Lorenna 02 Les Prémisses De Mes Envies Candaulistes
Récit érotique écrit par Desiderium81 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2024 dans la catégorie Plus on est
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Lorenna 02 Les Prémisses De Mes Envies Candaulistes
Un récit qui condense, en une journée, le lent mais délicieux cheminement de notre couple. Pour la fluidité de la narration, j'ai dû romancer, mais sur le fond, c'est authentique.
On a pas profité du long week-end de 3 jours pour s'éclipser. Du coup, des amis qui partaient en escapade nous ont demandé de passer chez eux afin de s'occuper de leurs animaux de compagnie. L'avantage, c'est qu'on peut profiter de leur piscine. Ils habitent un pavillon en bordure de rivière, assez tranquille, ils n'ont qu'un voisin.
Et quel voisin! C'est un personnage atypique, un peu ermite, qui vit seul dans une baraque qui semble tomber en ruine. Son jardin se divise en 2 parties, un potager luxuriant et de l'autre coté, un tas de bazar de vide grenier qu'il récupère, répare parfois, et revend rarement. Bref, ça contraste avec le gazon et les plantes d'ornement de nos amis. Évidement, il n'y a qu'un muret qui sépare les deux terrains. Donc, de son potager, il a vue sur la piscine, malgré quelques arbustes.
Nous sommes donc arrivés le dimanche matin, je suis allé taper la causette avec ce gars que je connais un peu. Ma compagne reste en retrait, puis se joint nous. Elle porte une petite robe d'été, qui ne manque pas de faire son effet. Elle se tient a coté de moi, discrètement, je caresse se fesses, je m’enhardis même à soulever sa robe, imaginant qu'il ne voit pas grand chose mais qu'il devine les privautés que je me permets et auxquelles elle consent volontiers. Lorsqu'il est nerveux, le gars se met a bégayer, et ça ne tarde pas. Je remarque son regard qui se fixe sur elle, pendant que je lui demande comment il s'y prend pour faire rougir les tomates. ;)
Bref, au bout d'un moment, nous le laissons à ses occupations maraîchères pour nous occuper des animaux et du repas.
Ce type intrigue ma compagne. On a du mal a se figurer ce que c'est que la solitude de cet homme, qui a été marié et qui, malgré son âge, doit avoir des envies, des besoins. Je sais par une indiscrétion de mon ami qu'il a eu des soucis d'argent a cause de l'abus de téléphone rose (ou un truc dans le genre). J'en rajoute un peu en lui disant que j'ai cru deviner une érection qu'il masquait en mettant sa main dans sa poche, et qu'il était probablement déjà en train de se branler en pensant à elle. ça la trouble, ça l'amuse, et ça fini par l'exciter un peu. Imaginer la frustration de cet homme et à quel point elle pourrait devenir "palpable".
Après le repas, nous nous installons sur la terrasse pour prendre le café, pour nous apercevoir que le voisin s’affaire dans le jardin malgré un soleil de plomb. Pour moi, il n'y a pas de doutes, il doit jeter des coups d’œil de temps en temps. N'y prêtant guère attention, nous faisons comme à notre habitude, elle vient sur mes genoux, je caresse ses jambes, passe mes mains sous sa robe, nous nous embrassons langoureusement. J'en viens à faire glisser sa robe par terre pour qu'il profite du spectacle, lorsqu'il passe le long du muret, il est une dizaine de mètres, il ne peut pas ne pas nous voir. Au bout de quelques minutes, elle rentre dans la maison pour quitter sa culotte et mettre son maillot de bain. Je ne vois pas trop la différence puisqu'elle fait du monokini. Mais je comprends qu'on va aller se baigner. Entre le terrain et la rivière, il y a un petit chemin qui est emprunté par des riverains, des promeneurs et des VTTistes. La piscine est abritée des regards par un mur aussi haut que celui du voisin d’où dépassent des lilas. Les passants ne remarqueraient rien mais quelqu'un qui s’attarderait pourrait nous voir.
Dans l'eau, rien d'insolent ou de coquin, c'est lorsque nous sortons profiter du soleil que les choses s’accélèrent. On s’installe cote à cote sur l'herbe mais très vite, je ne me gène pas pour lécher ses seins et glisser ma mains entre ses cuisses. Mon sexe se tend, elle retire mon maillot, s'installe entre mes jambes et commence à me sucer, sans qu'on se préoccupe du bonhomme. Je m'abandonne au plaisir de cette fellation. Je regarde sa langue virevolter sur mon gland qui disparaît peu après dans sa bouche...Je comprends qu'elle ne s’arrêtera pas tant que je n'aurait pas lâché prise. Quand soudain, je vois passer un chapeau de paille dans le jardin d'en face. J'ai du tressaillir car elle s'est interrompue un instant pour me dire: "Ne t'occupe pas de lui. Qu'il regarde si ça lui fait plaisir mais je ne veux pas qu'il nous dérange."
