Lundi 8 avril 1991 - Suite – La nuit avec Monique

- Par l'auteur HDS Macerou -
Récit érotique écrit par Macerou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Lundi 8 avril 1991 -  Suite – La nuit avec Monique Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lundi 8 avril 1991 - Suite – La nuit avec Monique
Nous entrâmes au restaurant où j’avais réservé une table dans un coin de façon à être tranquille. Je recommandais à Monique le buffet, qui était bon et copieux. L’entrée ayant été récupérée, par curiosité je lui demandais comment il se faisait qu’elle avait récupéré ce job.
Monique : « Odile ayant accouché, est revenue le premier janvier 88, c’était temps, car j’étais enceinte de six mois. Que c’est il passé mais début août elle s’est fait viré et ton successeur me connaissant a fait appel à moi. Ayant accouché en mars, j’étais libre il et m’a embauché ». Tout se passait bien, alors je demandais à Monique : « Avant d’aller plus loin, jusqu’à quelle heure me fais tu l’honneur de rester avec moi ? »Monique : « C’est toi qui décide, … si tu m’invites au delà du diner, … je peux rester jusqu’à … disons … 6,00 heures du matin, … »Moi : « Wouaf, … c’est vrai, … »Monique : « Oui, … normalement, je couche chez une amie, la marraine de ma fille, … »Moi : « Quoi, tu as une fille, … et tu ne m’as rien dit, … elle a quel âge, …»Monique : « Deux ans et demi, … »Moi : « Et ton amie ne se pose pas de questions de savoir ce que tu fais pendant qu’elle garde ta fille, … »Monique : « C’est déjà arrivé, deux ou trois fois, quand on va au théâtre avec mon mari, … elle est veuve, son mari a sauté sur une mine en opération, elle est sans enfant, … elle travaille à la gestion du personnel, …»Moi : « Elle doit sacrément t’apprécier, … tant mieux pour moi, … je vais t’avoir à moi toute la nuit, …»Monique : « Oui, … depuis le temps que j’en rêve, … passer une nuit avec toi, … une folle nuit, … »Moi : « Je vais essayer d’être à la hauteur, … »Monique : « Quand je pense que la dernière fois que l’on s’était vu, après le pot, j’avais décidé de fermer la boite aux souvenirs. Et tu te souviens, … la veille de ton déménagement je suis venu te voir, non plutôt, … je suis venu m’offrir à toi, … c’était la dernière fois que tu me prendrais, … mais j’en avais tellement envie, … je me suis comportés comme la dernière des filles, … une véritable salope, … et encore, …»Moi : « Non, … pourquoi, disons plutôt comme une amoureuse, … »Monique : « Tu parles, … à peine entrée, j’ai jeté ma robe au loin, pour te montrer que, comme tu aimais j’étais venue nue, prête pour toi. Ça a été formidable, … Tu m’as prise partout, … et pendant une heure je m’étais entièrement et complétement donnée à toi, … et là, après, j’avais vraiment décidé de fermer la boite à souvenir… Une ou deux fois, je suis allée au parking à penser ce que nous avions fait, … Mais les souvenirs étaient rangés dans leur boite sur l’étagère, en haut, … Et tout d’un coup tu ressurgis, … et tu ouvres de nouveau la boite à souvenirs, … et je me précipite,… »Moi : « Tu le regrettes, … »Monique : « Non, … et tu les sais, … et tu profites de ma faiblesse, … faiblesse consentie, je l’avoue, … mais, … »Moi : « Après le diner, puisque tu me fais l’honneur de rester, je t’invite dans ma chambre et nous pourrons reprendre notre conversation au lit, … »Monique : « D’accord, … mais laisses moi un peu de temps pour prendre une douche et me préparer, … pour toi, …»Moi : « Préparer quoi, … prendre une douche, … je ne veux pas que ta chatte sente le savon, … mais quelle sente ton odeur à toi, … »Monique : « Mais, … bon, … j’ai