Luc STORY… IV
Récit érotique écrit par Alanbi008 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Luc STORY… IV
Mi-janvier je reçois un petit SMS de mon loulou dans des termes assez laconique « T’es
libre quand ? ». Tout de suite j’organise un planning et je lui réponds : « Début
février. », puis plus rien durant cinq jours. Enfin un nouveau message : « Dis-moi
quand tu peux te libérer pour une soirée ? ». Ma femme devant partir pour deux jours
sur Paris l’aubaine est trop bonne. Je lui réponds : « Jeudi 2 février. », « Ok, sois
là pour 20 heure ».
Les dix à douze jours qui ont suivi m’ont paru interminables. Jeudi midi un texto de
loulou « Toujours ok pour ce soir ? » Je lui réponds « OUIIIIIIII !!!!! » J’avais trop
attendu pour oublier ce rendez-vous.
Vingt heures je suis à sa porte. Je grimpe retrouver mon amant, avide de sa peau,
de sa bouche, de son corps. Il m’ouvre la porte et comme à mon habitude je rentre dans
le salon où sont déjà installés deux hommes. Le premier Michel 51 ans, est impression
par sa taille et sa corpulence. Il fait dans les 1m95 pour un bon 100 à 110 kilos. Les
cheveux ras, un cou de taureau, des bras aussi gros que mes cuisses avec des mains
d’une taille impressionnantes, la chemise largement ouverte sur des pectoraux velus
aux tétons proéminant dont le gauche porte une boucle. Il est moulé dans jean qui
comprime des cuisses puissantes, résultat de quelques années de body-building, son cul
bombé monte haut, mais le clou du spectacle c’est le paquet, je suis médusé par le
spectacle. S’il ne bande pas ça laisse présager un sacré morceau. Une vraie force de
la nature. C’est le style de mec qu’il vaut mieux compter parmi ses amis. Le deuxième
Jeremy 34 ans, et tout l’inverse, lui aussi est assez grand, dans les 1m90 mais pour à
peine 70 kilos. Il est tout à fait efféminé, son style de vêtement très looké ne
laisse aucun doute et une petite voix fluette. Je m’assoie sur le canapé à côté de
Luc face à ses invités Nous deux avec nos 1 m74 on passe pour des nains à leur côté.
Luc me fait les présentations, c’est un couple d’ami gay de Liège. Ils sont mariés
depuis 6 ans, puisque en Belgique le mariage gay est autorisé. Luc à fait leur
connaissance au Maroc il y a maintenant 8 ans. Nous buvons un verre et j’ai du mal à
détacher mes yeux de cette boursoufflure qui déborde de l’entre-jambe de Michel. Je
n’arrêtais pas de me poser la question « Il bande ou pas ? ». Nous discutons de
piercing et de tatouage (personnellement je n’en ai aucun) quand Michel se lève pour
nous montrer celui qu’il venait de faire à la jambe. Enfin je vais savoir. Il dégrafe
son pantalon, le descend à ses pieds et nous détail son tatouage. Moi je n’ai d’yeux
que pour son paquet. Moulé dans un string, on voit bien qu’il ne bande pas, la chose
correspond bien à son propriétaire. Son string disparait complètement entre les deux
globes énormes de ses fesses magnifiquement musclé et juchées haut. « Puisque tu as
baissé ton pantalon tu peux l’enlever maintenant », lui dit Jérémy. Là, la soirée est
lancée, je fantasme déjà sur une potentiel mêlée au milieu de salon. Jérémy se lève et
vient s’assoir près de moi, Luc prend celle de Jérémy. Il entame la conversation avec
moi. C’est là que j’apprends que Luc leur avait parlé de moi depuis longtemps et qu’il
voulait me présenter. La confession qu’il me fait me donne des frissons de peur. «
Michel fantasmes sur ton p’tit cul ! ». Là j’avoue je panique un peu. L’étroitesse de
mon antre ne pourra jamais supporter un tel monstre. Nous discutons encore un bon
moment autour d’un verre, quand Luc tend à Michel un bol avec dedans deux petits
papiers, il en sort un et le deuxième est pour Jérémy. Michel ouvre le sien suivi de
Jérémy .Il se regarde d’un air complice et j’entends Jérémy dire : « ALBERTO !!!».
