Livraison particulière 1
Récit érotique écrit par Petitlutin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Livraison particulière 1
Je m'appelle Chris, j'ai 37 ans et je suis auto-entrepreneur. Il y a quelques années, j'ai monté ma petite société de livraison. Cela fonctionne pas mal, j'ai une dizaine d'employés qui travaille pour moi.
L'un des avantages de mon métier, c'est que je rencontre beaucoup de monde et parfois, j'ai la chance d'avoir de bonnes surprises. J'ai vécu quelques aventures incroyables.
La première en date est arrivée moins d'un an après l'ouverture de ma société.
Ce matin-là, je devais aller livrer un paquet chez une dame qui était ma seconde cliente de la journée. A l'adresse indiquée se trouve une petite résidence dans un quartier huppé. Je sonne à l'interphone et la voix féminine me répond que son appartement se trouve au premier étage. J'emprunte l'escalier en montant les marches deux par deux, puis je me retrouve devant sa porte d'entrée. Je frappe et quelques secondes plus tard une femme blonde d'une cinquantaine d'années m'ouvre la porte, habillée avec une nuisette satinée grise et noire. Je remarque aussitôt qu'elle ne porte pas de soutien-gorge car j'aperçois ses tétons qui pointent à travers sa nuisette, même s'il n'y a pas un gros volume. Elle me salue et me demande qui je suis. Je me présente en lui expliquant que je suis livreur et que j'ai un paquet pour elle. Elle me sourit:
- Super, je l'attendais avec impatience. Vous pouvez le mettre sur la table de la cuisine ?
- Oui, si vous voulez.
Elle me fait entrer chez elle, la déco est très chic, elle semble être assez aisée financièrement. Je la regarde s'avancer vers moi, après qu'elle ait refermée la porte d'entrée et j'avoue qu'elle a tout de la petite bourgeoise. Coiffure impeccable, maquillage classe et discret avec un beau rouge à lèvres, collier et bracelet en or qui scintillent et petits escarpins noirs à talon. Ce n'est pas un canon de beauté, mais je lui trouve un certain charme pour son âge. Chevelure mi-longue, silhouette fine et élancée, ça se voit que cette femme mature prend soin d'elle.
Après avoir posé le colis sur la table, je lui tends le bon de livraison qu'elle signe automatiquement sans même vérifier son paquet. Puis elle me regarde:
- Vous voulez boire quelque chose ?
- Non merci, c'est gentil, mais je n'ai pas vraiment le temps.
- Vous êtes sûr, j'ai fait du café tout à l'heure, il est encore chaud.
- Bon bah vite fait alors.
- Bah voilà, asseyez-vous.
Je m'assois autour de sa table de cuisine, puis elle s'assoit près de moi avec les deux tasses de café. La bourgeoise me mate avec un grand sourire et me demande:
- J'espère que cela ne vous gêne pas que je sois en petite tenue, je me suis réveillée il y a peu.
- oh ne vous inquiétez pas, j'ai l'habitude, ça ne me dérange pas.
- C'est vrai ? Et cela ne vous arrive jamais d'imaginer ce qu'il y a dessous ?
Elle me fait du rentre-dedans, je lui réponds en toute franchise:
- Si, très souvent.
- Oh le petit coquin. Et aucune femme n'a tenté de vous séduire pendant votre livraison.
- Non aucune, la plupart sont mariées.
- Je le suis aussi vous savez, dit-elle en me souriant.
Je comprends immédiatement que la cinquantenaire est d'humeur coquine. Elle caresse sa cuisse et sa main remonte le long de son corps, jusqu'à effleuré son sein par dessus sa nuisette.
- Il fait chaud vous ne trouvez pas, me dit-elle.
- Si, de plus en plus.
- Mettez-vous à l'aise, enlevez votre blouson.
Je m'exécute et le temps que je le retire, la garce fait exprès de faire tomber une bretelle pour libérer son sein. Je regarde avec insistance ce petit sein au téton érigé, ma cliente le palpe doucement en me souriant.
- Vous aimez ?
- Oui c'est très mignon.
Elle sort alors son deuxième sein, qu'elle prend aussitôt en main, pour malaxer les deux en même temps. Elle se trémousse en les caressant et j'avoue que son petit numéro m'émoustille, ma verge commence à durcir dans mon boxer.
Ma cliente s'approche et se penche vers moi pour que je puisse admirer ses petits seins de plus près.
- Vous pouvez les toucher s'ils vous plaisent, me dit-elle.
Je la surprends en posant instinctivement ma bouche sur l'un d'eux. Je gobe son mamelon, suce et lèche son téton tout dur, puis je fais la même chose avec son autre sein. Patricia, c'est son prénom, semble apprécier, puisqu'elle caresse mes cheveux en soupirant.
