Ma collègue des RH ( 1 )
Récit érotique écrit par Jaimelalingerie2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2012 dans la catégorie Fétichisme
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Ma collègue des RH ( 1 )
Cette histoire commence il y a quelques mois.
Je commence un CDD de quelques mois dans une administration en rapport avec la santé.
Les quelques premiers jours se passent bien et je croise régulièrement dans les couloirs une femme dont je ne pourrais donner l'âge. En effet, en me voyant arriver, elle me fait un grand sourire de loin mais baisse la tête l'air gênée rapidement.
A cause de cela, je ne peux lui donner un âge précis, elle m'a l'air plus âgée que moi ( j'ai 30 ans ) mais je serai bien incapable de dire autre chose qu'entre 45 et 55 ans.
Cette timidité, surprenante, et surtout la manière dont elle s'habille ne me laisse pas indifférent.
Elle est toujours en tailleur, mais surtout; porte chaque jour des collants ( ou des bas ? ), quelque soit le temps.
Pourtant l'hiver a été glacial dans l'est. J'ai l'impression qu'elle ne s'habille jamais deux fois de la même manière. Ses jupes descendent au dessus du genou tout au plus et ses talons achèvent de me charmer.
Rapidement, mon service déménage à un autre étage pour travaux. Je me vois donc obligé d'aller à mon ancien étage plus souvent que de raison pour revoir ma belle : dossier à aller chercher, photocopies à faire au compte goutte ...
Je continue donc de la croiser.
Un jour que je m'apprêtai à retourner à mon étage, je la vois passer juste devant moi. Je regarde ses jambes de derrière pour la première fois. Elles sont magnifiques. Ni maigre, ni trop grosse et gainées de collants.
Je décide donc de faire trainer un peu pour remonter afin de prendre l'ascenseur avec elle.
J'entend des talons au fond du couloir ... la voilà...
Dans l'ascenseur, je suis près d'elle et profite de son odeur. Elle entame la conversation. Questions bateau : je suis en CDD ? pour longtemps ? qu'est-ce que j'ai fait avant ? mes études ? ...
Réponse bateau mais je peux la détailler pour la première fois.
Elle n'est pas très grande : 1m65. Elle doit avoir une cinquantaine d'années, peu maquillée et très très bien conservée. Elle a les cheveux blonds mi long avec un dégradé derrière.
Nous sortons de l'ascenseur, elle passe devant moi et nous stoppons notre conversation.
Je le suis d'assez près pour pouvoir admirer ses jambes une fois et plus.
Encore une fois, elles sont magnifiques, mon regard monte et je me rends compte que son déhanché est trop "déhanché" pour être naturel.
Je profite du spectacle un court instant et me dirige ensuite vers la photocopieuse. Elle me suit à son tour.
Les jours passent ensuite.
Environ un mois plus tard, les travaux sont terminés et je change d'étage.
Les jours passent, nous nous croisons souvent et le fait que j'arrive à reconnaitre ses pas grâce à ses talons et sa manière de marcher ( aucun problème pour marcher avec des talons, elle a une telle élégance qu'on dirait qu'elle flotte sur le sol )permet de multiplier les rencontres.
Faits amusant, je me rends compte que lorsqu'elle se rend compte de ma présence, elle retire ses lunettes. Probable coquetterie.
Je me rends souvent dans la pièce où se trouve la photocopieuse à pas de loup pour rester dans l'entrebâillement de la porte et admirer ses jambes.
Mes bonjours la font sursauter alors que je suis persuadé qu'elle sait que je suis là.
Ces sursauts nous amusent et jour après jour mes bonjours se font plus doux. Je vais jusqu'à lui dire que je n'ai pas intérêt à lui dire bonjour en lui attrapant les épaules, je joins le geste à la parole.
Elle me réponds alors : "Non comme ça, ça irait"
Les jours se suivent et je lui dis bonjour en lui touchant les épaules, les bras, les cheveux ...
Les compliments se multiplient : elle a des yeux rieurs, un joli sourire, des jambes magnifiques, une garde robe élégante comme j'en ai rarement vue, je lui dis que son mari a bien de la chance ...
Un soir vers 17h, tous les collègues sont partis et je me dirige vers la photocopieuse ( oui pour travailler ) , la lumière est allumé. Je le vois de dos, sa robe va jusque mi cuisse et ses collants ont un effet fermeture éclair.
J'approche d'elle et lui dis bonjour, le doigt suivant le motif de ses collants.
Elle sursaute. Pour une fois , je pense qu'elle est vraiment surprise, mais elle me laisse continuer.
Mon doigt remonte peu à peu, et divine surprise, peu après être passé sous sa robe, je sens que le motif s'arrête et laisse place à une jarretière puis à sa peau.
A quelques centimètres de mon doigt, je sens une jarretière.