Michel nous montre le sien où est inscrit « Luc ». Il y a un deuxième bol, là aussi
deux petits papiers et c’est à mon tour d’en tirer un au sort. J’ouvre et je lis «
Chambre d’ami », sur l’autre était noté « Chambre Luc ». Voilà une façon originale de
déterminer les couples et d’attribuer nos lieus de plaisir. Finalement je suis
soulagé, je n’aurais pas à subir « le tronc du bucheron ».
Luc prend Michel par la main et nous emmène vers nos chambres respectives. Avant
de pénétrer de s’enfermer Luc me fait un clin et disparait derrière la porte. Je
précède Jérémy dans l’autre chambre. A peine le seuil franchi, il se penche sur moi et
m’embrasse tendrement. On part à la découverte l’un de l’autre. C’est doigts fins et
agiles ont eu raison de ma ceinture et mes boutons. Comme à l’accoutumé je ne porte
rien dessous et visiblement ça plait énormément à mon partenaire. Il s’assoie sur le
bord du lit et m’attire vers lui. Du bout de la langue il titille mon gland, je le
regarde faire et je pousse mon bassin en avant. Je vois ma bite disparaitre entre ses
lèvres. Cette douce succion électrique m’enflamme, La douce caresse de ses mains sur
les fesses me transcende. Le postérieur est une zone érogène hyper sensible chez moi.
Il faut un sacré doigté pour bien m’exciter de ce côté, par chance je suis tombé sur
un as en la matière. Les deux caresses cumulées me chavirent d’un plaisir intense. Je
ressens bientôt les prémices d’une explosion imminentes. Je me retire juste à temps.
J’embrasse ses lèvres, sa langue me fait partager les effluves intimes de ma queue
qui parfument sa bouche. Toujours lié à ses lèvres, j’effeuille mon partenaire du
soir. Il est fluet mais très ferme, poilu comme un œuf. Je découvre ensuite un petit
cul bien ferme et cerise sur le gâteau une tige de 22 centimètres pas très épaisse
mais pourvu d’un gland rond et boursoufflé tel un champignon. Si son corps est
dépourvu de poil, le pubis par contre est bien fourni.
Il se rassoie au bord du lit, je m’agenouille devant lui et je prends possession
de son mat. Les joues déformées par cette boule, je couvre à peine la moitié de son
vit tellement il est long. Je ne suis pas « gorge profonde ». Jeremy continue de me
caresser les fesses, l’effet est immédiat, je m’ouvre comme une fleur au printemps. Du
coin de l’œil je m’assure que Luc a tout prévu. Je tends la main vers la table de
nuit, j’attrape une capote et je la déploie sur sa queue. Je couvre ma rosette de
salive, je me retourne et je viens m’empaler sur lui. J’ai dû m’y reprendre à
plusieurs reprises pour faire entrer cet obus. Finalement une fois le gland passé, le
reste suit sans peine. Je suis loin de pouvoir prendre la totalité de sa pine.
Doucement j’approfondis la pénétration. Une fois la bonne mesure prise je me déchaine
sur lui. De l’autre côté du mur on entend Michel ahaner comme un bucheron et mon
p’tit loulou soupirer de plus en plus fort. Tout cela nous excite aussi et je me
surprends bientôt à quasiment m’assoir sur lui. Finalement elle est belle et bien
rentré en entier. A côté le lit grince de plus en plus et je calque machinalement mes
poussés sur les grincements Nous étions tous dans le même tempo. Luc hurle sa joie,
moi j’imagine son p’tit cul explosé par se bélier. La jouissance de Luc à fait son
effet sur Jérémy, je le sens qui s’épanche, me plaquant fort contre lui. Les bras en
croix sur le lit, il récupère lentement de ses émotions. Je libère sa queue non sans
mal et je viens m’allonger sur lui.
