Lisa épisode 10 Elle est confiée à Monsieur Marcel
Récit érotique écrit par Roannais [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Lisa épisode 10 Elle est confiée à Monsieur Marcel
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Elle attendait nue dans la chambre pendant qu’Abou ouvrait les différents placards de la chambre et semblait chercher quelque chose de particulier.
Il ouvrait les tiroirs cherchait et les refermait les uns après les autres.
- Enfin, je l’ai trouvé !!!! il s’exclama.
Il se retourna et montra à Lisa sa trouvaille, il s’agissait de deux minuscules bouts de tissus, visiblement un maillot de bain deux pièces, mais tellement pourvu de peu de tissu, que Lisa se demandait déjà comment elle allait pouvoir porter cela.
- Enfilez cela mademoiselle !!! Je pense qu’il vous ira parfaitement.
Il fait très beau et il temps que votre bronzage soit parfait.
Lisa prit les bouts de tissus et enfila le maillot, face au miroir elle se regarda, il ne cachait rien de son anatomie, le bas était finalement un string de plage minimaliste et que dire du haut. La ficelle était certainement ce qui composait le plus de tissu de l’ensemble. Un simple triangle de 3 cm de coté qui avait du mal a cacher ses tétons, les barres de ses piercings sortaient de la maigre étoffe.
- Parfaite vous êtes parfaite mademoiselle Lisa. Il vous va a ravir on dirait qu’il a été fait pour vous, tournez sur vous même que je puisse vous admirer.
- Il est temps de descendre Monsieur marcel doit nous attendre.
Il arrivèrent sur la terrasse, et Lisa pu admirer la magnifique piscine qui se trouvait devant elle.
Des transats étaient disposés avec goût tout autour de celle-ci et Monsieur marcel se tenait allongé sur l’un d’eux se prélassant au soleil.
Lisa approcha de lui et attendit qu’il prenne la parole.
- Approche toi un peu Lisa, que je puisse te regarder. Ses tatouages te vont a ravir, ils font ressortir une certaine sensualité sur ta peau, Marc a vraiment bon goût.
Elle se tenait debout devant lui et ne sachant trop quoi dire elle acquiesça de la tête.
- Assied toi à mes pieds Lisa. Comme tu peux voir Marc s’est absenté pour la journée, il reviendra peu être ce soir ou demain, il ne m’a pas précisé.
Sa voix était devenue bien plus sèche d’un coup.
Lisa s’exécuta immédiatement et se mit à genoux à ses cotés.
- Je voudrais savoir d’où tu viens ce que tu fais comme études, comment vous vous êtes rencontrés avec ton petit ami, pourquoi vous êtes venus en vacances ici plutôt qu’ailleurs, et si tu regrette ta venue ?
Lisa inspira profondément et commença a raconter sa vie.
- Je vis à Paris, j’y suis née, je fais des études d’infirmière, et Kévin aussi.
Il l’interromps immédiatement.
- Tu ne dois plus l’appeler Kévin, Lisa !! Lorsque tu parles de lui il faut désormais que tu l’appelle « le cocu », tu as compris ?
-Oui Monsieur Marcel.
Elle reprit sa narration, après avoir reprit une nouvelle et longue respiration. Monsieur Marcel, elle le craignait, cet homme dégageait une certaine autorité naturelle qui la faisait frémir a chacune de ses paroles. Cela lui donnait des frissons, alors qu’il ne l’avait même pas encore touché ni profité de ses charmes, mais là son protecteur était partit il l’avait laissé seule avec cet homme qu’elle craignait tant.
- reprend, lui dit il.
- Nous avons réussi nos examens et nous sommes venus ici car nous en avions envie, nous avons toujours entendu parlé de la grande bleue et nous voulions la découvrir, nous avons réservé à ce camping car nous avions vu une publicité et nous avions trouvé cela magnifique.
- Notre arrivée s’est bien passée et puis nous sommes allés à la plage et nous avons rencontré Marc. Il a été comme un déclic pour moi sachant m’orienter me diriger et m’épanouir. Je sais que Kév.. mon cocu reprit elle en souffre, mais je n’y puis rien. Marc a su révéler ma vraie nature, je suis faite pour le sexe et j’en accepte la condition.
- Je ne regrette absolument pas ma venue ici, il peut me demander ce qu’il veut je suis prête a tout accepter pour lui.
