Lou De découvertes en expériences
Récit érotique écrit par Piewy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Lou De découvertes en expériences
A peine le dos tourné, je sais que tu vas prendre mon enveloppe et la tourner dans tous les sens, la palper pour essayer de deviner son contenu.
Tu sens l’objet dur qu'il contient petit mais pas trop. Cela ne semble pas être la télécommande de ton œuf. Mais curieuse tu hésites à ouvrir l’enveloppe.
Heureusement ou malheureusement un SMS arrive et tu vois que c'est moi l’expéditeur.
Lou,Ne cherche pas à savoir ce que contient l’enveloppe. Bénédiction sera si tu l'auras ouverte et pourras choisir sa manière de se venger si tu nous as désobéi.
Baisers tendres
Pierre
En même temps, une vibration se fait sentir dans ton ventre et provoque d’agréables frissons. Tu croises les jambes et serres tes cuisses pour mieux en profiter.
Tu me réponds
Pierre,Merci pour cette merveilleuse nuit et les doux frissons qui restent en moi.
Baisers qui en attendent d’autresTa Lou.
En recevant, ton SMS et en quittant enfin les locaux, je coupe les vibrations de ton œuf, mais à partir de mon téléphone.
En fin de matinée, alors que ta concentration est perturbée par ces deux objets figés dans ton bas-ventre qui te diffusent de douces ondes de plaisirs, tu consultes ton agenda.
Zut une grosse réunion de service, impossible de finir plus tôt. Tant pis, je vais me libérer de cette tension entre midi et deux heure puis les ôter pour être concentrée cette après-midi.
Un nouvel SMS arrive d’un numéro inconnu:Bonjour Lou,
Comme Pierre tu l'as dit, je t’attends impatiente chez moi pour reprendre l’objet que je t'ai prêté mais en attendant que je te le retire interdiction de le retirer ainsi que son complice.
Si jamais, l’envie est trop forte, nous avons convenu avec Pierre que tu seras autorisée mais nous souhaitons une preuve de ta dépravation sinon interdiction de te faire jouir.
Baisers de lèvres qui rêvent de te boire.
Bénédicte
Qu'ont-ils manigancé dans mon dos mais connaissant Pierre et Bénédicte, cela risque d’être pervers mais aussi très jouissifs.
Tu lui réponds :
Vous êtes deux pervers
BisesLou
PS: J'ai hâte d'être ce soir.
La pause de midi arrive enfin. Tu te diriges vers la cafétéria mais en chemin, tu ne résiste pas à l’appel de l’œuf et du rosebud. Il te faut jouir alors tu files aux toilettes.
Tu t’isolés, baisses ton jeans et ton shorty. Tu constates qu'il est tout humide de ton excitation.
Tu te colles contre un mur en écartant au maximum tes cuisses puis tu commences à te masturber, une main sur ton clito, deux doigts dans ton sexe. Tu commences à gémir de plaisirs et tu ne fais pas attention à la porte qui s'est ouverte.
Tout à coup, tu entends qu'on toque à ta porte:-Ça va vous avez besoin d’aides ?
Je me terre et me tais, les doigts dans mon vagin. Je ne réponds pas.
-Vous allez bien ?
J’avais juste envie de lui répondre "oui connasse Laisse-moi jouir en paix"-Oui ça va.
Heureusement, je ne connais pas la voix, j'espère qu'elle non plus.
Je tire la chasse d’eau mais j’attends que la personne sorte pour sortir aussi.
Je suis encore plus frustrée qu’avant. Je crois que personne ne devra m’embêter cette après-midi, il prendra toute ma frustration.
La pause fini, je me rends à cette satanée réunion. Je n'ai pas du tout la tête à cela, en plus en marchant vers ladite salle, je sens mes deux tourmenteurs se rappeler à moi.
Comme il y a des intervenants extérieursà l’entreprise, nous nous présentons à tour de rôle. Après avoir passé mon tour, j écouté d’une oreille discrète mes autres collègues quand tout à coup mon cœur raté un battement, cette voix je la connais. Je regarde ma collègue qui est en train de se présenter, je ne me souviens pas de l’avoir croisée et son prénom Odile, je me dis rien mais quand elle dit qu'elle vient de la même agence que Pierre, cela fait tilt. C'est aux toilettes toute à l'heure à que j'ai entendu sa voix. Je rougis de honte, j'espère qu'elle n’a pas reconnu ma voix.
Lors de la pause, elle vient droit vers moi:-Bonjour Lou, désolé de t avoir déranger avant, mais cela m’arrive aussi. Ça restera notre petit secret.
-Odile, je ne sais pas comment te remercier. Mais c'est la première fois que cela m’arrive.
Nous continuons de discuter ensuite de la réunion mais je lui dis qu’après la réunion de hier avec un de ses collègues cela fait beaucoup deux jours de suite.
-Ah, tu as fait la formation avec Pierre ? Il est super tu ne trouves pas. Il a un certain charme et une manière bien à lui de captiver l’assistance. Tu ne trouves pas ?