apporté une jolie nuisette, … à mettre pour toi, … pour te tenter, … qui suggère tout, … et ne cache rien, … »Moi : « Oublies ta nuisette, … ce que j’aime, … c’est tu enlèves ton corsage, le jette au loin et tes beaux seins apparaissent les tétons pointant durs, … puis tu jettes ta jupe au loin et tu est ainsi nue, … enfin tu te laisses tomber sur le lit et les jambes bien écartées, … la chatte bien en vue, … tu t’offres à ma vue, … »Monique : « Comme tu voudras amour, … mais avant on va faire un tour dehors pour se préparer, … profiter des coins sombres, … se chauffer, … »Moi : « Ça c’est une bonne idée, … allons y, … et toi qu’est-ce que tu aimes, … »Monique : « Ce que j’aime, … j’aime tout ce que tu me fais, … serres moi fort, … »Moi : « Dans mes bras, … comme ça, … contre moi, …que je te respire, …» et j’avais glissé une jambe entre ses cuisses et elle avait commencé à se frotter sur ma cuisse, et elle repris : « Oui, comme ça, … je te sens contre mon ventre, … je ne suis plus qu’un ventre, … qu’un sexe, … qui t’attends, … qui te désire, … arrêtes, … je sens que tu vas me faire jouir, … »Moi : « Viens, … on rentre, … mais avant, … » Monique : « Quoi, …Moi : « Je veux te caresser, … je veux voir si tu es chaude, … »Monique : « Tu abuses, … Oh, … oui, … je sens ta place, … je veux que tu me prennes, … »Soulevant sa jupe, alors qu’elle écartait les jambes, je glissais une main curieuse dans son entrejambe, qui était chaude et humide, … et laissais trainer un doigt dans la petite raie de sa chatte.
Monique : « Tu exagères, … Monsieur est satisfait, de son inspection, … viens, … dépêches toi, … »Et nous partîmes pour la chambre. A peine arrivée, Monique balança son corsage et les seins en avant elle vint vers moi, les tenant dans ses mains « Viens, … prends les, … ils sont gonflés,… ils ont besoin d’être sucés, … tétés, … » et c’est ce que je fis. Ma bouche ayant honoré cette belle poitrine, Monique se recula et défit sa jupe qu’elle jeta sur un fauteuil. Nue, mais ayant gardé ses escarpins, elle marcha jusqu’au bout de la chambre, demi-tour, et revint. Il faut reconnaître, étudiant j’aurai dit : « Elle a un sacré châssis cette nana », que c’était une belle femme, et qui sait se promener nue, en arrivant vers moi, elle mit ses bras autour de mon cou, se collant à moi : « Je me demande si tu as envie de moi, … hum, … je sens que ça vient, … » et laissant ses escarpins , elle s’assit sur le lit : « Viens, … tu es encore habillé, … je vais t’aider, … » En fait elle ne s’occupa que d’ouvrir la ceinture de mon pantalon et d’ouvrir ma braguette, d’abaisser pantalon et caleçon, puis voyant la chose qui commençait à me faire honneur : « Tu sembles en forme, … » et elle termina sa phrase par un léger coup de langue sur le gland avant de se laisser tomber sur le lit, les cuisses largement écartées, offerte, … prête volontairement, à être consommée, !!!!
« Viens, … je suis prête, … ne me fais pas attendre, … tu aimes que je sois comme ça, … j’aime que tu me regardes quand je suis ainsi, … je sais que tu vas m’aimer, … me faire jouir, … viens, …» Je m’allongeais à coté d’elle. A peine allongé, Monique tendit la main vers ma tige et commença à la caresser doucement : « Oh, … tu commences à être intéressant, … j’aime te sentir te tendre dans ma main, … laisses moi faire, … je te veux, … je vais te prendre, … » et joignant le geste à la parole, elle se redressa et m’enjambant et à califourchon elle prit ma queue et la dirigea vers et dans sa chatte et s’empala doucement dessus, pour enfin l’enfoncer brutalement avec un OH de satisfaction.
