Lisa la femme de mon pote.
Récit érotique écrit par Jean-pierre-60 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lisa la femme de mon pote.
Bonjour je m’appelle Jean-Pierre et j’ai 55 ans.
L’histoire que je vais vous raconter est authentique, elle s’est passée il y a environ 5 ans, j’ai juste changer les prénoms des intervenants.
Je donnais un coup de main à un copain pour faire des travaux chez sa copine, une jeune femme d’environ 35 ans prénommée Lisa. Celle-ci était une grande brune (environ 1m75), mince avec une belle poitrine et un beau cul. Surtout elle s’habillait toujours de manière sexy, jeans moulants ou jupes coutes mettant en valeurs son corps. Dès le début j’avais flashé sur cette fille pas coincée du tout qui aimait déconner et riait à mes histoires cochonnes. Elle venait souvent nous aider à bricoler ou discuter avec nous et je ne me gênais pas pour la mater quand son copain ne regardait pas. Elle s’en rendait compte mais ne disait rien et au contraire avait l’air de s’amuser de ce petit jeu entre nous. Plusieurs fois je pus découvrir ce qu’elle portait comme soutien-gorge quand elle se penchait face à moi ou bien admirer la ficelle de son string quand elle ramassait quelque chose. Je ne restais pas de marbre et souvent ma queue gonflait dans ma salopette et lorsqu’un jour elle le découvrit un sourire passa sur ses lèvres.
La fois suivante elle portait une mini-jupe et me proposant de m’aider à prendre une mesure, elle s’accroupit face à moi, m’offrant la vue d’un string en dentelle qui laissait deviner sa touffe. Ma queue gonfla instantanément et son regard resta fixé sur la bosse qui déformait ma salopette. Je dus attendre un moment avant de me relever pour ne pas que son copain découvre mon état. Juste après je m’éclipsai pour aller aux toilettes, lorsque sur le chemin de celles-ci je remarquai le panier de linge sale. Le cœur battant je l’ouvris et après une fouille rapide je découvris un string rouge. Je m’enfermai rapidement dans les toilettes et le nez dans le string qui sentait le parfum de Lisa et son odeur intime, je me paluchai rapidement et crachai une grosse quantité de foutre. Après avoir nettoyé la cuvette et remis le string à sa place je retournai bosser, quand en croisant Lisa celle-ci me demanda «ça va mieux ?» d’un drôle d’air comme si elle se doutait de ce que je venais de faire. Je répondis «oui beaucoup mieux !» avec un grand sourire.
Quelques temps plus tard je proposai de venir seul pour que les travaux avancent plus vite car le copain de Lisa ne pouvait venir l’aider que le week-end alors que moi je pouvais passer tous les soirs après le boulot. Dès la semaine suivante je revins donc le soir et me retrouvai seul avec Lisa. Son attitude fut toute différente elle ne m’allumait plus et ne venait plus m’aider. Je supposai qu’elle préférait m’exciter quand son copain était là et qu’elle ne risquait pas que je lui saute dessus. J’en fus déçu et me rattrapait en me branlant tous les soirs dans ses toilettes en reniflant un de ses strings emprunté dans son panier de linge. Mais dès le week-end suivant son petit jeu recommença et je pus découvrir un string noir le samedi et le fameux string rouge le dimanche. Quand je découvris celui-ci que j’avais déjà tenu entre mes mains et reniflé abondamment ma queue gonfla à sa taille maximale. Le copain de Lisa étant dans une autre pièce je me mis debout devant Lisa, la bosse de mon sexe à hauteur de son visage. Celle-ci sourit et dit «eh bah qu’est-ce qui t’arrive ?» puis sortit de la pièce me laissant seul avec ma queue gonflée. Bien énervé je repris le travail mais bien décidé à aller plus loin.
Le lendemain je revins donc seul et après avoir bien travaillé je demandai à Lisa de m’offrir un verre pour me récompenser du travail qui avançait bien. Elle me servit un whisky et pendant qu’elle buvait son coca je la matais et l’imaginais nue si bien que ma queue se mit à gonfler. Je profitai qu’elle allait chercher un truc à la cuisine pour sortir ma queue de ma salopette et quand elle revint elle fut surprise et me lança :
- Ca va pas Jean-Pierre ? Range-moi ça tout de suite !
