Ma cousine Roxanne - histoire érotique

C'était un jour où il faisait très chaud et très beau sur le Bassin-d'Arcachon. À cette époque je n'avais pas encore 16 ans car ,étant de fin d'année, je n'avais pas encore fêté mon anniversaire. J'étais une semaine en vacances chez mes grands-parents tout seul, enfin non pas tout seul, il y avait aussi ma cousine de 17 ans ( elle était de début d'année ) qui n'était en fait qu'une cousine par alliance avec laquelle je n'avais aucun lien de parenté. La maison de vacances de mes grands-parents n'étant pas très grande et puis comme nous nous en foutions pas mal, ma cousine et moi dormions dans la même chambre, chacun dans son petit lit une place bien entendu. 
Une nuit alors que je ne trouvais pas le sommeil je décida de faire du voyeurisme. Je sortis de mon lit et me dirigea vers celui de ma cousine, Roxanne de son prénom, elle dormait à poings fermés. Comme il faisait une chaleur accablante même la nuit, on ne dormait qu'avec un seul drap fin.
Arrivé devant son lit sans faire le moindre bruit, je fis glisser le drap le plus doucement possible sur sa peau. Son corps fut découvert peu à peu, je découvris en premier deux magnifiques seins qui semblaient pointer dans la nuit, éclairés par la pleine lune. Faisait-elle un rêve érotique? Je ne pouvais le dire...
Après un temps d'arrêt sur ce superbe bonnet C, je continua l'exploration de cette beauté. Une bosse commença à se former sur mon boxer mais, en même temps, j'étais puceau et simplement la vison d'une femme nue m'excitait comme un dingue.   
Le drap continua sa lente, très lente descente vers le mont venus de Roxanne. Arrivé au niveau de ses hanches je m'attendis à trouvé un début de souvetement mais je ne vis pas l'ombre d'un morceau de tissu. Elle dormait nue la coquine et sans que je le sache! À cette pensée ma verge durcit au maximum, mon boxer était tendu à l'extrême. Le fait qu'elle n'avait pas de culotte me facilitait la tâche. 
Le drap finit de tout dévoiler: je me trouvai face à une chatte parfaitement épilée avec un petit clitoris qui dépassait juste ce qu'il faut. Son vagin semblait humide ce qui confirma mon hypothèse du rêve érotique. Devant ce spectacle je ne pus me retenir et gicla dans mon caleçon. 
Je contemplai cette déesse encore quelques minutes puis remis le drap à sa place initial et partis me recoucher. À peine installer dans mon lit, une voix sensuelle et féminine s'éleva du lit de ma cousine et dit :
-" Alors, c'était bien?"
La voix était calme mais ,moi, mort de trouille, je fis mine de dormir profondément espérant lui faire croire qu'elle avait rêvé. Je mis longtemps avant de dormir car une pensée me restait dans le crâne : et si elle avait mouillé en pensant que je l'observais...

Le lendemain et les jours qui suivirent ma cousine et moi fîmes comme si rien ne c'était passé même si on pouvait ressentir un gêne dans ma voix. Le lendemain fut un peu tendu mais le surlendemain tout paraissait normal. 
La nuit qui suivit (2 jours plus tard), Roxanne me parla de ces aventures avec un de ses ex comme quoi ils avaient tout tenté mais qu'il avait fini par la quitté pour une autre. Sa voix laissait entendre sa tristesse alors pour la réconforter je lui ai dis:
-"Toi au moins tu as eu des aventures, moi je suis vierge jusqu'à l'os. Ma dernière petite amie remonte au collège...
-Pourtant tu n'est pas trop mal comme mec, demain sera le plus beau jour de ta vie!" me dit-elle et sur ces paroles elle m'embrassait avec ses lèvres humide de ses larmes puis se coucha. 

