Longueur d'onde

- Par l'auteur HDS Coquine89 -
Récit érotique écrit par Coquine89 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Longueur d'onde Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Longueur d'onde
Bonsoir, je m'appelle Elena et j'ai 31 ans. Je suis en couple avec mon copain depuis 2 ans et il a 51 ans. Ce récit s'est réellement passé.
J'ai toujours été attirée par les hommes plus âgés. Je vis comme sur un nuage sauf côté sexe. J'aime le sexe assez brutal tandis que lui n'est pas plus attiré que ça.. Quand je lui demande de m’insulter ou de me gifler, il se sent gêné et ça ne lui dit rien. De plus, une fois par mois lui suffit alors que moi je suis totalement insatisfaite.. J'ai besoin de sentir que je lui plais, que j'ai des besoins plutôt hauts et que s'il continuait sur cette voix ça n'allait pas aller. Donc, j'ai eu une idée. Je lui propose qu'on aille boire un verre et qu'on se chauffe dans un lieu public. Il me dit qu'il est d'accord. J'enfiles une petite jupe bien moulante qui faisait ressortir mes fesses (qui sont assez rondes mais fermes) et un haut à fines bretelles bleu marine avec un décolleté plongeant surmonté d'un gilet. Je me glisse dans mes plus hauts escarpins et me maquille.
Il me rejoint et me regarde de la tête en bas comme s'il avait vu un fantôme.

- Ouaw ma puce tu es ravissante ! On dirait une pute de luxe !
- Mmmh, c'est pour toi et rien que pour toi mon amour !
- Attends, il te manque quelque chose !

Il partit dans la chambre et revint avec une paire de boules de geisha. Il me fit retourner et me pencha vers l’avant. Il remonta ma jupe et écarta mon string. Il poussa les boules contre ma chatte et elles rentrèrent avec difficulté étant donné que ne mouillait pas. Pas encore…car à peine fut-elles misent qu’elles me procurèrent un effet immédiat. Il me claqua le cul tellement fort que ça m’arracha un cri de surprise. Il sourit et me dit :
- Tu voulais pas que je prennes les choses en main ? Ben aujourd’hui, je vais exaucer ton vœu ! Remets ta jupe correctement, on y va !

Je rabaissais ma jupe et je monta dans la voiture. En m’asseyant, je sentis les boules s’enfoncer un peu plus dans ma chatte, ce qui provoqua en moi de l’excitation. Je sentais que je commençais à mouiller mon string. Je fis une petite grimace qu’il ne manqua pas de voir.

- Ca te fait du bien ?
- J’avoues.. ça me fait bien mouiller…- Fais toi bouger sur le siège comme si tu avais ma bite en dessous. Mets-toi droite que je te vois bien bouger et lève ta jupe que tes fesses soient sur le siège !

Nous roulèrent une demi-heure
Je me redressa, me mis le plus droite possible et releva ma jupe. Je me frottais sur le siège et je sentais que les boules bougeaient en moi. Je commençais à gémir quand il baissa la bretelle de ma blouse si violement que je l’ai entendue craquer. Il sorti mes seins de leur soutien-gorge et pressa le téton si fort que je me retira de lui.

- Aie pas si fort ! C’est sensible !
- Arrêtes je sais que tu aimes ça et puis tu voulais que je sois violent ! Je t’avais dit que je n’étais pas chaud mais tu vois ça commence à me plaire. Alors tu te tais et tu baises le siège comme une petite salope que tu es !

A ces mots crus et bestiaux, je sentis ma chatte se contracter et ça m’excita. Je me repris à faire des mouvements d’avant arrière sur le siège tandis qu’il me triturait les tétons qui s’étaient durcis au contact de ses doigts. Il cessa et regarda droit devant lui car nous arrivions bientôt a destination. Je me remis d’allure et il se gara sur un parking. Etonnée je lui dit :
- Qu’est-ce qu’on fait ici ? On ne va pas boire un verre ?

Il était silencieux, il coupa le moteur et ressera le frein. Il me dit :
- Sors !

Je sortis et une bouffée d’air chaud m’envahis d’un coup. Il me pris par les épaules et me forca à m’agenouiller. Ca m’excitait terriblement. Enfin il prenait les choses en mains. Il ouvrit son bouton et baissa sa braguette. Il extirpa sa grosse bite (elle mesure 20 cm sur 5 cm) et me la colla sur le visage.

- Tu voulais de la bite ce soir petite chienne ? Alors ouvres ta bouche que je puisses t’en donner !