- Désolé Lisa mais c’est de ta faute tu n’arrêtes pas de m’allumer alors voilà le résultat et là elle est trop grosse pour rentrer dans mon slip il faut que je la vide !
- Eh bah va aux toilettes et dépêche-toi !
- Ça t’ennuie si je me branle ici devant toi ? Ça ira plus vite tu es tellement craquante !
Après un instant elle accepta et je commençai à m’astiquer. Elle regarda d’abord ailleurs puis son regard se posa sur ma queue dont le gland était maintenant énorme.
- Elle te plait ?
- Elle est pas mal ! dit-elle avec un sourire.
- Tu veux bien me montrer tes fesses pour que je crache plus vite ?
- Ca va pas ? Et Dom ?
-Il n’en saura rien et ce n’est pas tromper !
Après un instant…
- Bon c’est bien parce que je veux que tu t’en ailles rapidement !
Elle me tourna le dos et entreprit de baisser son jean et je découvris deux belles fesses bien fermes séparées par un string noir.
- Tourne-toi un peu !
Elle s’exécuta. Le string était assez transparent pour que je voie bien sa petite touffe épilée en ticket de métro et le début de ses lèvres.
- Oh Lisa tu es vraiment trop bandante Dom doit vraiment être fou quand il te voit à poil !
Elle ne répondit pas.
- Il s’occupe bien de toi ? Insistai-je.
- Oui, oui ! Répondit-elle mais sans conviction. Je me demandai soudain si elle n’était pas en manque.
- Je peux vois aussi ton soutien-gorge ?
- Tu exagères Jean-Pierre !
- Allez, regarde ma queue elle pointe vers ta poitrine ! En effet sans que j’y touche celle-ci pointait vers le plafond.
Lisa souleva son tee-shirt et je découvris un soutif assorti au string donc aussi transparent et je pus voir ses jolis seins et ses tétons qui me semblaient bien durs !
- Ca t’excite de t’exhiber ainsi Lisa ?
- Tais-toi et termine ta branlette ! me répondit-elle.
- Tu ne veux pas la terminer toi ?
- Et puis quoi encore ?
- Allez c’est juste ta main, c’est pas grave et là ça va vite venir ! En fait je mentais car je sais me retenir longtemps quand je le veux.
Avec un soupir elle s’approcha et prit ma queue entre ses longs doigts fins. Ma queue qui était déjà passablement tendue gonfla encore un peu. Lisa fit coulisser la peau sur mon gland avec dextérité tout en me regardant avec un sourire narquois.
- Alors ça vient ? Je fatigue ! Me dit-elle.
- Assieds-toi ! Tu seras mieux. Lui dis-je avec une arrière-pensée.
Elle s’assit sur son canapé se retrouvant alors avec le visage à hauteur de ma queue qu’elle continuait d’astiquer consciencieusement.
Voyant que ses tétons étaient tendus et espérant qu’elle était bien excitée, j’approchai lentement ma queue de sa bouche.
- Sors ta langue s’il te plait ! dis-je.
Elle la sortit. Une belle langue avec un piercing rose au milieu qu’elle passa sur ses lèvres avec gourmandise.
- Tu n’as pas envie de gouter à ma friandise ?
Pour toute réponse elle passa la pointe de sa langue sur le frein de ma queue sans me prévenir et je faillis cracher instantanément mais je réussis à me contrôler pour profiter de ce moment incroyable et inespéré.
- Au point où on en est. dit-elle, puis elle enfourna ma queue dans sa jolie bouche. Je croyais rêver. Elle me pompait avec ardeur et je sentais que ce n’était pas un calvaire pour elle. Son autre main s’était emparée de mes couilles qu’elle caressait ou triturait alternativement.
- Alors je croyais que ça devait venir rapidement ! dit-elle.
- C’est tellement bon que j’en profite alors je me retiens !
- C’est bien un mec qui sait se retenir ! dit-elle et cette remarque me confirma qu’elle ne devait pas être très heureuse sexuellement et j’en profitais donc.
- Attend je vais mettre un préservatif pour ne pas en mettre partout quand je vais jouir ! dis-je car j’avais un plan.
Après avoir enfilé la capote je lui proposai de s’allonger sur la table ce qu’elle fit sans rechigner puis vins me placer entre ses cuisses.
