Ma femme
Récit érotique écrit par Georges44 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma femme
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je suis bi. Que voulez-vous, j'aime la chatte j'aime la bite, surtout si elles sont bien juteuses.
L'autre jour, sur un site gay, j'ai rencontré un homme, tout comme moi, à voile et à vapeur ! Enfin, c'était le moment de réaliser mon fantasme. Depuis tellement longtemps, j'avais envie de voir ma petite femme sucer une belle bite, se faire lécher la chatte, sa petite intimité, toute rose et fripée, et pour tout dire : se faire enculer.
Voici donc le scénario que nous avons mis au point. Je demanderai à ma chérie, comme un service, de porter à réparer un poste de radio à cet homme rencontré sur le site. Pour la suite de l'histoire nous l'appellerons Bernard. Il était convenu, avec celui-ci, qu'il placerait de nombreuses mini caméras dans chacune des pièces de son appartement, pour que je puisse suivre, via le Web, tout ce qui se passera.
Pour tout vous dire, ma femme est une coquine qui s'ignore. La soixantaine, avec encore de beaux restes, des seins aux pointes arrogantes, un petit ventre mignon comme tout, des fesses un peu enrobées certes, mais qui attirent le baiser, une chatte toute poilue et des grandes et grosses lèvres qu'il suffit d'effleurer pour l'exciter. Elle s'appelle Monique.
Ainsi, par un beau mercredi après-midi, Monique se rend chez Bernard. Elle sonne à l'interphone :– je suis l'épouse de François et je viens vous porter le poste à réparer.
– Montez, je vous en prie, deuxième gauche. Le clenche de la porte s'actionne, la porte s'ouvre, elle monte les deux étages. Bernard l'accueille.
– Bonjour, je crois que vous vous prénommez Monique ? Appelez-moi Bernard cela me fera plaisir. François m'a parlé souvent de vous et vous êtes comme je me l'imaginais : sympathique et même avenante, permettez-moi de vous embrasser. Une grosse bise sur une joue, une autre beaucoup plus près de la bouche, au coin des lêvres.
- Entrez, je vous en prie.
Il la guide vers le salon.
- Asseyez-vous dans le canapé, vous y serez plus à l'aise. Pendant ce temps, je vais regarder ce qu'il en est de cette panne. Je pense ne pas en avoir pour trop longtemps. Faites comme chez vous.
De chez moi, via le Web, je la vois s'installer et Bernard se retirer dans la pièce d'à côté. Elle a quitté son imper.
Sur la petite table, devant le canapé, Bernard a prie soin de poser, pêle-mêle, quelques revues pornos. Et, en premier, un album sans titre aux photos, plus suggestives les unes que les autres, le montrant à l'œuvre tant avec des hommes qu'avec des femmes.
De la pièce d' à côté il surveille ma femme afin de la surprendre en pleine lecture . Comme prévu, celle-ci, curieuse un peu de tout, prend l'album l'ouvre, le referme aussitôt quand elle aperçoit la première photo, elle repose l'album, regarde vers la pièce où Bernard s'est enfermé. Ne voyant rien bouger et l'entendant chantoner de l'autre côté, rassurée, elle reprend l'album en question. La bite de Bernard l'impressionne vraiment si l'on en croit sa réaction et sa façon de détailler la scène. Bernard, grâce aux webcams, la surveille également. Il la laisse quelque temps pour qu'elle se croit bien en sécurité, puis, pénètre dans la pièce le poste de radio à la main.
Elle referme et repose précipitamment, sur la petite table, l'album pornographique.
– Ne vous dérangez pas Monique je vous en prie.
Il s'approche du canapé.
- Ces photos vous plaisent, elles sont de moi et j'en suis assez fier ?
Il s'assoit à côté d'elle. Prise en flagrant délit ma femme rougit et bafouille :- euh ! non, enfin…Bernard s'asseoit à côté d'elle. Bien près d'elle. Ces cuisses contre les siennes- vous n'avez certainement pas eu le temps de voir les plus belles et les plus érotiques ? Regardez celle-ci. La photo en question le montre entre les cuisses d'une belle femme, aux seins nus, dont il lèche, avec une apparente avidité, la chatte bien épilée.