La porte de notre chambre s’ouvre, Michel et Luc viennent nous rejoindre. Luc en
premier, les yeux embrumés par la jouissance qui venait de le foudroyer, notre
bucheron le suit de près une poutre magistrale entre les cuisses. Je comprends
maintenant les hurlements de Luc qui vient s’allonger près de nous et me glisse à
l’oreille « A toi, il faut que tu gouttes à ça. ». Je le regarde presque méchamment, «
Tu sais que je suis étroit et que je ne pourrais pas ! ». « Si !!! » reprend Jérémy «
Tu vas voir il est très doux et je n’ai jamais eu mal avec lui, même la première fois
». Ça ne me rassure pas pour autant. Il fait tout un éloge sur mon cul qui n’est pas
fait pour dégoutter son homme. J’ai l’esprit complètement embrouillé quand je sens les
mains de Michel pétrirent mes lobes avec fermeté et douceur. C’est déconcertant,
comment une tel masse de muscle peut-elle être aussi viril et tendre à la fois. Il
sait y faire, c’est sûr, son doigt énorme se glisse en moi comme un brin de paille. Je
deviens chienne et je me cambre au maximum pour ressentir encore plus de plaisir. Mon
cœur s’est presque arrêté quand Luc me demande si je veux avec ou sans capote. « Ils
sont négatif comme nous ! ». Je lui dis « Sans ». De ses mains puissantes il écarte
mes fesses avec vigueur et douceur, c’est indescriptible tellement c’est à l’opposé du
personnage. Comment fuir maintenant c’est impossible, j’en ai des sueurs froides. Il
pose sont gland gigantesque sur ma rosette et reste ainsi un moment sans bouger, juste
à me caresser les fesses. Je ne sais comment c’est possible, mais j’ai l’impression
qu’il est déjà en moi. Je passe une main entre mes cuisses pour m’en assurer et
surprise c’est déjà c’est bourses épaisses que je touche. Il est entré et je ne m’en
suis même pas aperçu. Je me redresse et je vois devant moi Luc qui me sourit.
J’imprime moi-même les va et vient sur ce pilonne, Jérémy se glisse sous mon ventre.
De sa langue experte, il alterne entre mes boules, celles de son homme et ma queue. Je
suis dans un état second, Luc m’offre sa bite, le tableau est complet. Mon corps ne
m’appartient plus. Je soupire, je gémis, je cri, je hurle, mon corps est pris de
convulsions de plaisir. Michel a pris le relais des va et vient et me lime à un rythme
régulier. De sa voix rocailleuse il complimente mon cul. « Putain, t’as un vrai cul
de salope. » Moi ça m’excite encore plus. Une chaleur envahis mon cul, ma bite
tressaute. Je préviens Luc de mon orgasme imminent. Ma bite explose dans un flot
continue de foutre. Michel me lime encore, ça y est je jouis du cul comme une petite
salope. A présent cette queue ne me fait plus peur au contraire elle me comble.
J’encourage mon enculeur à me pilonner encore et encore. Je le sens en transe. Il se
retire et explose sur mes fesses, j’adore sentir cette crème chaude couler le long de
ma raie. Je suis fourbu et heureux, je gratifie mon enculeur hors-pair d’un énorme
baisé.
L’autre couple imbriqué dans un 69 endiablé se dévore sans retenu. Je me love
entre les bras puissants de Michel assis en tailleur sur le lit, tout proche d’eux
nous assistons au spectacle. Je sens les mains de ce gros nounours me caresser avec
délicatesse le corps. Il a les mains si douces qu’on pourrait croire, les yeux fermés,
que ce sont celles d’une femme. Ce type m’excite terriblement. Je me retourne pour
m’assoir sur ses jambes et j’entoure sa taille des miennes. Les bras autour du cou je
lui dévore les lèvres. Je me blotti encore plus contre lui. Installé de la sorte nous
contemplons le nouveau couple qui s’en donner à cœur joie. Le piercing de Michel
m’intrigue et je lui demande si ce n’est pas douloureux ou dangereux de s’accrocher
aux vêtements. « Non au contraire, je suis très sensible des tétons et ça m’excite
quand on tire dessus ». Du bout des lèvres je saisi l’anneau et tire dessus
délicatement. En effet il est très sensible. Ses tétons en érection dépassent le
centimètre. Je les tète à présent, faisant attention de ne pas blesser celui à
l’anneau. Mes caresses font leurs effets, son souffle est fort et saccadé, je sens sa
grosse pomme appuyer contre ma rosette. Cet homme est infatigable. Je suis pétri
d’excitation. Je dandine mon cul, appuyant sur le gland. Son foutre qui coule le long
de ma raie, agit comme un lubrifiant. Ma corolle s’élargie de plus en plus. Ma
progression sur ce braquemare est tout simplement divine. « Viens on va de l’autre
côté » me dit-il. Il me soulève sans peine, je suis un poids plume entre ses bras.
Nous laissons les deux tourtereaux à leur plaisir.