- tu l’aime ?
- Elle baissa la tête et murmura un oui timide.
- C’est bien ma petite tu l’aime autant que ton petit cocu ?
- C’est complètement différent Monsieur Marcel, il m’apporte quelque chose de différent, mon cocu je l’aime d’amour tendre, il est mon premier et le restera. Marc lui me comble me révèle me fait grandir comme une femme.
- une femelle tu veux dire ?
- Oui certainement vous avez raison Monsieur Marcel. Il m’a apprit quel était mon rôle de femme, il m’a montré ce que je devais faire pour satisfaire les envies des hommes, il a raison ma place est d’être au service des hommes.
- Regrette tu d’être venue ?
- non Monsieur Marcel.
- Très bien je suis ravi de constater que son emprise est bien réelle et qu’il t’a parfaitement conditionnée. c’est un maître en la matière.
- Que t’a t’il fait faire depuis votre rencontre ?
- Il m’a apprit a être nue, a donner mon corps a des hommes pour qu’ils puissent jouir de moi, j’ai été tatouée pour lui et j’en suis fière.
- Ravissant ce que tu me dis là. Tu es un vrai délice.
- Maintenant je voudrais savoir ce que tu pense de mon Majordome Abou ?
- Abou est un superbe amant, il me fait jouir intensément, je n’ai jamais été prise avec autant de fougue et de patience. Il sait me prendre me faire jouir quand il l’a décidé et pas quand j’en ai envie.
- Tu as compris que bientôt tu allait porter un bébé noir ? Abou est déjà le père par procuration de 12 enfants de femmes 5 femmes différentes dont leur mari élèvent bien consciencieusement leur petit bébé noir. Tu dois savoir qu’ils ne le font pas par plaisir, car toutes ces femmes viennent chaque année passer un a plusieurs séjours dans ma demeure, leur petits cocus ne sont pas conviés car il sont occupés a changer les couches de leur enfants.
- Tu seras donc la sixième a avoir un petit noir dans le polichinelle et je dois dire que de loin tu es la plus prometteuse.
Lisa rougit a cette dernière phrase.
Il en fut ravi de cette attitude.
- Aujourd’hui, tu vas profiter de ma demeure et être tranquille, car il faut que ce soir tu sois reposée, alors profite de la piscine et du jacuzzi. Tu peux y aller Lisa, je n’ai pas besoin de toi pour le moment.
Lisa passa sa journée entre la piscine sa chambre le jacuzzi.
Un repas frais lui fu servit vers 13 heures, puis retour à la piscine ou elle se prélassa une bonne partie de l’après midi sur un transat lorsqu’ Abou arriva et la réveilla. Il était 18 heures passé, elle avait put se reposer et profiter de ce moment de détente.
- Mademoiselle Lisa venez avec moi, lui dit Abou, il faut aller se préparer maintenant.
Elle se leva et le suivit dans la chambre. Sur le lit Abou avait déjà préparer ses affaires, il lui conseilla de reprendre une douche qu’elle prit seule cette fois-ci.
La présence d’Abou ne la gênait plus du tout, de toute façon il connaissait désormais son corps et en avait joué tant et plus la nuit dernière.
Elle se retrouvait donc nue une fois de plus découvrant cette tenue disposée sur le lit, il s’agissait d’une robe de soirée dont les pans étaient échancrés jusqu’à la taille, de talons haut perchés, elle remarqua qu’elle était dépourvu de sous vêtements.
Lorsqu’elle enfila la robe, elle put également constater l’échancrure entre ses seins et son dos quasiment nu.
- Descendons vous êtes prête désormais lui lança Abou.
Ils arrivèrent dans le salon puis prirent la direction d’une petite pièce dont elle ne connaissait l’existence. La se tenait Monsieur Marcel qui était en train de boire un verre accoudé au comptoir, dont un barman se tenait derrière celui-ci.
Lisa s’approcha et Monsieur Marcel lui demanda de s’assoir, la robe était façonnée de façon que lorsque Lisa prit place , les pans de celle-ci s’ouvrirent et laissait paraître la quasi totalité de son anatomie dévoilant son magnifique postérieur et la totalité de ses cuisses.
- Voulez vous une coupe de champagne, lui demanda Monsieur Marcel.
