Ludo et son prof 3

- Par l'auteur HDS LudovicV -
Récit érotique écrit par LudovicV [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ludo et son prof 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ludo et son prof 3
Dans mes deux précédents courriers je vous ai raconté ma rencontre avec un ex professeur d’université dans un camping où résidait mes parents et mon dépucelage, puis mon installation à son domicile et mon initiacion aux partouzes avec Félix un de ses amis antillais et avec une de ses amies lesbiennes qui m’a sodomisé avec un god. Aujourd’hui, dans ce troisiéme et dernier envoi, je vais vous raconter, comme je vous l’avais promis en conclusion de mon envoi précédent, comment j’ai trompé mon amant avec Félix notre complice de partouzes....
Mon amant en plus de son travail de prof était aussi syndicaliste et il dût partir pour un congrés durant une semaine.Un dimanche aprés midi je l’ accompagnais donc à l’aéroport et de retour à l’appartement je me mis à penser que jusqu’à présent j’avais un mec avec moi chaque nuit et qu’il ne se passait pas un jour sans qu’il me baise, que je le suce où que nous ayons des relations ; cela allait-il me manquer... ?Effectivement, cette idée petit à petit s’incrustait dans mes pensées jusqu’ à m’obséder ; j’avais bien un godemichet mais je préfére, et de loin, une belle et bonne queue bien remplie, j’avais besoin de sexe et ne connaissant personne à part mon mec et Félix j’optais pour contacter ce dernier me demandant comment l’aborder puisque jusqu’à présent c’était toujours mon amant qui le contactait...Je décidais donc d’aller chez lui directement, il n’habitait pas loin et, de plus, je n’avais même pas son numéro de tel. Sa voiture garée devant la porte m’indiquait qu’il était chez lui, tant mieux. Je sonnais à l’interphone et m’annonçait. Lorsque j’arrivais à son étage il était devant la porte et apparut visiblement surpris de me voir seul débouler chez lui .
- Salut Ludo, tu es seul ? me lança t-il en regardant derriére moi et m’embrassant sur les lévres.
- Oui, et durant une semaine car Marc est à un congrés de son syndicat et je ne sais pas où il a rangé le tire bouchon, alors j’ai pensé que tu pouvais m’en prêter un...Je crois que je rougis en disant cela tellement j’avais peur qu’il devine la vraie raison de ma présence chez lui et qu’il me le dise en face...

Pour ceux qui n’ont pas lu mes premiers récits je précise que Félix est un antillais d’une cinquantaine d’années au rire communicatif et d’une gentillesse extrême. Il me fit donc entrer, asseoir sur le divan et revint avec le tire bouchon et un gin tonic qui est ma boisson préférée, il s’assit à mes côtés et tout naturellement me prit par le cou et m’embrassa gouluement ; bien sûr je répondis immédiatement à son étreinte.
- J’ai tant attendu ce moment là ; Ludo, t’avoir rien qu’à moi , combien de fois me suis-je branlé en y pensant me souffla t’il à l’oreille...
Je posais ma main entre ses cuisses et je pouvais ainsi juger qu’il avait vraiment envie de moi, ces bourses étaient bien pleines et sa queue n’arrêtait pas de se dresser..
- Viens me dit-il en se levant et me prenant par la main, et nous nous dirigeâmes vers la chambre que je connaissais bien.
Il me déshabilla tout en m’embrassant puis se dévetit à son tour, il s’allongea sur moi et nos lévres se collérent un bon moment pendant que nos mains caressaient le corps de l’autre, je frissonnais, il s’en rendit compte et cela l’excita encore plus ; il me prit la tête délicatement et la dirigea vers son bas ventre, je lechais son corps pendant que ma bouche se dirigeait vers sa queue bien raide et gonflée ; je le prit dans ma bouche et j’entendis un souffle de soulagement et de plaisir sortir de sa bouche...