Planté sur ce pieu nous entrons dans l’autre chambre. J’ai le sentiment de n’être
plus qu’une femme entre ses bras. Il m’allonge sur le lit, se redresse, pose mes
jambes sur ses épaules. Je sens les poussées de ce piston hors norme, son casque aux
bords larges et épais me laboure, c’est toujours aussi jouissif. De sa pogne viril, il
entame une douce masturbation, je vois mon vit disparaitre et réapparaitre
complètement décalotté entre ses doigts. Toujours aussi doux qu’au début il me pilonne
et calque le tempo de sa pénétration aux mouvements de sa main. Ma queue et mon cul
sont à la fête. Je ne tiendrais plus longtemps à ce rythme-là. Le plaisir monte en
moi, irrémédiablement je sens que je vais exploser. L’éjaculation est foudroyante et
presque douloureuse, je râle de plus en plus fort, mon cul se comprime autour de cette
colonne qui va et vient sans cesse. Dans des soubresauts incontrôlés je lui empoisse
la main. Doucement il se retire, me laissant les jambes au bord des crampes et le cul
complètement dilaté.
Michel à genou, se nettoie la main et me sourit, satisfait de sa prestation. Je
suis dans un état quasi végétatif. J’ai du mal à submerger, il me faut un effort
surhumain pour me lever. Complètement fourbu comme si un 38 tonnes m’était passé
dessus. J’embrasse mon gros nounours pour le remercier de tant de bonheur et de
plaisir.
Nous sortons de la pièce, Luc et Jérémy nous attendent déjà dans le salon. Luc au
regard rieur me sourit et me fait un clin d’œil. M’adressant à eux je leur dis : «
Vous êtes tous une belle bande de salaud mais je vous aime !!! », « On sait et on aime
ça ! » me répond Jérémy. Nous continuons à discuter au salon une bonne partie de la
soirée avant d’aller nous coucher, nos invités dans la chambre d’ami et moi
exceptionnellement je reste couché aussi, naturellement avec mon loulou. Je m’affale
sur le ventre, épuisé mais ivre de bonheur. Luc, qui voulait aussi sa part de gâteau,
me caresse les fesses avec tendresse. Il sait que j’adore ça. Je gémi sous ses
caresses. Luc tente de me branler, mais je n’en puis plus, je lui propose plutôt (s’il
est encore excité) de m’enculer car je n’ai pas la force de faire autre chose. Au vu
de sa bite, je ne suis pas prêt de m’endormir tout de suite. Je suis sur le ventre
les cuisses écartées, je sens mon amant me pénétrer sans résistance. Vu le traitement
qu’il venait de subir, le passage était largement fait. Je glisse un coussin sous le
bassin pour lui donner plus libre accès. Luc joue avec ma rondelle, rentrant et
ressortant. Il s’agite en moi avec une frénésie incontrôlée, je lui raconte comment
Michel ma bien défoncé la rondelle avec le plus de détail possible, comment il m’a
fait jouir. Je sais qu’il aime quand je lui parle. Abreuvé de mes mots, des « Oui vas-
y encules moi ! Défonces moi…. », et autres encouragements, mon loulou fini par
s’épancher en moi. Il reste un moment comme ça et nous finissons par nous endormir.
Dans la nuit je suis réveillé par de longs soupires, je cherche de la main mon
amant mais le lit est vide. Je me lève tout embrumé et je me dirige vers le salon à
peine éclairé d’une petite lampe. Sur un des canapés Jérémy assis en tailleur se
branle et regarde Luc à califourchon sur son homme s’empalé sur ce poteau infatigable.
Je viens m’assoir près de lui et il m’explique que Michel n’était toujours pas repu,
lui n’en pouvant plus, ils ont demandé à Luc de prendre le relais et pour ne pas me
réveiller ils se sont installés au salon. Nous regardons ensemble la belle joute
sexuelle qui se joue devant nous. Excité par le tableau, j’empoigne cette pine longue
et fine, je la branle un moment puis je me décide à la sucer. A genou je pompe cette
bite qui me déforme les joues. Je m’applique et j’entends Michel derrières moi
m’encourager de la voix, « Vas-y suce le ! Bouffe-lui la queue !..... » Jérémy appuie
sur ma tête et crache son foutre sans relâche. Je garde cette crème que je partage
avec son homme qui décharge enfin. Maintenant tous bien repu, nous nous couchons
jusqu’au lendemain.
