Ma compagne suce le juge
Récit érotique écrit par Comboire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2019 dans la catégorie Plus on est
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Ma compagne suce le juge
Ceci est un témoignage vécu.
Je ne comprendrais jamais que la plupart des hommes préfère rencontrer leur partenaire vierge ou avec peu d’expérience. En ce qui me concerne, cela a toujours été le contraire, j’aime les femmes qui ont vécu, parce que leur vécu peut être mis à mon service pour mon plus grand plaisir et peut aussi être un sérieux atout dans la vie de tous les jours comme nous le verrons ci-dessous. Et puis si une femme expérimentée reste avec moi, c’est assez valorisant, c’est que je ne suis pas si mauvais que cela, en tout cas c’est ce que je me dis.
J’ai 35 ans, je suis avec C. depuis 3 ans, elle en a 37, brune, mince. On voit qu’elle a déjà eu une vie bien remplie, mais elle a des fesses de 20 ans, c’est incroyable. Elle fume, elle boit en soirée, et surtout elle a ce truc indéfinissable dans le regard qui fait que tout le monde se sent à l’aise avec elle et pour l’aborder, et notamment les hommes. On sent tout de suite qu’elle a de l’expérience et c’est d’ailleurs comme cela qu’elle m’a séduit.
De fait, elle a eu une vie assez mouvementée avec des marriages, des tromperies, des séparations ; en fait j’ai appris en la connaissant qu’elle avait du mal à refuser les avances des hommes. Je ne suis d’ailleurs pas idiot, elle a sûrement des aventures depuis notre concubinage, mais je n’ai pas ce type de jalousie. Cela m’embêterait plus qu’elle soit amoureuse d’un autre, mais à son âge elle peut bien profiter des plaisirs de la vie, et cela me va.
Elle acceptait aussi facilement des demandes d’échangisme ou de jeux à plusieurs, elle me dit toujours quand je lui parle ce genre de trucs « tu sais, j’en ai vu d’autres » puis elle me raconte une anecdote avec tel ou tel ancien amant qui lui avait plus ou moins imposé telle pratique. Elle me dit toujours : « je l’aimais, alors je l’ai fait … « et puis elle ajoute « maintenant c’est toi que j’aime » et elle rit.
Elle est libraire, je suis avocat, nous habitons dans une ville de province de taille moyenne. Avocat, c’est avant tout un métier d’influence. Il faut connaître les bonnes personnes dans la police, les juges, ses collègues les plus en vue, et puis un peu aussi les politiciens locaux et les industriels. Tous les dossiers un tant soit peu intéressants lient tous ces mondes entre eux, et ne pas avoir les bonnes entrées fait perdre de nombreuses opportunités. Et grâce à C., ma carrière a effectivement pris un coup d’accélérateur inespéré.
Cela a commencé par un diner à la maison où j’avais invité le juge P., la soixantaine bedonnante, cheveux gris, pas très beau, mais très influent. J’avais besoin de son soutien pour intégrer un comité important. Il le savait. J’en ai parlé à ma compagne, elle avait mis une tenue adaptée, petite jupe noire, un dessus chic sans soutien gorge mais qui n’en montrait pas trop, et surtout une de ses fameuses culottes noires transparentes. J’adore la voire dans ce type de culotte : elle est habillée mais c’est comme si elle était nue, ou plutôt c’est encore plus beau, la tulle mets en valeur ses fesses et son pubis. Le plan était que ma femme lui fasse un peu de charme, et qu’il accepte de me soutenir.
Bref le convive arrive, nous l’installons dans le salon et servons un apéritif. Je vois tout de suite que le courant passe entre C. et lui, elle sait mettre tout de suite un homme à l’aise. Et la voilà, parfumée, toute en beauté, virevoltant entre le canapé et la cuisine, et lui qui jette des coups d’oeil furtifs mais que je remarque. J’ai placé le juge en face de nous sur un fauteuil et je suis à côté de C. sur le canapé. Elle s’assoit sans trop faire attention, il louche à chaque fois sur son entrejambe. Il commence sérieusement à rosir. Nous dinons, je parle de mon projet, il m’écoute, m'encourage, mais ne me promet rien, je vois bien qu’il attend quelque chose. Je regarde ma femme, désespéré.