Me va et vient étaient volontairement lent, je savais qu’il aimait ça, et moi aussi d’ailleurs, pourquoi le cacher, parfois j’abandonnais sa queue pour lecher ses bourses, les mettre dans ma bouche et je l’entendais gémir de plaisir, ça m’excitait terriblement, puis je reprenais sa queue et j’accélerais le rythme petit à petit, maintenant ses mains me plaquaient la tête contre son bas ventre et j’etais au bord de déglutir en sentant le fond de ma gorge obstruée par sa queue imposante, 19cm tout de même !
- Ludo, c’est bon, c’est bon tu suces merveilleursement et tu le sais hein, salope ! Ca faisait partie du jeu, il savait que j’aimais être traité ainsi et que cela m’excitait encore plus...
- Continue, salope, accélére, ma pute, tu es à moi maintenant !
Et tout en me disant cela ses doigts s’occupaient de mon petit trou, il savait me le dilater, ce salop....Puis il me les enfonçait, les retirait, les enfonçait à nouveau, j’etais humide j’avais envie qu’il me prenne,là, tout de suite je devenais dingue de désir je le voulais en moi, vite !
Ja saisis ces couilles à pleines mains et les pressaient tout en serrant bien mes lévres autour de sa queue, maintenant je le suçais à la vitesse grand V, je savais qu ‘il n’allait pas tarder à m’inonder de son foutre ; il gémisait de plus en plus fort et avait de plus en plus de mal à se retenir, sesdoigts avaint laissé mon petit trou pour me mainenir la tête bien contre son bas ventre et sa queue dans ma bouche ; lorsqu’il jouit il cria ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! laaaaaaaaaaaaaa !!!! T’e génial ma pute !!! et je reçus une cascade de son foutre bien chaud et salé, que je ne pus avaler entiérement tellement il était abondant, et que je déglutis sur son ventre...Sa queue était encore bien raide, je me m’y sur lui et m’empallait ausitôt sur elle, me soulevant et m’abaissant en appuyant mes mains sur son ventre. Sa queue était encore bien chaude et rentrait sans problémes au plus profond de moi tellement il’m’avait bien préparé, il me tenait par les hanches et acompagnait chacun de mes mouvements .
- Elle est bonne ta queue chéri, défonce moi, vas y !!! Je l’encourageais ainsi et ça m’excitait encore plus, je savais que je n’allais pas tarder à jouir comme une chienne...
- Tiens, ma pute, tu la sent hein ma grosse queue !
- Ouiiiii c’est bon, continue, je suis ta salope, je t’appartiens, fais ce que tu veux de moi cheri !!!!
Je commençais à entendre en moi un bruit diffus qui, maintenant je le savais, m’annonçait que j’allais prendre mon pied, et effectivement, trés vite, ce bruit se convertit en bruit de cloche, ma tête était rempli de bruits de cloches, ma poitrine se compressait ma vue se brouillait, je n’étais plus là...
-Ahhhhhhhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouhhhhhhhhhhh et une cascade giclait en moi me faisant crier encore plus. Je n’ai rein connu d’aussi bon que de me sentir inondé de foutre, c’est divin !
Je reprenais le sens de la réalité peu à peu, j’étais allongé sur Félix, sa queue était encore en moi mais avait réduit en taille de maniére notoire. Il m’embrassait et me caressait tendrement le visage.
-Ludo, tu me rends fou, tu sais, tu es vraiment la reine des salopes et j’ ai encore du mal à réaliser que je t’ai eu rien qu’à moi...Lui aussi avait du mal à revenir sur terre apparement...
On revint au salon où m’attendait mon verre et il mit la télé.
Ecoute, Ludo, me dit-il, maintenant que tu es là, tu restes diner avec moi et tu passes la nuit ici, ok ? Je répondis par l ‘affirmative, j’avais encore envie de lui...
Le téléphone sonna ; c’était un jeune que se faisait Félix qui avait envie, tout comme moi d’ailleurs, d’une bonne baise et Félix lui répondit à mots couverts qu’il avait de la famille chez lui. Je le vis gêné vis a vis de moi en raccrochant le combiné.