La mature est de plus en plus chaude, elle retire mon tee-shirt et s'empresse de caresser mon torse.
- Hum, c'est pas mal tout ça, j'aime les hommes musclés comme vous.
Elle m'embrasse pendant que ses mains continuent d'explorer mon torse, mes épaules, mon dos. J'en profite également pour caresser ses seins et ses fesses par dessus sa nuisette.
Sa main s'aventure ensuite un peu plus bas, elle la frotte contre la bosse de mon pantalon.
- Hum, elle a l'air bien dure...je peux, me demande-t-elle ?
- Oui bien sûr.
La bourgeoise s'accroupit devant moi, déboutonne mon pantalon et le baisse avant de baisser mon boxer. Elle contemple un instant, ma tige droite comme un i et sans dire un mot, la prend dans sa bouche. La coquine y va de bon cœur, elle me suce goulument, ce qui provoque mes premiers gémissements. Assis sur ma chaise, pantalon et boxer sur les chevilles, jambes écartées, je la regarde faire. Elle lèche ma queue de bas en haut en me regardant dans les yeux, puis elle la tapote sur sa langue. Je la laisse faire sans rien dire, seuls des petits grognements de plaisir sortent de ma bouche. Patricia la remet dans sa bouche afin de me pomper rapidement. J'adore ce qu'elle me fait, c'est trop bon.
Après quelques instants, elle stoppe la fellation et me demande si j'ai une capote.
- Oui, j'en ai toujours sur moi.
- Hum, monsieur est prévoyant.
- Il faut bien, on ne sait jamais ce qui peut arriver.
Je me lève et attrape la capote dans mon porte-feuille, que j'enfile sur ma queue.
Ma maîtresse du jour s'assoit sur la table de la cuisine et me lance:
- Allez, dépêchez-vous, j'ai très envie que vous me baisiez.
Cette vieille salope m'excite de plus en plus, je me jette sur elle pour lui rouler une grosse pelle en tripotant ses seins, puis j'écarte ses cuisses et découvre qu'elle porte un string noir. Je décale l'élastique sur le côté, j'aperçois sa chatte humide et intégralement épilée. J'y enfonce mon doigt pour la branler un peu, elle réagit immédiatement en soupirant. Puis j'approche mon sexe recouvert de plastique à l'entrée de sa minette et je l'introduis lentement en elle.
Je la besogne en douceur, puis de plus en plus vite. Patricia gémit avec joie, elle n'est pas très expressive, mais elle m'indique tout de même qu'elle aime ça:
- Oh oui, oh c'est bon.
Je continue de la culbuter tranquillement sur la table de la cuisine quand soudain, elle me demande si on peut aller sur son canapé. Je valide sa proposition.
Bien installés sur le sofa, nous nous déshabillons entièrement et nos deux corps nus reprennent du service. Je m'allonge sur le dos et la mâture vient s'empaler sur moi de face, en appui sur ses bras tendus derrière elle. Elle se baise énergiquement sur ma poutre en balançant des '' OH OUI '' à tout bout de champ. Je râle également de plaisir en observant sa chatte qui coulisse vite sur ma queue.
Patricia ronronne de plaisir, mais elle s'essouffle rapidement dans cette position, alors elle vient se mettre à califourchon sur moi, me laissant les commandes de nos ébats. Je pose mes mains sur ses fesses et je la pilonne à grands coups de bite, tout en lui mangeant les nichons. Ma partenaire prend son pied, ses vocalises sont de plus en plus bruyantes.
- Oh oui, continues comme ça, c'est trop bon.
Je la lime encore et encore, le bruit de claquement fait écho dans la pièce, je lui mordille un téton. Cela lui plaît tellement, qu'elle ne me vouvoie plus.
- Hum, petit coquin, tu me rends folle, viens te mettre derrière moi.
Voilà qu'elle s'allonge sur le côté, je me positionne derrière elle qui lève la jambe afin de me donner accès à son minou trempé. Je la pénètre à nouveau. Je la baise vigoureusement en soutenant sa jambe en l'air et ses '' OH OUI'' réapparaissent. La bourgeoise est excitée comme une puce, elle caresse ses seins, malaxe mes couilles, frotte son clito en subissant mes aller-retour de plus en plus puissants.
- Hum, qu'est ce que c'est bon de se faire baiser comme ça, j'ai envie de l'avoir dans le cul aussi.
- Vraiment ?
- Hum oui, je suis sûre que tu en as envie aussi.
- Oh oui, j'en ai très envie.