J'ai fermé les yeux, elle a remit ses lèvres autour de mon sexe. je me suis laissé emporter par ses divines caresses. J'ai juste relevé la tête pour lui annoncer que mon plaisir était imminent. Elle a posé sa main sur mes testicules pour les sentir se contracter, et comme elle voulait voir ma semence surgir, elle a pris soin de ne me lâcher qu'au dernier moment. Elle m'a regardé jouir avec un sourire de contentement, puis s'est allongée à mes cotés. Nous avons échangé des baisers, des gestes tendres, des caresses affectueuses. L’après midi s'est écoulé lentement entre bain de soleil et citronnade glacée.
En fin de journée, nous décidons de suivre le chemin qui borde la rivière. Elle remet sa robe mais je lui demande de ne pas mettre de culotte, avec un peu de chance, un coup de vent opportun viendra dévoiler ses fesses. Le temps est lourd, mais l'orage ne viendra pas et la petite brise qui anime les branches des arbres qui bordent le cours d'eau ne fera pas connaître l'humeur taquine de ma compagne. Seuls les rayons du soleil couchant dessineront ses formes a travers le tissus translucide. Mais il a peu de spectateurs. Je suis un peu dépité. Nous rentrons pour manger.
Vers 22h, nous sommes sur la terrasse, le jardinier d'à coté arrose ses légumes et, Ô surprise, elle se dirige vers la piscine, quitte sa robe et, sans attendre, décide d'avancer le traditionnel bain de minuit dans sa version dépouillée. Je suis surpris et amusé. Serait-ce le vin qui la désinhibe ? Je reste à ma place mais je préfère la regarder plutôt que de scruter les réactions du légumiste d'à coté. Je l'ai rejoint quand la lumière du jour a commencé à décliner, non sans avoir allumé l'éclairage autour de la piscine. Lorsque nous sommes dans l'eau, on ne peut vraisemblablement pas nous voir. C'est sans doute pour cela qu'elle s'assoit sur la margelle. Je m'immerge pour refaire surface entre ses jambes, et enfouir mon visage entre ses cuisses qu'elle ouvre complaisamment.
J'aime lécher son sexe, remonter le long de ses lèvres, les entrouvrir, goûter son plaisir naissant. Embrasser son pubis puis faire rouler son clitoris sous ma langue. Descendre pour plonger ma langue dans son sexe, sucer, aspirer, lécher encore et de plus en plus fort. Sa main vient se poser sur mon crane pour me guider, m'indiquer là ou il faut que j'insiste, et quand il faut que je relâche la pression afin que cela dure. Je m'appuie sur les mains pour remonter afin de m'occuper de ses tétons, dévorer délicatement ses seins, et l'embrasser goulûment avant de continuer le cunnilingus qui, je l’espère, déclenchera des vagues de plaisir. Ses murmures, sa respirations haletante ne me laissent plus douter de l'effet que ma langue produit. Je redouble d'ardeur, je m'accroche à ses seins, puis je soulève ses fesses pour la déguster comme une glace italienne, de son anus à son clitoris, à grandes lapées, et succions appuyées. Dans ces moments là, rien ne compte si ce n'est l'envie de lui donner du plaisir. Au bout de quelques minutes, je sens qu'elle se laisse aller. Les spasmes du plaisir la parcourent. Elle me repousse, serre le cuisses afin de me faire cesser. Elle se laisse glisser dans l'eau, nous nous enlaçons, nous embrassons.
-"Tu crois qu'il nous observe?" Me demande t-elle. La maisonnette est plongée dans l'obscurité, s'il est là, on ne peut pas le deviner. "Tu aurais voulu qu'il manifeste sa présence? " lui répondis-je?
- "J'aurais aimé le voir se branler, c'est une idée qui m'excite, même si ça pourrait paraître glauque."
-"Vu comme il te dévorait du regard, je serais pas étonné qu'il ait pensé à toi."