- Qu’est-ce que tu fais ? dit-elle.
- Je veux juste frotter ma queue sur ton string et avec le préservatif tu ne risques rien !
- Ok mais attention !
Mon plan était de l’amener doucement à un état d’excitation qui la ferait accepter tous mes désirs.
Je frottais donc ma queue tendue sur son string en ayant soin de titiller son clitoris que je devinais à travers le tissu transparent. Elle portait d’ailleurs un autre piercing au clitoris et le frottement de ma queue semblait lui être très agréable à voir ses yeux fermés et sa bouche dont elle mordait les lèvres.
Après quelques temps de ce traitement j’osai écarter la bande du string et elle ne broncha pas. Je continuai donc de caresser son clitoris avec ma queue puis délicatement je plaçai mon gland à l’entrée de sa chatte qui était bien humide puis exerçai une lente poussée à l’intérieur. Elle ne dit rien et bientôt mon gland disparut entre ses lèvres. Je guettai sa réaction… Toujours les yeux clos et sa respiration qui s’accélérait. Je ressortis mon gland puis l’enfonçai à nouveau mais un peu plus loin. Peu à peu je m’introduisis dans sa chatte chaude et humide et accélérai les mouvements de ma queue. Je fus bientôt entièrement en elle et je butai contre le fond de sa chatte. Sa respiration se transforma en petits cris puis en gémissements de plus en plus fort.
- Oh oui vas-y ! Baise-moi bien ! Prends-moi à fond !
Ca y était, elle avait franchi le cap et n’avait plus aucune retenue.
Je l’avais approchée au bord de la table et je la baisais comme elle me le demandait.
- Tu l’aimes ma queue hein ?
- Oh oui elle est bonne elle me remplit bien !
Je tentai quelques mots cochons ce qui ne la choqua pas bien au contraire et eut pour effet de l’exciter encore plus.
- Oh oui je suis une bonne cochonne, une grosse salope, j’aime la queue ! et autres mots qui décuplaient mon désir pour elle.
Soudain alors que je la labourais profondément et à un rythme effréné elle se releva la bouche ouverte toute tendue puis se mit à pousser un grand cri de jouissance tout en serrant les cuisses autour de mon bassin. Elle venait d’avoir un orgasme intense. Puis elle retomba en arrière les yeux clos et après quelque instants me dit avec un sourire :
- Toi tu sais manier tes outils !
J’avais sorti ma queue de sa chatte mais je n’avais pas encore joui. Je le lui dis et elle me dit que je ne perdais rien pour attendre. Elle alla boire puis revint, finit d’ôter ses sous-vêtements et s’installa dans le canapé en position de levrette son joli cul bien tendu vers moi. Je ne la fis pas attendre et l’enfilai tout de suite. Elle se remit à gémir alors que j’agrippais ses hanches à pleines mains. Elle répondait à mes coups de boutoirs par des cris de plaisir ou des mots coquins qui me rendaient fou d’excitation. Cette fille aimait vraiment la baise, ce n’était pas du cinéma. Je variais les angles de pénétration en fonction de ses gémissements si bien qu’après 10 ou 15 minutes elle poussa un nouveau cri de jouissance moins fort que le premier car sa tête était enfouie dans les coussins du canapé.
A regret je me dis qu’il fallait que je rentre chez moi car ma femme m’attendait et que je devais donc lâcher la purée. Sachant que Lisa s’était révélée être une bonne cochonne je lui proposai de jouir sur ses fesses ce qu’elle accepta immédiatement. Je retirai donc le préservatif et c’est elle qui la tête tournée vers moi me branla vers ses fesses. Je me laissai aller et bientôt de grosses giclées de sperme vinrent atterrir sur son cul qu’elle caressa tout en me regardant avec son regard de salope.
J’en avais fini avec Lisa ce jour-là mais j’espérais bien aller plus loin avec elle.
A suivre…
L’histoire que je vais vous raconter est authentique, elle s’est passée il y a environ 5 ans, j’ai juste changer les prénoms des intervenants.