Après cette nuit très étrange, nous commencions une journée comme d'ordinaire, nous faisions chacun notre tour notre toilette puis nous descendions manger le déjeuner car nous nous levions toujours vers 11 heures le matin. Le repas se passa au milieu des récits de mon grand-père sur sa jeunesse ou encore la guerre 39-45. 
Après fut l'heure de la sieste donc ne devions sortir. Roxanne m'emmena dans une forêt de pins non loin de la plage pour aller se balader. Je marchais toujours derrière elle pour pouvoir mater son cul rouler sous sa minijupe, parfois je le lui effleurais "sans faire exprès" et elle ne disait rien. 
Au détour d'un chemin, elle m'attira hors du sentier. Nous nous enfonçâmes dans la forêt. Après quelques minutes de marche, nous nous trouvâmes dans un endroit tellement isolé que nous aurions pu commettre un meurtre sans être dérangé, elle se retourna vers moi, mis sa main dans mon boxer, attrapa mon sexe et commença dans petit va-et-viens et posa ses lèvres sur ma bouche. Ma verge grossissait de plus en plus pendant qu'on s'embrassait fougueusement et que nos langues se caressées. Elle rompit ce baiser pour pouvoir parler:
-"Putain!! Ta bite est beaucoup plus grosse que celle de mon ex!
-Il devait pas avoir une grande queue, la mienne est normale, elle fait 18cm...
-J'ai de la chance, je vais m'éclater!"
Elle entreprit alors de défaire les boutons de mon short puis elle baissa l'ensemble short-caleçon et continua de me branler. Heureusement que j'avais fais de même ce matin sinon je lui aurait explosé entre les doigts.
Tenant à peine sur mes jambes, je m'adossai à un arbre juste avant qu'elle ne commence une fellation mémorable. Elle se mît à genoux puis lécha mon gland puis tout le long de ma verge, elle aspira mes testicules puis mît ma queue dans sa bouche et me suça. Elle allait doucement puis accéléra le mouvement en enfonça le maximum de mon sexe jusqu'à sa gorge. Elle ne pouvait pas avaler sa salive donc le surplus coulait de sa bouche sur son cou. Une dizaine de minutes plus tard, ne pouvant plus me retenir et sans la prévenir par manque de temps, j'éjaculai dans sa superbe bouche. Surprise elle ne pût tout avaler et recracha une partie de ma semence sur ma verge et le reste coula par les commissures aux coins de ses lèvres. Exténuée, elle me regarda avec un sourire de satisfaction qui me donna envie plus que tout de la faire jouir à mon tour.

Mon sexe ne débanda même pas tellement j'avais envie de la baiser et en plus il était déjà lubrifié par sa salive et ma semence. Je lui enleva son haut et son soutien-gorge  pour dévoiler sa magnifique poitrine. Je lui mordilla ses tétons pointants et durs puis je me remémora une de ses paroles. "Moi je n'aime pas trop qu'on me fasse les préliminaires, je préfère rentrer dans le vif du sujet." 
Sur ce petit souvenir je releva sa mini-jupe et là, surprise, elle n'avais pas de string. 
-"Comme ça on met pas de sous-vêtement!" lui disais-je en lui assénant une petite fessée érotique.
-"D'habitude je porte toujours un string mais à la pensée de se qui aller se produire je mouillais tellement que je n'en ai pas mis pour pas le salir." s'expliqua-t-elle en se mordillant la lèvre inférieur. 
-"Qu'à cela ne tienne petite salope!" 
Sur ces mots je la positionna debout face à un arbre auquel elle s'agrippa puis pénétra son vagin par derrière. Elle cambra le dos quand ma verge la pénétra puis émit des cris au rythme des aller-retours. Son excitation était telle qu'elle mouillait abondemment. 
Après des minutes de plaisir qui me semblait une éternité, nous changeâmes de position. Je mis mes mains sur ses fesses, elle enroula ses jambes autour de ma taille , colla sa poitrine dressée à mon torse et unit nos bouches simplement vêtu de sa mini-jupe. J'écarta son joli petit cul et recommença à lui pilonner la chatte. Sa cyprine coulait tout le long de mon sexe jusque dans ma raie. Elle finit par jouir dans une explosion de cyprine après quelques minutes. Je la lâcha et elle me dit sur un ton de supplication:
-"Sodomise-moi... S'il te plaît ...
- Oh que oui!"
Elle se mît de son propre chef en position de levrette. Je lubrifia sa rondelle avec sa mouille, positionna mon gland à l'entrée de son cul  puis la pénétra progressivement. Elle fit un cris de bonheur quand mon gland fut rentré puis un hurlement de bonheur lorsque je fus rentré entièrement. Je fis rouler un de ses tétons avec une de mes mains et mis deux doigts de l'autre dans sa chatte tout en la pénétrant jusqu'au fond par de rapide et violent va-et-viens.  Elle ne résista pas longtemps à mon traitement et jouit comme une cochonne ce qui amena ma propre jouissance. Je sortis mon sexe, la retourna sur le dos et lui tapissa sa poitrine de cinq giclées de sperme chaud qu'elle étala avec ses mains pour pouvoir ce lécher les doigts. 
-"Ton sperme est sucré, tu dois manger pas mal de fruit, il est trop bon!
-Merci ma petite pute."

Nous nous rhabillâmes quinze minutes plus tard et regagnâmes la maison. Les quelques jours de vacances ne furent pas de tout repos. Roxanne et moi passions notre temps à baiser, la nuit chez mes grands-parents et la journée dans n'importe quel endroit un peu à l'écart. Nous fîmes même la rencontre d'une autre fille qui joint nos ébats une après-midi. 


Louis