Lieutenant de Luzelle (3)

- Par l'auteur HDS jacques r -
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Récit libertin : Lieutenant de Luzelle (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Lieutenant de Luzelle (3)
Au cours de la semaine suivante, Ernest attendait anxieusement chaque nuit que le lieutenant de Luzelle rejoigne sa chambre. Il plongeait alors la sienne dans l’obscurité pour sa séance d'observation. Une fois les lumières éteintes dans celle de la belle, Ernest allait visionner l’enregistrement et se branler sur l’excitante séance du motel. Il voulait tant maintenant entrer dans sa chambre et lui enfoncer sa bite, la faire crier mais avec tous les soldats autour dans leurs propres chambrées, il savait que ça se terminerait très mal pour lui. Son projet de chantage tombait à l’eau.

Il ne pouvait cependant plus attendre pour la baiser à nouveau. Seulement cette fois, il voulait voir la surprise puis la jouissance sur son visage, tandis qu’il l’admirait enlevant son uniforme soigneusement repassé et se mettre nue pour la nuit. Il pensa à son superbe cul blanc, qu’il adorerait voir se tortiller quand il y pousserait sa longue bite noire. De nombreuses fois, il avait marmonné contre un officier dans sa barbe « vas te faire enculer ». Avec le charmant lieutenant de Luzelle, il prendrait grand plaisir à s’en occuper personnellement.

Le régiment partant en manœuvre pour trois semaines, un week-end de permissions fut accordé à tous.

Ernest demanda poliment au lieutenant de Luzelle ce qu’elle prévoyait de faire.
- Eh bien, j'espérais vraiment prendre l’avion pour revoir mon fiancé mais il prépare ses partiels. Donc je vais probablement passer du temps ici et découvrir quelques sites touristiques de la région !

En retour, elle lui demanda tout aussi poliment ce qu'il prévoyait de faire. Ernest répondit :
- En fait, la fille de mes rêves est du style « je sors avec un autre mec » mais je vais la faire mienne avant la fin du week-end !

Camille ria en secouant la tête à la plaisanterie. Elle rirait moins si elle savait qui était la fille de ses rêves.

Le vendredi soir est arrivé et la compagnie tout excitée et impatiente de quitter la caserne pour la première fois depuis longtemps. Ernest regarda le lieutenant se diriger vers leur cantonnement.

Les soldats se précipitaient vers l'entrée pour retrouver leurs familles, leurs amis ou monter dans les bus qui les transportaient à la gare. Une fois voitures et bus partis, la caserne était presque déserte. Ernest retourna vers sa chambre, riant intérieurement en se disant :
- Maintenant, la fille de mes rêves est toute à moi !

Dans l'intimité de sa chambre, Camille était déçue de ne pouvoir voir Louis ce week-end. Elle ferma les yeux, l'imaginant à ses côtés, voulant désespérément sentir ses bras autour d'elle. Ce n'est que dans l'obscurité de la nuit qu’elle laissa ses mains errer sur son corps et toucher ses parties intimes. Maintenant que tout le monde était parti, elle pouvait se laisser aller.

Rapidement, elle déboutonna et enleva son chemisier et sa jupe Terre de France. Elle enleva ses escarpins. Elle n'était plus vêtue que de son soutien-gorge et de sa culotte quand elle s’allongea sur son lit.

Les yeux fermés, Camille se mit à rêver de son beau fiancé, souhaitant que Louis la cajole. Ses mains caressaient lentement son corps, en remontant vers ses seins.
- Oh, Louis ! murmura-t-elle doucement, les pouces caressant ses mamelons raidis sous son soutien-gorge.

Puis elle baissa son soutien-gorge et ses doigts triturèrent ses tétons roses. Elle commença à haleter, à réagir à cette stimulation, imaginant être avec Louis, qui lui glisserait maintenant la main dans sa culotte.

Regardant à travers la lunette de vison nocturne par le trou de sa chambre, Ernest observa la prestation du lieutenant avec amusement.

- Cette petite salope est parfaitement prête pour une bonne baise noire !