Au petit matin je dois quitter ce trio magique avec regret et je les laisse
ensemble pour un week-end qui fut très chaud !!! Merci mon loulou…
Suite au prochain épisode…
libre quand ? ». Tout de suite j’organise un planning et je lui réponds : « Début
février. », puis plus rien durant cinq jours. Enfin un nouveau message : « Dis-moi
quand tu peux te libérer pour une soirée ? ». Ma femme devant partir pour deux jours
sur Paris l’aubaine est trop bonne. Je lui réponds : « Jeudi 2 février. », « Ok, sois
là pour 20 heure ».
Les dix à douze jours qui ont suivi m’ont paru interminables. Jeudi midi un texto de
loulou « Toujours ok pour ce soir ? » Je lui réponds « OUIIIIIIII !!!!! » J’avais trop
attendu pour oublier ce rendez-vous.
Vingt heures je suis à sa porte. Je grimpe retrouver mon amant, avide de sa peau,
de sa bouche, de son corps. Il m’ouvre la porte et comme à mon habitude je rentre dans
le salon où sont déjà installés deux hommes. Le premier Michel 51 ans, est impression
par sa taille et sa corpulence. Il fait dans les 1m95 pour un bon 100 à 110 kilos. Les
cheveux ras, un cou de taureau, des bras aussi gros que mes cuisses avec des mains
d’une taille impressionnantes, la chemise largement ouverte sur des pectoraux velus
aux tétons proéminant dont le gauche porte une boucle. Il est moulé dans jean qui
comprime des cuisses puissantes, résultat de quelques années de body-building, son cul
bombé monte haut, mais le clou du spectacle c’est le paquet, je suis médusé par le
spectacle. S’il ne bande pas ça laisse présager un sacré morceau. Une vraie force de
la nature. C’est le style de mec qu’il vaut mieux compter parmi ses amis. Le deuxième
Jeremy 34 ans, et tout l’inverse, lui aussi est assez grand, dans les 1m90 mais pour à
peine 70 kilos. Il est tout à fait efféminé, son style de vêtement très looké ne
laisse aucun doute et une petite voix fluette. Je m’assoie sur le canapé à côté de
Luc face à ses invités Nous deux avec nos 1 m74 on passe pour des nains à leur côté.
Luc me fait les présentations, c’est un couple d’ami gay de Liège. Ils sont mariés
depuis 6 ans, puisque en Belgique le mariage gay est autorisé. Luc à fait leur
connaissance au Maroc il y a maintenant 8 ans. Nous buvons un verre et j’ai du mal à
détacher mes yeux de cette boursoufflure qui déborde de l’entre-jambe de Michel. Je
n’arrêtais pas de me poser la question « Il bande ou pas ? ». Nous discutons de
piercing et de tatouage (personnellement je n’en ai aucun) quand Michel se lève pour
nous montrer celui qu’il venait de faire à la jambe. Enfin je vais savoir. Il dégrafe
son pantalon, le descend à ses pieds et nous détail son tatouage. Moi je n’ai d’yeux
que pour son paquet. Moulé dans un string, on voit bien qu’il ne bande pas, la chose
correspond bien à son propriétaire. Son string disparait complètement entre les deux
globes énormes de ses fesses magnifiquement musclé et juchées haut. « Puisque tu as
baissé ton pantalon tu peux l’enlever maintenant », lui dit Jérémy. Là, la soirée est
lancée, je fantasme déjà sur une potentiel mêlée au milieu de salon. Jérémy se lève et
vient s’assoir près de moi, Luc prend celle de Jérémy. Il entame la conversation avec
moi. C’est là que j’apprends que Luc leur avait parlé de moi depuis longtemps et qu’il
voulait me présenter. La confession qu’il me fait me donne des frissons de peur. «
Michel fantasmes sur ton p’tit cul ! ». Là j’avoue je panique un peu. L’étroitesse de
mon antre ne pourra jamais supporter un tel monstre. Nous discutons encore un bon
moment autour d’un verre, quand Luc tend à Michel un bol avec dedans deux petits
papiers, il en sort un et le deuxième est pour Jérémy. Michel ouvre le sien suivi de
Jérémy .Il se regarde d’un air complice et j’entends Jérémy dire : « ALBERTO !!!».