-Oui, c'est vraiC'est la seule chose que je peux lui répondre en rougissant à nouveau, en repensant à ses charmes.
-Je lui avais proposé de venir déjà hier soir pour passer la soirée avec lui, comme il m'a dit qu'il ne partait que ce matin. Mais il m'a dit qu'il avait déjà un truc de prévu. Il en a parlé pendant la formation ?
Je ne sais plus ce que je lui ai répondu mais j'ai bredouillé et je ne sais pas si elle m'a cru.
Heureusement la réunion se poursuit.
Après 30mn de transport en commun, me voici devant l'immeuble de Bénédicte. Je sonne et par l’interphone, elle m’indique l’étage. Dans l’ascenseur, je réajuste ma coiffure et mon chemiser en ouvrant un bouton pour découvrir un peu le sillon entre mes seins.
Elle devait m’attendre derrière la porte car dès que je toque elle s’ouvre.
-Entre vite, je t’attends depuis deux heures.
Bénédicte est vêtue d’un chemisier transparent noué sous le nombril qui ne laisse planer aucun doute sur l’absence de soutien-gorge et l'on devine aisément la pointe de ses seins par transparence.
Pour le bas, elle a opté une mini-jupe qui est mini mini mais permet d’admirer ses longues jambes perchées sur des talons aiguilles.
Sitôt la porte fermée elle me dit:-Donne-moi ta veste.
Mais elle ne me laisse pas le temps et me pousse contre le mur.
-Laisse-toi faireElle saisit ma veste au niveau des épaules pour la faire tomber et en même temps pose ses lèvres sur les miennes. J'ouvre la bouche pour accueillir sa langue. Un baiser fougueux nous laisse hors d haleine.
-Lou depuis hier soir je rêvais de ta bouche.
Je sens ses mains s’attaquer aux boutons de mon jeans.
-Tu ne crois pas que c'est...
-Lou, j'ai une tradition chez moi, les femmes ne viennent chez moi qu'en robe ou jupe, les pantalons sont proscrits.
Et elle finit d'ouvrir mon jeans pour le faire glisser à terre.
-Tu es bien plus belle ainsi. Viens suis moi au salon.
Voilà ce que Bénédicte m'a écrit de sa soirée avec Lou.
Lou est arrivée avec un peu de retard mais son sourire et sa beauté, sa sensualité me l'ont fait oublier.
Après l'avoir fait entrer, je n'ai pas résisté à goûter ses lèvres... Un vrai délice. Tu ne peux pas savoir Pierre comme la différence entre un baiser d’un homme ou d’une femme peut être énorme. En plus Lou a vite répondu à mon baiser. La tension érotique était telle que j’aurai pu lui faire l’amour là dans l’entrée.
Elle a un peu résisté quand j'ai voulu la déshabiller mais après un prétexte fallacieux elle m'a laissé faire.
Je l'ai alors emmenée au salon, en chemise et en tanga blanc, pieds nus. Vraiment à croquer.
Une fois assise, elle a serré les jambes par réflexe, par timidité. Pour détendre l’atmosphère, je lui ai proposé un verre du vin blanc que tu m'as conseillé : un gewurstraminer de ta région, sucré comme sa cyprine mais ça je ne lui ai pas dit.
Nous avons trinqué à ta santé bien sûr. Puis Lou m a tendu ton enveloppe, j’étais impatiente de l’ouvrir et de profiter du contenu et je crois tout autant que Lou qui m'a demandé pourquoi je ne l ou rais pas.
Nous avons parlé de toi, de ce moment magique au restaurant puis chacune a voulu en savoir plus moi sur toi, elle sur mon copain.
À un moment, je suis allée à la cuisine en emportant l’enveloppe pour que Lou ne voit pas son contenu.
En revenant je me suis assise cette fois à côté d’elle, ma cuisse contre la sienne.
Puis j'ai posé ma main sur sa cuisse, ce fût comme si elle n’attendait que cela mais elle a écarté ses jambes.
Moi, j'ai dénoué ma chemise.
Nous nous sommes alors regardées dans les yeux, puis lentement nos bouches se sont rapprochées, d’abord de petits bisous, puis une langue qui cherche l’autre et enfin nos lèvres qui se soudent. Un baiser sensuel, plein de douceurs mais qui nous a vite échauffé toutes les deux.
Alors sans quitter sa bouche, je me suis mise à califourchon sur ses cuisses afin de pouvoir lui caresser ses seins tout en ouvrant les boutons de sa chemise.
Lou ne fut pas en reste, quittant ses seins un instant, je lui facilite la tâche pour ôter ma chemise. Elle découvre enfin ma poitrine et mes petits seins hyper sensibles. J'espère un jour Pierre que tu viendras aussi t'en occuper.
