Lettre à ma salope 974
Récit érotique écrit par Cple974 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lettre à ma salope 974
Salut,
Aujourd'hui, après t'avoir parlé, je me suis dit que ça devenait vraiment urgent qu'on puisse baiser ensemble. J'ai du faire des efforts conséquents pour t'écouter car je n'arrivais pas à détacher mon regard de l'ouverture de ta chemise. Chaque centimètre de peau de ta poitrine que je pouvais apercevoir m'exciter à mort. J'avais qu'une envie : passer de l'autre coté de ton bureau, glisser ma main à l'intérieur de ta chemise, et caresser tes seins... A un moment, j'ai senti qu'il fallait que je parte pour ne pas déraper.
Au fur et à mesure que le temps passe, je me rends compte que je deviens de plus en plus vicieux quand je pense à toi. Et comme je pense à toi de plus en plus souvent, si ça continue, je vais finir par vouloir te mettre sur un trottoir pour te prostituer ! Car j'aurais bien voulu te dire que je m'imagine des trucs romantiques ou encore que je me remémore de bons souvenirs qu'on a vécu en formation par exemple, mais la vérité est complètement différente. En fait, je pense qu'à des trucs hyper salaces, voir des fois carrément extrêmes. Pendant longtemps, j'ai bloqué sur le fait de pouvoir te pisser dessus. Les sensations que j'ai eu lorsque je l'ai fait à Bellepierre pour la 1ère fois, je me dis que je ne pourrais plus jamais les ressentir. Il y avait un mélange explosif entre l'excitation d'enfreindre un interdit, l'exploration d'un plaisir inédit, le sentiment de puissance en humiliant l'autre, la surprise d'aimer ça... Sans compter la vision de ce jet d'urine qui atterrit sur ces deux gros seins et le son de tes gémissements... Rien que de l'évoquer, j'en ai des frissons !
Mais en ce moment, tu l'as remarqué, je suis un peu passé à autre chose. J'aime t'imaginer entrain de te faire prendre devant moi. Et une fois que tu te serais bien fait baiser : ce serait à mon tour de prendre le relais. Comme tu auras déjà bien pris du plaisir par la chatte, j'aurais tout le loisir de te prendre ton gros cul : La dernière fois au Saint Denis, ça avait été tellement bon de t'enculer !
Le plus marrant dans tout ça, c'est que jusqu'à présent les expériences à plusieurs ne m'excitaient pas vraiment ; la sodomie, j'y avais rarement pris du plaisir à la pratiquer ; et les histoires d'urine, pour moi, c'était carrément de la science fiction ! Et toutes ces choses, j'ai envie de te les faire... de faire de toi ma chose, mon objet sexuel. Comme si de prendre du plaisir pour quelque chose qui me paraissait "inconcevable" aurait provoqué un espèce de déclic chez moi. Déjà qu'avant j'étais perçu comme un gros vicieux : tu es carrément entrain de créer un monstre. Pourras tu l'assumer jusqu'au bout ?
Des fois, je me dis qu'heureusement, on est amant et non conjoint ; parce qu'avec tout ce qu'il me passe par la tête, ça serait surement parti en couille ! Mais c'est surtout lié au fait que l'attente entre deux rapports est extrême long. Et à partir d'un moment, les souvenirs ne suffisent plus ; d'autant plus qu'ils deviennent de plus en plus flous. C'est pourquoi, je te disais au début de mon mail : il faut vraiment que l'on baise.
Aujourd'hui, après t'avoir parlé, je me suis dit que ça devenait vraiment urgent qu'on puisse baiser ensemble. J'ai du faire des efforts conséquents pour t'écouter car je n'arrivais pas à détacher mon regard de l'ouverture de ta chemise. Chaque centimètre de peau de ta poitrine que je pouvais apercevoir m'exciter à mort. J'avais qu'une envie : passer de l'autre coté de ton bureau, glisser ma main à l'intérieur de ta chemise, et caresser tes seins... A un moment, j'ai senti qu'il fallait que je parte pour ne pas déraper.
Au fur et à mesure que le temps passe, je me rends compte que je deviens de plus en plus vicieux quand je pense à toi. Et comme je pense à toi de plus en plus souvent, si ça continue, je vais finir par vouloir te mettre sur un trottoir pour te prostituer ! Car j'aurais bien voulu te dire que je m'imagine des trucs romantiques ou encore que je me remémore de bons souvenirs qu'on a vécu en formation par exemple, mais la vérité est complètement différente. En fait, je pense qu'à des trucs hyper salaces, voir des fois carrément extrêmes. Pendant longtemps, j'ai bloqué sur le fait de pouvoir te pisser dessus. Les sensations que j'ai eu lorsque je l'ai fait à Bellepierre pour la 1ère fois, je me dis que je ne pourrais plus jamais les ressentir. Il y avait un mélange explosif entre l'excitation d'enfreindre un interdit, l'exploration d'un plaisir inédit, le sentiment de puissance en humiliant l'autre, la surprise d'aimer ça... Sans compter la vision de ce jet d'urine qui atterrit sur ces deux gros seins et le son de tes gémissements... Rien que de l'évoquer, j'en ai des frissons !
Mais en ce moment, tu l'as remarqué, je suis un peu passé à autre chose. J'aime t'imaginer entrain de te faire prendre devant moi. Et une fois que tu te serais bien fait baiser : ce serait à mon tour de prendre le relais. Comme tu auras déjà bien pris du plaisir par la chatte, j'aurais tout le loisir de te prendre ton gros cul : La dernière fois au Saint Denis, ça avait été tellement bon de t'enculer !
Le plus marrant dans tout ça, c'est que jusqu'à présent les expériences à plusieurs ne m'excitaient pas vraiment ; la sodomie, j'y avais rarement pris du plaisir à la pratiquer ; et les histoires d'urine, pour moi, c'était carrément de la science fiction ! Et toutes ces choses, j'ai envie de te les faire... de faire de toi ma chose, mon objet sexuel. Comme si de prendre du plaisir pour quelque chose qui me paraissait "inconcevable" aurait provoqué un espèce de déclic chez moi. Déjà qu'avant j'étais perçu comme un gros vicieux : tu es carrément entrain de créer un monstre. Pourras tu l'assumer jusqu'au bout ?
Des fois, je me dis qu'heureusement, on est amant et non conjoint ; parce qu'avec tout ce qu'il me passe par la tête, ça serait surement parti en couille ! Mais c'est surtout lié au fait que l'attente entre deux rapports est extrême long. Et à partir d'un moment, les souvenirs ne suffisent plus ; d'autant plus qu'ils deviennent de plus en plus flous. C'est pourquoi, je te disais au début de mon mail : il faut vraiment que l'on baise.
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