Je ressors ma bite de sa chatte et la place contre son anus. Je pousse un peu et je l'enfonce progressivement dans son cul. Je la sodomise doucement, dans la même position, mon bras maintenant toujours sa jambe en l'air. Cette vieille cochonne couine de plus en plus fort.
- Oh c'est génial, oh qu'est ce que c'est bon une bonne bite dans le cul.
Alors que je l'encule de plus en plus vite, Patricia se lâche de plus en plus, elle se caresse la chatte, se doigte pendant que je pelote ses nichons.
- Assieds-toi, je vais venir sur toi, me dit-elle.
Je m'exécute, cette salope m'enjambe, saisit mon sexe à la verticale et se la met elle-même dans le cul. Dos à moi, elle poursuit la sodomie, elle se déchaîne en bougeant rapidement. Elle est survoltée et devient de plus en plus grossière.
- Il te plaît mon cul, ça t'excite t'enculer une bourgeoise comme moi ?
- Oh oui, c'est trop bon.
- Bien sûr que c'est bon, surtout dans le cul, j'adore ça.
Elle prend mes mains et les poses sur ses seins.
- Vas-y, caresse les me demande-t-elle.
Pas besoin de me le dire deux fois, je prends ses petits seins qui tiennent facilement entre mes mains et je les pétris copieusement pendant qu'elle continue de sautiller sur mon chibre.
- Hum, elle est bonne ta queue dans mon cul.
Cette vieille blonde me rend dingue avec ses propos vulgaires et alors que je me la farcis par tous les trous depuis une bonne vingtaine de minutes, je la préviens que je suis sur le point d'exploser.
- Oh putain ça y est, je sens que je vais jouir.
Patricia décide alors de se retirer, elle se met à genoux devant moi et m'enlève la capote qu'elle jette par terre. Puis elle s'empare de mon sexe qu'elle suce un peu avant de me branler rapidement et je grogne de plaisir lorsqu'elle me fait gicler sur mon ventre. Excitée de voir mon sperme qui coule de mon gland, elle approche son visage de mon membre encore tendu et elle le frotte contre sa bouche, ses joues et son menton. Elle finit par mettre un petit coup de langue sur mon gland et me dit:
- Hum, et bien merci, je suis très satisfaite de la livraison.
- De rien, je te remercie de ton accueil.
Après ce moment très sympathique, je me suis nettoyer dans la salle de bain, puis je me suis rhabiller et je l'ai quittée pour pousuivre mes livraisons tranquillement.
Fin.
L'un des avantages de mon métier, c'est que je rencontre beaucoup de monde et parfois, j'ai la chance d'avoir de bonnes surprises. J'ai vécu quelques aventures incroyables.
La première en date est arrivée moins d'un an après l'ouverture de ma société.
Ce matin-là, je devais aller livrer un paquet chez une dame qui était ma seconde cliente de la journée. A l'adresse indiquée se trouve une petite résidence dans un quartier huppé. Je sonne à l'interphone et la voix féminine me répond que son appartement se trouve au premier étage. J'emprunte l'escalier en montant les marches deux par deux, puis je me retrouve devant sa porte d'entrée. Je frappe et quelques secondes plus tard une femme blonde d'une cinquantaine d'années m'ouvre la porte, habillée avec une nuisette satinée grise et noire. Je remarque aussitôt qu'elle ne porte pas de soutien-gorge car j'aperçois ses tétons qui pointent à travers sa nuisette, même s'il n'y a pas un gros volume. Elle me salue et me demande qui je suis. Je me présente en lui expliquant que je suis livreur et que j'ai un paquet pour elle. Elle me sourit:
- Super, je l'attendais avec impatience. Vous pouvez le mettre sur la table de la cuisine ?
- Oui, si vous voulez.
Elle me fait entrer chez elle, la déco est très chic, elle semble être assez aisée financièrement. Je la regarde s'avancer vers moi, après qu'elle ait refermée la porte d'entrée et j'avoue qu'elle a tout de la petite bourgeoise. Coiffure impeccable, maquillage classe et discret avec un beau rouge à lèvres, collier et bracelet en or qui scintillent et petits escarpins noirs à talon. Ce n'est pas un canon de beauté, mais je lui trouve un certain charme pour son âge. Chevelure mi-longue, silhouette fine et élancée, ça se voit que cette femme mature prend soin d'elle.
Après avoir posé le colis sur la table, je lui tends le bon de livraison qu'elle signe automatiquement sans même vérifier son paquet. Puis elle me regarde:
- Vous voulez boire quelque chose ?
- Non merci, c'est gentil, mais je n'ai pas vraiment le temps.