Elle a commencé à les caresser en les prenant à pleine main puis avec ses ongles rouges elle a serré mes seins jusqu'à saisir les deux bouts avec deux ongles pour les pincer. Je me suis cabrée de plaisirs. Ayant libérée sa bouche, Lou plonge sur un de mes seins pour l’embrasser, le lécher, le mordillerÉtant très sensible et ayant accumulée un tel besoin de jouissance qu'elle parvient à faire éclater ma jouissance que je laisse éclater dans un grand cri.
Je me blottis dans les bras de Lou pour récupérer de la violence de la vague qui m'a submergée.
Reprenant mes esprits, j entraîne Lou dans ma chambre.
-À moi Lou maintenant de t offrir la jouissance qui est en toi depuis ce matin.
J'ai préparé mon nid douillet avec lumière tamisée et en arrivant je mets en route une musique douce.
Je fais se retourner Lou juste au pied du lit avant de reprendre mes baisers sensuels. Je demande à Lou de me laisser entièrement faire et de profiter de ce moment.
Mes baisers descendent le long de son cou pendant que mes mains s'attaquent aux boutons de son chemisier. Comme il s'ouvre ma langue descend vers le sillon qui sépare ses seins. Enfin ouverte, je la fais glisser le long de tes bras et tomber au sol. Je découvre tout soutien-gorge en dentelle et transparence blanc qui met en valeurs ses seins.
Puis je les caresse à travers le fin tissu alors que ma bouche embrasse le haut de ces globes que je déguste. Mais je les en entier alors j’ouvre la fermeture dans ton dos et ce rempart blanc va rejoindre la chemise.
Enfin les seins de Lou sont à moi comme ils l'ont été à toi cette nuit Pierre.
Je commence à les embrasser, les cajoler avec ma bouche. Les tétons durcissement et pointent vers moi sous mes stimulations.
Mes mains caressent ton dos puis descendent sur tes fesses. Lou pose ses mains sur ma tête pour que je ne quitte plus ses seins.
-Continues Bénédicte, ne t’arrête pas j'aime ta douceur.
Mes mains passent sous ton tanga et le font aussi glisser à terre. Puis d’une main j appuis sur le plug qui orné ton cul.
Une plainte sort de la bouche de Lou.
-Alors Lou, tu as aimé être ainsi toute la journée ?
-OH oui, une vrai torture et un plaisir toute la journée, j’étais excitée tout le temps. Et quand j'ai voulu me faire jouir, je me suis fait surprendre. Alors maintenant par pitié fait moi jouir.
-Viens couches toi et offre-moi ton coquillage.
Elle se couche devant moi et écarte ses jambes pour m’offrir une vue magnifique son trésor imberbe ainsi que son cul orné de ton bijou.
Je m’agenouille devant elle, puis pose un premier baiser chaste sur sa chatte luisante.
Lou réagit immédiatement à mon baiser. Elle pousse ses hanches pour se coller à ma bouche.
-Doucement Lou, profite pleinement de ce moment comme je veux en profiter.
-Bénédicte, c'est ton mon corps qui est en attente depuis ce matin, je n'en peux plus d’attendre.
Alors j'introduis un doigt entre ses petites lèvres pour pousser encore plus loin l’œuf qui est dans ton sexe. Mais en même temps je le mets en route sur la fonction spéciale que tu m'as indiquée Pierre : Puissance progressive.
-Salope, tu veux me faire mourir de jouissance.
-Non Lou, juste te faire jouir comme tu n'as jamais joui.
Sous mon doigt je sens la vibration dans ton vagin, c'est pour moi aussi une première.
Alors ma bouche reprend son ballet sur ton clito. Telle la valse à 1000 temps de Brel, j’accélère ma succion mais aussi la pression de mes doigts sur ton plug anal et dans ton vagin avec la montée des vibrations.
Ton bassin aussi va et vient de plus en plus vite.
Tes cris de plaisirs aussi.
La délivrance est proche. Je te pénètre avec 2 puis 3 doigts. Tu t'ouvres tellement que je pourrais presque y passer ma main. C’est merveilleux, de voir Lou partir puis sans prévenir l’orage éclate, son sexe se contracté de jouissances et expulse plusieurs flots de cyprine.
Lou râle de plaisirs le corps arcquebouté sur ma bouche qui est trempée de ta jouissance.
J’arrête les vibrations. Puis je remonte le long du corps de Lou et dans un tendre baiser au goût de sa cyprine nous nous embrassons pour reprendre pieds et que Lou récupère.
-Ce n'est que le début de ta nuit Lou.
Avec Lou, nous nous câlinons doucement afin de reprendre nos esprits, mais en même temps nous savons que ce n’était qu'un début.
Lou en profite pour me déshabiller afin de me retrouver nue comme elle. Que c'est doux chaud sensuels nos deux corps enlacés dans l’attente d'une nouvelle joute amoureuse.
Doucement,je retire son plug, puis l’œuf:-maintenant nous sommes à égalité Lou.
Elle me regarde, me sourit, puis m'embrasse tendrement puis avec de plus en plus d’envies.
