Ma copine et le voyeur - histoire érotique

Cette histoire, entièrement véridique, s'est déroulée un après midi d'été, il y a de ça quelques années. J'avais alors 23 ans, ma petite amie de l'époque (dont j'étais très amoureux, c'est important pour la suite...) en avait 26. Une jolie petite blonde d'1,65m, mince et aux formes petites mais fermes.

Pressés par le temps et par un agenda un peu compliqué ce jour là, nous n'avions pu nous dégager qu'une heure pour nous retrouver en voiture vers le stade de la ville bordé de longues avenues plutôt calmes. Nous nous étions garés l'un derrière l'autre en plein milieu de l'une d'elle, peu de passage et un coté totalement masqué, bref un endroit pas trop mal pour se bécoter un moment vu que nous n'avions pas prévu d'aller plus loin.

Sortant du travail, elle portait une jupe qui lui tombait au milieu des cuisses, un petit haut fin légèrement décolleté et des talons simples mais terriblement féminins. Sa peau de blondinette cet été là était toute dorée et je su à l'instant ou elle vint me rejoindre en voiture à la place du passager, quand sa jupe s'est relevée sur ses cuisses, que je n'allais pas résister à l'envie d'y passer une main curieuse...

Après un moment à discuter, l'attirance physique d'une relation encore jeune se fit la plus forte et nos lèvres ont inité le rapprochement de nos deux corps. Comme pressenti, ma main vint vite flatter son genou puis continua de grimper, remontant sa jupe un peu plus haut sur ses cuisses. Un détail que j'aimais chez elle, c'est sa fierté de ne jamais porter de collants ou de "culottes de grand-mère", elle se faisait un devoir d'éviter les pantalons, de privilégier les bas et de choisir des strings toujours différents et très raffinés. Pour l'amateur de lingerie que je suis, j'étais comblé de ce côté là ! Ainsi, dans cette voiture en plein jour, j'étais impatient de découvrir ce que mes doigts allaient finir par rencontrer. Quand elle sentit que je m'approchais du but et pour me faciliter les choses, elle ouvrit ses cuisses doucement avec un regard malicieux. Aimant autant voir que toucher, je baissais le regard un instant pour tomber sur un petit bout de tissus en dentelle, cachant parfaitement le peu de toison blonde qu'elle gardait précieusement (à ma demande). Emu par tant de grâce, de simplicité érotique, je fus tout d'un coup bien moins à l'aise dans mon bermuda qui se tendit rapidement.

Ah cet instant ! Juste avant de toucher... Mais pas le temps ni la patience de contempler plus encore, je lançais un doigt à l'assaut de son string, voulant l'écarter pour atteindre mon but. Soupirant d'aise, elle m'offrit ce petit monticule doux et chaux sous lequel je parvins à m'introduire pour y trouver... Une source déjà très humide. Excité mais gentleman, je commençais doucement en suivant le bord de ses lèvres afin de lubrifier tout son sexe, puis, m'attardant plus précisément sur son clitoris, je l'entendis commencer à gémir doucement et onduler du bassin.

Il faisait un soleil de plomb dehors et à l'intérieur aussi, la température commençait à grimper. J'ouvris donc d'un réflexe, la fenêtre passager pour nous donner un peu d'air. De son coté, elle ne restait pas inactive et sa main eu vite fait de libérer mon sexe qui n'attendait que ça. C'est là que j'ai commencé à regarder aux alentours, n'ayant pas envie qu'on nous surprenne en si joyeuse posture... Rien à l'horizon, on continue ! Ma queue entièrement sortie, elle entreprit de me masturber doucement, calant son rythme à celui de mon doigt qui explorait son vagin de plus en plus loin.

