Livraison particulière 2 - histoire érotique

Un vendredi matin, je réalise plusieurs livraisons dans une grande zone artisanale. Quelques garages, un magasin de meubles, une pharmacie, etc...
Il est environ 11h, lorsque j'entre dans les bureaux d'une menuiserie pour leur livrer des ramettes de papiers. A mon grand étonnement, il n'y a personne à l'accueil. Je patiente un petit moment, mais toujours personne. Je décide de faire un tour dans les locaux pour voir si je peux trouver quelqu'un, mais tous les bureaux sont vides, ainsi que l'atelier que je me permets de visiter. En retournant vers l'accueil, je passe devant les toilettes et j'y entends du bruit, je tends un peu plus l'oreille et ce sont des gémissements que j'entends. Je souris intérieurement en me disant qu'il y en a une qui se fait plaisir, puis j'enchaîne pour signaler ma présence.
- Bonjour, il y a quelqu'un ?
Il y a un silence de quelques secondes et puis :
- Euh oui...c'est pour quoi ?
- C'est pour une livraison, les ramettes de papiers.
- Vous pouvez les déposer prêt du photocopieur, j'arrive tout de suite.
En posant les paquets prêt de la machine, j'entends le verrou des toilettes qui se débloque, je me retourne et je vois une ravissante demoiselle d'une trentaine d'années sortir de là.
Elle a les joues un peu rouge et je la sens un peu gênée de venir à ma rencontre, mais je la trouve très sexy. C'est une belle rousse coiffée d'un chignon, elle porte des lunettes noires carrées, une veste noire, un chemisier rouge, une jupe noire, des bas noirs et des chaussures à talons noirs. Le look parfait de la petite secrétaire coquine et ça ne m'étonnerait pas qu'elle le soit, vu ce que je viens d'entendre, je suis sûr qu'elle se masturbait dans les toilettes. De plus, elle est assez grande avec une belle silhouette et je devine en regardant son chemisier, qu'il y a du monde au balcon.
Je lui montre ensuite les colis qu'elle vérifie à peine et je lui tends le bordereau de livraison pour qu'elle le signe. Pendant qu'elle dépose sa signature sur le document, je l'observe et j'ose lui dire :
- Je suis désolé de vous avoir interrompue dans les toilettes.
Elle devient toute rouge, comprenant de quoi je parle et je poursuis:
- Vous étiez en train de vous masturber n'est-ce pas ?
Ma question la met un peu mal à l'aise.
- C'est délicat à dire, mais oui je le faisais.
- Ne soyez pas gênée, ça ne me choque pas, mais encore une fois, je suis désolé de vous avoir empêcher de finir.
- Ce n'est pas grave.
- Et cela vous arrive souvent ?
- De temps en temps, je suis célibataire depuis quelques mois et parfois j'ai des envies et des besoins comme tout le monde.
- Oui c'est normal, mais vous devez avoir très envie pour faire ça sur votre lieu de travail.
- Oui c'est vrai, mais je fais ça uniquement quand je suis seule, ce qui est très fréquent car mes collègues sont sur les chantiers.
- Et vous pensez qu'ils vont revenir bientôt ?
- Pas avant cet après-midi, pourquoi ?
- Et bien je pourrais peut-être combler votre manque si vous en avez envie ?
- Hum, pourquoi pas, vous êtes plutôt bel homme.
- Je vous trouve très belle aussi, dis-je en m'approchant d'elle.
Je la saisis par la taille et nous nous embrassons pour un long baiser langoureux. On se caresse, on se pelote un peu partout et notre excitation monte crescendo. La belle rouquine s'adosse contre le mur, elle me sourit et relève sa jupe pour me dévoiler son porte-jarretelles noir et son tanga bordeaux en dentelle. Je comprends aussitôt ce qu'elle souhaite, alors je m'agenouille devant elle et décale l'élastique sur le côté. Je découvre avec surprise sa belle petite minette surmontée d'un fin ticket de métro et un piercing en anneau sur son clitoris.
- Hum, c'est très joli tout ça, c'est très appétissant.
- Et bien allez-y, goûtez-la.
Sans attendre, je pose ma bouche entre ses cuisses pour déguster sa petite chatte. Je lèche ses lèvres délicatement, je rentre ma langue à l'intérieur, je joue avec son anneau et la belle rousse commence à gémir. Je glisse un doigt dans sa fente de plus en plus humide pendant que je suce son bouton d'amour. Je la doigte lentement en profondeur, je tourne mon majeur en elle en continuant de la lécher. Elle vibre et ma tige est de plus en plus à l'étroit dans mon boxer.

Je me relève, je l'embrasse à pleine langue mélangeant ainsi nos salives et ses sécrétions vaginales. Alors que nos langues s'emmêlent, je sens quelque chose de dur.
- Tu as un piercing sur la langue ?
- Oui, dit-elle avant de sortir sa langue pour me montrer la petite boule argentée qui s'y trouve.
La coquine m'excite de plus en plus, je deviens fougueux, je lui roule une grosse pelle en pelotant ses gros seins par dessus son chemisier. Puis elle le déboutonne pour me faire admirer sa poitrine, cachée sous un soutien-gorge assorti à son tanga. Je suis émerveillé, elle fait au moins du 90C. Illico-presto, je les sors de leur bonnet et je me jette dessus pour les embrasser, les lécher. Je suce également ses petits tétons tous durs pendant que sa main caresse ma queue par dessus mon pantalon. Elle a visiblement très envie de savoir ce qui se cache là-dessous, puisqu'elle s'empresse de se mettre accroupie devant moi. Je me laisse faire en la regardant défaire mon pantalon et baisser mon boxer.