Ses mains caressent tout mon corps et attisent mon plaisir. Quand sa main atteint enfin mon pubis, je me mets sur le dos en écartant mes cuisses pour lui laisser l’accès à mon intimité.
Lou en profite pour glisser sur mes poils ras qui ornent le haut de mon sexe. Sa bouche descend sur mes petits seins, j'en gémis de plaisirs. Cela faisait un petit moment que je n'avais plus fait l’amour avec une femme et j’étais en manque de ces moments de douceur.
-A moi, de te goûter Bénédicte.
Et voilà que sa bouche s’arrête sur mon nombril pour y glisser sa langue. Mais j'ai trop envie de la voir s’introduire plus bas alors avec mes mains je fais pression pour qu'elle aille plus bas.
Je sens son souffle arriver sur ma fine toison.
-OH oui Lou mange-moi ma chatte, je veux sentir ta langue en moi.
Mais la coquine introduit en premier un doigt en moi pour me caresser et sa langue tourne autour de mon clito. Que c’est bon, je gémis de plaisirs.
Afin de mieux pouvoir me lécher, Lou se tourne et met ses fesses à la portée de ma main. J'en profite. Mais ma main s’insinue entre ses globes pour découvrir son petit trou encore un peu ouvert et accueille avec plaisir mon index.
Mon pouce fait le tour et vient entre ses petites lèvres.
D'une main Lou me chasse-Non laissé moi d’abord te faire jouir et je t’offrirai après mon corps Bénédicte.
Alors j'ai laissé Lou s’occuper de moi et de mon entre jambe. Moi j'ai pris les bouts de mes seins entre mes, doigts pour augmenter mon plaisir et profiter de la jouissance qui montait doucement dans mon sexe.
En plus de son doigts qui me caresse, je sens son autre main s’approcher par derrière, j écarte au maximum les jambes pour lui indiquer qu’elle a l’accès total à mon corpsAlors un doigt vient caresser mon petit trou. Je sens un deuxième doigt s’enfoncer dans mon sexe à la recherche de mon point G. Mais quand ses lèvres aspirent mon bouton, je ne peux me retenir:-OH oui Lou continue tu vas me faire jouir.
Et elle a forcé mon cul, son doigt est venu dans mes entrailles, me voilà branlée des deux côtés, c'est trop bon et je le crie.
Sa langue titillé mon bouton et me suce pour mon plus grand plaisir mais quand elle ajoute un doigt de chaque côté je ne peux plus retenir la jouissance qui monte et en quelques vas et viens, j explosé qui crie mon orgasme.
À son tour, elle me libère de ses doigts et vient se coucher sur moi seins contre seins. Lou me regarde avec un grand sourire et me dit:-Maintenant nous sommes à égalité.
Puis elle m embrasse tendrement pendant que je la serre dans mes bras.
Après avoir repris un peu de nos jouissances, nous avions soif. Alors. Je suis allée nous chercher deux verres de ce vin sucré et frais qui nous attendaient au salon.
Nous nous sommes assises l'une en face de l'autre. Une main tenant le verre l’autre en douces caresses pour faire remonter le désir. Nous n’étions pas encore rassasiées. Une fois les verres finis, nous nous sommes serrées l’une contre l’autre. Les jambes entremêlées, nos seins se touchant et nos bouches soudées. Un pur moment de bonheur.
Puis nos sexes se sont cherchés et nous nous sommes frottées ensemble. Ce n’est pas juste nos bouches et nos manques qui échangent nos fluides mais aussi nos petites lèvres qui mélangent nos cyprines.
Nos bassins s’entrechoquent à la recherche de plus de plaisirs mais il me manquait quelque chose.
Alors je me penche et sors l’objet de la table de chevet.
-cela te tente Lou ? Je ne l'ai encore jamais essayé à deux.
-Pierre n’avait qu'à être là, il aurait pu nous combler.
Alors nous nous mettons toutes les deux à la caresser, le lécher. Nos langues se retrouvent de temps en temps et nous gémissons ensemble.
-Oh oui, je crois que cela va être monstrueux, Bénédicte.
Nous dessoudons nos sexes pour y glisser ce god double qui nous fait mouiller encore plus. Puis lentement nous nous pénétrons en harmonie.
-C'est trop bon, Lou.
Je le retiens d’une main afin que la pénétration soit similaire et simultanée.
Nous nous regardons les yeux dans les yeux. Nous ne sommes plus que soudées ensemble que par le god.
Notre montées de plaisirs se lient sur nos visages et sentent par nos gémissements.
Nos sexes s entre choquent de plus en plus vite et nos boutons se touchent à chaque fois.
Dans un dernier cri nos orgasmes éclatent. Je n'ai jamais joui ainsi.
Enlacées en pleine béatitude nous nous endormons dans les bras l’une de l’autre.
Merci de ce moment que tu nous as offert Pierre.
Quand tu reviendras on a convenu avec Lou de te rendre tous les plaisirs que tu nous as données indirectement.