-"Je me vois deviner sa présence et ressentir la même envie qui monte de mon bas-ventre. Mais cette fois-ci, je lui donnerais ce dont il a envie. J’aurais envie de satisfaire ce désir, de mettre un terme à la frustration sexuelle que cet homme d’âge avancé doit ressentir. Je lui offrirais mon profil où il devinerait mes seins et me regarderait les caresser lentement. Il devinerait le bout de mes seins tendus et rêverait de les toucher, de les embrasser. Je lui présenterais ma croupe, penchée en avant lui offrant le spectacle de mon sexe entre mes cuisses légèrement ouvertes, et il verrait ma main caresser mes lèvres gonflées. Je me retournerais alors pour le regarder fixement en continuant mes attouchements. Je l’encouragerais à laisser libre cours à son plaisir, à passer sa main sur son sexe endormi depuis si longtemps. J’aimerais qu’il consente à me montrer son sexe tendu, à exhiber le désir que je provoque et à se branler frénétiquement. Je lui offrirais tout, mes seins que je pétrirais, mes jambes que j’entrouvrirais assise. ma chatte qu’il aura envie de palper, d’embrasser, de sucer. Je rêverais de voir cet homme heureux de connaître à nouveau le bonheur d’une érection et d’être autorisé à assouvir ce besoin pressant, de le voir ému au bord de la jouissance. C’est à ce moment-là que je lui sourirais et que je m’éclipserai"
-"Oh, la garce!"
Nous éclatons de rire, et décidons de rentrer. En passant en voiture de l'autre coté de la maisonnette, une des fenêtres est éclairée. Une silhouette se dessine. Je hausse les sourcils, nous ne saurons pas s'il nous a espionné. Peut-être lorsque nous y retourneront?
Une fois rentrés et alités, je lui reparlais de cette journée, de l’enfièvrement qui m'avait envahit à l'idée que cet homme la regarde, la convoite.
- «ça te fait bander de m'imaginer entre les mains de ce type?» me demanda-t-elle en passant sa main sur mon sexe avec un ton faussement réprobateur.
- «Lui? Non. Ça m'amuse que tu le chauffes un peu mais ça aurait quelque chose de dégradant...» Je marquais une pause, essayant de mesurer les conséquences de ce que je m’apprêtais à dire. «Mais l'idée que tu séduises ou que tu te laisses séduire par un autre homme, et que tu lui offres tes charmes sous mes yeux concupiscents me bouleverse».
Elle demeura silencieuse à son tour un long moment.
- «Tu es sérieux? Tu veux que je te trompes?» Sa voix portait une certaine tension. Son regard était en train de changer.
- «Non, lui dis-je. C'est autre chose. Difficile à formuler. J'adore quand on fait l'amour, quand on s'exhibe, quand on s'amuse, et je t'aime par dessus tout. N'en doute pas. Si tu prenais plaisir à sentir les mains larges et fermes d'un homme qui viendraient flatter tes courbes délicieuses, je serais fou de jalousie. Et pourtant, je frisonne en imaginant être spectateur de ta sensualité. C'est un sentiment complexe, contradictoire et ambivalent.»
Le silence qui suivit fut pesant, et me parut interminable.
- «Il faut que je te dise quelque chose».
Cette phrase me fit tressaillir. Je me sentais soudain comme au bord d'un précipice. Et un mot, un souffle pouvait me faire basculer dans l’abîme. Je ne disais rien, suspendu à ses lèvres.
- «Tu te souviens de Pascal? le pote de mon cousin, celui qu'on a rencontré a Biarritz.
- Oui, et? (J'en avais le souffle coupé.)
- Il m'a envoyé un message, il y a un mois.
- Qu'est-ce qu'il veut?
- Tu sait très bien ce qu'il veut, ne joue pas les naïfs. Je ne suis pas dupe.
- Il te plaît?
- C'est un bel homme. Répondit-elle en souriant.
- T'as répondu quoi?
- Pour le moment, je n'ai pas répondu. Et je ne pensais pas le faire. Mais si tu es d'accord, je peux faire sortir le loup du bois.
J'avais l'impression d'avoir ouvert la boite de Pandore. Mes pensées se bousculaient. J’étais pétrifié intérieurement. Pour autant, j'imaginais déjà les privautés que pourrait ce permettre ce type sur ma femme et cela me faisait déjà bander.
- Tu me montres son message, s'il te plaît?
- Demain, mon chéri, bonne nuit."