- J’ai fait un malheureux apparement en venant ici lui dis-je en souriant
- Oui, me sourit-il mais tu as fait surtout un heureux en me comblant, Ludo. Il s’agit d’un jeune de 20 ans dont je vous avais parlé je crois à toi et à Marc. C est un bon coup, mais pas autant que toi, tu sais. Ecoute, puisqu’on parle de ça, si un jour tu quittes Marc, n’hésite pas une seconde, viens ma porte t’es grande ouverte, n’oublie pas ; depuis le premier soir où vous êtes venus ici je suis amoureux de toi, maintenant tu le sais. Et il m’embrassa tendrement, j’étais ému à pleurer et je lui rendis son baiser le plus amoureusement possible.
Aprés le repas, je faisais la vaisselle pendant qu’il débarassait la table, je le sentis se coller à moi et m’embrasser dans le cou, aussitot je me cambrai et collai mes fesses contre sa queue, le résultat fut immédiat, à travers son short sa queue pointait dure et se plaçait entre mes fesses, je me retournais l’embrassait violemment sur les levres, mélangeant ma langue à la sienne pendant que ma main descendait pour lui baisser le short et faire jaillir son énorme instrument que je caressais puis que je branlais carrément avant de m’accroupir et de l’engloutir voracement jusqu’au fond de ma gorge. Puis ma langue léchait son gland tout en faisant des cercles dessus, je savais ce qu’aimait Félix et de l’entendre gémir et souffler fort m’excitait terriblement ; je me délectais de sa grosse queue pensant déjà que j’allais l’avoir en moi cette nuit et aussi toute la semaine, je redoublais de vigueur et ma bouche lui serrait la queue comme un étau.
- Tu te régales avec ma queue, pas vrai, petite salope ? Pour toute réponse j ‘accélérais mes va et vient et je serrai encore plus mes lévres autour de son engin qui n’en finissait aps de gonfler dans ma bouche. Au moment où il explosa en moi ses mains plaquaient ma tête tout contre son ventre, je reçus donc ses jets puissants directement au fond de ma gorge !
- Avale tout ma chienne, avale tout, tu aimes hein, salope !!! Ahhhhhhh !!!
Il n’arrêtait pas de décharger, je continuais donc à le sucer et à me délecter de son foutre, j’avais mal aux genoux à force d’ avoir cette position mais je tenais absoluement à rassasier mon amant. Une fois qu’il m’ait tout envoyé je le léchais pour bien le nettoyer ce qui le fit frissonner de plaisir.
-T’es génial chéri me lança t-il, je n’ai jamais rencontré une telle salope comme toi ! Je pris cela comme un sacré compliment et l’embrassait gouluement une fois debout et à sa hauteur.
On passa la soirée sur le divan devant la télé à nous caresser et nous exciter, je ne pensais qu’à une seule chose me faire défoncer par son bel engin et, si possible, toute la nuit. Il dût lire dans mes pensées car avant la fin du film il me prit par la main et nous nous dirigeâmes vers la chambre. Il prit la direction des opérations sans perdre de temps, m’embrassant pendant que sa main me caressait la poitrine et descendait doucement mais sûrement entre mes cuisses, il m’enserra la queue et commença à me branler doucement, délicatement puis il passa sa main dessous et l’ introduisit entre mes fesses, ses doigts me malaxaenit l’anus, j’écartais mes jambes pour lui faciliter le passage ;
- Tu aimes ça pas vrai, ma pute ? Tu sais que je te prépare pour que ma grosse queue te fasse hurler de plaisir, hein, dis moi, tu es chaude comme une chienne en chaleur !
- -Oui, chéri, j’ ai envie de toi, j’adore ta queue, je la veux au plus profond de moi, fais moi tout ce que tu voudras, absolument tout, je suis à toi !