Je donnais un coup de main à un copain pour faire des travaux chez sa copine, une jeune femme d’environ 35 ans prénommée Lisa. Celle-ci était une grande brune (environ 1m75), mince avec une belle poitrine et un beau cul. Surtout elle s’habillait toujours de manière sexy, jeans moulants ou jupes coutes mettant en valeurs son corps. Dès le début j’avais flashé sur cette fille pas coincée du tout qui aimait déconner et riait à mes histoires cochonnes. Elle venait souvent nous aider à bricoler ou discuter avec nous et je ne me gênais pas pour la mater quand son copain ne regardait pas. Elle s’en rendait compte mais ne disait rien et au contraire avait l’air de s’amuser de ce petit jeu entre nous. Plusieurs fois je pus découvrir ce qu’elle portait comme soutien-gorge quand elle se penchait face à moi ou bien admirer la ficelle de son string quand elle ramassait quelque chose. Je ne restais pas de marbre et souvent ma queue gonflait dans ma salopette et lorsqu’un jour elle le découvrit un sourire passa sur ses lèvres.
La fois suivante elle portait une mini-jupe et me proposant de m’aider à prendre une mesure, elle s’accroupit face à moi, m’offrant la vue d’un string en dentelle qui laissait deviner sa touffe. Ma queue gonfla instantanément et son regard resta fixé sur la bosse qui déformait ma salopette. Je dus attendre un moment avant de me relever pour ne pas que son copain découvre mon état. Juste après je m’éclipsai pour aller aux toilettes, lorsque sur le chemin de celles-ci je remarquai le panier de linge sale. Le cœur battant je l’ouvris et après une fouille rapide je découvris un string rouge. Je m’enfermai rapidement dans les toilettes et le nez dans le string qui sentait le parfum de Lisa et son odeur intime, je me paluchai rapidement et crachai une grosse quantité de foutre. Après avoir nettoyé la cuvette et remis le string à sa place je retournai bosser, quand en croisant Lisa celle-ci me demanda «ça va mieux ?» d’un drôle d’air comme si elle se doutait de ce que je venais de faire. Je répondis «oui beaucoup mieux !» avec un grand sourire.
Quelques temps plus tard je proposai de venir seul pour que les travaux avancent plus vite car le copain de Lisa ne pouvait venir l’aider que le week-end alors que moi je pouvais passer tous les soirs après le boulot. Dès la semaine suivante je revins donc le soir et me retrouvai seul avec Lisa. Son attitude fut toute différente elle ne m’allumait plus et ne venait plus m’aider. Je supposai qu’elle préférait m’exciter quand son copain était là et qu’elle ne risquait pas que je lui saute dessus. J’en fus déçu et me rattrapait en me branlant tous les soirs dans ses toilettes en reniflant un de ses strings emprunté dans son panier de linge. Mais dès le week-end suivant son petit jeu recommença et je pus découvrir un string noir le samedi et le fameux string rouge le dimanche. Quand je découvris celui-ci que j’avais déjà tenu entre mes mains et reniflé abondamment ma queue gonfla à sa taille maximale. Le copain de Lisa étant dans une autre pièce je me mis debout devant Lisa, la bosse de mon sexe à hauteur de son visage. Celle-ci sourit et dit «eh bah qu’est-ce qui t’arrive ?» puis sortit de la pièce me laissant seul avec ma queue gonflée. Bien énervé je repris le travail mais bien décidé à aller plus loin.
Le lendemain je revins donc seul et après avoir bien travaillé je demandai à Lisa de m’offrir un verre pour me récompenser du travail qui avançait bien. Elle me servit un whisky et pendant qu’elle buvait son coca je la matais et l’imaginais nue si bien que ma queue se mit à gonfler. Je profitai qu’elle allait chercher un truc à la cuisine pour sortir ma queue de ma salopette et quand elle revint elle fut surprise et me lança :
- Ca va pas Jean-Pierre ? Range-moi ça tout de suite !
- Désolé Lisa mais c’est de ta faute tu n’arrêtes pas de m’allumer alors voilà le résultat et là elle est trop grosse pour rentrer dans mon slip il faut que je la vide !
- Eh bah va aux toilettes et dépêche-toi !
- Ça t’ennuie si je me branle ici devant toi ? Ça ira plus vite tu es tellement craquante !
Après un instant elle accepta et je commençai à m’astiquer. Elle regarda d’abord ailleurs puis son regard se posa sur ma queue dont le gland était maintenant énorme.
- Elle te plait ?
- Elle est pas mal ! dit-elle avec un sourire.