(a suivre)
Merci de m'avoir lu
On a pas profité du long week-end de 3 jours pour s'éclipser. Du coup, des amis qui partaient en escapade nous ont demandé de passer chez eux afin de s'occuper de leurs animaux de compagnie. L'avantage, c'est qu'on peut profiter de leur piscine. Ils habitent un pavillon en bordure de rivière, assez tranquille, ils n'ont qu'un voisin.
Et quel voisin! C'est un personnage atypique, un peu ermite, qui vit seul dans une baraque qui semble tomber en ruine. Son jardin se divise en 2 parties, un potager luxuriant et de l'autre coté, un tas de bazar de vide grenier qu'il récupère, répare parfois, et revend rarement. Bref, ça contraste avec le gazon et les plantes d'ornement de nos amis. Évidement, il n'y a qu'un muret qui sépare les deux terrains. Donc, de son potager, il a vue sur la piscine, malgré quelques arbustes.
Nous sommes donc arrivés le dimanche matin, je suis allé taper la causette avec ce gars que je connais un peu. Ma compagne reste en retrait, puis se joint nous. Elle porte une petite robe d'été, qui ne manque pas de faire son effet. Elle se tient a coté de moi, discrètement, je caresse se fesses, je m’enhardis même à soulever sa robe, imaginant qu'il ne voit pas grand chose mais qu'il devine les privautés que je me permets et auxquelles elle consent volontiers. Lorsqu'il est nerveux, le gars se met a bégayer, et ça ne tarde pas. Je remarque son regard qui se fixe sur elle, pendant que je lui demande comment il s'y prend pour faire rougir les tomates. ;)
Bref, au bout d'un moment, nous le laissons à ses occupations maraîchères pour nous occuper des animaux et du repas.
Ce type intrigue ma compagne. On a du mal a se figurer ce que c'est que la solitude de cet homme, qui a été marié et qui, malgré son âge, doit avoir des envies, des besoins. Je sais par une indiscrétion de mon ami qu'il a eu des soucis d'argent a cause de l'abus de téléphone rose (ou un truc dans le genre). J'en rajoute un peu en lui disant que j'ai cru deviner une érection qu'il masquait en mettant sa main dans sa poche, et qu'il était probablement déjà en train de se branler en pensant à elle. ça la trouble, ça l'amuse, et ça fini par l'exciter un peu. Imaginer la frustration de cet homme et à quel point elle pourrait devenir "palpable".
Après le repas, nous nous installons sur la terrasse pour prendre le café, pour nous apercevoir que le voisin s’affaire dans le jardin malgré un soleil de plomb. Pour moi, il n'y a pas de doutes, il doit jeter des coups d’œil de temps en temps. N'y prêtant guère attention, nous faisons comme à notre habitude, elle vient sur mes genoux, je caresse ses jambes, passe mes mains sous sa robe, nous nous embrassons langoureusement. J'en viens à faire glisser sa robe par terre pour qu'il profite du spectacle, lorsqu'il passe le long du muret, il est une dizaine de mètres, il ne peut pas ne pas nous voir. Au bout de quelques minutes, elle rentre dans la maison pour quitter sa culotte et mettre son maillot de bain. Je ne vois pas trop la différence puisqu'elle fait du monokini. Mais je comprends qu'on va aller se baigner. Entre le terrain et la rivière, il y a un petit chemin qui est emprunté par des riverains, des promeneurs et des VTTistes. La piscine est abritée des regards par un mur aussi haut que celui du voisin d’où dépassent des lilas. Les passants ne remarqueraient rien mais quelqu'un qui s’attarderait pourrait nous voir.
Dans l'eau, rien d'insolent ou de coquin, c'est lorsque nous sortons profiter du soleil que les choses s’accélèrent. On s’installe cote à cote sur l'herbe mais très vite, je ne me gène pas pour lécher ses seins et glisser ma mains entre ses cuisses. Mon sexe se tend, elle retire mon maillot, s'installe entre mes jambes et commence à me sucer, sans qu'on se préoccupe du bonhomme. Je m'abandonne au plaisir de cette fellation. Je regarde sa langue virevolter sur mon gland qui disparaît peu après dans sa bouche...Je comprends qu'elle ne s’arrêtera pas tant que je n'aurait pas lâché prise. Quand soudain, je vois passer un chapeau de paille dans le jardin d'en face. J'ai du tressaillir car elle s'est interrompue un instant pour me dire: "Ne t'occupe pas de lui. Qu'il regarde si ça lui fait plaisir mais je ne veux pas qu'il nous dérange."