Il commença à se déshabiller en observant la belle blonde se tortiller sur sa couche. Il appréciait de la voir repousser sa culotte sur ses hanches fines puis se déhancher pour la faire glisser le long de ses jambes, soulevant l'une puis l'autre pour l’enlever tandis que ses doigts commençaient à fouiller sa grotte humide.

Lorsqu'elle était revenue dans sa chambre, Camille était tellement ravie à l'idée d’être seule qu'elle avait oublié de verrouiller sa porte.

Gémissant doucement, les yeux fermés, les hanches s’activant au rythme de ses doigts coquins, Camille ignora que sa porte s'ouvrait lentement pour laisser entrer son admirateur excité. Elle gémissait et haletait, tout en frottant son clitoris particulièrement sensible :
- Oh, j'en ai besoin tellement, j'ai tellement besoin d'une bonne baise.... ohhh , j'en ai tellement besoin ! Oh, baise-moi, baise-moi !

- Oui, Lieutenant ! A vos ordres, Lieutenant ! claironna Ernest, souriant largement en regardant la beauté surprise se précipiter sous les draps, essayant de se protéger avec son oreiller.

La surprise se lisait sur son visage, alors qu’elle découvrait une bite dressée et palpitante. Ernest perçut rapidement l’étonnement dans ses beaux yeux bleus, mais aussi son regard subjugué par l’énorme pieu qu’il tenait dans sa main.

- Qu ... qu'est -ce que tu fais ici ? Pars, s'il te plaît, pars ! Vous... nous serons renvoyés tous les deux si tu me touches ! balbutia Camille tenant fermement son oreiller contre son corps.

Son attitude habituelle, la maitrise de ses capacités et sa voix autoritaire avaient disparu alors qu'elle gisait sur son lit. Elle fut un instant effrayée comme jamais auparavant en voyant le regard lubrique de l’adjudant-chef. Avec son petit gabarit, elle ne serait certainement pas à la hauteur pour chasser de sa chambre ce grand sous-officier musclé, avec ses plus de 100 kg et ses presque 2 mètres.

- Je t'ai dit que j'allais faire mienne la fille de mes rêves ce week-end ! Tu seras tout à moi une fois que tu auras gouté à cette grosse bite noire, chérie. Bébé, tu étais juste en train d’implorer une bonne baise ! Je suis là pour ça ! Je ne vais sûrement pas partir parce que tu vas me supplier de te baiser !

Ernest poursuivit :
- Bébé, la première chose que je veux que tu fasses c'est de te mettre à genoux et de donner un bon vieux coup à mon koko.
- Jamais ! Je ne ferai jamais une chose aussi sale, espèce de pervers ! Je ne l’accepte pas de mon fiancé ! Pars maintenant ou je serai obligée de rendre compte au colonel ! ordonna Camille, trouvant le courage de se rebeller contre cette intrusion. Et tant pis pour ma carrière !
- Vas-y et fais ton compte-rendu, salope ! Mais alors, il faudra expliquer ces photos ! répondit Ernest en jetant un paquet de clichés sur l’oreiller.

Il regarda ses yeux se poser sur les photos puis s'écarquiller alors qu'elle s'observait dans une position évidemment compromettante. Saisissant la série de photos, Camille haleta et frissonna alors qu’elle les examinait. Le premier cliché la montrait tenant une longue bite noire dans sa main pendant que l'épais gland était niché entre ses lèvres roses. Elle frémit de dégoût car la photo montrait l'éclat brillant de sa bague de fiançailles, preuve de l’amour partagé que lui portait Louis.

- Espèce de salaud... tu... tu m'avais…j’avais trop bu ! balbutia-t-elle.

Les larmes coulaient de ses yeux, sur ses joues, avec le cliché suivant montrant ses jambes blanches et fines sur de larges épaules noires, tout en étant transpercées par un pieu de gros calibre. En regardant la photo, il était évident qu'elle était en train d'être bien baisée.
Puis elle vit l'image de son visage zébré par d'épaisses trainées de ce qui était visiblement du sperme, Ernest ayant largement giclé sur tout son visage.

- Ouais, bébé, je t'ai bien baisé la semaine dernière ! Je t'ai bien baisé avec deux charges chaudes de jus de bébé noir ! Va te plaindre si tu veux ! Tu crois que tes blanc becs voudront encore un jour te toucher ? Vas-y et dis-leur qu'un nègre a goûté à tes charmes ! Je parie que tous les officiers du régiment voudront contempler ces photos.

