Ma belle-sœur... 1/20
Récit érotique écrit par N, M, P. [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma belle-sœur... 1/20
Ma belle-sœur... 1/20
J'ai 49 ans et j'ai une liaison avec ma belle-sœur de 48 ans depuis 2022. C'est la sœur de ma femme de 4 ans sa cadette.
Pour des raisons familiales, j'ai conduis mes beaux parents aux Portugal et ma belle-sœur ainsi que ma nièce nous ont rejoint par avion. Ma femme étant resté chez nous avec notre fils. J'adore ma belle-sœur et je n'ai jamais eu de pensée sexuel envers elle, même si je l'ai déjà vue en maillot de bain. On se connaît depuis plus de 20 ans.
Elle est plutôt grande, une poitrine généreuse (un peu moins que ma femme) des hanches larges qui lui font un trop gros fessiers à son goût. Durant les premiers jours rien d'anormal à l'horizon, les taquineries habituel sans rien de déplacé.
La maison est assez petite, mes beaux parents ont une chambre, ma belle-sœur et ma nièce une autre et moi je dors dans une chambre qui sert aussi de bureau. Mais les couloirs sont étroit, très étroit. Et c'est la que tout à commencé.
Au début lorsque l'on se croise ma belle-sœur et moi, on se colle contre le mur pour laissé passer l'autre et puis plus ça va moins on colle le mur. On se frôle, on s' excuse, nos bras se touchent, puis nos mains et pour finir nos doigts et notre regard se cherchent. Mais toujours aucune allusion et lorsqu'il y a du monde rien de tout ça. Qui a commencé ? Réellement, je ne saurais dire. Un soir, alors qu'elle etait dans la salle de bain, j'attendais pour aller au WC qui sont dans la même pièce. A sa sortie on échangea un grand sourire, qui a certainement durée plus qu'il n'aurait dû, car c'est ma nièce qui nous a sorti de nos songe par un brusque :
- bah, qu'est ce qui vous arrive, vous faites quoi la !
Et sa mère et moi de répondre simultanément :
- bah, rien !
Ce qui a eu pour effet de nous faire rire. Ma nièce peut convaincu a lâché un petit :
- mouais, je vous ai à l'œil.
Le lendemain matin, comme à mon habitude je suis le premier levé, je déjeune sans bruit et attends sur la terrasse que le reste de la maison prenne vie. Pour une fois c'est ma belle-sœur qui se lève avant ses parents, elle a encore la tête dans le ..., mais je suis ravi de la voir, ça me fait des picotements dans le ventre et je sent une érection et le désir monter en moi. Étant en survêtement sans sous vêtement, je préfère rester assis pour ne pas créer d'histoire. Elle me renvoi un large sourire et me demande si j'ai bien dormi. Je lui répond par l'affirmatif et lui demande si elle aussi de son côté à bien dormi. Elle fait une grimace et me dit qu'elle s'est pris la tête avec ma nièce à cause de la scène du couloir. Je lui dis qu'il n'y a pas de raison étant donné qu'on a rien fait de mal, à part se sourire l'un l'autre. Elle me répond que oui justement le pire c'est qu'on a rien fait encore. Je manque de m'étouffer et lui demande de m'expliquer c'est quoi ce "encore". Elle bafouille, s'excuse et me répond que ce n'est pas ce qu'elle a voulu dire. Non c'est vrai on a rien fait et il n'y aura jamais rien. Sans m'en rendre compte j'ai du changer de tête car elle me demande ce qui m'arrive j' ai l'air déçu. Je deviens rouge de honte et lui présente mes excuses, car j'ai un cour moment imaginé des choses entre elle et moi. Un long silence s'installe, elle boit son café puis me demande
- quelle genre de choses ?