Michel nous montre le sien où est inscrit « Luc ». Il y a un deuxième bol, là aussi
deux petits papiers et c’est à mon tour d’en tirer un au sort. J’ouvre et je lis «
Chambre d’ami », sur l’autre était noté « Chambre Luc ». Voilà une façon originale de
déterminer les couples et d’attribuer nos lieus de plaisir. Finalement je suis
soulagé, je n’aurais pas à subir « le tronc du bucheron ».
Luc prend Michel par la main et nous emmène vers nos chambres respectives. Avant
de pénétrer de s’enfermer Luc me fait un clin et disparait derrière la porte. Je
précède Jérémy dans l’autre chambre. A peine le seuil franchi, il se penche sur moi et
m’embrasse tendrement. On part à la découverte l’un de l’autre. C’est doigts fins et
agiles ont eu raison de ma ceinture et mes boutons. Comme à l’accoutumé je ne porte
rien dessous et visiblement ça plait énormément à mon partenaire. Il s’assoie sur le
bord du lit et m’attire vers lui. Du bout de la langue il titille mon gland, je le
regarde faire et je pousse mon bassin en avant. Je vois ma bite disparaitre entre ses
lèvres. Cette douce succion électrique m’enflamme, La douce caresse de ses mains sur
les fesses me transcende. Le postérieur est une zone érogène hyper sensible chez moi.
Il faut un sacré doigté pour bien m’exciter de ce côté, par chance je suis tombé sur
un as en la matière. Les deux caresses cumulées me chavirent d’un plaisir intense. Je
ressens bientôt les prémices d’une explosion imminentes. Je me retire juste à temps.
J’embrasse ses lèvres, sa langue me fait partager les effluves intimes de ma queue
qui parfument sa bouche. Toujours lié à ses lèvres, j’effeuille mon partenaire du
soir. Il est fluet mais très ferme, poilu comme un œuf. Je découvre ensuite un petit
cul bien ferme et cerise sur le gâteau une tige de 22 centimètres pas très épaisse
mais pourvu d’un gland rond et boursoufflé tel un champignon. Si son corps est
dépourvu de poil, le pubis par contre est bien fourni.
Il se rassoie au bord du lit, je m’agenouille devant lui et je prends possession
de son mat. Les joues déformées par cette boule, je couvre à peine la moitié de son
vit tellement il est long. Je ne suis pas « gorge profonde ». Jeremy continue de me
caresser les fesses, l’effet est immédiat, je m’ouvre comme une fleur au printemps. Du
coin de l’œil je m’assure que Luc a tout prévu. Je tends la main vers la table de
nuit, j’attrape une capote et je la déploie sur sa queue. Je couvre ma rosette de
salive, je me retourne et je viens m’empaler sur lui. J’ai dû m’y reprendre à
plusieurs reprises pour faire entrer cet obus. Finalement une fois le gland passé, le
reste suit sans peine. Je suis loin de pouvoir prendre la totalité de sa pine.
Doucement j’approfondis la pénétration. Une fois la bonne mesure prise je me déchaine
sur lui. De l’autre côté du mur on entend Michel ahaner comme un bucheron et mon
p’tit loulou soupirer de plus en plus fort. Tout cela nous excite aussi et je me
surprends bientôt à quasiment m’assoir sur lui. Finalement elle est belle et bien
rentré en entier. A côté le lit grince de plus en plus et je calque machinalement mes
poussés sur les grincements Nous étions tous dans le même tempo. Luc hurle sa joie,
moi j’imagine son p’tit cul explosé par se bélier. La jouissance de Luc à fait son
effet sur Jérémy, je le sens qui s’épanche, me plaquant fort contre lui. Les bras en
croix sur le lit, il récupère lentement de ses émotions. Je libère sa queue non sans
mal et je viens m’allonger sur lui.
