Luce au cabaret
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Luce au cabaret
Avec Luce, la femme de l’ami de mon mari, nous allons dans un cabaret spectacle un peu au hasard. Nos époux nous ont donné « l’autorisation » de sortir sans eux occupés qu’ils était dans la préparation d’une sortie sportive. Nous sommes d’abord étonnées de l’orientation du spectacle. Nous aurions du nous en douter, nous étions dans une boite lesbienne. Bien sur les effeuillage sont toujours bien réussi pour elles qui aiment ça. Petit à petit, nous y prenons gout, trop sans doute puisque j’ai envie de me branler. Je ne demande trien à personne, entre deux gorgées de champagne ma main va se nicher entre mes jambes, sous ma robe évasée. Luce, seule eut me voir. Je jette un coup d’œil sur elle, je vois qu’elle aussi se masturbe lentement. Nous arrivons à jouir, sans en parler, si ce n’est qu’en partant dans le taxi.
C’est de ma faute, j’ai encore envie, cette fois sans me cacher, je monte ma robe, passe ma main dans mon string, le descend un peu pour recommencer. Je vais jusqu’au bout, juste au moment de jouir où je pousse un petit cri. Je regarde Luce qui fait comme moi. Je crois même que le chauffeur nous regarde, ce qui augmente notre désir. C’est à ce moment que nous décidons de poursuivre notre masturbation le lendemain après 14 heures, chez moi.
Je n’en parle pas du tout à mon mari, j’ai envie de faire l’amour avec Luce, ça ne le regarde pas. Dès le lendemain je me réveille en pensant que je vais passer un excélant après midi. Il ma tarde qu’elle vienne. Ouf mon mari part au travail quand elle arrive.
Nous nous embrassons sur le joue quand le baiser dérape, nos lèvres se collent. Sa bouche est merveilleusement douce. Sa salive plait à ma langue.
Chacune déshabille l’autre. Nous sommes en petite tenue, un simple string qui montre plus qu’il ne cache, A part ça nous montrons nos corps sauf le principal. Nos seins viennent vite sur ceux de l’autre. Nouvelle sensation de sntir la douceur d’un sein contre le mien.
- Je mouille, me dit Luce.
- Moi aussi.
- Si tu veux on pourrai s’amuser entièrement.
Sans attendre je sens une main baladeuse qui passe sur mes fesses sous le string que je suis obligée d’enlever. Je suis ainsi la première totalement nue. Elle caresse mes fesses, comment sait-elle que j’aime ce genre de caresse. Je la laisse faire quand elle passe deux doigts dans la raie. Ce n’est pas à proprement parlé sexuel, ça s’en rapproche, surtout quand elle vient poser son doigts sur l’anus. J’écarte bien les fesses pour qu’elle entre. Je de demande rien sinon qu’elle entre profondément le doigt. Elle doit lire dans mes pensées quand lentement, comme si elle m’enculait pour la première fois, son doigt entre en entier avtn d’aller et venir.
Je ne peux retenir ma main qui trouve sa chatte. Je suis sure d’y être bien reçue, après tout c’est bien pour ça qu’elle est là. Elle écarte les jambes,, je trouve vite son bouton. Pour la première fois mes doigts sont sur un clitoris qui m’est totalement étranger. Mon majuer caresse le bouton qui bande. A son tour ell est nue.
Nous allons das la chambre pour nous « amuser ». Ce genre de jeu que font les femmes entre elles. Si nous sommes assises au bord du lit, nous avons les jambes bien écartées. Nos mains sont vite sur le con de l’autre. Je garderais longtemps en mémoire la douceur de son sexe. Mes doigts glissent dessus sans problème, sinon les gémissements que je provoque.
Nous jouissons sans honte, au contraire. Mais deux femmes ne peuvent se contenter de masturbation. C’est Luce qui me demande de faire un 69. J’aurais pu y penser plus tôt, elle est chez moi. L’ayant proposé, elle me couche sur le dos, comme si j’étais mon mari. Sa bouche est rapidement sur ma chatte. Je sens sa langue qui lèche lentement. Elle m’enjambe pour me donner sa choupinette. Je sois tout les détails d’un sexe féminin, il y a une foule de chose dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Je suis frappée pas l’odeur de femme en chaleur qui émane de son abricot. Je ne parle pas du gout qui est comme le mien.
Plus rien n’existe maintenant. Nous donnons du plaisir à l’autre, simplement pour le plaisir justement. Nous devopns jouir quatre ou cinq fois d’affilée, plus qu’avec nos hommes. Nous en avons toujours envie. Elle se tourne pour que je sois dessus. Je suis sa maitresse, je lui mets deux doigts dans le cul. Je me régale de voir mes doigts entrer et sortir de son anus. Elle se venge en me faisant pareil.
Je décide aussi de la doigter avec deux doigts de l’autre main. Elle gémit :
- Oui, continu, baises moi comme ça, je vais encore jouir.
- Fais moi aussi pareil.
- J’ai un gode dans le sac.
- J’en ai aussi dans la table de nuit.
Nous cessons ce que nous faisons et munies des godes nous changeons de façon. Cette fois nous nous baisons normalement, sauf que c’est une main de femme qui s’occupe du con de l’autre. Je ne sais pas pour moi, en tout cas elle sait bien me baiser, presque mieux que mon mari. Elle le surpasse en m’enculant. Entre la bite au cul et sa langue sur le con, je suis comblée.