Je suis surpris et lui dit ce que je ressent en moi à cet instant et la raison pour laquelle je ne me leve pas. Elle me sourit, se lève et rentre dans la maison, j'ai envie de la suivre mais j'entends son père lui dire bonjour. La journée se passe et rien ne se passe. Je suis en colère après moi, j'ai du la choquer ou pire elle m'en veut vis à vis de sa sœur et mon beau-frère. Le soir après manger, la poubelle étant pleine, je décide de jeter le sac mais pour ça il faut se rendre à l'entrée du village ou se trouve les containers. Comme il pleut, il n'y a pas beaucoup de volontaire. Je marche tranquillement sous une petite pluie en me disant que j'avais bien merdé ce matin. Et la je suis rattrapé par ma belle-sœur qui me dit de l'attendre car j'ai oublié de prendre les verres. Je sent de nouveau les picotements m'envahir. Ma belle-sœur me demande pourquoi je faisais la tête toute la journée. Je lui dit que ce matin j'aurais du la fermer car j'ai foutu en l'air notre complicité. Elle me pris le bras et me dis que non et que je n'ai pas à m'inquiéter. Sur ces mots là pluie s'est mise à doublé voir triplé d'intensité. On jette nos sac dans les bennes et on a juste le temps de se mettre à l'abri sous l'abri-bus. On est dégoulinant de pluie. Elle commence à grelotter alors je la prends dans mes bras pour la réchauffer oubliant que je commençait à avoir une érection. Et la elle eu un :
- ho ! Effectivement je vois que tu m'aime bien le beau-frère !
Je me sent gêné et veux reculer mais elle me tient bien dans ses bras et à vrai dire j'en ai pas vraiment envie. Nos regards se croise et on s'embrasse spontanément. Nos langues se mêle comme de jeune collégiens. J'aurai aimé comme dans certains recit avoir des préliminaires qui dure des heures mais ce serait mentir. En guise de préliminaires mes mains on soulevé sa longue robe, elle a dégrafé mon pantalon baissé mon boxer, j'ai écarté sa culotte, ses lèvres et elle m'a guidé en elle. Tous ça sans que nos bouches ne se sépare. Je l'ai prise comme ça debout en pleine nuit dans l'abri-bus sous une pluie battante, autant que nos cœurs. Ça n'a pas duré des heures, quelques minutes tout au plus, mais le désir et l'excitation mutuelle était là. J'ai senti son vagin se contracter j'ai joui en elle. On s'embrassait toujours. Nous en sommes venu à la même conclusion en ré-ajustant nos tenues. On en avait vraiment envie, ça nous a fait du bien et on a été à l'essentiel. A nos âges pas de temps à perdre en fioritures. Nous avons couru sous la pluie pour rentrer. A notre arrivée, sa fille est devant la porte sous le porche et nous demande ce qu'on foutait. Ça mère lui repondi sèchement :
- la prochaine foi, tu n'aura qu'à aller toi même jetter les poubelles sous la pluie. On a attendu une accalmie mais comme elle ne venait pas on a couru pour rentrer, c'est pour ça qu'on est essoufflé.
Ma nièce me jetta un regard desaprobateur. Mes beaux parents étaient coucher, ma nièce dans sa chambre sur son téléphone à chercher du réseau. Ma belle-sœur et moi étions dans la salle à mangé à regarder de vielles photos d'elle et sa sœur lorsqu'elles venaient au village pendant les vacances. Nous étions chacun d'un côté de la table, au cas où sa fille viendrait , ce qu'elle ne manquait pas de faire de temps en temps. Mais nous étions presque couché sur la table, nos têtes était à quelque centimètres l'une de l'autre, j'avais envie de l'embrasser et elle se mordait la lèvre en me regardant. Les pages de l'album tournaient mais je ne saurais d'écrire la moindre photo tant je n'avais d' yeux et de désir que pour elle. Je ne manquais pas de lui dire que j'aurais voulu que ça se passe différemment, que ce soit plus long et que j'avais envie d'elle de nouveau. Elle me souri, me rassura pour la rapidité et me dit qu'elle aussi avait très envie, mais qu'il fallait faire attention à l'œil de Moscou qui nous surveillait. Nous avons du rusé pour nos ebats amoureux suivant. Le matin, elle se forçait à se lever plus tôt que d'habitude et sans bruit pour me retrouver dans la cuisine. Là, on ne pouvait pas grand chose, à part se prendre dans les bras, s'embrasser, se carresser, se soulager mutuellement. J'avais terriblement envie de goûter son sex et elle voulait me prendre en bouche. Dans la journée, il a fallu emmener ses parents en ville pour régler leur affaire. Nous les avons accompagné et ma nièce est resté à la maison. Arrivé sur place, ses parents en avaient pour au moins deux heures, nous leurs avons dit que nous trainerions en ville. Nous n'avons pas traîner pour reprendre la voiture et trouver un coin tranquille...