- " Vous êtes comme ça tous les jours ? "
- " Non, seulement depuis quelques semaines "
- " Je maintiens que votre mari a bien de la chance "
- " Non, ça c'est pour vous "
Elle se tourne vers moi, défait sa robe et s'assoit sur la photocopieuse.
Elle est superbe, elle ne porte plus qu'un soutien gorge noir avec le string et le porte jarretelle assortis.
Je la complimente encore une fois sur ses bas.
" Ce sont des Cervin, ma marque préférée "
Je retire ses escarpins et caresse ses pieds.
" Mmm c'est doux "
Je caresse ensuite ses mollets que je colle à mes joues.
Je lèche ensuite ses cuisses et m'amuse à jouer avec la jarretière, frontière infime entre ses bas et sa peau.
Je passe mon doigt sur son string et appuie un peu plus fortement en passant entre ses lèvres.
" Mmmm oui "
Voyant qu'elle apprécie, je recommence plusieurs fois et m'amuse de ses réactions.
Elle retire ensuite son soutien gorge, ses seins ( un bon 105 C ) tombent un peu mais ses tétons pointent et ne sont pas près d'arrêter vu comme elle les caresse.
Je passe ma tête entre ses cuisses et lèche son string au niveau des lèvres.
" Oh oui, lèche moi, lèche moi fort "
Je retire son string et sens qu'elle est toute mouillée.
Je me lève pour fermer la porte de la pièce.
" Pas la peine, on est tous seuls à l'étage, j'ai envie de toi et tout est fait pour que j'en profite "
Je retourne entre ses cuisses et commence à la doigter en accélérant les va et vient.
" Lèche moi maintenant, bouffe moi "
Son ton impératif m'excite et je m'exécute.
Je me rends alors compte qu'elle me tutoie.
- " Oh oui tu vas en profiter, ça fait des mois que j'ai envie de toi "
- " Alors lèche ! "
- " Dis moi que t'aime ça "
- " Oh oui j'aime continue "
- " T'es une salope, hein ? "
- " Non je suis ta salope "
- " Et ton mari ? "
- " Il ne me touche plus depuis des années et j'en ai marre des godes et des vibros, lèche moi plus fort"
- " Il est bien con "
- " Merci ... aaaah je viens !!!!!!! "
A suivre
Je commence un CDD de quelques mois dans une administration en rapport avec la santé.
Les quelques premiers jours se passent bien et je croise régulièrement dans les couloirs une femme dont je ne pourrais donner l'âge. En effet, en me voyant arriver, elle me fait un grand sourire de loin mais baisse la tête l'air gênée rapidement.
A cause de cela, je ne peux lui donner un âge précis, elle m'a l'air plus âgée que moi ( j'ai 30 ans ) mais je serai bien incapable de dire autre chose qu'entre 45 et 55 ans.
Cette timidité, surprenante, et surtout la manière dont elle s'habille ne me laisse pas indifférent.
Elle est toujours en tailleur, mais surtout; porte chaque jour des collants ( ou des bas ? ), quelque soit le temps.
Pourtant l'hiver a été glacial dans l'est. J'ai l'impression qu'elle ne s'habille jamais deux fois de la même manière. Ses jupes descendent au dessus du genou tout au plus et ses talons achèvent de me charmer.
Rapidement, mon service déménage à un autre étage pour travaux. Je me vois donc obligé d'aller à mon ancien étage plus souvent que de raison pour revoir ma belle : dossier à aller chercher, photocopies à faire au compte goutte ...
Je continue donc de la croiser.
Un jour que je m'apprêtai à retourner à mon étage, je la vois passer juste devant moi. Je regarde ses jambes de derrière pour la première fois. Elles sont magnifiques. Ni maigre, ni trop grosse et gainées de collants.
Je décide donc de faire trainer un peu pour remonter afin de prendre l'ascenseur avec elle.
J'entend des talons au fond du couloir ... la voilà...
Dans l'ascenseur, je suis près d'elle et profite de son odeur. Elle entame la conversation. Questions bateau : je suis en CDD ? pour longtemps ? qu'est-ce que j'ai fait avant ? mes études ? ...
Réponse bateau mais je peux la détailler pour la première fois.
Elle n'est pas très grande : 1m65. Elle doit avoir une cinquantaine d'années, peu maquillée et très très bien conservée. Elle a les cheveux blonds mi long avec un dégradé derrière.
Nous sortons de l'ascenseur, elle passe devant moi et nous stoppons notre conversation.
Je le suis d'assez près pour pouvoir admirer ses jambes une fois et plus.
Encore une fois, elles sont magnifiques, mon regard monte et je me rends compte que son déhanché est trop "déhanché" pour être naturel.
Je profite du spectacle un court instant et me dirige ensuite vers la photocopieuse. Elle me suit à son tour.
Les jours passent ensuite.
Environ un mois plus tard, les travaux sont terminés et je change d'étage.