J'ai fermé les yeux, elle a remit ses lèvres autour de mon sexe. je me suis laissé emporter par ses divines caresses. J'ai juste relevé la tête pour lui annoncer que mon plaisir était imminent. Elle a posé sa main sur mes testicules pour les sentir se contracter, et comme elle voulait voir ma semence surgir, elle a pris soin de ne me lâcher qu'au dernier moment. Elle m'a regardé jouir avec un sourire de contentement, puis s'est allongée à mes cotés. Nous avons échangé des baisers, des gestes tendres, des caresses affectueuses. L’après midi s'est écoulé lentement entre bain de soleil et citronnade glacée.
En fin de journée, nous décidons de suivre le chemin qui borde la rivière. Elle remet sa robe mais je lui demande de ne pas mettre de culotte, avec un peu de chance, un coup de vent opportun viendra dévoiler ses fesses. Le temps est lourd, mais l'orage ne viendra pas et la petite brise qui anime les branches des arbres qui bordent le cours d'eau ne fera pas connaître l'humeur taquine de ma compagne. Seuls les rayons du soleil couchant dessineront ses formes a travers le tissus translucide. Mais il a peu de spectateurs. Je suis un peu dépité. Nous rentrons pour manger.
Vers 22h, nous sommes sur la terrasse, le jardinier d'à coté arrose ses légumes et, Ô surprise, elle se dirige vers la piscine, quitte sa robe et, sans attendre, décide d'avancer le traditionnel bain de minuit dans sa version dépouillée. Je suis surpris et amusé. Serait-ce le vin qui la désinhibe ? Je reste à ma place mais je préfère la regarder plutôt que de scruter les réactions du légumiste d'à coté. Je l'ai rejoint quand la lumière du jour a commencé à décliner, non sans avoir allumé l'éclairage autour de la piscine. Lorsque nous sommes dans l'eau, on ne peut vraisemblablement pas nous voir. C'est sans doute pour cela qu'elle s'assoit sur la margelle. Je m'immerge pour refaire surface entre ses jambes, et enfouir mon visage entre ses cuisses qu'elle ouvre complaisamment.
J'aime lécher son sexe, remonter le long de ses lèvres, les entrouvrir, goûter son plaisir naissant. Embrasser son pubis puis faire rouler son clitoris sous ma langue. Descendre pour plonger ma langue dans son sexe, sucer, aspirer, lécher encore et de plus en plus fort. Sa main vient se poser sur mon crane pour me guider, m'indiquer là ou il faut que j'insiste, et quand il faut que je relâche la pression afin que cela dure. Je m'appuie sur les mains pour remonter afin de m'occuper de ses tétons, dévorer délicatement ses seins, et l'embrasser goulûment avant de continuer le cunnilingus qui, je l’espère, déclenchera des vagues de plaisir. Ses murmures, sa respirations haletante ne me laissent plus douter de l'effet que ma langue produit. Je redouble d'ardeur, je m'accroche à ses seins, puis je soulève ses fesses pour la déguster comme une glace italienne, de son anus à son clitoris, à grandes lapées, et succions appuyées. Dans ces moments là, rien ne compte si ce n'est l'envie de lui donner du plaisir. Au bout de quelques minutes, je sens qu'elle se laisse aller. Les spasmes du plaisir la parcourent. Elle me repousse, serre le cuisses afin de me faire cesser. Elle se laisse glisser dans l'eau, nous nous enlaçons, nous embrassons.
-"Tu crois qu'il nous observe?" Me demande t-elle. La maisonnette est plongée dans l'obscurité, s'il est là, on ne peut pas le deviner. "Tu aurais voulu qu'il manifeste sa présence? " lui répondis-je?
- "J'aurais aimé le voir se branler, c'est une idée qui m'excite, même si ça pourrait paraître glauque."
-"Vu comme il te dévorait du regard, je serais pas étonné qu'il ait pensé à toi."
