Ma cousine Beverly - histoire érotique

Je me présente Matthew mais tout le monde m'appelle Matt. L'histoire que je vais vous raconter c'est passé il y a plusieurs années lorsque j'avais 20 ans, j'en ai 40 aujourd'hui.

Tout allait pour le mieux dans ma vie, j'avais un boulot qui me plaisait, une copine qui n'était pas radine en câlins et je faisais partie d'un bon groupe de jeunes du village. Et c'est de ce groupe qu'est partie l'histoire. Parmi les filles du groupe, il y avait ma cousine Beverly, 1 an de moins que moi, une jolie blonde aux formes généreuses et très extravertie. Elle enchaînait les relations qui se finissait toujours en drame car elle tombait très vite amoureuse et se donnait corps et âme dès le premier soir. Cela me faisait de la peine car on avait une relation très fusionnelle tout les deux mais même si je la mettais en garde sur un tel ou un tel, elle fonçait toujours tête baissée.

La veille de la fête de la musique, elle m'appella une nouvelle fois en pleurs en me disant qu'elle s'était encore faite larguer après 10 jours de relations. Je lui proposais alors que l'on aille à la fête de la musique dans la ville voisine le lendemain rien que tout les deux son ex faisant parti du foyer des jeunes du village. Elle me répondit qu'elle était partante que ça lui changerai les idées.

Le lendemain soir je m'habille classique, short, tee-shirt, basket et petite touche de parfum. J'arrive devant chez elle vers 19h30, klaxonne et l'attend. Elle sort de chez elle et là clairement, elle partait en chasse, petit chemisier blanc pour pas dire transparent qui tenait par 3 boutons, on pouvait apercevoir son soutif en dentelle noire qui tenait son 95D, micro short imitation sky, bottes à talons.

Elle rentra dans la voiture, me fit la bise, insista d'un baiser appuyé dans le cou et me dit que je sentais trop bon. C'est là que j'aurais dû sentir la connerie arriver. On se mit en route tout en bavardant sur ses histoires et sur mon couple. Elle me dit que les garçons n'en voulaient qu'à son cul et qu'une fois qu'ils l'avaient culbuter 2,3 fois ils la jetaient. Il y avait une tension sexuelle qui s'installait dans la voiture que je ressentait de plus en plus. Je commençais à matter ma propre cousine à la dérobé et je la trouvais vraiment bandante, mon sexe aussi, j'avais peur qu'elle s'aperçoive de la proéminence qui se formait dans mon short. Arrivé en ville on se gara dans le parking souterrain qui était sous la place où avait lieu le concert.
Sur la place on est direct allé à la buvette boire 2 bières ça m'a permis de redescendre en tension. D'un coup Beverly sauta et me tira en courant sur la piste de danse bondée car elle adorait la chanson qui passait. On a dansé durant 3h en s'arrêtant de tant à autres pour boire une bière et à force la tête me chauffais, je matais de plus en plus le cul de Beverly où l'on voyait clairement un string ficelle rouge dépassé, je bandais grave et c'est là que le drame est arrivé.

Le DJ a mis du Zouk et Beverly qui était juste devant moi a remué ses fesses tout en reculant d'un pas, quand elle a buté sur mon sexe dont elle ne pouvait pas ignorer l'état maintenant au lieu de se ravancer, elle a accentuer sa pression, elle était clairement entrain de me branler la queue avec son cul et faut dire ce qu'il y ait je n'avais pas envie qu'elle arrête. Dans la foule personne ne nous calculais et s'était assez excitant. Je posa mes mains sur ses hanches et lui donner des petits coups de bassins, puis une de mes mains remonta sous le chemisier et lui caressa les seins par dessus le soutien gorge. J'avais chaud, mon cœur battait à tout rompre mais je continua mon exploration tirant sur le bonnet pour lui palper ses nibards, je lui pinça le téton, elle rejeta la tête en arrière et me roula une grosse pelle. Je sentis sa main s'insinuer dans mon boxer, elle sera la bite de ses doigts froid et me branla doucement. Le temps s'était arrêté, je ne sais pas combien de temps on est resté comme ça à se manger la bouche tout en se pelotant, 5,10,15 minutes. Beverly retira sa main j'étais au bord de l'explosion, elle me regarda et me dit :
"J'ai envie de toi, j'ai trop envie de te sentir dans moi, viens on descend à la voiture "

Comment vous dire que je ne réfléchissais plus au fait que c'était ma cousine, que j'avais une copine, là tout ce qui m'importais c'était de me vider les couilles. Je lui pris la main et fonça vers les escaliers.