La porte de notre chambre s’ouvre, Michel et Luc viennent nous rejoindre. Luc en
premier, les yeux embrumés par la jouissance qui venait de le foudroyer, notre
bucheron le suit de près une poutre magistrale entre les cuisses. Je comprends
maintenant les hurlements de Luc qui vient s’allonger près de nous et me glisse à
l’oreille « A toi, il faut que tu gouttes à ça. ». Je le regarde presque méchamment, «
Tu sais que je suis étroit et que je ne pourrais pas ! ». « Si !!! » reprend Jérémy «
Tu vas voir il est très doux et je n’ai jamais eu mal avec lui, même la première fois
». Ça ne me rassure pas pour autant. Il fait tout un éloge sur mon cul qui n’est pas
fait pour dégoutter son homme. J’ai l’esprit complètement embrouillé quand je sens les
mains de Michel pétrirent mes lobes avec fermeté et douceur. C’est déconcertant,
comment une tel masse de muscle peut-elle être aussi viril et tendre à la fois. Il
sait y faire, c’est sûr, son doigt énorme se glisse en moi comme un brin de paille. Je
deviens chienne et je me cambre au maximum pour ressentir encore plus de plaisir. Mon
cœur s’est presque arrêté quand Luc me demande si je veux avec ou sans capote. « Ils
sont négatif comme nous ! ». Je lui dis « Sans ». De ses mains puissantes il écarte
mes fesses avec vigueur et douceur, c’est indescriptible tellement c’est à l’opposé du
personnage. Comment fuir maintenant c’est impossible, j’en ai des sueurs froides. Il
pose sont gland gigantesque sur ma rosette et reste ainsi un moment sans bouger, juste
à me caresser les fesses. Je ne sais comment c’est possible, mais j’ai l’impression
qu’il est déjà en moi. Je passe une main entre mes cuisses pour m’en assurer et
surprise c’est déjà c’est bourses épaisses que je touche. Il est entré et je ne m’en
suis même pas aperçu. Je me redresse et je vois devant moi Luc qui me sourit.
J’imprime moi-même les va et vient sur ce pilonne, Jérémy se glisse sous mon ventre.
De sa langue experte, il alterne entre mes boules, celles de son homme et ma queue. Je
suis dans un état second, Luc m’offre sa bite, le tableau est complet. Mon corps ne
m’appartient plus. Je soupire, je gémis, je cri, je hurle, mon corps est pris de
convulsions de plaisir. Michel a pris le relais des va et vient et me lime à un rythme
régulier. De sa voix rocailleuse il complimente mon cul. « Putain, t’as un vrai cul
de salope. » Moi ça m’excite encore plus. Une chaleur envahis mon cul, ma bite
tressaute. Je préviens Luc de mon orgasme imminent. Ma bite explose dans un flot
continue de foutre. Michel me lime encore, ça y est je jouis du cul comme une petite
salope. A présent cette queue ne me fait plus peur au contraire elle me comble.
J’encourage mon enculeur à me pilonner encore et encore. Je le sens en transe. Il se
retire et explose sur mes fesses, j’adore sentir cette crème chaude couler le long de
ma raie. Je suis fourbu et heureux, je gratifie mon enculeur hors-pair d’un énorme
baisé.
L’autre couple imbriqué dans un 69 endiablé se dévore sans retenu. Je me love
entre les bras puissants de Michel assis en tailleur sur le lit, tout proche d’eux
nous assistons au spectacle. Je sens les mains de ce gros nounours me caresser avec
délicatesse le corps. Il a les mains si douces qu’on pourrait croire, les yeux fermés,
que ce sont celles d’une femme. Ce type m’excite terriblement. Je me retourne pour
m’assoir sur ses jambes et j’entoure sa taille des miennes. Les bras autour du cou je
lui dévore les lèvres. Je me blotti encore plus contre lui. Installé de la sorte nous
contemplons le nouveau couple qui s’en donner à cœur joie. Le piercing de Michel
m’intrigue et je lui demande si ce n’est pas douloureux ou dangereux de s’accrocher
aux vêtements. « Non au contraire, je suis très sensible des tétons et ça m’excite
quand on tire dessus ». Du bout des lèvres je saisi l’anneau et tire dessus
délicatement. En effet il est très sensible. Ses tétons en érection dépassent le
centimètre. Je les tète à présent, faisant attention de ne pas blesser celui à
l’anneau. Mes caresses font leurs effets, son souffle est fort et saccadé, je sens sa
grosse pomme appuyer contre ma rosette. Cet homme est infatigable. Je suis pétri
d’excitation. Je dandine mon cul, appuyant sur le gland. Son foutre qui coule le long
de ma raie, agit comme un lubrifiant. Ma corolle s’élargie de plus en plus. Ma
progression sur ce braquemare est tout simplement divine. « Viens on va de l’autre
côté » me dit-il. Il me soulève sans peine, je suis un poids plume entre ses bras.
Nous laissons les deux tourtereaux à leur plaisir.