Baisers coquins de Bénédicte et Lou.
Ainsi c'est terminé le récit de Bénédicte de sa soirée avec Lou.
Tu sens l’objet dur qu'il contient petit mais pas trop. Cela ne semble pas être la télécommande de ton œuf. Mais curieuse tu hésites à ouvrir l’enveloppe.
Heureusement ou malheureusement un SMS arrive et tu vois que c'est moi l’expéditeur.
Lou,Ne cherche pas à savoir ce que contient l’enveloppe. Bénédiction sera si tu l'auras ouverte et pourras choisir sa manière de se venger si tu nous as désobéi.
Baisers tendres
Pierre
En même temps, une vibration se fait sentir dans ton ventre et provoque d’agréables frissons. Tu croises les jambes et serres tes cuisses pour mieux en profiter.
Tu me réponds
Pierre,Merci pour cette merveilleuse nuit et les doux frissons qui restent en moi.
Baisers qui en attendent d’autresTa Lou.
En recevant, ton SMS et en quittant enfin les locaux, je coupe les vibrations de ton œuf, mais à partir de mon téléphone.
En fin de matinée, alors que ta concentration est perturbée par ces deux objets figés dans ton bas-ventre qui te diffusent de douces ondes de plaisirs, tu consultes ton agenda.
Zut une grosse réunion de service, impossible de finir plus tôt. Tant pis, je vais me libérer de cette tension entre midi et deux heure puis les ôter pour être concentrée cette après-midi.
Un nouvel SMS arrive d’un numéro inconnu:Bonjour Lou,
Comme Pierre tu l'as dit, je t’attends impatiente chez moi pour reprendre l’objet que je t'ai prêté mais en attendant que je te le retire interdiction de le retirer ainsi que son complice.
Si jamais, l’envie est trop forte, nous avons convenu avec Pierre que tu seras autorisée mais nous souhaitons une preuve de ta dépravation sinon interdiction de te faire jouir.
Baisers de lèvres qui rêvent de te boire.
Bénédicte
Qu'ont-ils manigancé dans mon dos mais connaissant Pierre et Bénédicte, cela risque d’être pervers mais aussi très jouissifs.
Tu lui réponds :
Vous êtes deux pervers
BisesLou
PS: J'ai hâte d'être ce soir.
La pause de midi arrive enfin. Tu te diriges vers la cafétéria mais en chemin, tu ne résiste pas à l’appel de l’œuf et du rosebud. Il te faut jouir alors tu files aux toilettes.
Tu t’isolés, baisses ton jeans et ton shorty. Tu constates qu'il est tout humide de ton excitation.
Tu te colles contre un mur en écartant au maximum tes cuisses puis tu commences à te masturber, une main sur ton clito, deux doigts dans ton sexe. Tu commences à gémir de plaisirs et tu ne fais pas attention à la porte qui s'est ouverte.
Tout à coup, tu entends qu'on toque à ta porte:-Ça va vous avez besoin d’aides ?
Je me terre et me tais, les doigts dans mon vagin. Je ne réponds pas.
-Vous allez bien ?
J’avais juste envie de lui répondre "oui connasse Laisse-moi jouir en paix"-Oui ça va.
Heureusement, je ne connais pas la voix, j'espère qu'elle non plus.
Je tire la chasse d’eau mais j’attends que la personne sorte pour sortir aussi.
Je suis encore plus frustrée qu’avant. Je crois que personne ne devra m’embêter cette après-midi, il prendra toute ma frustration.
La pause fini, je me rends à cette satanée réunion. Je n'ai pas du tout la tête à cela, en plus en marchant vers ladite salle, je sens mes deux tourmenteurs se rappeler à moi.
Comme il y a des intervenants extérieursà l’entreprise, nous nous présentons à tour de rôle. Après avoir passé mon tour, j écouté d’une oreille discrète mes autres collègues quand tout à coup mon cœur raté un battement, cette voix je la connais. Je regarde ma collègue qui est en train de se présenter, je ne me souviens pas de l’avoir croisée et son prénom Odile, je me dis rien mais quand elle dit qu'elle vient de la même agence que Pierre, cela fait tilt. C'est aux toilettes toute à l'heure à que j'ai entendu sa voix. Je rougis de honte, j'espère qu'elle n’a pas reconnu ma voix.
Lors de la pause, elle vient droit vers moi:-Bonjour Lou, désolé de t avoir déranger avant, mais cela m’arrive aussi. Ça restera notre petit secret.
-Odile, je ne sais pas comment te remercier. Mais c'est la première fois que cela m’arrive.
Nous continuons de discuter ensuite de la réunion mais je lui dis qu’après la réunion de hier avec un de ses collègues cela fait beaucoup deux jours de suite.
-Ah, tu as fait la formation avec Pierre ? Il est super tu ne trouves pas. Il a un certain charme et une manière bien à lui de captiver l’assistance. Tu ne trouves pas ?