Dans le parking, il y avait pas mal d'allées et venus mais on s'était garer dans un renfoncement. Arrivée à la voiture, Beverly me dit l'air grave :
"Matt on est entrain de faire une connerie. "

Je lui répondis :
"Mais non, on en a envie tout les deux, on ne fait rien de mal "

Et avant même qu'elle me réponde, je la plaque dos contre la voiture, je l'embrasse et recommence à lui palucher les seins, elle gémit ça m'excite encore plus je lui fais sentir ma bite qui est dure comme du bois. Pendant qu'une main s'occupe de ses gros nibards en lui pinçant les tétons, l'autre descend, défait les boutons de son short et je commence à lui carresser la fente par dessus le string, celui-ci est trempé. Elle ne reste pas sans rien faire puisque sa main a repris un branlage régulier de mon manche. Je quitte ses lèvres supérieures pour lui dévorer ses mamelons, elle gémit en essayant de faire le moins de bruit possible pour pas que l'on se fasse repérer mais si quelqu'un passe à proximité clairement il saura ce qu'il se passe derrière la voiture. Beverly se dégage, se met à genoux, descend short, boxer sur mes chevilles et engloutit mon sexe comme une mort de faim. Une question m'interpelle alors, pourquoi ses différents mecs se lassent d'elle aussi vite car à l'instant je peux le dire c'est une tailleuse de pipe hors-pair. Elle me lèche tout le long de la hampe, me gobe les boules, reprend ma tige en bouche, joue avec sa langue sur mon gland, je sens que je vais juter très vite si elle continue. Je lui dis d'arrêter mais elle ne m'écoute pas, je suis obligé de la remettre debout de force, je la retourne face contre la voiture, je la décale un peu tout en lui baissant son short qu'elle enjambe, je lui appuie sur les épaules jusqu'à ce que sa tête soit posée sur le capot et je m'accroupis derrière elle, écarte la ficelle rouge et lui lèche l'abricot, de son bouton jusqu'à son trou du cul. Son jus abonde, elle couine de plus en plus, je lui aspire son clito, fouille son vagin de ma langue, lui titille l'anus. Mes doigts passent devant et lui triturent son bouton d'amour du temps que ma langue telle une petite bite lui pénétre sa rondelle, entre ses gémissements je l'entend me dire :
"Non,Matt pas par là, j'aime pas ça "

Mais j'en ai rien à foutre, je suis un mâle en rut à ce moment là, j'aspire qu'à une chose c'est la sauter. Elle pousse un cri rauque et m'arrose le menton de cyprine tout en serrant les cuisses à la limite de m'étouffer. Je me relève, je pointe ma queue vers sa chatte et d'un coup j'ai un éclair de lucidité, je dis à Beverly :
"Merde j'ai pas de capote "

Réponse :
"Ta gueule, on s'en fout baise moi, j'ai envie que tu me la mettes "

J'envoie alors un coup de rein puissant et rentre d'un trait au fond de son vagin, c'est trop bon, c'est doux, c'est soyeux, je fais des vas et viens en me retirant très lentement et en la pénétrant d'un coup, elle couine :
"C'est trop bon Matt, continue, défonce moi, c'est trop bon, vas-y que je la sente bien. "

Je lui donne ce qu'elle réclame, je la baise comme un forcené, plus question de penser aux gens qui déambulent dans le parking.

"Putain Beverly c'est trop bon, j'adore te baiser, oh oui"

"Oh oui Matt vas-y vas-y je vais jouir t'arrêtes pas, encore, vas-y démonte moi, plus fort "

Au moment où elle contracte sa chatte qui enserre ma bite tout en hurlant sa jouissance, je lui relève la tête en lui tirant les cheveux et lui fourre ma langue dans la bouche pour la bâillonner tout en continuant à la chevaucher. Je sens que c'est le début de la fin, je la préviens :
"Bev je vais jouir moi aussi, je vais te remplir oh oui"

"NON non pas dedans"

Elle se dégage de mon étreinte, se retourne se jette à genoux devant moi et me gobe littéralement la queue, juste au moment où dans un cri long et rageux j'expulse 3,4 rasades de sperme. Beverly a dû mal à tout prendre, mon jus s'écoule à la commissure de ses lèvres, je lui tiens les cheveux et me branle lentement dans sa bouche. Au d'un moment mon sexe bande mou, je me retire doucement de sa bouche, elle se relève en déglutissant, s'approche de moi et me roule un patin. Dans ma bouche se mélange les goûts de sa cyprine et de mon sperme. On se rhabille sans un mot, j'ouvre la voiture on monte dedans, je démarre et nous partons. Je tend ma CB au gardien pour payer le stationnement, celui-ci se penche regarde en détail Beverly et me dit en n'ouvrant la barrière :
"Jolie performance "

En me montrant du doigt son écran de contrôle avec une caméra donnant juste au-dessus de la place où l'on était garé. Beverly devient rouge comme une tomate moi je lui dit merci et passe la première.
Dans la voiture Beverly ne dit rien, je la sens absente. J'engage la conversation, il faut que l'on reparle de ce qu'il vient de se passer :
"Tu regrettes ce que l'on vient de faire ?"

"Ça me fait chier par rapport à Sandy (ma copine), mais sinon absolument pas, ça fait un moment que j'en avais envie et en plus t'es vraiment un super coup. Tu sais que c'est la première fois que j'avale. "

"Ouais c'est vrai que je suis un connard de lui avoir fait ça, mais je ne regrette pas non plus, je crois que je n'avais jamais pris mon pied comme ça. "

"Par contre faut le dire absolument à personne, si nos parents viennent à l'apprendre on va se faire détruire."

"D'accord ça sera notre petit secret, et puis qui sait première fois que t'avale autant la prochaine fois première sodomie ?"

"Il n'y aura pas de prochaine fois. "

"Mouais on en reparle."