Ernest la défia :
- Va voir le capitaine, lieutenant ! Dis juste un mot, et je vais même t'éviter les ennuis. Je vais le voir moi-même, directement, pour parler de nous deux ! Au pire, je serai mis à la retraite d’office. J’ai suffisamment d’annuités. Mais toi, tu perds tout !
- Non, non... ils ne peuvent pas me voir comme ça ! Ils ne peuvent pas voir ces photos !

Elle était piégée et elle le savait. Elle savait que si quelqu'un pouvait voir ces photos incriminantes, elle serait expulsée de l'armée pour fraternisation avec un subordonné. Elle ferma les yeux et frissonna à l’idée de la publicité que provoquerait un tel scandale et la honte qui s’abattrait sur sa famille.

- Eh bien, bébé, on fait quoi ? Si tu ne veux pas te plaindre, alors enlève cet oreiller, conseilla Ernest.

Il appréciait le tourment qu'elle subissait et son visage reflétait ce cruel dilemme. Mais il savait qu'il avait déjà gagné, qu'elle ne permettrait jamais à ces des photos d’être publiques.
- OK, la belle, qu'est-ce qu'on fait ? demanda-t-il.
- On garde ça entre nous. Mais juste une fois ! juste une seule fois !

Les yeux clos, Camille poussa lentement l'oreiller protecteur loin de son corps. Elle entendit la très forte inspiration du sous-officier la reluquant alors qu'elle lui dévoilait son corps. Elle frissonna en entendant sa nouvelle demande :
- Sors du lit ! et mets-toi à genoux !

Camille obéit, ne voulant pas affronter la honte d'autres personnes voyant les photos. Désemparée, elle ouvrit les yeux alors qu'elle glissait lentement du lit, à la recherche d'un peu de compassion de la part de l’adjudant-chef qui ricanait.

A genoux, Camille était désormais totalement à la merci de son subordonné qu'elle avait tant aimé mettre mal à l'aise devant les soldats. Maintenant, il était temps pour elle de rembourser alors qu'elle s'agenouillait devant son maître noir. Elle frissonna alors que Ernest s'avançait, la queue à la main.

Un instant plus tard, l’engin palpitait à quelques centimètres de son visage. Elle comprenait et réalisait ce qu’il attendait d’elle.

- Oh, merde, il s'attend à ce que je mette cette sale chose dans ma bouche ! Et j'ai même refusé de faire ça à Louis le mois dernier ! Oh, je pense que Je vais vomir ! déglutit-elle.
- Allez, mademoiselle de Luzelle ! Venez sentir un 'vrai' homme ! commanda Ernest

Il se tenait debout au-dessus de la jeune beauté recroquevillée, jubilant alors qu'il la regardait tendre timidement sa main pour toucher sa bite palpitante. Il inspira profondément alors que ses doigts atteignaient sa queue très sensible, il la vit retirer sa propre main puis se forcer à saisir enfin cette virilité offerte. Il regarda la réaction sur son visage alors que ses doux doigts blancs ne pouvaient pas encercler complètement la circonférence de sa bite ébène.

Voyant la répulsion sur son visage, Ernest sut que la jeune femme n'irait pas spontanément plus loin et il plongea ses doigts dans les doux cheveux blonds de Camille. Il se raidit, car la sensation de ce bel officier, à genoux, la main sur sa queue, risquait de le voir déverser son sperme chaud trop rapidement.

Effectivement, Camille essaya de retirer sa tête face à l’engin qui s’approchait, mais Ernest tenait fermement sa nuque. Il la vit fermer les yeux et la sentit frissonner de répulsion alors que son gland poussait contre ses douces lèvres roses. La tenant fermement et poussant vers l'avant, il força sa bouche à s’ouvrir pour l’introduire.

- S'il vous plaît... je n'ai jamais... s'il vous plait --pl--spl..." bafouilla-telle, impuissante face à l'épaisse bite envahissante, essayant de repousser les cuisses noires loin d’elle.
- Oh, ça sent si fort ! frissonna-t-elle alors que la grosse bite commençait ses allers-retours.