Il me retourna, toujours délicatement, je transpirais je le voulais en moi maintenant à cet instant, je pris l’oreiller et le plaçait entre mon ventre et le matelas de sorte que j’étais légérement cambré, j’adorais cette position car ainsi je facilitais la pénétration et je sentais encore mieux le membre s ‘enfoncer inexorablement en moi. Il m’écarta les fesses continua à me dilater puis je sentis sa langue remplacer ses doigts, j’avais du mal à ne pas tressaillir tellement sa langue m’excitait et me comblait. Puis, il vint me mettre sa queue dans la bouche afin que je lui redonne la vigueur nécessaire et trés vite l’enleva, il était tellemnt excité lui aussi que deux ou trois aller/retour de ma bouche avait redonné sa « taille de travail » à sa queue ! Il entra en moi, le plus délicatement possible et n’eût aucun mal à toucher mes extrémités tellement j’étais lubrifié, je me tortillais pour sentir encore mieux son membre me labourer. C’était génial ! Il entrait et sortait en accélerant a chaque fois un peu plus la cadence, et à chaque fois ses couilles me fouettaient les fesses, c’etait exquis et m ‘excitait encore plus.
- Tu me sents bien là, mon chéri ?
- Ouiii , c’est bon, j’aime ta queue, je l’ai bien en moi !
Maintenant, son membre était énorme et bien gonflé j’avais l’impression de me faire pilonner par un marteau piqueur, je ne pouvais me retenir de gémir de plaisir.
- Je te baise mieux que Marc, hein, pas vrai, petite pute ?
- Oh, ouiii, tu es génial Félix, continue, défonce moi, insulte moi, baise moi toute la nuit !
Il déchargea en moi tout en continuant à me pilonner, je sentais une inondation m’envahir, c’était bon, j’adorais j’accompagnais chaque mouvement de ses reins, mais je n’arrivais pas à jouir, chose rare jusqu’à présent chez moi ...
- Continue, n’arrête pas je t ‘en supplie, fais moi jouir, je veux jouir, défonce moi encore avec ta grosse queue, vas y, vas y !
- Tu en redemandes, hein, tu es une vraie chienne, tu le sais, hein ?
- Ouiii, Félix, je suis ta chienne, je suis ta salope, je suis ta pute, tu me régales !!!
Je sentais son membre regonler au fur et à mesure des mouvements de ses reins que je m’efforçais d’accompagner le mieux possible par le mouvement des miens ; son foutre dégoulinait, ressortait et me lubrifiait les fesses, j’étais fou d’excitation, je voulais non seulement qu’il décharge à nouveau en moi mais aussi qu’il me fasse jouir, je voulais jouir, je voulais à nouveau jouir sous ses coups de boutoir, comme cet aprés midi!
Je sentais que lui aussi à nouveau était prêt à exploser,
- Que veux-tu que je te fasse chérie pour te faire jouir ? Sa voix m’arrivait distante, je commençais à perdre la notion de la réalité, je n’allais pas tarder a hurler de plaisir, je le savais.
- Continue, continue,chéri, accélére encule moi à fond, je suis à toi, je suis ta pute attitrée !
Comme s’il n’avait attendu que cet ordre, il me plaqua violemment contre lui en maintenant fermement ses mains sur mes hanches, et je sentais son membre non plus entrer et sortir mais aller de droite à gauche tout au fond de mes entrailles..
- Tiens, prends ça, tu voulais ma queue eh bien tu l’as toute en toi et elle n’est qu’à toi petite salope !!!Hmmmmmm c’est bon toi et moi, dis...
- J’étais sur un cheval, je galopais nu dans la nature, le vent me cinglait le visage, j’étais bien, j’étais ailleurs un bruit de cloches envahissait ma tête, je criais,je hurlais, une cascade entrait en moi.....Je jouissais comme une salope que je suis !!!
Félix était à mes côtés, j’avais ma joue collée sur son ventre, il me caressait, j’avais du mal à reprendre mon souffle.