L’heure a tournée, nous cessons pour que mon mari ne nous surprêne pas. Nous devons nous revoir demain si tout va bien. J’ai envie d’essayer un fist, comme elle.
Même si son mari de me déplait pas, je llui demande de ne pas lui en parler. Par contre la prochaine réunions des deux couples elle va faire le nécessaire pour se faire baiser par mon mari à condition que je baise le sien: promis.
C’est de ma faute, j’ai encore envie, cette fois sans me cacher, je monte ma robe, passe ma main dans mon string, le descend un peu pour recommencer. Je vais jusqu’au bout, juste au moment de jouir où je pousse un petit cri. Je regarde Luce qui fait comme moi. Je crois même que le chauffeur nous regarde, ce qui augmente notre désir. C’est à ce moment que nous décidons de poursuivre notre masturbation le lendemain après 14 heures, chez moi.
Je n’en parle pas du tout à mon mari, j’ai envie de faire l’amour avec Luce, ça ne le regarde pas. Dès le lendemain je me réveille en pensant que je vais passer un excélant après midi. Il ma tarde qu’elle vienne. Ouf mon mari part au travail quand elle arrive.
Nous nous embrassons sur le joue quand le baiser dérape, nos lèvres se collent. Sa bouche est merveilleusement douce. Sa salive plait à ma langue.
Chacune déshabille l’autre. Nous sommes en petite tenue, un simple string qui montre plus qu’il ne cache, A part ça nous montrons nos corps sauf le principal. Nos seins viennent vite sur ceux de l’autre. Nouvelle sensation de sntir la douceur d’un sein contre le mien.
- Je mouille, me dit Luce.
- Moi aussi.
- Si tu veux on pourrai s’amuser entièrement.
Sans attendre je sens une main baladeuse qui passe sur mes fesses sous le string que je suis obligée d’enlever. Je suis ainsi la première totalement nue. Elle caresse mes fesses, comment sait-elle que j’aime ce genre de caresse. Je la laisse faire quand elle passe deux doigts dans la raie. Ce n’est pas à proprement parlé sexuel, ça s’en rapproche, surtout quand elle vient poser son doigts sur l’anus. J’écarte bien les fesses pour qu’elle entre. Je de demande rien sinon qu’elle entre profondément le doigt. Elle doit lire dans mes pensées quand lentement, comme si elle m’enculait pour la première fois, son doigt entre en entier avtn d’aller et venir.
Je ne peux retenir ma main qui trouve sa chatte. Je suis sure d’y être bien reçue, après tout c’est bien pour ça qu’elle est là. Elle écarte les jambes,, je trouve vite son bouton. Pour la première fois mes doigts sont sur un clitoris qui m’est totalement étranger. Mon majuer caresse le bouton qui bande. A son tour ell est nue.
Nous allons das la chambre pour nous « amuser ». Ce genre de jeu que font les femmes entre elles. Si nous sommes assises au bord du lit, nous avons les jambes bien écartées. Nos mains sont vite sur le con de l’autre. Je garderais longtemps en mémoire la douceur de son sexe. Mes doigts glissent dessus sans problème, sinon les gémissements que je provoque.
Nous jouissons sans honte, au contraire. Mais deux femmes ne peuvent se contenter de masturbation. C’est Luce qui me demande de faire un 69. J’aurais pu y penser plus tôt, elle est chez moi. L’ayant proposé, elle me couche sur le dos, comme si j’étais mon mari. Sa bouche est rapidement sur ma chatte. Je sens sa langue qui lèche lentement. Elle m’enjambe pour me donner sa choupinette. Je sois tout les détails d’un sexe féminin, il y a une foule de chose dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Je suis frappée pas l’odeur de femme en chaleur qui émane de son abricot. Je ne parle pas du gout qui est comme le mien.
Plus rien n’existe maintenant. Nous donnons du plaisir à l’autre, simplement pour le plaisir justement. Nous devopns jouir quatre ou cinq fois d’affilée, plus qu’avec nos hommes. Nous en avons toujours envie. Elle se tourne pour que je sois dessus. Je suis sa maitresse, je lui mets deux doigts dans le cul. Je me régale de voir mes doigts entrer et sortir de son anus. Elle se venge en me faisant pareil.
Je décide aussi de la doigter avec deux doigts de l’autre main. Elle gémit :
- Oui, continu, baises moi comme ça, je vais encore jouir.
- Fais moi aussi pareil.
- J’ai un gode dans le sac.
- J’en ai aussi dans la table de nuit.
Nous cessons ce que nous faisons et munies des godes nous changeons de façon. Cette fois nous nous baisons normalement, sauf que c’est une main de femme qui s’occupe du con de l’autre. Je ne sais pas pour moi, en tout cas elle sait bien me baiser, presque mieux que mon mari. Elle le surpasse en m’enculant. Entre la bite au cul et sa langue sur le con, je suis comblée.
L’heure a tournée, nous cessons pour que mon mari ne nous surprêne pas. Nous devons nous revoir demain si tout va bien. J’ai envie d’essayer un fist, comme elle.
Même si son mari de me déplait pas, je llui demande de ne pas lui en parler. Par contre la prochaine réunions des deux couples elle va faire le nécessaire pour se faire baiser par mon mari à condition que je baise le sien: promis.
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