-"Je me vois deviner sa présence et ressentir la même envie qui monte de mon bas-ventre. Mais cette fois-ci, je lui donnerais ce dont il a envie. J’aurais envie de satisfaire ce désir, de mettre un terme à la frustration sexuelle que cet homme d’âge avancé doit ressentir. Je lui offrirais mon profil où il devinerait mes seins et me regarderait les caresser lentement. Il devinerait le bout de mes seins tendus et rêverait de les toucher, de les embrasser. Je lui présenterais ma croupe, penchée en avant lui offrant le spectacle de mon sexe entre mes cuisses légèrement ouvertes, et il verrait ma main caresser mes lèvres gonflées. Je me retournerais alors pour le regarder fixement en continuant mes attouchements. Je l’encouragerais à laisser libre cours à son plaisir, à passer sa main sur son sexe endormi depuis si longtemps. J’aimerais qu’il consente à me montrer son sexe tendu, à exhiber le désir que je provoque et à se branler frénétiquement. Je lui offrirais tout, mes seins que je pétrirais, mes jambes que j’entrouvrirais assise. ma chatte qu’il aura envie de palper, d’embrasser, de sucer. Je rêverais de voir cet homme heureux de connaître à nouveau le bonheur d’une érection et d’être autorisé à assouvir ce besoin pressant, de le voir ému au bord de la jouissance. C’est à ce moment-là que je lui sourirais et que je m’éclipserai"
-"Oh, la garce!"
Nous éclatons de rire, et décidons de rentrer. En passant en voiture de l'autre coté de la maisonnette, une des fenêtres est éclairée. Une silhouette se dessine. Je hausse les sourcils, nous ne saurons pas s'il nous a espionné. Peut-être lorsque nous y retourneront?
Une fois rentrés et alités, je lui reparlais de cette journée, de l’enfièvrement qui m'avait envahit à l'idée que cet homme la regarde, la convoite.
- «ça te fait bander de m'imaginer entre les mains de ce type?» me demanda-t-elle en passant sa main sur mon sexe avec un ton faussement réprobateur.
- «Lui? Non. Ça m'amuse que tu le chauffes un peu mais ça aurait quelque chose de dégradant...» Je marquais une pause, essayant de mesurer les conséquences de ce que je m’apprêtais à dire. «Mais l'idée que tu séduises ou que tu te laisses séduire par un autre homme, et que tu lui offres tes charmes sous mes yeux concupiscents me bouleverse».
Elle demeura silencieuse à son tour un long moment.
- «Tu es sérieux? Tu veux que je te trompes?» Sa voix portait une certaine tension. Son regard était en train de changer.
- «Non, lui dis-je. C'est autre chose. Difficile à formuler. J'adore quand on fait l'amour, quand on s'exhibe, quand on s'amuse, et je t'aime par dessus tout. N'en doute pas. Si tu prenais plaisir à sentir les mains larges et fermes d'un homme qui viendraient flatter tes courbes délicieuses, je serais fou de jalousie. Et pourtant, je frisonne en imaginant être spectateur de ta sensualité. C'est un sentiment complexe, contradictoire et ambivalent.»
Le silence qui suivit fut pesant, et me parut interminable.
- «Il faut que je te dise quelque chose».
Cette phrase me fit tressaillir. Je me sentais soudain comme au bord d'un précipice. Et un mot, un souffle pouvait me faire basculer dans l’abîme. Je ne disais rien, suspendu à ses lèvres.
- «Tu te souviens de Pascal? le pote de mon cousin, celui qu'on a rencontré a Biarritz.
- Oui, et? (J'en avais le souffle coupé.)
- Il m'a envoyé un message, il y a un mois.
- Qu'est-ce qu'il veut?
- Tu sait très bien ce qu'il veut, ne joue pas les naïfs. Je ne suis pas dupe.
- Il te plaît?
- C'est un bel homme. Répondit-elle en souriant.
- T'as répondu quoi?
- Pour le moment, je n'ai pas répondu. Et je ne pensais pas le faire. Mais si tu es d'accord, je peux faire sortir le loup du bois.
J'avais l'impression d'avoir ouvert la boite de Pandore. Mes pensées se bousculaient. J’étais pétrifié intérieurement. Pour autant, j'imaginais déjà les privautés que pourrait ce permettre ce type sur ma femme et cela me faisait déjà bander.
- Tu me montres son message, s'il te plaît?
- Demain, mon chéri, bonne nuit."
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis très excité par la lecture de votre récit, j'imagine vivre la même chose avec ma conjointe
Bonsoir Désidérium81 pour ce récit fort bien écrit (excepté de nombreuses fautes de frappe) ce ui ne nuit pas à l’intérêt que nous pouvons porter à votre texte même si nous connaissons d'avance la suite et la chute de cette histoire ; ne sommes-nous pas sur un site candauliste et candaulistes nous même pour apprécier ce genre.... Didier ce préambue vaut pour moi : 9,5/10
excellent! Félicitations
Merci pour vos encouragements, la suite arrive bientôt, mais n'oubliez pas le chapitre 01...
Merci pour vos commentaires!
Merci pour vos commentaires!
superbe histoire ça donne envie de lire la suite