Bien plantée sur ma queue, je la tenais par les hanches, elle, les mains sur les hanches se mit à pratiquer une espèce de danse du ventre, qui avait ma bite comme axe, c’était excitant au possible pour moi et pour ma partenaire, et elle semblait apprécier ce qu’elle faisait : « Oui, … c’est bon, … je te sens bien, … je me faits l’amour, … prends mes seins, … ils sont gonflés, … caresses moi, …» Je lâchais ses hanches pour m’occuper de ses seins, qui étaient gonflés et dont les tétons pointés durement. Puis elle se laissa tomber sur moi, dans l’élan, j’en profiter pour passer sur elle.
Elle me serra entre ses cuisses et je commençais mes va et vient, certes un peu brutalement, mais je savais qu’elle aimait qu’à partir d’un certain moment, il fallait la baiser fort et elle le demandait, c’était souvent le moment où elle était sur le point de partir, de s’éclater, et en fait : « Oui amour, … prends moi fort, … baises moi fort, … baises moi comme ta salope, … dis moi que t’aimes me baiser, … oui, … remplis moi de toi, … OUIIII, …ne t’arrêtes pas , … ça vient, … OUIIIIIIIII, … OOOHHH, …OUIIIII, … »A peine commençait elle à jouir que bien enfoncé dans son fourreau, je m’éclatais d’un seul coup, alors qu’elle, secouée par un spasme, elle écartait les jambes pour les refermer brutalement autour de moi et se cambrer avec une telle force qu’elle me soulevait, pour enfin se laisser retomber, le souffle court. Ayant repris son souffle, bien étendu à coté de moi, les jambes bien écartées elle se mit à faire jouer les muscles de son ventre, de son bas ventre. Surpris je la regardais faire, quand je m’aperçus que du sperme coulait de sa chatte. Du bout de ses doigts elle le récupéra et me regardant, elle les porta à sa bouche et les suça : « Avec toi, j’aime à gouter à notre plaisir, … je t’adore, … fais moi faire mon câlin, … quand tu m’éclates de plaisir, … j’ai besoin d’un gros câlin, … viens, … »Moi : « Oui, … viens contre moi, … qu’est ce qui te fait plaisir, … »Monique : « Quand je suis, ainsi, dans tes bras, … que tu es bien contre moi, … je te sens contre mon ventre, … que tu deviens dur, … c’est le commencement du plaisir, … mais pourquoi je te dis ça, … tu me déshabilles physiquement, … et maintenant intimement, … je suis folle, … »Moi : « Continues, … ça te fais plaisir de te raconter, … car tu aimes le sexe, … j’adore t’écouter, … et tu aimes m’exciter,… ça t’excite, … »Monique : « Oui, … j’aime parler avec toi, … j’aime te sentir devenir dur, … tu vas penser que je suis une belle salope, … mais, j’aime que tu glisses une jambe entre mes cuisses, … comme tu l’as fait toute à l’heure, … et je peux m’y frotter, … ça me prépare au plaisir de t’avoir, … de devenir tienne, … je ne suis plus qu’un sexe, … qui t’attend, … puis quand on a fait l’amour, … un câlin contre toi, … j’ai le corps, … et l’esprit qui se calment, …» De nouveau, elle se calla contre moi et rapidement s’endormit. Je mis plus de temps à sombrer, la tête pleine de ce qui c’était passé …En cours de nuit, une main se posa sur « popol » et se mit à le caresser, ce qui me réveilla instantanément, et Monique se calla un peu mieux contre moi, je sentais ses seins contre ma poitrine, je me mis à la caresser : « Continues à me caresser, … j’aime tes mains sur ma peau, … caresses moi partout, … »Moi : « Partout, … tu es certaine, … »Monique : « Oui, … partout, … tu aimes que je te demande, … oui partout, … ou tu veux, … » Moi : « D’accord, … mais je veux que tu me prennes dans ta bouche, … j’aime sentir ta langue me lécher, … »Monique : « J’aime t’avoir dans ma bouche, … surtout quand tu durcis, … » et elle se tourna pour s’approcher de ma bite et ainsi me présentait son joli cul.