- Bien volontiers.
Le barman s’empressa de la servir et lorsqu’il déposa la flute sur le comptoir.
Monsieur Marcel trempa un de ses doigts dans le verre de Lisa, puis il le porta sur sa nuque, lui procurant un frisson, les épaules puis tout le long de la colonne jusqu'à la naissance de la raie des fesses là elle se cambra. Puis il mit de nouveau son doigt dans le verre de Lisa. En même temps il fit pivoter le tabouret de Lisa pour la mettre face à lui. Il fit glisser son doigt à la base de son cou, le fit descendre sur un sein, puis il fit de même sur l’autre sein.
Il saisit la coupe et en déversa sur l’un des seins puis faisant la même chose sur l’autre, il en saisit le bout qu’il pinça durement, arrachant un cri de douleur à Lisa.
Puis sa main descendit sur son sexe ses doigts trempés de champagne, jusqu’à son sexe dont il glissa ses doigts à l’intérieur.
Lisa gloussa de plaisir, de son autre main il pinça le second téton, plus fortement que le premier et entreprit de tourner ses doigts lui arrachant un cri de douleur.
Il fit un signe à Abou qui s’approcha d’eux soulevant Lisa il l’a fit mettre sur le comptoir, puis d’un geste franc Monsieur Marcel lui écarta les cuisses grandement, exposant son intimité au barman qui n’en perdait une miette. Il lui fit signe à lui aussi de s’approcher, Abou d’un coté le barman de l’autre et Monsieur Marcel en face d’elle.
L’un saisi le sein droit et l’autre le gauche faisant tourner les embouts en acier, Monsieur Marcel enfoncant ses doigts sa son sexe cherchant son pont G. Il fit des mouvements rapides bougeant ses doigts comme s’il appelait une personne et lui demandant de le rejoindre.
D’un coup Lisa sentit monter en elle une vague de chaleur la combinaison des doigts de chacun de ses partenaires l’envoyant au septième ciel, des jets de mouille giclant de son sexe.
Repu elle s’affala, mais ils ne lui laissèrent pas le temps de récupérer, il la soulevèrent à nouveau pour la déposer sur le tabouret, Abou prit place devant elle et enfila son sexe dans son sexe d’une traite, le barman se glissa derrière elle et saisit les seins qu’il malaxa tout le temps qu’Abou la besogna, la scène suréaliste dura plus de 25 minutes jusqu’à ce qu’Abou lança au fonde de la matrice de Lisa 7 jets de foutre épais. Lisa eu un énième orgasme lorsqu’il se retira, Monsieur Marcel se plaça devant elle munit du verre de Lisa qu’il plaça au bord de son sexe le sperme d’Abou se déversa longuement dans la flute, mélant le champagne au sperme d’Abou.
Flute qu’il déposa sur le comptoir.
Abou et le barman disparurent ensemble les laissants seuls.
Monsieur Marcel replaça Lisa correctement sur le tabouret et lui donna sa flute.
- Santé fit Monsieur Marcel a Lisa, qui compris immédiatement qu’elle devait boire le fabuleux nectar qui y avait été déposé.
Lisa prit le verre et but d’une traite le contenu du verre.
- Ma chère se soir nous sortons au restaurant, j’ai quelques amis qui souhaitent te rencontrer par la suite mais allons souper dans un premier temps veux tu bien ?
- Oui monsieur Marcel, puisque Marc m’a confié à vous il me semble que je dois l’accepter ainsi.
- Bonne réponse ma belle, donne moi ton portable Marc m’a dit qu’il fallait que tu envoi ton message quotidien a ton petit cocu alors en plus du message tu lui enverra deux photos, fini ton verre veux tu.
Clic fit l’appareil portable lorsque Lisa glissait sa langue dans le verre pour y recueillir la semence d’Abou.
-Lève toi !
Clic la seconde photo la montrait dans sa robe de soirée prête a partir au restaurant. Puis il lui tendit le téléphone, quelle saisit et envoya un message court.
« j’espère que tu aimes les photos nous sortons manger, j’ai déjà eu droit a un encas je t’expliquerais »envoyé !!!
La réponse ne se fit pas attendre, « tu me manques je t’aime, ne fais pas çà chérie stp »monsieur Marcel se pencha pour lire le message.