Nous passons à nouveau au salon pour le digestif, du coup je me mets sur le fauteuil forçant C. à s’asseoir à côté de lui. Je lui demande directement s'il me soutiendrait. La tension monte d’un coup. Il est embarrassé et ne sait que répondre. Et alors avec un sens du tempo incroyable, C. lui mets la main sur la jambe, à mi-chemin entre le genou et l’aine, en lui disant « vous me feriez vraiment plaisir si vous souteniez sa candidature » . Mon juge balbutie et rougit.
La main de C. remonte jusqu’à sa braguette et commence à caresser son entrejambe de par mouvements concentriques de la paume de la main. Il souffle. Puis elle tire sur sa braguette et je vois sa main disparaître … « madame » gémit-il. La main s’affaire quelques secondes en sous-marin, et extirpe par la braguette une queue aux dimensions assez modestes, plutôt courte, moyennement épaisse. Elle commence à le branler doucement, et je sais qu’elle fait ça très, très bien ; le juge transpire et gémit à nouveau. Puis tout à coup, il me regarde, et me dit : « je crois que vous allez avoir mon soutien » … tout en empoignant fermement la nuque de ma femme. Il amène doucement mais sûrement sa tête vers sa queue désormais bien raide, et l’enfourne sans ménagement dans sa bouche. Et voilà qu’elle le suce. La situation me fait bander d’un coup. Je me demande que faire … puis n’y tenant plus, je décale C. tout à son ouvrage pour la mettre à genou devant le canapé. Sa tête est toujours actionnée de haut en bas par P. Je lui retrousse la jupe sur la taille et baisse sa culotte. Notre invité n’en rate pas une miette. Un petit doigté pour ouvrir sa vulve et je sors ma queue et la pénètre d’un coup jusqu’à la garde. J’empoigne C. Par les hanches et commence à la pilonner violemment. J’entends que le juge est à bout. Son regard passe des fesses de C. à sa tête. Je suis sur-excité par la situation, aussi en quelques dizaines de secondes et pas beaucoup plus de va-et vient, je n’en peux plus et j’explose en elle, et je constate qu’à peu près au même moment il lui a tout lâché dans la bouche.
Nous restons quelques secondes sans bouger, le coeur battant. Puis C. se relève, sourit, et file dans la salle de bain. J’entend l’eau couler. Nous nous rhabillons prestement. Notre invité prend congé en insistant pour que je transmette ses hommages à C.
Et finalement, je l’ai eu cette place !
Ce n’était que la première fois, et il y en a eu plusieurs autres, que je raconterai peut-être dans d’autres témoignages ...
Je ne comprendrais jamais que la plupart des hommes préfère rencontrer leur partenaire vierge ou avec peu d’expérience. En ce qui me concerne, cela a toujours été le contraire, j’aime les femmes qui ont vécu, parce que leur vécu peut être mis à mon service pour mon plus grand plaisir et peut aussi être un sérieux atout dans la vie de tous les jours comme nous le verrons ci-dessous. Et puis si une femme expérimentée reste avec moi, c’est assez valorisant, c’est que je ne suis pas si mauvais que cela, en tout cas c’est ce que je me dis.
J’ai 35 ans, je suis avec C. depuis 3 ans, elle en a 37, brune, mince. On voit qu’elle a déjà eu une vie bien remplie, mais elle a des fesses de 20 ans, c’est incroyable. Elle fume, elle boit en soirée, et surtout elle a ce truc indéfinissable dans le regard qui fait que tout le monde se sent à l’aise avec elle et pour l’aborder, et notamment les hommes. On sent tout de suite qu’elle a de l’expérience et c’est d’ailleurs comme cela qu’elle m’a séduit.
De fait, elle a eu une vie assez mouvementée avec des marriages, des tromperies, des séparations ; en fait j’ai appris en la connaissant qu’elle avait du mal à refuser les avances des hommes. Je ne suis d’ailleurs pas idiot, elle a sûrement des aventures depuis notre concubinage, mais je n’ai pas ce type de jalousie. Cela m’embêterait plus qu’elle soit amoureuse d’un autre, mais à son âge elle peut bien profiter des plaisirs de la vie, et cela me va.
Elle acceptait aussi facilement des demandes d’échangisme ou de jeux à plusieurs, elle me dit toujours quand je lui parle ce genre de trucs « tu sais, j’en ai vu d’autres » puis elle me raconte une anecdote avec tel ou tel ancien amant qui lui avait plus ou moins imposé telle pratique. Elle me dit toujours : « je l’aimais, alors je l’ai fait … « et puis elle ajoute « maintenant c’est toi que j’aime » et elle rit.