-Oui, c'est vraiC'est la seule chose que je peux lui répondre en rougissant à nouveau, en repensant à ses charmes.
-Je lui avais proposé de venir déjà hier soir pour passer la soirée avec lui, comme il m'a dit qu'il ne partait que ce matin. Mais il m'a dit qu'il avait déjà un truc de prévu. Il en a parlé pendant la formation ?
Je ne sais plus ce que je lui ai répondu mais j'ai bredouillé et je ne sais pas si elle m'a cru.
Heureusement la réunion se poursuit.
Après 30mn de transport en commun, me voici devant l'immeuble de Bénédicte. Je sonne et par l’interphone, elle m’indique l’étage. Dans l’ascenseur, je réajuste ma coiffure et mon chemiser en ouvrant un bouton pour découvrir un peu le sillon entre mes seins.
Elle devait m’attendre derrière la porte car dès que je toque elle s’ouvre.
-Entre vite, je t’attends depuis deux heures.
Bénédicte est vêtue d’un chemisier transparent noué sous le nombril qui ne laisse planer aucun doute sur l’absence de soutien-gorge et l'on devine aisément la pointe de ses seins par transparence.
Pour le bas, elle a opté une mini-jupe qui est mini mini mais permet d’admirer ses longues jambes perchées sur des talons aiguilles.
Sitôt la porte fermée elle me dit:-Donne-moi ta veste.
Mais elle ne me laisse pas le temps et me pousse contre le mur.
-Laisse-toi faireElle saisit ma veste au niveau des épaules pour la faire tomber et en même temps pose ses lèvres sur les miennes. J'ouvre la bouche pour accueillir sa langue. Un baiser fougueux nous laisse hors d haleine.
-Lou depuis hier soir je rêvais de ta bouche.
Je sens ses mains s’attaquer aux boutons de mon jeans.
-Tu ne crois pas que c'est...
-Lou, j'ai une tradition chez moi, les femmes ne viennent chez moi qu'en robe ou jupe, les pantalons sont proscrits.
Et elle finit d'ouvrir mon jeans pour le faire glisser à terre.
-Tu es bien plus belle ainsi. Viens suis moi au salon.
Voilà ce que Bénédicte m'a écrit de sa soirée avec Lou.
Lou est arrivée avec un peu de retard mais son sourire et sa beauté, sa sensualité me l'ont fait oublier.
Après l'avoir fait entrer, je n'ai pas résisté à goûter ses lèvres... Un vrai délice. Tu ne peux pas savoir Pierre comme la différence entre un baiser d’un homme ou d’une femme peut être énorme. En plus Lou a vite répondu à mon baiser. La tension érotique était telle que j’aurai pu lui faire l’amour là dans l’entrée.
Elle a un peu résisté quand j'ai voulu la déshabiller mais après un prétexte fallacieux elle m'a laissé faire.
Je l'ai alors emmenée au salon, en chemise et en tanga blanc, pieds nus. Vraiment à croquer.
Une fois assise, elle a serré les jambes par réflexe, par timidité. Pour détendre l’atmosphère, je lui ai proposé un verre du vin blanc que tu m'as conseillé : un gewurstraminer de ta région, sucré comme sa cyprine mais ça je ne lui ai pas dit.
Nous avons trinqué à ta santé bien sûr. Puis Lou m a tendu ton enveloppe, j’étais impatiente de l’ouvrir et de profiter du contenu et je crois tout autant que Lou qui m'a demandé pourquoi je ne l ou rais pas.
Nous avons parlé de toi, de ce moment magique au restaurant puis chacune a voulu en savoir plus moi sur toi, elle sur mon copain.
À un moment, je suis allée à la cuisine en emportant l’enveloppe pour que Lou ne voit pas son contenu.
En revenant je me suis assise cette fois à côté d’elle, ma cuisse contre la sienne.
Puis j'ai posé ma main sur sa cuisse, ce fût comme si elle n’attendait que cela mais elle a écarté ses jambes.
Moi, j'ai dénoué ma chemise.
Nous nous sommes alors regardées dans les yeux, puis lentement nos bouches se sont rapprochées, d’abord de petits bisous, puis une langue qui cherche l’autre et enfin nos lèvres qui se soudent. Un baiser sensuel, plein de douceurs mais qui nous a vite échauffé toutes les deux.
Alors sans quitter sa bouche, je me suis mise à califourchon sur ses cuisses afin de pouvoir lui caresser ses seins tout en ouvrant les boutons de sa chemise.
Lou ne fut pas en reste, quittant ses seins un instant, je lui facilite la tâche pour ôter ma chemise. Elle découvre enfin ma poitrine et mes petits seins hyper sensibles. J'espère un jour Pierre que tu viendras aussi t'en occuper.
Elle a commencé à les caresser en les prenant à pleine main puis avec ses ongles rouges elle a serré mes seins jusqu'à saisir les deux bouts avec deux ongles pour les pincer. Je me suis cabrée de plaisirs. Ayant libérée sa bouche, Lou plonge sur un de mes seins pour l’embrasser, le lécher, le mordillerÉtant très sensible et ayant accumulée un tel besoin de jouissance qu'elle parvient à faire éclater ma jouissance que je laisse éclater dans un grand cri.