- Vous êtes sûr, j'ai fait du café tout à l'heure, il est encore chaud.
- Bon bah vite fait alors.
- Bah voilà, asseyez-vous.
Je m'assois autour de sa table de cuisine, puis elle s'assoit près de moi avec les deux tasses de café. La bourgeoise me mate avec un grand sourire et me demande:
- J'espère que cela ne vous gêne pas que je sois en petite tenue, je me suis réveillée il y a peu.
- oh ne vous inquiétez pas, j'ai l'habitude, ça ne me dérange pas.
- C'est vrai ? Et cela ne vous arrive jamais d'imaginer ce qu'il y a dessous ?
Elle me fait du rentre-dedans, je lui réponds en toute franchise:
- Si, très souvent.
- Oh le petit coquin. Et aucune femme n'a tenté de vous séduire pendant votre livraison.
- Non aucune, la plupart sont mariées.
- Je le suis aussi vous savez, dit-elle en me souriant.
Je comprends immédiatement que la cinquantenaire est d'humeur coquine. Elle caresse sa cuisse et sa main remonte le long de son corps, jusqu'à effleuré son sein par dessus sa nuisette.
- Il fait chaud vous ne trouvez pas, me dit-elle.
- Si, de plus en plus.
- Mettez-vous à l'aise, enlevez votre blouson.
Je m'exécute et le temps que je le retire, la garce fait exprès de faire tomber une bretelle pour libérer son sein. Je regarde avec insistance ce petit sein au téton érigé, ma cliente le palpe doucement en me souriant.
- Vous aimez ?
- Oui c'est très mignon.
Elle sort alors son deuxième sein, qu'elle prend aussitôt en main, pour malaxer les deux en même temps. Elle se trémousse en les caressant et j'avoue que son petit numéro m'émoustille, ma verge commence à durcir dans mon boxer.
Ma cliente s'approche et se penche vers moi pour que je puisse admirer ses petits seins de plus près.
- Vous pouvez les toucher s'ils vous plaisent, me dit-elle.
Je la surprends en posant instinctivement ma bouche sur l'un d'eux. Je gobe son mamelon, suce et lèche son téton tout dur, puis je fais la même chose avec son autre sein. Patricia, c'est son prénom, semble apprécier, puisqu'elle caresse mes cheveux en soupirant.
La mature est de plus en plus chaude, elle retire mon tee-shirt et s'empresse de caresser mon torse.
- Hum, c'est pas mal tout ça, j'aime les hommes musclés comme vous.
Elle m'embrasse pendant que ses mains continuent d'explorer mon torse, mes épaules, mon dos. J'en profite également pour caresser ses seins et ses fesses par dessus sa nuisette.
Sa main s'aventure ensuite un peu plus bas, elle la frotte contre la bosse de mon pantalon.
- Hum, elle a l'air bien dure...je peux, me demande-t-elle ?
- Oui bien sûr.
La bourgeoise s'accroupit devant moi, déboutonne mon pantalon et le baisse avant de baisser mon boxer. Elle contemple un instant, ma tige droite comme un i et sans dire un mot, la prend dans sa bouche. La coquine y va de bon cœur, elle me suce goulument, ce qui provoque mes premiers gémissements. Assis sur ma chaise, pantalon et boxer sur les chevilles, jambes écartées, je la regarde faire. Elle lèche ma queue de bas en haut en me regardant dans les yeux, puis elle la tapote sur sa langue. Je la laisse faire sans rien dire, seuls des petits grognements de plaisir sortent de ma bouche. Patricia la remet dans sa bouche afin de me pomper rapidement. J'adore ce qu'elle me fait, c'est trop bon.
Après quelques instants, elle stoppe la fellation et me demande si j'ai une capote.
- Oui, j'en ai toujours sur moi.
- Hum, monsieur est prévoyant.
- Il faut bien, on ne sait jamais ce qui peut arriver.
Je me lève et attrape la capote dans mon porte-feuille, que j'enfile sur ma queue.
Ma maîtresse du jour s'assoit sur la table de la cuisine et me lance:
- Allez, dépêchez-vous, j'ai très envie que vous me baisiez.
Cette vieille salope m'excite de plus en plus, je me jette sur elle pour lui rouler une grosse pelle en tripotant ses seins, puis j'écarte ses cuisses et découvre qu'elle porte un string noir. Je décale l'élastique sur le côté, j'aperçois sa chatte humide et intégralement épilée. J'y enfonce mon doigt pour la branler un peu, elle réagit immédiatement en soupirant. Puis j'approche mon sexe recouvert de plastique à l'entrée de sa minette et je l'introduis lentement en elle.