Ernest gémit :
- Ah, bébé... ah, mon doux petit bébé !

Ses mains tenant toujours fermement l'arrière de sa tête, il arrêta de pousser d'avant en arrière pour introduire toute la longueur de son engin dans la gorge serrée de Camille. Il aimait cet effort vain alors qu'elle luttait de toutes ses forces pour déloger l’envahisseur.

Il 'aimait aussi voir ses joues virer au rose vif alors qu'elle commençait à lutter pour respirer.
- Awww , ouais, bébé ! Mange-le... mange-le, salope ! Ahh.... ahhh .... ahhhh .... OH oui ! scanda-t-il en se vidant dans la gorge de la beauté en apnée. Il giclait à longs jets de sperme épais sortant de son gland pour inonder la beauté qui étouffait.

Finalement, Ernest retira sa bite ramollie des lèvres de Camille. Elle était enfin capable de prendre une profonde inspiration, mais à mesure qu'elle inspirait l'air dont elle avait besoin, son estomac contracté se rebellait contre le contenu visqueux qui y avait été déposé.

Penchée à quatre pattes, Camille était incapable de bouger. Son corps trembla et le liquide épais commença à remonter le long de sa gorge. Ernest se mit à rire pendant que Camille expulsait le liquide gluant sur le parquet.

- Juste un peu trop riche pour toi, hein ! C’est la première fois que tu goûtes au jus d’homme ?

Elle hocha la tête. Tenant son ventre, Camille se tourna et rampa vers son lit, où elle voulait se blottir et oublier l'acte qu'elle venait de commettre pour la toute première fois.
Ernest sourit en regardant la belle blonde rampant à genoux devant lui.
- Juste la place où chaque bon officier devrait être ! pensa-t-il. Quel beau petit cul ! Je parie que son fiancé blanc n’a pas encore su l’apprécier.

Au moment où elle atteignait le lit, Camille se figea en sentant deux mains la saisir par les hanches.
- Oh, s'il te plaît, s'il te plaît, n'est-ce pas assez ? S'il te plaît, ne me dégrade pas plus !

Camille savait pourtant que le sous-officier lubrique en voudrait plus, qu'il avait l'intention de la baiser. Mais quand elle sentit ses fesses s'écarter et le gland chercher le passage, elle essaya frénétiquement de l’éloigner.
- Non, je n'ai jamais... non... non , s'il te plaît... non , je l'ai jamais... tu es trop gros... tu peux me déchirer !
- Oh, salope, je savais que ton beau petit cul blanc était vierge! Je vais l'ouvrir en grand, chérie ! Je vais te faire crier très fort ! Ouais, ma belle, crier tellement fort pour ameuter le quartier ! Mas je vais y aller lentement pour ne pas te déchirer.

Saisissant ses hanches fermement, présentant la tête de sa queue en bonne position, il sourit en regardant Camille tentait d’échapper à son emprise. Avec un ricanement, il se projeta vers l’ avant, après avoir bien enduit son chibre de vaseline
- Ahhhhhhhhh .... ahh.... ahh..... mmmmmpppppphhh !

Les cris de Camille étaient étouffés car elle mordait fort l’oreiller, ne voulant pas que quiconque entende ses cris. Pas même Ernest.

Elle continua à mordre alors que l'épaisse bite noire commençait à ses va-et-vient dans et hors de son cul élargi. Puis elle sentit une main glisser sur sa hanche, se déplacer vers sa douce toison. Elle frissonna lorsqu'un doigt trouva son clitoris sensible.

- Oh, mon Dieu ! Oh, mon Dieu ! Oh non ! Oh... ohhhhhhhhhh , mon Dieu... c’est trop gros ! mais …..c’est bon !

Elle frissonnait, la douleur irradiait initialement son corps puis remplaçait par l’excitation. Elle trembla à nouveau, cette fois par l’humiliation de sentir la chaude éruption de sperme chaud inonder ses entrailles mais aussi par la jouissance provoquée par ces gros doigts noirs dans sa chatte et sur son bouton.

La tête allongée sur le lit, Camille commença à sangloter, mais de honte vis-à-vis de sa propre réaction.

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