Plus excitée que moi et au simple contact de mon sexe entre ses doigts, elle changea de position sans rien me dire pour se mettre à genoux sur son siège afin de pouvoir me prendre dans sa bouche. Holà, ça devient un peu chaud pour mon coté pépère qui préférerait qu'on fasse ça dans l'intimité... Mais elle sait y faire pour me faire renoncer, et contrairement à moi, c'est sans un regard aux alentours qu'elle pose ses lèvres sur mon gland gonflé d'excitation. Je me redresse et ne voyant aucun risque à l'horizon, me détend un peu et la laisse m'avaler de plus en plus loin. Dieu que ses lèvres sont douces, Dieu qu'elle sait y faire. Pas de fioritures inutiles, elle me serre bien de ses lèvres et m'aspire en même temps. Je bande dur et oubliant un peu le stress de l'endroit, je glisse une main sous sa jupe que je commence à relever sur ses fesses. Ces dernières du coup, sont pile dans l'encadrement de la fenêtre passager qui est ouverte... Je baisse son string un peu sèchement, car je sens que de mon coté, le plaisir va venir vite et je ne voudrai pas la laisser en reste. Je le laisse à mi-cuisses et entreprend de lui glisser un doigt, puis rapidement, deux... Trempée comme elle est, ça ne pose aucun problème et je sens même à l’accélération de sa bouche, que ça lui plait.

Concentré sur nos gestes, je ne sais pas ce qui m'a fait tourner la tête coté passager, un reflet, un bruit ? Mais le coté vide de l'allé est d'un coup occupé par une voiture, garée parallèlement au même niveau que nous. Je me braque, ote ma main de son sexe et lui dis "hey y'a un mec qui nous mate à coté là !", je panique, surtout que la vitre du gars est baissée et que je le distingue sans le voir qui nous regarde. Tu m'étonnes, il doit avoir une super vue sur le cul de ma copine ! Je suis outré et ma jalousie me dit de tout arrêter et de déguerpir en vitesse.

C'est là que je suis tombé de haut. Suspendant sa fellation, elle se redresse un peu, se retourne, jauge la situation, me regarde d'un air que je n'oublierai jamais puis me dis sans flancher "Laisse le, il s'approchera pas et ça m'excite encore plus qu'on me regarde te sucer". Et avant que j'aie pu trouver une réponse, elle me reprends en bouche plus goulûment encore, baisse totalement son string qui était resté à mi-cuisses de ses deux mains puis se cambre encore plus, faisant pratiquement sortir ses fesses de la portière.

Contre toute attente, ça m’électrise et mon érection qui avait un peu flanché sur le coup, se raidit comme jamais ! Sa bouche fait des vas et viens déments, ça l'excite vraiment cette situation, j'en reviens pas ! Je pense "quelle petite salope" sans oser lui dire (joli raté de ma part). Du coup, un peu dans un état second, hésitant entre l'amour que je ressens pour elle et l'adrénaline qu'on vient de m'injecter, je décide de jouer le jeu et replace ma main sur son joli cul. Tu veux te montrer ? Ok je vais t'aider ! Mes doigts replongent sans ménagement en elle, les deux d'un coup et ça lui tire un gémissement étouffé qui m'encourage a continuer. Je sais que je ne tiendrai pas longtemps, trop d'émotion, d'inconnu, de vigueur de sa part, alors j’accélère moi aussi. Je sens que je vais jouir très fort, je me retiens au maximum, j'ai l'impression que le gars à coté s'agite un peu plus, il doit se faire plaisir lui aussi... Ayant décidé de finir en beauté, mon pouce vient se poser sur le petit trou de ma blonde et le masse, la lubrifiant de son fluide... Ca y est, je n'en peux plus, j'enfonce mon pouce dans son petit anus rose au moment ou je lache ma semence en elle... De longs jets puissants, limite douloureux pour moi tant ils sont bons... Elle ne lâche pas mon sexe et pour la première fois, avale mon sperme jusqu'à la dernière goutte... Je suis éberlué, exténué et d'un coup, totalement gêné par ce qui vient d'arriver et la présence de ce type juste en face...

Je tourne le regard vers lui, inquiet et un peu honteux. C'est à ce moment qu'il a la décence de démarrer et partir en trombe, le visage toujours dans l'ombre de son véhicule. Seul son pouce levé par la vitre ouverte nous surprend et nous remercie du spectacle qu'on vient de lui donner.

J'avais 23 ans et je découvrais pour la première fois que la sexualité pouvait dépasser le cadre de la "normalité".