Je la besogne en douceur, puis de plus en plus vite. Patricia gémit avec joie, elle n'est pas très expressive, mais elle m'indique tout de même qu'elle aime ça:
- Oh oui, oh c'est bon.
Je continue de la culbuter tranquillement sur la table de la cuisine quand soudain, elle me demande si on peut aller sur son canapé. Je valide sa proposition.
Bien installés sur le sofa, nous nous déshabillons entièrement et nos deux corps nus reprennent du service. Je m'allonge sur le dos et la mâture vient s'empaler sur moi de face, en appui sur ses bras tendus derrière elle. Elle se baise énergiquement sur ma poutre en balançant des '' OH OUI '' à tout bout de champ. Je râle également de plaisir en observant sa chatte qui coulisse vite sur ma queue.
Patricia ronronne de plaisir, mais elle s'essouffle rapidement dans cette position, alors elle vient se mettre à califourchon sur moi, me laissant les commandes de nos ébats. Je pose mes mains sur ses fesses et je la pilonne à grands coups de bite, tout en lui mangeant les nichons. Ma partenaire prend son pied, ses vocalises sont de plus en plus bruyantes.
- Oh oui, continues comme ça, c'est trop bon.
Je la lime encore et encore, le bruit de claquement fait écho dans la pièce, je lui mordille un téton. Cela lui plaît tellement, qu'elle ne me vouvoie plus.
- Hum, petit coquin, tu me rends folle, viens te mettre derrière moi.
Voilà qu'elle s'allonge sur le côté, je me positionne derrière elle qui lève la jambe afin de me donner accès à son minou trempé. Je la pénètre à nouveau. Je la baise vigoureusement en soutenant sa jambe en l'air et ses '' OH OUI'' réapparaissent. La bourgeoise est excitée comme une puce, elle caresse ses seins, malaxe mes couilles, frotte son clito en subissant mes aller-retour de plus en plus puissants.
- Hum, qu'est ce que c'est bon de se faire baiser comme ça, j'ai envie de l'avoir dans le cul aussi.
- Vraiment ?
- Hum oui, je suis sûre que tu en as envie aussi.
- Oh oui, j'en ai très envie.
Je ressors ma bite de sa chatte et la place contre son anus. Je pousse un peu et je l'enfonce progressivement dans son cul. Je la sodomise doucement, dans la même position, mon bras maintenant toujours sa jambe en l'air. Cette vieille cochonne couine de plus en plus fort.
- Oh c'est génial, oh qu'est ce que c'est bon une bonne bite dans le cul.
Alors que je l'encule de plus en plus vite, Patricia se lâche de plus en plus, elle se caresse la chatte, se doigte pendant que je pelote ses nichons.
- Assieds-toi, je vais venir sur toi, me dit-elle.
Je m'exécute, cette salope m'enjambe, saisit mon sexe à la verticale et se la met elle-même dans le cul. Dos à moi, elle poursuit la sodomie, elle se déchaîne en bougeant rapidement. Elle est survoltée et devient de plus en plus grossière.
- Il te plaît mon cul, ça t'excite t'enculer une bourgeoise comme moi ?
- Oh oui, c'est trop bon.
- Bien sûr que c'est bon, surtout dans le cul, j'adore ça.
Elle prend mes mains et les poses sur ses seins.
- Vas-y, caresse les me demande-t-elle.
Pas besoin de me le dire deux fois, je prends ses petits seins qui tiennent facilement entre mes mains et je les pétris copieusement pendant qu'elle continue de sautiller sur mon chibre.
- Hum, elle est bonne ta queue dans mon cul.
Cette vieille blonde me rend dingue avec ses propos vulgaires et alors que je me la farcis par tous les trous depuis une bonne vingtaine de minutes, je la préviens que je suis sur le point d'exploser.
- Oh putain ça y est, je sens que je vais jouir.
Patricia décide alors de se retirer, elle se met à genoux devant moi et m'enlève la capote qu'elle jette par terre. Puis elle s'empare de mon sexe qu'elle suce un peu avant de me branler rapidement et je grogne de plaisir lorsqu'elle me fait gicler sur mon ventre. Excitée de voir mon sperme qui coule de mon gland, elle approche son visage de mon membre encore tendu et elle le frotte contre sa bouche, ses joues et son menton. Elle finit par mettre un petit coup de langue sur mon gland et me dit:
- Hum, et bien merci, je suis très satisfaite de la livraison.
- De rien, je te remercie de ton accueil.
Après ce moment très sympathique, je me suis nettoyer dans la salle de bain, puis je me suis rhabiller et je l'ai quittée pour pousuivre mes livraisons tranquillement.
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