Moi : « Si tu veux que je m’occupe de ta chatte, … ta jambe par-dessus, … »C’est ce qu’elle fit, et ainsi elle me donnait sa chatte à gouter pendant qu’elle s’occupait de ma tige, qui sous les douceurs de sa langue et de sa bouche commençait à me faire honneur. Quand elle jugea que la chose avait la consistance nécessaire, et que sa chatte était prête, chaude et humide à souhait, elle revint sur moi et en m’embrassant enfin en me léchant la bouche pour gouter à son jus de plaisir : « Viens, … prends moi, … dépêches toi, … montes moi, … j’attends que tu me montes, … » et elle se mit en levrette, ses belles fesses fermes et bien rondes en évidence. A l’aide de ma bite je parcourais gentiment la raie de ses fesse jusqu’à la raie de sa chatte puis remontais et redescendais, sachant pertinemment que, rapidement, il y aurait une réaction : « Arrêtes, … je vais hurler, … prends moi, … » Sans hésiter je m’enfonçais dans sa chatte bien humide et bien chaude, ce qui fut accueilli par un « OH, … OUI, … enfin … » et cramponné à ses hanches je m’efforçais de satisfaire cette belle femelle qui attendait que je la fasse jouir, une claque sur ses belles fesses : « Oh, … Oui, … j’aime, … oui, baises moi, … très fort , … dis moi que tu aimes me monter, … je suis ta femelle, … j’aime que tu sois sur moi, … er dans moi, …» puis elle positionna sas mains sur ses fesses, les écartant, ce qui me donnait une belle vue sur sa rosette : « Je sens que tu as envie que je prennes ton joli cul, …» Monique : « Oui, … prends moi par là, … encules moi, … j’en ai envie, … oui, … rentres, … »Je me retirais de sa chatte chaude, ouverte et ruisselante et y trempais mes doigts pour humidifier sa rosette et ainsi je changeais de cible, me positionnant sur sa rosette dont j’appréciais la souplesse du bout de ma queue, et Monique tenant ses fesses bien écartées je commençais à forcer le passage.
Monique: « Oui, … commences doucement, … ça fait longtemps, … ouiii, … encules moi, … encules moi fort, … rentres, je te sens, … OH, OH, … rentres j’en ai tellement envie, … ouiii, … défonces moi le cul, … OOOOHHH, … ouii, … »J’avais commencé doucement mais, elle avait fini par se décontracter et comme elle me le demandait j’avais forcé, et réussi à m’enfoncer entièrement dans elle. Les va et vient lents au début s’accélérèrent, pour agrémenter le plaisir, alors qu’elle avait une main qui avait rejoint sa chatte et qui s’y activait, je lui collais une claque sur ses jolies fesses, ce qu’elle avait appréciée en disant : « Ouiii, baises moi fort, … ne t’arrêtes pas, … je te sens, … oui remplis moi, … dis moi que tu aimes me prendre le cul, … OOOHHH, OUIIII, … continues, je sens que je vais jouir, … oui prends moi profond, …»Je continuais de la ramoner sérieusement, puis je m’arrêtais brutalement, réaction instantanéeMonique: « Ne t’arrêtes pas, … c’était bon, continues, … OOOOHHH, … OUIIIIIIIII, … OUIIIIIIIIII, … »Un bel orgasme la fit se tendre, alors que je me vidais dans son fondement. Elle s’affala sur le lit et se retournant, vint se coller à moi.
Monique : « C’était bon, … tu as aimé, …me prendre ainsi, … ça me rappelle de bons souvenirs, … mais tu es un profiteur, … embrasses moi, … il faut dormir, … demain je vais avoir une tête, … »

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Texte coquin : Lundi 8 avril 1991 -  Suite – La nuit avec Monique
Histoire sexe : Une rose rouge
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