit car en fait j'avais un peu la trouille.
-mais tu peux venir chez moi ?
-t'habites où ?
-là derrière... mais avant j'veux te niquer ici, j'ai bien aimé l'autre soir! Tourne toi ma belle salope.
J'ai obéi, il a appuyé sur mon dos, m'a claqué les fesses et j'ai senti son gros gland passer dans la raie, trouver l'entrée, ses mains m'ont saisi les hanches et il l'a fait entrer d'un seul coup, me faisant gueuler!
-ta gueule les autres vont radiner!
Et il m'a baisé comme un chef et rempli complètement. Il m'a redressé contre lui, je sentais son gros zob vivre en moi, nageant dans son jus, m'a tourné la tête :
-ça embrasse une salope ? m'a t-il demandé en souriant avant de m'offrir sa langue et de prendre ma queue raide qu'il branle jusqu'à temps que je jute sur les pelles des jardiniers.
Je serrais sa queue comme un fou.
-tu veux une autre tournée hein ma salope ?
-oui j'adore ton zob !
-alors on va chez moi et j'te nique toute la nuit.
J'ai toujours aimé faire ma salope avec les beaux mecs dirigeants et je peux vous dire que lui savait commander, sans rien dire.
Quand je l'ai vu nu complètement, je n'en suis pas revenu du corps qu'il avait ce mec, légèrement poilu et on voyait bien tous les muscles du torse, la poitrine bien dessinée, les tétons bien raides, du poils sortait des dessous de bras, et sa queue, son énorme dard pointait au milieu d'une toison touffue, une paire de grosses couilles pendouillaient, des cuisses, j'en restais sur le cul.
Tout était pour moi et je l'ai dégusté ce mâle arabe, des pieds à la tête, j'ai léché chaque recoin, je lui ai bouffé le cul, son cul tellement poilu qu'il aurait fallu un GPS pour trouver le petit trou. Il m'a étouffé avec sa queue, a joui au fond de ma gorge, pour jouir ensuite dans mon cul, au plus profond qu'il pouvait.
Mais ce que j'ai apprécié en plus, c'est quand on s'est reposé la première fois, qu'il m'a pris dans ses bras pour me faire des compliments... j'ai trouvé qu'il était sincère! Il m'appelait "sa petite salope adorable".
On s'est revu plusieurs fois avec toujours la même intensité. Il bandait dur tout le temps et j'arrivais à le doigter, à l'entendre gémir, pousser des petits cris.
Un jour j'ai voulu le baiser, mais il n'a pas voulu, je n'ai jamais vu des yeux si durs :
-déjà que tu mets ton doigt, ça suffit! T'es qu'une salope ne l'oublie pas!
-C'est pas gentil ! dit mon chéri.
-ah ah t'en fais pas, il ne m'a pas vexé car en plus il m'a baisé comme jamais et quand je le revoyais je faisais exprès de le doigter en lui disant qu'un jour j'y mettrais ma queue.
Il ne riait pas en me disant "jamais", mais il me prouvait que lui aimait mon cul et ma bouche!
Et il a disparu du jour au lendemain et comme je vous disais, on n'avait pas de portables à l'époque... alors je ne l'ai jamais revu!
-t'en as connu d'autres des vespasiennes ?
-oui il y en avait une autre au métro Barbès, le long du boulevard, mais pas pratique. Sinon je n'en fréquentais pas d'autres, mais il parait qu'il y avait d'autres endroits!
Tu sais dans ces vespasiennes, il y avait aussi un autre genre de mecs qui venaient, je n'ai jamais su si c'était vrai, je n'en ai jamais vu faire, des mecs que l'on appelait "les soupeurs".
-c'est quoi ça ? demande mon chéri.
J'avais remarqué plusieurs fois que des morceaux de pain traînaient dans la pisse... la première fois que j'avais vu ça, j'ai pensé que le mec avait fait tomber son pain, mais en fait j'en voyais souvent jusqu'au jour où j'ai demandé pourquoi et l'on m'a expliqué, mais ça comme je le disais je ne l'ai jamais vu, que des mecs passaient pour manger le pain qui avait trempé dans l'urine.
-tu parles d'un dessert que tu nous fais Gilles, dis je en grimaçant et riant en voyant la tête que fait mon chéri.
-que veux tu, je te dis ce que l'on m'a raconté... j'ai toujours eu des doutes, mais si c'est une légende elle était bien ancrée car tous ceux à qui j'ai demandé m'ont donné la même réponse.
-ouais dit mon chéri eh bien moi je préfère le pain perdu que fait ta mère!
On éclate tous de rire.
Allez bonne après-midi les jeunes, moi je vais faire une petite sieste...
Sitôt Gilles parti, mon chéri me demande ce que j'en pense de cette histoire de pain trempé.
-mais j'en sais rien, c'est vrai que j'avais entendu dire ça, mais d'abord j'ai jamais vu de vespasienne à Paris et dans les sanisettes l'eau coule, donc ça ne peut pas rester, et je ne pense pas avoir vu du pain tremper dans une pissotière dis je en riant.
-on fait une sieste ?
-t'es fatigué ?
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