- Ne répond pas, il doit comprendre qu’elle est sa place.
- Allez Abou nous attend.
Elle attendait nue dans la chambre pendant qu’Abou ouvrait les différents placards de la chambre et semblait chercher quelque chose de particulier.
Il ouvrait les tiroirs cherchait et les refermait les uns après les autres.
- Enfin, je l’ai trouvé !!!! il s’exclama.
Il se retourna et montra à Lisa sa trouvaille, il s’agissait de deux minuscules bouts de tissus, visiblement un maillot de bain deux pièces, mais tellement pourvu de peu de tissu, que Lisa se demandait déjà comment elle allait pouvoir porter cela.
- Enfilez cela mademoiselle !!! Je pense qu’il vous ira parfaitement.
Il fait très beau et il temps que votre bronzage soit parfait.
Lisa prit les bouts de tissus et enfila le maillot, face au miroir elle se regarda, il ne cachait rien de son anatomie, le bas était finalement un string de plage minimaliste et que dire du haut. La ficelle était certainement ce qui composait le plus de tissu de l’ensemble. Un simple triangle de 3 cm de coté qui avait du mal a cacher ses tétons, les barres de ses piercings sortaient de la maigre étoffe.
- Parfaite vous êtes parfaite mademoiselle Lisa. Il vous va a ravir on dirait qu’il a été fait pour vous, tournez sur vous même que je puisse vous admirer.
- Il est temps de descendre Monsieur marcel doit nous attendre.
Il arrivèrent sur la terrasse, et Lisa pu admirer la magnifique piscine qui se trouvait devant elle.
Des transats étaient disposés avec goût tout autour de celle-ci et Monsieur marcel se tenait allongé sur l’un d’eux se prélassant au soleil.
Lisa approcha de lui et attendit qu’il prenne la parole.
- Approche toi un peu Lisa, que je puisse te regarder. Ses tatouages te vont a ravir, ils font ressortir une certaine sensualité sur ta peau, Marc a vraiment bon goût.
Elle se tenait debout devant lui et ne sachant trop quoi dire elle acquiesça de la tête.
- Assied toi à mes pieds Lisa. Comme tu peux voir Marc s’est absenté pour la journée, il reviendra peu être ce soir ou demain, il ne m’a pas précisé.
Sa voix était devenue bien plus sèche d’un coup.
Lisa s’exécuta immédiatement et se mit à genoux à ses cotés.
- Je voudrais savoir d’où tu viens ce que tu fais comme études, comment vous vous êtes rencontrés avec ton petit ami, pourquoi vous êtes venus en vacances ici plutôt qu’ailleurs, et si tu regrette ta venue ?
Lisa inspira profondément et commença a raconter sa vie.
- Je vis à Paris, j’y suis née, je fais des études d’infirmière, et Kévin aussi.
Il l’interromps immédiatement.
- Tu ne dois plus l’appeler Kévin, Lisa !! Lorsque tu parles de lui il faut désormais que tu l’appelle « le cocu », tu as compris ?
-Oui Monsieur Marcel.
Elle reprit sa narration, après avoir reprit une nouvelle et longue respiration. Monsieur Marcel, elle le craignait, cet homme dégageait une certaine autorité naturelle qui la faisait frémir a chacune de ses paroles. Cela lui donnait des frissons, alors qu’il ne l’avait même pas encore touché ni profité de ses charmes, mais là son protecteur était partit il l’avait laissé seule avec cet homme qu’elle craignait tant.
- reprend, lui dit il.
- Nous avons réussi nos examens et nous sommes venus ici car nous en avions envie, nous avons toujours entendu parlé de la grande bleue et nous voulions la découvrir, nous avons réservé à ce camping car nous avions vu une publicité et nous avions trouvé cela magnifique.
- Notre arrivée s’est bien passée et puis nous sommes allés à la plage et nous avons rencontré Marc. Il a été comme un déclic pour moi sachant m’orienter me diriger et m’épanouir. Je sais que Kév.. mon cocu reprit elle en souffre, mais je n’y puis rien. Marc a su révéler ma vraie nature, je suis faite pour le sexe et j’en accepte la condition.
- Je ne regrette absolument pas ma venue ici, il peut me demander ce qu’il veut je suis prête a tout accepter pour lui.
- tu l’aime ?