- Tu veux bien me montrer tes fesses pour que je crache plus vite ?
- Ca va pas ? Et Dom ?
-Il n’en saura rien et ce n’est pas tromper !
Après un instant…
- Bon c’est bien parce que je veux que tu t’en ailles rapidement !
Elle me tourna le dos et entreprit de baisser son jean et je découvris deux belles fesses bien fermes séparées par un string noir.
- Tourne-toi un peu !
Elle s’exécuta. Le string était assez transparent pour que je voie bien sa petite touffe épilée en ticket de métro et le début de ses lèvres.
- Oh Lisa tu es vraiment trop bandante Dom doit vraiment être fou quand il te voit à poil !
Elle ne répondit pas.
- Il s’occupe bien de toi ? Insistai-je.
- Oui, oui ! Répondit-elle mais sans conviction. Je me demandai soudain si elle n’était pas en manque.
- Je peux vois aussi ton soutien-gorge ?
- Tu exagères Jean-Pierre !
- Allez, regarde ma queue elle pointe vers ta poitrine ! En effet sans que j’y touche celle-ci pointait vers le plafond.
Lisa souleva son tee-shirt et je découvris un soutif assorti au string donc aussi transparent et je pus voir ses jolis seins et ses tétons qui me semblaient bien durs !
- Ca t’excite de t’exhiber ainsi Lisa ?
- Tais-toi et termine ta branlette ! me répondit-elle.
- Tu ne veux pas la terminer toi ?
- Et puis quoi encore ?
- Allez c’est juste ta main, c’est pas grave et là ça va vite venir ! En fait je mentais car je sais me retenir longtemps quand je le veux.
Avec un soupir elle s’approcha et prit ma queue entre ses longs doigts fins. Ma queue qui était déjà passablement tendue gonfla encore un peu. Lisa fit coulisser la peau sur mon gland avec dextérité tout en me regardant avec un sourire narquois.
- Alors ça vient ? Je fatigue ! Me dit-elle.
- Assieds-toi ! Tu seras mieux. Lui dis-je avec une arrière-pensée.
Elle s’assit sur son canapé se retrouvant alors avec le visage à hauteur de ma queue qu’elle continuait d’astiquer consciencieusement.
Voyant que ses tétons étaient tendus et espérant qu’elle était bien excitée, j’approchai lentement ma queue de sa bouche.
- Sors ta langue s’il te plait ! dis-je.
Elle la sortit. Une belle langue avec un piercing rose au milieu qu’elle passa sur ses lèvres avec gourmandise.
- Tu n’as pas envie de gouter à ma friandise ?
Pour toute réponse elle passa la pointe de sa langue sur le frein de ma queue sans me prévenir et je faillis cracher instantanément mais je réussis à me contrôler pour profiter de ce moment incroyable et inespéré.
- Au point où on en est. dit-elle, puis elle enfourna ma queue dans sa jolie bouche. Je croyais rêver. Elle me pompait avec ardeur et je sentais que ce n’était pas un calvaire pour elle. Son autre main s’était emparée de mes couilles qu’elle caressait ou triturait alternativement.
- Alors je croyais que ça devait venir rapidement ! dit-elle.
- C’est tellement bon que j’en profite alors je me retiens !
- C’est bien un mec qui sait se retenir ! dit-elle et cette remarque me confirma qu’elle ne devait pas être très heureuse sexuellement et j’en profitais donc.
- Attend je vais mettre un préservatif pour ne pas en mettre partout quand je vais jouir ! dis-je car j’avais un plan.
Après avoir enfilé la capote je lui proposai de s’allonger sur la table ce qu’elle fit sans rechigner puis vins me placer entre ses cuisses.
- Qu’est-ce que tu fais ? dit-elle.
- Je veux juste frotter ma queue sur ton string et avec le préservatif tu ne risques rien !
- Ok mais attention !
Mon plan était de l’amener doucement à un état d’excitation qui la ferait accepter tous mes désirs.
Je frottais donc ma queue tendue sur son string en ayant soin de titiller son clitoris que je devinais à travers le tissu transparent. Elle portait d’ailleurs un autre piercing au clitoris et le frottement de ma queue semblait lui être très agréable à voir ses yeux fermés et sa bouche dont elle mordait les lèvres.