Elle est libraire, je suis avocat, nous habitons dans une ville de province de taille moyenne. Avocat, c’est avant tout un métier d’influence. Il faut connaître les bonnes personnes dans la police, les juges, ses collègues les plus en vue, et puis un peu aussi les politiciens locaux et les industriels. Tous les dossiers un tant soit peu intéressants lient tous ces mondes entre eux, et ne pas avoir les bonnes entrées fait perdre de nombreuses opportunités. Et grâce à C., ma carrière a effectivement pris un coup d’accélérateur inespéré.
Cela a commencé par un diner à la maison où j’avais invité le juge P., la soixantaine bedonnante, cheveux gris, pas très beau, mais très influent. J’avais besoin de son soutien pour intégrer un comité important. Il le savait. J’en ai parlé à ma compagne, elle avait mis une tenue adaptée, petite jupe noire, un dessus chic sans soutien gorge mais qui n’en montrait pas trop, et surtout une de ses fameuses culottes noires transparentes. J’adore la voire dans ce type de culotte : elle est habillée mais c’est comme si elle était nue, ou plutôt c’est encore plus beau, la tulle mets en valeur ses fesses et son pubis. Le plan était que ma femme lui fasse un peu de charme, et qu’il accepte de me soutenir.
Bref le convive arrive, nous l’installons dans le salon et servons un apéritif. Je vois tout de suite que le courant passe entre C. et lui, elle sait mettre tout de suite un homme à l’aise. Et la voilà, parfumée, toute en beauté, virevoltant entre le canapé et la cuisine, et lui qui jette des coups d’oeil furtifs mais que je remarque. J’ai placé le juge en face de nous sur un fauteuil et je suis à côté de C. sur le canapé. Elle s’assoit sans trop faire attention, il louche à chaque fois sur son entrejambe. Il commence sérieusement à rosir. Nous dinons, je parle de mon projet, il m’écoute, m'encourage, mais ne me promet rien, je vois bien qu’il attend quelque chose. Je regarde ma femme, désespéré.
Nous passons à nouveau au salon pour le digestif, du coup je me mets sur le fauteuil forçant C. à s’asseoir à côté de lui. Je lui demande directement s'il me soutiendrait. La tension monte d’un coup. Il est embarrassé et ne sait que répondre. Et alors avec un sens du tempo incroyable, C. lui mets la main sur la jambe, à mi-chemin entre le genou et l’aine, en lui disant « vous me feriez vraiment plaisir si vous souteniez sa candidature » . Mon juge balbutie et rougit.
La main de C. remonte jusqu’à sa braguette et commence à caresser son entrejambe de par mouvements concentriques de la paume de la main. Il souffle. Puis elle tire sur sa braguette et je vois sa main disparaître … « madame » gémit-il. La main s’affaire quelques secondes en sous-marin, et extirpe par la braguette une queue aux dimensions assez modestes, plutôt courte, moyennement épaisse. Elle commence à le branler doucement, et je sais qu’elle fait ça très, très bien ; le juge transpire et gémit à nouveau. Puis tout à coup, il me regarde, et me dit : « je crois que vous allez avoir mon soutien » … tout en empoignant fermement la nuque de ma femme. Il amène doucement mais sûrement sa tête vers sa queue désormais bien raide, et l’enfourne sans ménagement dans sa bouche. Et voilà qu’elle le suce. La situation me fait bander d’un coup. Je me demande que faire … puis n’y tenant plus, je décale C. tout à son ouvrage pour la mettre à genou devant le canapé. Sa tête est toujours actionnée de haut en bas par P. Je lui retrousse la jupe sur la taille et baisse sa culotte. Notre invité n’en rate pas une miette. Un petit doigté pour ouvrir sa vulve et je sors ma queue et la pénètre d’un coup jusqu’à la garde. J’empoigne C. Par les hanches et commence à la pilonner violemment. J’entends que le juge est à bout. Son regard passe des fesses de C. à sa tête. Je suis sur-excité par la situation, aussi en quelques dizaines de secondes et pas beaucoup plus de va-et vient, je n’en peux plus et j’explose en elle, et je constate qu’à peu près au même moment il lui a tout lâché dans la bouche.
Nous restons quelques secondes sans bouger, le coeur battant. Puis C. se relève, sourit, et file dans la salle de bain. J’entend l’eau couler. Nous nous rhabillons prestement. Notre invité prend congé en insistant pour que je transmette ses hommages à C.
Et finalement, je l’ai eu cette place !
Ce n’était que la première fois, et il y en a eu plusieurs autres, que je raconterai peut-être dans d’autres témoignages ...
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