- Elle baissa la tête et murmura un oui timide.
- C’est bien ma petite tu l’aime autant que ton petit cocu ?
- C’est complètement différent Monsieur Marcel, il m’apporte quelque chose de différent, mon cocu je l’aime d’amour tendre, il est mon premier et le restera. Marc lui me comble me révèle me fait grandir comme une femme.
- une femelle tu veux dire ?
- Oui certainement vous avez raison Monsieur Marcel. Il m’a apprit quel était mon rôle de femme, il m’a montré ce que je devais faire pour satisfaire les envies des hommes, il a raison ma place est d’être au service des hommes.
- Regrette tu d’être venue ?
- non Monsieur Marcel.
- Très bien je suis ravi de constater que son emprise est bien réelle et qu’il t’a parfaitement conditionnée. c’est un maître en la matière.
- Que t’a t’il fait faire depuis votre rencontre ?
- Il m’a apprit a être nue, a donner mon corps a des hommes pour qu’ils puissent jouir de moi, j’ai été tatouée pour lui et j’en suis fière.
- Ravissant ce que tu me dis là. Tu es un vrai délice.
- Maintenant je voudrais savoir ce que tu pense de mon Majordome Abou ?
- Abou est un superbe amant, il me fait jouir intensément, je n’ai jamais été prise avec autant de fougue et de patience. Il sait me prendre me faire jouir quand il l’a décidé et pas quand j’en ai envie.
- Tu as compris que bientôt tu allait porter un bébé noir ? Abou est déjà le père par procuration de 12 enfants de femmes 5 femmes différentes dont leur mari élèvent bien consciencieusement leur petit bébé noir. Tu dois savoir qu’ils ne le font pas par plaisir, car toutes ces femmes viennent chaque année passer un a plusieurs séjours dans ma demeure, leur petits cocus ne sont pas conviés car il sont occupés a changer les couches de leur enfants.
- Tu seras donc la sixième a avoir un petit noir dans le polichinelle et je dois dire que de loin tu es la plus prometteuse.
Lisa rougit a cette dernière phrase.
Il en fut ravi de cette attitude.
- Aujourd’hui, tu vas profiter de ma demeure et être tranquille, car il faut que ce soir tu sois reposée, alors profite de la piscine et du jacuzzi. Tu peux y aller Lisa, je n’ai pas besoin de toi pour le moment.
Lisa passa sa journée entre la piscine sa chambre le jacuzzi.
Un repas frais lui fu servit vers 13 heures, puis retour à la piscine ou elle se prélassa une bonne partie de l’après midi sur un transat lorsqu’ Abou arriva et la réveilla. Il était 18 heures passé, elle avait put se reposer et profiter de ce moment de détente.
- Mademoiselle Lisa venez avec moi, lui dit Abou, il faut aller se préparer maintenant.
Elle se leva et le suivit dans la chambre. Sur le lit Abou avait déjà préparer ses affaires, il lui conseilla de reprendre une douche qu’elle prit seule cette fois-ci.
La présence d’Abou ne la gênait plus du tout, de toute façon il connaissait désormais son corps et en avait joué tant et plus la nuit dernière.
Elle se retrouvait donc nue une fois de plus découvrant cette tenue disposée sur le lit, il s’agissait d’une robe de soirée dont les pans étaient échancrés jusqu’à la taille, de talons haut perchés, elle remarqua qu’elle était dépourvu de sous vêtements.
Lorsqu’elle enfila la robe, elle put également constater l’échancrure entre ses seins et son dos quasiment nu.
- Descendons vous êtes prête désormais lui lança Abou.
Ils arrivèrent dans le salon puis prirent la direction d’une petite pièce dont elle ne connaissait l’existence. La se tenait Monsieur Marcel qui était en train de boire un verre accoudé au comptoir, dont un barman se tenait derrière celui-ci.
Lisa s’approcha et Monsieur Marcel lui demanda de s’assoir, la robe était façonnée de façon que lorsque Lisa prit place , les pans de celle-ci s’ouvrirent et laissait paraître la quasi totalité de son anatomie dévoilant son magnifique postérieur et la totalité de ses cuisses.
- Voulez vous une coupe de champagne, lui demanda Monsieur Marcel.
- Bien volontiers.
Le barman s’empressa de la servir et lorsqu’il déposa la flute sur le comptoir.