Après quelques temps de ce traitement j’osai écarter la bande du string et elle ne broncha pas. Je continuai donc de caresser son clitoris avec ma queue puis délicatement je plaçai mon gland à l’entrée de sa chatte qui était bien humide puis exerçai une lente poussée à l’intérieur. Elle ne dit rien et bientôt mon gland disparut entre ses lèvres. Je guettai sa réaction… Toujours les yeux clos et sa respiration qui s’accélérait. Je ressortis mon gland puis l’enfonçai à nouveau mais un peu plus loin. Peu à peu je m’introduisis dans sa chatte chaude et humide et accélérai les mouvements de ma queue. Je fus bientôt entièrement en elle et je butai contre le fond de sa chatte. Sa respiration se transforma en petits cris puis en gémissements de plus en plus fort.
- Oh oui vas-y ! Baise-moi bien ! Prends-moi à fond !
Ca y était, elle avait franchi le cap et n’avait plus aucune retenue.
Je l’avais approchée au bord de la table et je la baisais comme elle me le demandait.
- Tu l’aimes ma queue hein ?
- Oh oui elle est bonne elle me remplit bien !
Je tentai quelques mots cochons ce qui ne la choqua pas bien au contraire et eut pour effet de l’exciter encore plus.
- Oh oui je suis une bonne cochonne, une grosse salope, j’aime la queue ! et autres mots qui décuplaient mon désir pour elle.
Soudain alors que je la labourais profondément et à un rythme effréné elle se releva la bouche ouverte toute tendue puis se mit à pousser un grand cri de jouissance tout en serrant les cuisses autour de mon bassin. Elle venait d’avoir un orgasme intense. Puis elle retomba en arrière les yeux clos et après quelque instants me dit avec un sourire :
- Toi tu sais manier tes outils !
J’avais sorti ma queue de sa chatte mais je n’avais pas encore joui. Je le lui dis et elle me dit que je ne perdais rien pour attendre. Elle alla boire puis revint, finit d’ôter ses sous-vêtements et s’installa dans le canapé en position de levrette son joli cul bien tendu vers moi. Je ne la fis pas attendre et l’enfilai tout de suite. Elle se remit à gémir alors que j’agrippais ses hanches à pleines mains. Elle répondait à mes coups de boutoirs par des cris de plaisir ou des mots coquins qui me rendaient fou d’excitation. Cette fille aimait vraiment la baise, ce n’était pas du cinéma. Je variais les angles de pénétration en fonction de ses gémissements si bien qu’après 10 ou 15 minutes elle poussa un nouveau cri de jouissance moins fort que le premier car sa tête était enfouie dans les coussins du canapé.
A regret je me dis qu’il fallait que je rentre chez moi car ma femme m’attendait et que je devais donc lâcher la purée. Sachant que Lisa s’était révélée être une bonne cochonne je lui proposai de jouir sur ses fesses ce qu’elle accepta immédiatement. Je retirai donc le préservatif et c’est elle qui la tête tournée vers moi me branla vers ses fesses. Je me laissai aller et bientôt de grosses giclées de sperme vinrent atterrir sur son cul qu’elle caressa tout en me regardant avec son regard de salope.
J’en avais fini avec Lisa ce jour-là mais j’espérais bien aller plus loin avec elle.
A suivre…
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bangasss
Ma femme a fait ça avec un de mes potes.
J'ai aimé quand elle m'a raconté. -j'aimerai bien enculer ta femme
Ma femme a fait ça avec un de mes potes.
J'ai aimé quand elle m'a raconté. -j'aimerai bien enculer ta femme
Ma femme a fait ça avec un de mes potes.
J'ai aimé quand elle m'a raconté.
J'ai aimé quand elle m'a raconté.
Encore . . . .
Rudy
Rudy
enfin une histoire comme je les aimes sans vulgarité et très sensuelles
Excellent,vraiment! J'adore les histoires ou ca renifle de la culotte,c'est trés
excitant!
excitant!
on attend vivement la suite. Impatienment
Belle histoire, racontes nous vite la suite, on voit bien qu'elle est en manque Lisa.
Bisous à très vite.
Bisous à très vite.
une histoire bien bandante comme j'aime bravo !
Ce n'est pas beau de trahir un copain
très excitante comme histoire,j'espère qu'il a une suite