Je me blottis dans les bras de Lou pour récupérer de la violence de la vague qui m'a submergée.
Reprenant mes esprits, j entraîne Lou dans ma chambre.
-À moi Lou maintenant de t offrir la jouissance qui est en toi depuis ce matin.
J'ai préparé mon nid douillet avec lumière tamisée et en arrivant je mets en route une musique douce.
Je fais se retourner Lou juste au pied du lit avant de reprendre mes baisers sensuels. Je demande à Lou de me laisser entièrement faire et de profiter de ce moment.
Mes baisers descendent le long de son cou pendant que mes mains s'attaquent aux boutons de son chemisier. Comme il s'ouvre ma langue descend vers le sillon qui sépare ses seins. Enfin ouverte, je la fais glisser le long de tes bras et tomber au sol. Je découvre tout soutien-gorge en dentelle et transparence blanc qui met en valeurs ses seins.
Puis je les caresse à travers le fin tissu alors que ma bouche embrasse le haut de ces globes que je déguste. Mais je les en entier alors j’ouvre la fermeture dans ton dos et ce rempart blanc va rejoindre la chemise.
Enfin les seins de Lou sont à moi comme ils l'ont été à toi cette nuit Pierre.
Je commence à les embrasser, les cajoler avec ma bouche. Les tétons durcissement et pointent vers moi sous mes stimulations.
Mes mains caressent ton dos puis descendent sur tes fesses. Lou pose ses mains sur ma tête pour que je ne quitte plus ses seins.
-Continues Bénédicte, ne t’arrête pas j'aime ta douceur.
Mes mains passent sous ton tanga et le font aussi glisser à terre. Puis d’une main j appuis sur le plug qui orné ton cul.
Une plainte sort de la bouche de Lou.
-Alors Lou, tu as aimé être ainsi toute la journée ?
-OH oui, une vrai torture et un plaisir toute la journée, j’étais excitée tout le temps. Et quand j'ai voulu me faire jouir, je me suis fait surprendre. Alors maintenant par pitié fait moi jouir.
-Viens couches toi et offre-moi ton coquillage.
Elle se couche devant moi et écarte ses jambes pour m’offrir une vue magnifique son trésor imberbe ainsi que son cul orné de ton bijou.
Je m’agenouille devant elle, puis pose un premier baiser chaste sur sa chatte luisante.
Lou réagit immédiatement à mon baiser. Elle pousse ses hanches pour se coller à ma bouche.
-Doucement Lou, profite pleinement de ce moment comme je veux en profiter.
-Bénédicte, c'est ton mon corps qui est en attente depuis ce matin, je n'en peux plus d’attendre.
Alors j'introduis un doigt entre ses petites lèvres pour pousser encore plus loin l’œuf qui est dans ton sexe. Mais en même temps je le mets en route sur la fonction spéciale que tu m'as indiquée Pierre : Puissance progressive.
-Salope, tu veux me faire mourir de jouissance.
-Non Lou, juste te faire jouir comme tu n'as jamais joui.
Sous mon doigt je sens la vibration dans ton vagin, c'est pour moi aussi une première.
Alors ma bouche reprend son ballet sur ton clito. Telle la valse à 1000 temps de Brel, j’accélère ma succion mais aussi la pression de mes doigts sur ton plug anal et dans ton vagin avec la montée des vibrations.
Ton bassin aussi va et vient de plus en plus vite.
Tes cris de plaisirs aussi.
La délivrance est proche. Je te pénètre avec 2 puis 3 doigts. Tu t'ouvres tellement que je pourrais presque y passer ma main. C’est merveilleux, de voir Lou partir puis sans prévenir l’orage éclate, son sexe se contracté de jouissances et expulse plusieurs flots de cyprine.
Lou râle de plaisirs le corps arcquebouté sur ma bouche qui est trempée de ta jouissance.
J’arrête les vibrations. Puis je remonte le long du corps de Lou et dans un tendre baiser au goût de sa cyprine nous nous embrassons pour reprendre pieds et que Lou récupère.
-Ce n'est que le début de ta nuit Lou.
Avec Lou, nous nous câlinons doucement afin de reprendre nos esprits, mais en même temps nous savons que ce n’était qu'un début.
Lou en profite pour me déshabiller afin de me retrouver nue comme elle. Que c'est doux chaud sensuels nos deux corps enlacés dans l’attente d'une nouvelle joute amoureuse.
Doucement,je retire son plug, puis l’œuf:-maintenant nous sommes à égalité Lou.
Elle me regarde, me sourit, puis m'embrasse tendrement puis avec de plus en plus d’envies.
Ses mains caressent tout mon corps et attisent mon plaisir. Quand sa main atteint enfin mon pubis, je me mets sur le dos en écartant mes cuisses pour lui laisser l’accès à mon intimité.