Monsieur Marcel trempa un de ses doigts dans le verre de Lisa, puis il le porta sur sa nuque, lui procurant un frisson, les épaules puis tout le long de la colonne jusqu'à la naissance de la raie des fesses là elle se cambra. Puis il mit de nouveau son doigt dans le verre de Lisa. En même temps il fit pivoter le tabouret de Lisa pour la mettre face à lui. Il fit glisser son doigt à la base de son cou, le fit descendre sur un sein, puis il fit de même sur l’autre sein.
Il saisit la coupe et en déversa sur l’un des seins puis faisant la même chose sur l’autre, il en saisit le bout qu’il pinça durement, arrachant un cri de douleur à Lisa.
Puis sa main descendit sur son sexe ses doigts trempés de champagne, jusqu’à son sexe dont il glissa ses doigts à l’intérieur.
Lisa gloussa de plaisir, de son autre main il pinça le second téton, plus fortement que le premier et entreprit de tourner ses doigts lui arrachant un cri de douleur.
Il fit un signe à Abou qui s’approcha d’eux soulevant Lisa il l’a fit mettre sur le comptoir, puis d’un geste franc Monsieur Marcel lui écarta les cuisses grandement, exposant son intimité au barman qui n’en perdait une miette. Il lui fit signe à lui aussi de s’approcher, Abou d’un coté le barman de l’autre et Monsieur Marcel en face d’elle.
L’un saisi le sein droit et l’autre le gauche faisant tourner les embouts en acier, Monsieur Marcel enfoncant ses doigts sa son sexe cherchant son pont G. Il fit des mouvements rapides bougeant ses doigts comme s’il appelait une personne et lui demandant de le rejoindre.
D’un coup Lisa sentit monter en elle une vague de chaleur la combinaison des doigts de chacun de ses partenaires l’envoyant au septième ciel, des jets de mouille giclant de son sexe.
Repu elle s’affala, mais ils ne lui laissèrent pas le temps de récupérer, il la soulevèrent à nouveau pour la déposer sur le tabouret, Abou prit place devant elle et enfila son sexe dans son sexe d’une traite, le barman se glissa derrière elle et saisit les seins qu’il malaxa tout le temps qu’Abou la besogna, la scène suréaliste dura plus de 25 minutes jusqu’à ce qu’Abou lança au fonde de la matrice de Lisa 7 jets de foutre épais. Lisa eu un énième orgasme lorsqu’il se retira, Monsieur Marcel se plaça devant elle munit du verre de Lisa qu’il plaça au bord de son sexe le sperme d’Abou se déversa longuement dans la flute, mélant le champagne au sperme d’Abou.
Flute qu’il déposa sur le comptoir.
Abou et le barman disparurent ensemble les laissants seuls.
Monsieur Marcel replaça Lisa correctement sur le tabouret et lui donna sa flute.
- Santé fit Monsieur Marcel a Lisa, qui compris immédiatement qu’elle devait boire le fabuleux nectar qui y avait été déposé.
Lisa prit le verre et but d’une traite le contenu du verre.
- Ma chère se soir nous sortons au restaurant, j’ai quelques amis qui souhaitent te rencontrer par la suite mais allons souper dans un premier temps veux tu bien ?
- Oui monsieur Marcel, puisque Marc m’a confié à vous il me semble que je dois l’accepter ainsi.
- Bonne réponse ma belle, donne moi ton portable Marc m’a dit qu’il fallait que tu envoi ton message quotidien a ton petit cocu alors en plus du message tu lui enverra deux photos, fini ton verre veux tu.
Clic fit l’appareil portable lorsque Lisa glissait sa langue dans le verre pour y recueillir la semence d’Abou.
-Lève toi !
Clic la seconde photo la montrait dans sa robe de soirée prête a partir au restaurant. Puis il lui tendit le téléphone, quelle saisit et envoya un message court.
« j’espère que tu aimes les photos nous sortons manger, j’ai déjà eu droit a un encas je t’expliquerais »envoyé !!!
La réponse ne se fit pas attendre, « tu me manques je t’aime, ne fais pas çà chérie stp »monsieur Marcel se pencha pour lire le message.
- Ne répond pas, il doit comprendre qu’elle est sa place.
- Allez Abou nous attend.
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