- Tu m’as crevé, Ludo, tu sais...Et il se mit à rire. Je n’ai jamais entendu quelqu’un crier ainsi en jouisssant, que ce soit homme ou femme d’ailleurs, heureusement que les murs sont épais..Je rougis sur le coup, puis nous éclatâmes de rire. On s’endormit ainsi.
Au milieu de la nuit, en me tournant je sentis quelque chose de dur me pousser ; même en dormant il ne pouvait s’empêcher de bander. Je la prit dans ma main et commençait à la branler sans que cela ne le réveille, je regardais ce membre si raide et gonflé qui m’avait défoncé et procuré tant de plaisir, et je ne pus résister à le prendreà nouveau dans ma bouche.Le plus délicatement possible je l’engloutis et me délectais de le lécher, de l’ embrasser, de le sucer il était à moi et rien qu’ à moi. Je me fis la réflexion stupide que Félix me baisait mieux que Marc, que je jouissais mieux avec Félix plutôt qu’avec mon prof et rien que de penser cela m’excita à nouveau et me fit accélérer ma pipe afin de recevoir une bonne giclée le plus vite possible ce qui ne tarda pas à se produire sans réveiller mon amant pour autant ; ormis un long râle il ne manifesta aucun signe de réveil...
Au petit matin ce fut lui qui me réveilla en me suçant, je déchargeais en lui et j’aurai bien aimé lui rendre la pareille mais nous n’avions pas le temps . Il me donna un double des clés de chez lui et me supplia de passer toute la semaine chez lui ; pour le taquiner je lui demandais si ça n’allait pas poser des problémes dans sa relation avec son jeune minet et pour toutes réponses il me roula une pelle en me disant doucement.
-Ludo, c’est toi que je veux pour vivre avec moi, pas lui, laisse tomber Marc et installe toi ici, ok ?
- Félix, laissons faire le temps, veux-tu. Je me rends compte que j’ai trompé Marc pour la premiére fois et que je le tromperai aussi toute cette semaine avec toi , je ne m’en serai jamais crû capable.. Allez , va au travail maintenant tu vas être en retard...
A midi je rentrais chez moi, le répondeur était rempli de messages de Marc, merde, j’avais oublié ça...Je l’appellais aussitôt sur portable, ça tombait bien c’était l’heure du repas et il avait rallumé son téléphone
- Je t’ai appellé tout hier soir, où étais-tu ?
- J’ai diné chez mes parents et dormi chez eux, je m’ennuyais sans toi...
Il me dit qu’il appellerait tous les soirs, je ne pouvais tout de même pas lui faire croire que j’allais tous les soirs chez mes parents, la seule solution était que je fasse venir Félix ici.
Tous les soirs, donc, celui-ci venait et ne repartait que le matin aprés une nuit intense d’étreinte qui nous rassasiait autant l’un comme à l’autre...Un soir, alors que nous regardions le film Marc m’appella, pourtant il m’avait déjà appellé comme à son habitude.
-Ludo, j’ai envie de toi, je m’ennuie sans toi, je suis nu sur le lit et je me branle, prends le god s’il te plait je veux t’ entendre jouir..
-Ok, rappelle moi dans 5 minutes le temps que je me déshabille et aille à la chambre.
Une bouffée de chaleur m’envahissait, je frissonnais car je savais que j’allais jouir tout en me faisant prendre par Félix avec la voix de Marc dans l’oreille. J’expliquais à Félix ce qui se passait et l’emmenait à la chambre, rapidement nous nous dévêtirent, je lui prit son membre dans la bouche et le suçait rapidement afin qu’il soit bien raide lorsque Marc appellerait, ce qui se produisit quelques secondes aprés d’ailleurs.
- Tu es prêt ma pute ?
- Oui, chéri, je suis nu, les jambes écartées et le gode à mes côtés.
- Prends le dans ta bouche, chienne, et suce le, léche le bien c’est ma queue que tu suces, tu entends ?
- Avant qu’il ait fini de me donner ses ordres j’avais déjà la queue bien dure de Félix dans ma bouche, le combiné à mes côtés afin qu’il ne perde pas les bruits de ma bouche..