Lou en profite pour glisser sur mes poils ras qui ornent le haut de mon sexe. Sa bouche descend sur mes petits seins, j'en gémis de plaisirs. Cela faisait un petit moment que je n'avais plus fait l’amour avec une femme et j’étais en manque de ces moments de douceur.
-A moi, de te goûter Bénédicte.
Et voilà que sa bouche s’arrête sur mon nombril pour y glisser sa langue. Mais j'ai trop envie de la voir s’introduire plus bas alors avec mes mains je fais pression pour qu'elle aille plus bas.
Je sens son souffle arriver sur ma fine toison.
-OH oui Lou mange-moi ma chatte, je veux sentir ta langue en moi.
Mais la coquine introduit en premier un doigt en moi pour me caresser et sa langue tourne autour de mon clito. Que c’est bon, je gémis de plaisirs.
Afin de mieux pouvoir me lécher, Lou se tourne et met ses fesses à la portée de ma main. J'en profite. Mais ma main s’insinue entre ses globes pour découvrir son petit trou encore un peu ouvert et accueille avec plaisir mon index.
Mon pouce fait le tour et vient entre ses petites lèvres.
D'une main Lou me chasse-Non laissé moi d’abord te faire jouir et je t’offrirai après mon corps Bénédicte.
Alors j'ai laissé Lou s’occuper de moi et de mon entre jambe. Moi j'ai pris les bouts de mes seins entre mes, doigts pour augmenter mon plaisir et profiter de la jouissance qui montait doucement dans mon sexe.
En plus de son doigts qui me caresse, je sens son autre main s’approcher par derrière, j écarte au maximum les jambes pour lui indiquer qu’elle a l’accès total à mon corpsAlors un doigt vient caresser mon petit trou. Je sens un deuxième doigt s’enfoncer dans mon sexe à la recherche de mon point G. Mais quand ses lèvres aspirent mon bouton, je ne peux me retenir:-OH oui Lou continue tu vas me faire jouir.
Et elle a forcé mon cul, son doigt est venu dans mes entrailles, me voilà branlée des deux côtés, c'est trop bon et je le crie.
Sa langue titillé mon bouton et me suce pour mon plus grand plaisir mais quand elle ajoute un doigt de chaque côté je ne peux plus retenir la jouissance qui monte et en quelques vas et viens, j explosé qui crie mon orgasme.
À son tour, elle me libère de ses doigts et vient se coucher sur moi seins contre seins. Lou me regarde avec un grand sourire et me dit:-Maintenant nous sommes à égalité.
Puis elle m embrasse tendrement pendant que je la serre dans mes bras.
Après avoir repris un peu de nos jouissances, nous avions soif. Alors. Je suis allée nous chercher deux verres de ce vin sucré et frais qui nous attendaient au salon.
Nous nous sommes assises l'une en face de l'autre. Une main tenant le verre l’autre en douces caresses pour faire remonter le désir. Nous n’étions pas encore rassasiées. Une fois les verres finis, nous nous sommes serrées l’une contre l’autre. Les jambes entremêlées, nos seins se touchant et nos bouches soudées. Un pur moment de bonheur.
Puis nos sexes se sont cherchés et nous nous sommes frottées ensemble. Ce n’est pas juste nos bouches et nos manques qui échangent nos fluides mais aussi nos petites lèvres qui mélangent nos cyprines.
Nos bassins s’entrechoquent à la recherche de plus de plaisirs mais il me manquait quelque chose.
Alors je me penche et sors l’objet de la table de chevet.
-cela te tente Lou ? Je ne l'ai encore jamais essayé à deux.
-Pierre n’avait qu'à être là, il aurait pu nous combler.
Alors nous nous mettons toutes les deux à la caresser, le lécher. Nos langues se retrouvent de temps en temps et nous gémissons ensemble.
-Oh oui, je crois que cela va être monstrueux, Bénédicte.
Nous dessoudons nos sexes pour y glisser ce god double qui nous fait mouiller encore plus. Puis lentement nous nous pénétrons en harmonie.
-C'est trop bon, Lou.
Je le retiens d’une main afin que la pénétration soit similaire et simultanée.
Nous nous regardons les yeux dans les yeux. Nous ne sommes plus que soudées ensemble que par le god.
Notre montées de plaisirs se lient sur nos visages et sentent par nos gémissements.
Nos sexes s entre choquent de plus en plus vite et nos boutons se touchent à chaque fois.
Dans un dernier cri nos orgasmes éclatent. Je n'ai jamais joui ainsi.
Enlacées en pleine béatitude nous nous endormons dans les bras l’une de l’autre.
Merci de ce moment que tu nous as offert Pierre.
Quand tu reviendras on a convenu avec Lou de te rendre tous les plaisirs que tu nous as données indirectement.
Baisers coquins de Bénédicte et Lou.
Ainsi c'est terminé le récit de Bénédicte de sa soirée avec Lou.
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