Planté sur ce pieu nous entrons dans l’autre chambre. J’ai le sentiment de n’être
plus qu’une femme entre ses bras. Il m’allonge sur le lit, se redresse, pose mes
jambes sur ses épaules. Je sens les poussées de ce piston hors norme, son casque aux
bords larges et épais me laboure, c’est toujours aussi jouissif. De sa pogne viril, il
entame une douce masturbation, je vois mon vit disparaitre et réapparaitre
complètement décalotté entre ses doigts. Toujours aussi doux qu’au début il me pilonne
et calque le tempo de sa pénétration aux mouvements de sa main. Ma queue et mon cul
sont à la fête. Je ne tiendrais plus longtemps à ce rythme-là. Le plaisir monte en
moi, irrémédiablement je sens que je vais exploser. L’éjaculation est foudroyante et
presque douloureuse, je râle de plus en plus fort, mon cul se comprime autour de cette
colonne qui va et vient sans cesse. Dans des soubresauts incontrôlés je lui empoisse
la main. Doucement il se retire, me laissant les jambes au bord des crampes et le cul
complètement dilaté.
Michel à genou, se nettoie la main et me sourit, satisfait de sa prestation. Je
suis dans un état quasi végétatif. J’ai du mal à submerger, il me faut un effort
surhumain pour me lever. Complètement fourbu comme si un 38 tonnes m’était passé
dessus. J’embrasse mon gros nounours pour le remercier de tant de bonheur et de
plaisir.
Nous sortons de la pièce, Luc et Jérémy nous attendent déjà dans le salon. Luc au
regard rieur me sourit et me fait un clin d’œil. M’adressant à eux je leur dis : «
Vous êtes tous une belle bande de salaud mais je vous aime !!! », « On sait et on aime
ça ! » me répond Jérémy. Nous continuons à discuter au salon une bonne partie de la
soirée avant d’aller nous coucher, nos invités dans la chambre d’ami et moi
exceptionnellement je reste couché aussi, naturellement avec mon loulou. Je m’affale
sur le ventre, épuisé mais ivre de bonheur. Luc, qui voulait aussi sa part de gâteau,
me caresse les fesses avec tendresse. Il sait que j’adore ça. Je gémi sous ses
caresses. Luc tente de me branler, mais je n’en puis plus, je lui propose plutôt (s’il
est encore excité) de m’enculer car je n’ai pas la force de faire autre chose. Au vu
de sa bite, je ne suis pas prêt de m’endormir tout de suite. Je suis sur le ventre
les cuisses écartées, je sens mon amant me pénétrer sans résistance. Vu le traitement
qu’il venait de subir, le passage était largement fait. Je glisse un coussin sous le
bassin pour lui donner plus libre accès. Luc joue avec ma rondelle, rentrant et
ressortant. Il s’agite en moi avec une frénésie incontrôlée, je lui raconte comment
Michel ma bien défoncé la rondelle avec le plus de détail possible, comment il m’a
fait jouir. Je sais qu’il aime quand je lui parle. Abreuvé de mes mots, des « Oui vas-
y encules moi ! Défonces moi…. », et autres encouragements, mon loulou fini par
s’épancher en moi. Il reste un moment comme ça et nous finissons par nous endormir.
Dans la nuit je suis réveillé par de longs soupires, je cherche de la main mon
amant mais le lit est vide. Je me lève tout embrumé et je me dirige vers le salon à
peine éclairé d’une petite lampe. Sur un des canapés Jérémy assis en tailleur se
branle et regarde Luc à califourchon sur son homme s’empalé sur ce poteau infatigable.
Je viens m’assoir près de lui et il m’explique que Michel n’était toujours pas repu,
lui n’en pouvant plus, ils ont demandé à Luc de prendre le relais et pour ne pas me
réveiller ils se sont installés au salon. Nous regardons ensemble la belle joute
sexuelle qui se joue devant nous. Excité par le tableau, j’empoigne cette pine longue
et fine, je la branle un moment puis je me décide à la sucer. A genou je pompe cette
bite qui me déforme les joues. Je m’applique et j’entends Michel derrières moi
m’encourager de la voix, « Vas-y suce le ! Bouffe-lui la queue !..... » Jérémy appuie
sur ma tête et crache son foutre sans relâche. Je garde cette crème que je partage
avec son homme qui décharge enfin. Maintenant tous bien repu, nous nous couchons
jusqu’au lendemain.
Au petit matin je dois quitter ce trio magique avec regret et je les laisse
ensemble pour un week-end qui fut très chaud !!! Merci mon loulou…
Suite au prochain épisode…
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