Je n’ai pas le temps de réagir qu’il pousse sa bite contre mes lèvres pour que sa bite pénètre ma bouche. Il me pris la nuque et commença à me baiser la bouche comme si c’était une chatte. Sa bite chatouillait ma glotte et ça me fit tousser. Il me gifla et me dit :
- Acceptes ma bite jusqu’au fond au lieu de faire des grimaces !

Je repris de plus belle en ouvrant plus grand et a pousser sa bite au fond de ma gorge. Il mit sa main derrière ma nuque pour que je ne puisse pas me retirer. J’avais des larmes qui commençaient à me monter, je lui tapa la fesse pour lui faire comprendre que j’avais dur. Il se retira de ma bouche et me dit :
- Tu fais moins la fière petite chienne hein ?

Il m’excitait de plus et me sentir chienne pour lui ne faisait que remplir mon bonheur. Il me caressa le visage et m’embrassa à pleine bouche. Je lui rendu son baiser et cela dura une éternité.

- Mmmh ta petite langue m’excite beaucoup ! Va te mettre contre le capot !

Je me leva et m’allongea contre le capot qui est encore chaud. Il se place contre moi relève ma jupe et se frotta contre mon string. Il tira sur la petite ficelle de mes boules de geisha et les retirer d’un coup. Elles étaient remplies de mouille. Il me les mis devant le visage :
- Ouvres ta petite gueule de pute et mets ca en bouche en faisant dépasser la ficelle !

Il mis les boules de geisha dans ma bouche et les suça pendant qu’il se remet derrière moi écarte mon string et planta deux doigts dans ma chatte. Il les faisait rentrer et sortir brutalement et provoquait un petit bruit de clapotis.
- T’es déjà toute mouillée ! Ca t’excite de te faire prendre comme une pute hein ?

Je gémissais mais les boules de geisha m’empêchaient de parler.

- Ca rentre comme dans du beurre ! On va voir si tu encaisses bien !

Il était tellement excité qu’il ne pris pas la peine de descendre mon string, qu’il me l’arrachas tel un chien. Il tomba au bas de mes pieds, il me fit écarter mes cuisses d’un coup de genou me plaqua contre le capot et m’enfonça sa bite jusqu’aux entrailles. Il me pistonna et me donner de grands coups de reins qui me faisait rapprocher du pare-brise.

- Tiens prends ça petite salope ! Ta chatte est si serrée que je vais te la dilater !
Il me pris les cheveux qu’il me tira en arrière et mes seins se retrouvèrent libres de balancer à leur gré. Mes tétons étaient si excités qu’ils n’ont jamais été si dressés. Il ne manquait pas de le voir et commença à me les malaxer violemment.

- Hum petite pute tu m’excites ! Comment j’ai pu être con à ce point là ! Te baiser comme une chienne me ravi !

J’étais projetée d’avant en arrière du à ses coups de reins qui me mettaient. J’étais proche de la jouissance quand il s’arrêta et me retourna. Il retira les boules de ma bouche et me gifla :
- A genoux, et suces moi !

Je m’agenouilla et pris sa bite rempli de mouille dans ma bouche. Je le suçai rapidement et je le sentis se contracter. Il prit ma nuque et m’enfonca sa bite jusqu’à ma glotte. Il la ressortit et la repoussa aussi loin qu’il le pouvait. Je bavais de plus en plus et j’eus un haut le cœur. Il ressorti sa bite et me laissa respirer. Il vit mon maquillage couler sur mes joues et me cracha dans la figure.

- Hummm bonne chienne !

Il remis sa bite dans ma bouche me maintient la nuque et recommenca a baiser ma bouche comme un démené. J’entendais le bruit de salive qui était en trop dans ma bouche quand soudain sa bite se crisque et je ressenti encore moins de place dans ma bouche. Un jet chaud et épais jailli dans ma bouche et quand j’ai voulu recracher j’entendis :
- Avales ! On ne gaspille pas !

J’avais horreur de ça mais il me regardait d’un regard froid et noir que je ne pus que l’avaler d’une traite.

- Bien !

Il paraissait satisfait et s’approcha de moi avec sa bite qui était toute mouillée de sperme. Il me l’essuya sur le visage et se remis devant ma bouche.

- Nettoies la maintenant !

J’ouvrais la bouche et je sucais sa bite pour qu’il ne reste rien. Il me déposa un baiser sur mes lèvres et me serra dans ses bras.

- Ma chérie j’ai adoré que tu te laisses faire comme ça ! Ca te dit de faire la petite trainée une fois par semaine ?

- Bien sur mon amour, je n’attendais que ça ! Commençons une fois par semaine….

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