Lettre à une absente
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lettre à une absente
A quoi peux-tu occuper ces instants si loin de moi ? Que fais-tu de tes soirées
solitaires dans les longues et froides nuits de Montréal ? Je t’imagine dans cette
petite maison de la rue Sainte Catherine dont la façade voisine avec un restaurant
incendié l’an dernier. De ta fenêtre, tu vois ses tables mises pour le repas en partie
recouvertes des gravats tombés des étages détruits. Elles ont été ainsi surprises par
le sinistre, heureusement dépourvues de convives. Au bout du trottoir, l’imposant
hôtel Sherbrooke éclaire de ses vingt lumineux étages un ciel de charbon. Que fais-tu,
mon aimée dans cet environnement ou la laideur télescope l’élégance. J’espère que tu
as été diner dans ce restaurant français si proche où nous nous sommes connus. Et
maintenant peut-être penses-tu à moi ? Peut-être ais-je envahi ton esprit et ton corps
au point que, les sens en éveil, tu te précipites dans le froid vers ton havre
douillet.
Je t’en prie, mon aimée, laisse monter en toi ces émotions. Laisse toi gagner par
cette douce chaleur qui t’incite à te dévêtir. Je vois ton manteau tomber au sol, tes
bottes jetées au loin, ton pull se soulever et passer par-dessus ta tête, ta jupe
chuter légèrement vers le sol. Ta sombre combinaison suit le même chemin et dévoile en
partie ce buste que je connais superbe. Attends que je contemple ta peau laiteuse si
bien mise en valeur par ce soutien-gorge bleu nuit. Tu es belle, mon amour ! J’ai
toujours aimé ton élégance quand tu roules tes collants vers tes jambes et tes pieds.
Va doucement que je savoure la courbe de tes reins sous le tissus marine de ta
culotte et tes jambes longues et musclées, déjà nues…
Par la fenêtre, tu vois les lourds flocons tomber sur le sol immaculé. Un silence
épais s’instaure alors que tu t’installes devant la cheminée lumineuse ou crépite un
feu d’enfer. Tu te couches sur le dos, les jambes pliées au point que tes talons
voisinent tes fesses. J’aime le reflet des flammes sur ta peau dénudée. Je te prends
la main pour que tu caresses tes seins fièrement dressés qui débordent de leurs
balconnets. Ôterais tu ce tissus mon aimée que je sente mieux ton téton sous ta main ?
Bravo, il vient de tomber si élégamment ! Quel plaisir de sentir le galbe de ton sein.
Veux-tu doubler mon plaisir avec ton autre main ? Maintenant, je les sens dans tes
paumes et j’accompagne ta caresse. Comment fais-tu pour qu’ils soient si élégants et
fermes ? Viens, caressons aussi ton visage si fin, tes épaules si droites et déliées,
ton ventre si plat.
Oui, bien sûr, tu peux glisser nos doigts dans ta culotte et caresser ce sexe imberbe
que j’aime tant. Je sens ton clitoris sous tes doigts, puis l’écartement de tes
grandes lèvres. La culotte me gêne. On la baisse ? Parfait ! Bon voilà qu’elle
franchit tes pieds et que tes jambes s’écartent, s’écartent… Magnifique ! Je suis
rempli d’émotion. Je vois tes petites lèvres ou tes doigts s’engagent à deux puis
trois. Je ne te suivrai pas mais je te sens frémir, vibrer. Ton bassin se soulève ! Il
te reste une main pour entrer dans ton cul. Élégante contorsion quand ton doigt y
pénètre. Je te sens t’agiter et ton plaisir monter. Oui, voilà, laisse toi aller et
jouis comme il te plait ! Crie à l’envie ! Tout mon corps t’accompagne porté par mon
esprit quand je te vois ainsi, repue et disloquée devant la cheminée.
Belle nuit, mon amour !
solitaires dans les longues et froides nuits de Montréal ? Je t’imagine dans cette
petite maison de la rue Sainte Catherine dont la façade voisine avec un restaurant
incendié l’an dernier. De ta fenêtre, tu vois ses tables mises pour le repas en partie
recouvertes des gravats tombés des étages détruits. Elles ont été ainsi surprises par
le sinistre, heureusement dépourvues de convives. Au bout du trottoir, l’imposant
hôtel Sherbrooke éclaire de ses vingt lumineux étages un ciel de charbon. Que fais-tu,
mon aimée dans cet environnement ou la laideur télescope l’élégance. J’espère que tu
as été diner dans ce restaurant français si proche où nous nous sommes connus. Et
maintenant peut-être penses-tu à moi ? Peut-être ais-je envahi ton esprit et ton corps
au point que, les sens en éveil, tu te précipites dans le froid vers ton havre
douillet.
Je t’en prie, mon aimée, laisse monter en toi ces émotions. Laisse toi gagner par
cette douce chaleur qui t’incite à te dévêtir. Je vois ton manteau tomber au sol, tes
bottes jetées au loin, ton pull se soulever et passer par-dessus ta tête, ta jupe
chuter légèrement vers le sol. Ta sombre combinaison suit le même chemin et dévoile en
partie ce buste que je connais superbe. Attends que je contemple ta peau laiteuse si
bien mise en valeur par ce soutien-gorge bleu nuit. Tu es belle, mon amour ! J’ai
toujours aimé ton élégance quand tu roules tes collants vers tes jambes et tes pieds.
Va doucement que je savoure la courbe de tes reins sous le tissus marine de ta
culotte et tes jambes longues et musclées, déjà nues…
Par la fenêtre, tu vois les lourds flocons tomber sur le sol immaculé. Un silence
épais s’instaure alors que tu t’installes devant la cheminée lumineuse ou crépite un
feu d’enfer. Tu te couches sur le dos, les jambes pliées au point que tes talons
voisinent tes fesses. J’aime le reflet des flammes sur ta peau dénudée. Je te prends
la main pour que tu caresses tes seins fièrement dressés qui débordent de leurs
balconnets. Ôterais tu ce tissus mon aimée que je sente mieux ton téton sous ta main ?
Bravo, il vient de tomber si élégamment ! Quel plaisir de sentir le galbe de ton sein.
Veux-tu doubler mon plaisir avec ton autre main ? Maintenant, je les sens dans tes
paumes et j’accompagne ta caresse. Comment fais-tu pour qu’ils soient si élégants et
fermes ? Viens, caressons aussi ton visage si fin, tes épaules si droites et déliées,
ton ventre si plat.
Oui, bien sûr, tu peux glisser nos doigts dans ta culotte et caresser ce sexe imberbe
que j’aime tant. Je sens ton clitoris sous tes doigts, puis l’écartement de tes
grandes lèvres. La culotte me gêne. On la baisse ? Parfait ! Bon voilà qu’elle
franchit tes pieds et que tes jambes s’écartent, s’écartent… Magnifique ! Je suis
rempli d’émotion. Je vois tes petites lèvres ou tes doigts s’engagent à deux puis
trois. Je ne te suivrai pas mais je te sens frémir, vibrer. Ton bassin se soulève ! Il
te reste une main pour entrer dans ton cul. Élégante contorsion quand ton doigt y
pénètre. Je te sens t’agiter et ton plaisir monter. Oui, voilà, laisse toi aller et
jouis comme il te plait ! Crie à l’envie ! Tout mon corps t’accompagne porté par mon
esprit quand je te vois ainsi, repue et disloquée devant la cheminée.
Belle nuit, mon amour !
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