La secrétaire semble conquise en examinant mon membre turgescent qu'elle met aussitôt dans sa bouche. Ses lèvres qui coulissent le long de ma verge m'enivrent, elle me suce avec gourmandise pendant quelques minutes, jouant parfois avec son piercing sur mon gland. Je subi ce divin traitement sans un mot, uniquement en poussant de longs soupirs. Puis soudain, elle me fait une gorge profonde qui me fait décoller.
- Oh putain, oui, c'est trop bon.
Elle ressort ma queue le temps de reprendre sa respiration, puis elle recommence. Elle relâche mon sexe rempli de bave, puis elle me suce encore en me branlant rapidement.
- Oh oui, continues comme ça.
Je savoure l'instant en me disant que j'ai de la chance d'être tombé sur une sacrée cochonne.

Elle finit par se relever et m'embrasse à nouveau. J'ai trop envie d'elle maintenant. Je la retourne et je la penche contre le photocopieur. Elle apprécie ma façon de faire car elle me sourit lorsque je soulève sa jupe pour retirer son tanga. J'embrasse ensuite ses jolies fesses blanches que j'écarte légèrement pour voir son petit trou du cul. Accroupi derrière elle, je mets quelques coups de langue sur sa chatte, avant de prendre un préservatif que je déroule sur mon chibre. Les choses sérieuses vont pouvoir démarrer.

J'écarte ses jambes et présente mon sexe à l'entrée de son vagin, qui glisse très facilement en elle. Je la lime en rythme contre le photocopieur et la rouquine ne tarde pas à miauler de plaisir.
- Ah, ah, ah...
Elle enlève son chemisier et son soutif et elle me demande de caresser ses seins. Je m'exécute et pose mes deux mains sur ses nichons bien fermes que je malaxe en la baisant de plus en plus vite. Je m'amuse également avec elle, je sors ma queue, je la rentre, je la sors, je la rentre, puis je la besogne à nouveau normalement. Elle continue de miauler sans être trop bruyante.
- Ah, ah, ah...
- T'aimes ça hein ?
- Hum oui, vas-y, continues.
Je la possède alors de plus en plus fort en la tenant par les épaules, ses vocalises prennent de l'ampleur.
La coquine décide qu'on change de position et souhaite venir sur moi. Avec mon pantalon toujours sur mes chevilles, je m'allonge sur le carrelage de la pièce. Ma partenaire m'enjambe, relève sa jupe et vient s'empaler sur mon pieux, dos à moi. Pendant plusieurs minutes, elle se baise comme une tigresse en se caressant les seins. Elle est en extase et soudain, elle part dans un orgasme tonitruant. Elle tremble, sa respiration est saccadée et elle finit par se laisser tomber sur moi. Je la laisse retrouver ses esprits quelques instants, mais je n'en ai pas encore fini avec elle. Je l'embrasse dans le cou, je caresse ses seins, sa chatte.
- J'ai encore envie de toi ma belle.
- Moi aussi.
On se relève, je l'allonge sur une table, sur le dos. J'attrape ses jambes, que je mets sur chacune de mes épaules et je la pénètre à nouveau. La jolie rousse défait son chignon, pendant que je la ramone à grands coups de bite. Sa chatte est trempée et elle pousse des petits cris.
- AH, AH, AH !!!
- Hum oui, t'es trop bonne.
Je poursuis mon œuvre quelques minutes, en caressant ses seins, en lui donnant mes doigts à sucer.

Nous sommes tous les deux très excités et l'envie de lui prendre les fesses me gagne. Je tente ma chance, je m'accroupie pour lécher sa chatte et titiller son anus du bout du doigt. Elle ne proteste pas lorsque j'enfonce mon doigt  lentement. J'y fais plusieurs va-et-vient avant de lapper son petit trou avec la langue. Elle extériorise son plaisir en m'informant qu'elle adore ça. Voyant qu'elle n'a pas l'air contre la sodomie, je me relève et j'insère doucement mon dard dans son petit cul. Il rentre facilement et la jeune femme laisse échapper un:
- Oh putain oui, c'est trop bon
Puis elle me fait un grand sourire pendant que je commence à l'enculer en tempo.
- Hum oui, il est bien ouvert ton petit cul.
Elle ne me répond pas, mais elle aime ça, vu comment elle gémit:
- AH, AH, AH.
Son plaisir est réel, elle caresse son clito et sa minette énergiquement pendant que je lui prends le cul de plus en plus fort. Je suis essoufflé, en sueur et alors que la secrétaire jouit bruyamment, ma délivrance arrive. Je tape rapidement dans le fond de son cul et je pousse un râle bestial lorsque ma semence se répand dans la capote. La rouquine jubile en même temps, lorsqu'elle comprend que je suis en train d'éjaculer en elle.
Je m'écroule sur elle et nous restons inertes quelques instants afin de retrouver nos esprits. Mon sexe quitte ses fesses lentement, je caresse ses seins sensuellement, la sienne caresse ma joue. Nous nous regardons dans les yeux, le sourire béat, comme si chacun remerciait l'autre pour ce moment, mais sans un mot
Je retire le préservatif souillé, puis nous nous rhabillons assez vite.
- Bon et bien...à une prochaine, dis-je.
- Oui, j'espère que tu reviendras nous livrer.
- J'espère aussi, c'était sympa.
- Oui, c'était très sympa. Je peux te laisser mon numéro si tu veux.
- Avec plaisir.
Elle a écrit son numéro sur un post-it qu'elle m'a donné, puis je suis parti après l'avoir embrassée une dernière fois pour lui dire au revoir.

FIN