A suivre...
J'ai 49 ans et j'ai une liaison avec ma belle-sœur de 48 ans depuis 2022. C'est la sœur de ma femme de 4 ans sa cadette.
Pour des raisons familiales, j'ai conduis mes beaux parents aux Portugal et ma belle-sœur ainsi que ma nièce nous ont rejoint par avion. Ma femme étant resté chez nous avec notre fils. J'adore ma belle-sœur et je n'ai jamais eu de pensée sexuel envers elle, même si je l'ai déjà vue en maillot de bain. On se connaît depuis plus de 20 ans.
Elle est plutôt grande, une poitrine généreuse (un peu moins que ma femme) des hanches larges qui lui font un trop gros fessiers à son goût. Durant les premiers jours rien d'anormal à l'horizon, les taquineries habituel sans rien de déplacé.
La maison est assez petite, mes beaux parents ont une chambre, ma belle-sœur et ma nièce une autre et moi je dors dans une chambre qui sert aussi de bureau. Mais les couloirs sont étroit, très étroit. Et c'est la que tout à commencé.
Au début lorsque l'on se croise ma belle-sœur et moi, on se colle contre le mur pour laissé passer l'autre et puis plus ça va moins on colle le mur. On se frôle, on s' excuse, nos bras se touchent, puis nos mains et pour finir nos doigts et notre regard se cherchent. Mais toujours aucune allusion et lorsqu'il y a du monde rien de tout ça. Qui a commencé ? Réellement, je ne saurais dire. Un soir, alors qu'elle etait dans la salle de bain, j'attendais pour aller au WC qui sont dans la même pièce. A sa sortie on échangea un grand sourire, qui a certainement durée plus qu'il n'aurait dû, car c'est ma nièce qui nous a sorti de nos songe par un brusque :
- bah, qu'est ce qui vous arrive, vous faites quoi la !
Et sa mère et moi de répondre simultanément :
- bah, rien !
Ce qui a eu pour effet de nous faire rire. Ma nièce peut convaincu a lâché un petit :
- mouais, je vous ai à l'œil.
Le lendemain matin, comme à mon habitude je suis le premier levé, je déjeune sans bruit et attends sur la terrasse que le reste de la maison prenne vie. Pour une fois c'est ma belle-sœur qui se lève avant ses parents, elle a encore la tête dans le ..., mais je suis ravi de la voir, ça me fait des picotements dans le ventre et je sent une érection et le désir monter en moi. Étant en survêtement sans sous vêtement, je préfère rester assis pour ne pas créer d'histoire. Elle me renvoi un large sourire et me demande si j'ai bien dormi. Je lui répond par l'affirmatif et lui demande si elle aussi de son côté à bien dormi. Elle fait une grimace et me dit qu'elle s'est pris la tête avec ma nièce à cause de la scène du couloir. Je lui dis qu'il n'y a pas de raison étant donné qu'on a rien fait de mal, à part se sourire l'un l'autre. Elle me répond que oui justement le pire c'est qu'on a rien fait encore. Je manque de m'étouffer et lui demande de m'expliquer c'est quoi ce "encore". Elle bafouille, s'excuse et me répond que ce n'est pas ce qu'elle a voulu dire. Non c'est vrai on a rien fait et il n'y aura jamais rien. Sans m'en rendre compte j'ai du changer de tête car elle me demande ce qui m'arrive j' ai l'air déçu. Je deviens rouge de honte et lui présente mes excuses, car j'ai un cour moment imaginé des choses entre elle et moi. Un long silence s'installe, elle boit son café puis me demande
- quelle genre de choses ?