- Voila, c’est bon hein, tu aimes sucer ma petite pute, mmmmm que tu suces bien! Maintenant je vais te défoncer, je sais que tu n’attends que ça, enfonce toi-le comme je t ‘enfonce ma grosse queue, vas-y !
J’étais sur le dos, les jambes écartées et légérement relevées, le combiné plaqué entre ma tête et mon épaule, Félix, à genoux, collé à moi, il n’eût qu’à me faire glisser un peu pour entrer en moi, je lui avais dit surtout de ne pas souffler ni crier...
-Tu la sents ma grosse queue, Ludo, elle rentre bien, hein ?
-Ouiii, mmm elle rentre petit à petit chéri, je la sent bien, ça m’excite ! J’avais le membre de Félix qui entrait en moi, il était chaud, il était gros, il savait me baiser ce salop, il savait comment me régaler !
- Accélére! De plus en plus vite! Je laboure ton petit cul, ma pute, là, je suis au fond de toi je te défonce comme tu aimes !
J’avais du mal à maitriser la situation, Félix se déchainait en moi, cela l’excitait follement, je le regardais et je n’avais jamais vu en lui autant d’excitation, ses yeux semblaient sortir de leurs orbites, il était rouge à exploser...
- Ouiii, chéri, elle est bonne ta queue, tu me régales, tu es tout au fond de moi !
- Dis moi que tu m’aimes,dis moi que tu es mon esclave dis moi que tu es ma petite pute !!!
- Mmmmm, tu es mon maître, mon mec, je t appartiens entiérement, je suis ta pute fais de moi ce que tu veux !
Félix me soulevait littérallement avec ses coups de reins qui collaient sa queue au plus profond de moi, je n ‘allais pas tarder à hurler, je le sentais , je le savais...
- Tiens, salope, tiens recois tout mon foutre dans ton cul de salope, ahhhhhhhhhhhh
Comme si tout cela avait été minuté je reçus au même moment une giclée de semence bien épaisse de Félix pendant que Marc déchargeait la sienne sur son lit d’hotel et que je prenais mon pied comme jamais peut être je ne l’avais pris,c’était irréel !
- Tu as aimé toi aussi, mon chéri, ne dis pas non car tu m’as crevé le tympan !
Un gros rire sortait du combiné téléphonique
- Ouiii, j’avais aussi envie de toi, tu sais, tu me manques...
Pendant ce temps Félix s’activait toujours en moi, lentement, amoureusement même je dirais..
- Bonne nuit, mon Ludo, tu es à moi pour toujours, bises.
A peine le combiné raccroché Félix s’allongea sur moi, et m’embrassa voracement, violemment j’avais troujours sa queue en moi.
- Tu as bien joui pas vrai, chienne que tu es ! Tu as hurlé comme une véritable petite pute que tu es !
- Ouii, c’est ta queue qui me rend fou chéri, elle est bonne et ton foutre est abondant, tiéde et salé comme j’aime ; ta queue n’est qu’a moi et rien qu’à moi !
Cela redonnait de la vigueur à son membre je le sentais à nouveau gonfler en moi, j’eus donc droit à une seconde scéance moins exitante que la précédente mais tout aussi intense...
Marc rentrant le lundi je dis à Félix qu’à partir du vendredi soir il ne me baiserait pas, je le satisferai comme je savais qu’il aimait mais mon petit cul me faisait mal et je ne pouvais pas me refuser à Marc le soir de son retour tout de même !
Aprés le retour de Marc on s’organisa avec Félix pour se voir chez lui deux fins d’aprés midi par semaine; en fait, cet inteméde d’une semaine m’avait fait découvrir que Félix me baisait bien mieux que Marc mais ce dernier est bien plus calin, plus prévenant, plus attentionné...Aussi, et jusqu’à ce jour, je continue de vivre avec lui mais j’attends impatiemment les fins d’aprés midi où Félix me prouve chaque fois un peu plus que je ne me suis pas trompé....

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