Les jours passent, nous nous croisons souvent et le fait que j'arrive à reconnaitre ses pas grâce à ses talons et sa manière de marcher ( aucun problème pour marcher avec des talons, elle a une telle élégance qu'on dirait qu'elle flotte sur le sol )permet de multiplier les rencontres.
Faits amusant, je me rends compte que lorsqu'elle se rend compte de ma présence, elle retire ses lunettes. Probable coquetterie.
Je me rends souvent dans la pièce où se trouve la photocopieuse à pas de loup pour rester dans l'entrebâillement de la porte et admirer ses jambes.
Mes bonjours la font sursauter alors que je suis persuadé qu'elle sait que je suis là.
Ces sursauts nous amusent et jour après jour mes bonjours se font plus doux. Je vais jusqu'à lui dire que je n'ai pas intérêt à lui dire bonjour en lui attrapant les épaules, je joins le geste à la parole.
Elle me réponds alors : "Non comme ça, ça irait"
Les jours se suivent et je lui dis bonjour en lui touchant les épaules, les bras, les cheveux ...
Les compliments se multiplient : elle a des yeux rieurs, un joli sourire, des jambes magnifiques, une garde robe élégante comme j'en ai rarement vue, je lui dis que son mari a bien de la chance ...
Un soir vers 17h, tous les collègues sont partis et je me dirige vers la photocopieuse ( oui pour travailler ) , la lumière est allumé. Je le vois de dos, sa robe va jusque mi cuisse et ses collants ont un effet fermeture éclair.
J'approche d'elle et lui dis bonjour, le doigt suivant le motif de ses collants.
Elle sursaute. Pour une fois , je pense qu'elle est vraiment surprise, mais elle me laisse continuer.
Mon doigt remonte peu à peu, et divine surprise, peu après être passé sous sa robe, je sens que le motif s'arrête et laisse place à une jarretière puis à sa peau.
A quelques centimètres de mon doigt, je sens une jarretière.
- " Vous êtes comme ça tous les jours ? "
- " Non, seulement depuis quelques semaines "
- " Je maintiens que votre mari a bien de la chance "
- " Non, ça c'est pour vous "
Elle se tourne vers moi, défait sa robe et s'assoit sur la photocopieuse.
Elle est superbe, elle ne porte plus qu'un soutien gorge noir avec le string et le porte jarretelle assortis.
Je la complimente encore une fois sur ses bas.
" Ce sont des Cervin, ma marque préférée "
Je retire ses escarpins et caresse ses pieds.
" Mmm c'est doux "
Je caresse ensuite ses mollets que je colle à mes joues.
Je lèche ensuite ses cuisses et m'amuse à jouer avec la jarretière, frontière infime entre ses bas et sa peau.
Je passe mon doigt sur son string et appuie un peu plus fortement en passant entre ses lèvres.
" Mmmm oui "
Voyant qu'elle apprécie, je recommence plusieurs fois et m'amuse de ses réactions.
Elle retire ensuite son soutien gorge, ses seins ( un bon 105 C ) tombent un peu mais ses tétons pointent et ne sont pas près d'arrêter vu comme elle les caresse.
Je passe ma tête entre ses cuisses et lèche son string au niveau des lèvres.
" Oh oui, lèche moi, lèche moi fort "
Je retire son string et sens qu'elle est toute mouillée.
Je me lève pour fermer la porte de la pièce.
" Pas la peine, on est tous seuls à l'étage, j'ai envie de toi et tout est fait pour que j'en profite "
Je retourne entre ses cuisses et commence à la doigter en accélérant les va et vient.
" Lèche moi maintenant, bouffe moi "
Son ton impératif m'excite et je m'exécute.
Je me rends alors compte qu'elle me tutoie.
- " Oh oui tu vas en profiter, ça fait des mois que j'ai envie de toi "
- " Alors lèche ! "
- " Dis moi que t'aime ça "
- " Oh oui j'aime continue "
- " T'es une salope, hein ? "
- " Non je suis ta salope "
- " Et ton mari ? "
- " Il ne me touche plus depuis des années et j'en ai marre des godes et des vibros, lèche moi plus fort"
- " Il est bien con "
- " Merci ... aaaah je viens !!!!!!! "
A suivre
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bonjour j aimerais savoir si vous seriez intéressé par une histoire a 4 mains qui
seraient ou pas publiée :)
merci
seraient ou pas publiée :)
merci
la lingerie dernier rempart avant le corps nue d'une femme, c'est ce que j'aime aussi!
la suite
la suite
une suite dois etre écrite merci
Moi aussi je suis fou de lingerie et talons hauts. C'est une histoire comme j'aimerais
en vivre. Surtout donne nous la suite, mais ne va pas trop vite dans les détails sexuels
sans insister sur la lingerie. Merci et au plaisir de lire la suite !
en vivre. Surtout donne nous la suite, mais ne va pas trop vite dans les détails sexuels
sans insister sur la lingerie. Merci et au plaisir de lire la suite !