Je suis surpris et lui dit ce que je ressent en moi à cet instant et la raison pour laquelle je ne me leve pas. Elle me sourit, se lève et rentre dans la maison, j'ai envie de la suivre mais j'entends son père lui dire bonjour. La journée se passe et rien ne se passe. Je suis en colère après moi, j'ai du la choquer ou pire elle m'en veut vis à vis de sa sœur et mon beau-frère. Le soir après manger, la poubelle étant pleine, je décide de jeter le sac mais pour ça il faut se rendre à l'entrée du village ou se trouve les containers. Comme il pleut, il n'y a pas beaucoup de volontaire. Je marche tranquillement sous une petite pluie en me disant que j'avais bien merdé ce matin. Et la je suis rattrapé par ma belle-sœur qui me dit de l'attendre car j'ai oublié de prendre les verres. Je sent de nouveau les picotements m'envahir. Ma belle-sœur me demande pourquoi je faisais la tête toute la journée. Je lui dit que ce matin j'aurais du la fermer car j'ai foutu en l'air notre complicité. Elle me pris le bras et me dis que non et que je n'ai pas à m'inquiéter. Sur ces mots là pluie s'est mise à doublé voir triplé d'intensité. On jette nos sac dans les bennes et on a juste le temps de se mettre à l'abri sous l'abri-bus. On est dégoulinant de pluie. Elle commence à grelotter alors je la prends dans mes bras pour la réchauffer oubliant que je commençait à avoir une érection. Et la elle eu un :
- ho ! Effectivement je vois que tu m'aime bien le beau-frère !
Je me sent gêné et veux reculer mais elle me tient bien dans ses bras et à vrai dire j'en ai pas vraiment envie. Nos regards se croise et on s'embrasse spontanément. Nos langues se mêle comme de jeune collégiens. J'aurai aimé comme dans certains recit avoir des préliminaires qui dure des heures mais ce serait mentir. En guise de préliminaires mes mains on soulevé sa longue robe, elle a dégrafé mon pantalon baissé mon boxer, j'ai écarté sa culotte, ses lèvres et elle m'a guidé en elle. Tous ça sans que nos bouches ne se sépare. Je l'ai prise comme ça debout en pleine nuit dans l'abri-bus sous une pluie battante, autant que nos cœurs. Ça n'a pas duré des heures, quelques minutes tout au plus, mais le désir et l'excitation mutuelle était là. J'ai senti son vagin se contracter j'ai joui en elle. On s'embrassait toujours. Nous en sommes venu à la même conclusion en ré-ajustant nos tenues. On en avait vraiment envie, ça nous a fait du bien et on a été à l'essentiel. A nos âges pas de temps à perdre en fioritures. Nous avons couru sous la pluie pour rentrer. A notre arrivée, sa fille est devant la porte sous le porche et nous demande ce qu'on foutait. Ça mère lui repondi sèchement :
- la prochaine foi, tu n'aura qu'à aller toi même jetter les poubelles sous la pluie. On a attendu une accalmie mais comme elle ne venait pas on a couru pour rentrer, c'est pour ça qu'on est essoufflé.
Ma nièce me jetta un regard desaprobateur. Mes beaux parents étaient coucher, ma nièce dans sa chambre sur son téléphone à chercher du réseau. Ma belle-sœur et moi étions dans la salle à mangé à regarder de vielles photos d'elle et sa sœur lorsqu'elles venaient au village pendant les vacances. Nous étions chacun d'un côté de la table, au cas où sa fille viendrait , ce qu'elle ne manquait pas de faire de temps en temps. Mais nous étions presque couché sur la table, nos têtes était à quelque centimètres l'une de l'autre, j'avais envie de l'embrasser et elle se mordait la lèvre en me regardant. Les pages de l'album tournaient mais je ne saurais d'écrire la moindre photo tant je n'avais d' yeux et de désir que pour elle. Je ne manquais pas de lui dire que j'aurais voulu que ça se passe différemment, que ce soit plus long et que j'avais envie d'elle de nouveau. Elle me souri, me rassura pour la rapidité et me dit qu'elle aussi avait très envie, mais qu'il fallait faire attention à l'œil de Moscou qui nous surveillait. Nous avons du rusé pour nos ebats amoureux suivant. Le matin, elle se forçait à se lever plus tôt que d'habitude et sans bruit pour me retrouver dans la cuisine. Là, on ne pouvait pas grand chose, à part se prendre dans les bras, s'embrasser, se carresser, se soulager mutuellement. J'avais terriblement envie de goûter son sex et elle voulait me prendre en bouche. Dans la journée, il a fallu emmener ses parents en ville pour régler leur affaire. Nous les avons accompagné et ma nièce est resté à la maison. Arrivé sur place, ses parents en avaient pour au moins deux heures, nous leurs avons dit que nous trainerions en ville. Nous n'avons pas traîner pour reprendre la voiture et trouver un coin tranquille...
A suivre...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hmmm,belle histoire ! Des sentiments comme il en nait parfois dans les familles sans qu il y ait des passages à l acte... bravo à vous !