- Je vais partir, je vous en prie, vous êtes incorrecte.
- Mais non, restez cet album est fait pour le plaisir des yeux et seulement pour ça ! Regardez.
À présent, son bras droit est passé sur les épaules ma femme. Sa main gauche feuillette les pages de l'album et montre les photos tout en les commentant.
Je suis très surpris de constater que ma femme ne réagit plus. Elle n'essaie pas de se sauver voire de s'enfuir. Entre deux photos elle le regarde dans les yeux. C'est alors que la main gauche de Bernard relâche l'album et vient se poser sur le corsage de ma bien-aimée. Sa bouche effleure sa joue, puis son cou. À présent il embrasse son oreille et en mordille le lobe. Au lieu de s'éloigner, mon amour tourne ses lèvres vers les siennes. Ils se bécotent gentiment puis leurs lèvres s'entrouvent et leurs langues se mélangent. Ma femme est vaincue.
Un sentiment de profonde jalousie m'envahit. J'en suis vraiment bouleversé. Mais, curieusement je me mets à bander. C'est bien ce que je voulais, non ? Je vais être une nouvelle fois cocu. Cependant, cette fois-ci, j'en serai le témoin
La main de Bernard a tôt fait de se glisser sous le pull de Monique et sous son soutien-gorge. Il tripatouille, pince ses seins, en fait rouler les bouts. Puis, cette main qui me trahit, défait la ceinture du jean de ma chérie, ouvre la fermeture éclair, écarte le slip en coton pour se poser sur cette vulve que j'ai tant aimée. À présent ils s'embrassent fougueusement. La main de ma bien-aimée fait également le même chemin vers le pantalon de Bernard. Elle tate, essaie de soupeser ce qui s'y cache et la rendra heureuse.
Il se lève, défait son pantalon, le laisse tomber à terre.
– Baisse mon slip, salope, dégage ma queue !
Monique semble affolée. Quelle grossièreté quand même.
Oh, il est vraiment bien monté, le cochon. Elle va en avoir tout son content et moi aussi, si un jour si je les rejoins.
- Aller, suce moi. Les mains derrière le dos, comme le font les bonnes putains.
De chez moi je vois le gland de la grosse queue de Bernard forcer, s'enfoncer, violer les lèvres de ma chérie. Il va si profond qu'elle en a des hauts le cœur. Il accélère, lui lime, littéralement, la bouche comme s'il s'agissait d'une chatte ou d'un cul.
- Avale salope. Il lui maintient la tête pour qu'elle ne se retire pas et crache de longs jets de sperme tout au fond de sa gorge. Elle déglutit, s'étouffe, déglutit encore et avale toute la semence.
- Je ne vais pas te sauter aujourd'hui, ma pute chérie, bien que j'en ai envie. Pendant tous tes exploits, je t'ai filmé. Je suis prêt à diffuser ce film si tu ne veux pas devenir ma chose.
- Non, je vous paierai, je ferai tout ce que vous voulez mais pas ça.
- Me promets-tu de faire ce que je te demanderai ?
- Oui,- dis-moi : oui maître,- oui maître.
Je le savais. En elle une pute sommeille.
- Si tu ne le fais pas, je diffuserai ce film auprès de tous ceux qui te son chers : ton mari, ta famille, tes anciens collègues de travail… Tu reviendras mercredi prochain, à la même heure. Je ferai venir un ou deux bons copains qui joueront avec nous. Prépare ton cul, salope. Tu ne seras pas déçue..
Il la laisse réajuster son jean, remettre en place son soutien-gorge. Il l'accompagne à la porte de chez lui en lui palpant le cul.
- A mercredi,putain !
Je suis bi. Que voulez-vous, j'aime la chatte j'aime la bite, surtout si elles sont bien juteuses.
L'autre jour, sur un site gay, j'ai rencontré un homme, tout comme moi, à voile et à vapeur ! Enfin, c'était le moment de réaliser mon fantasme. Depuis tellement longtemps, j'avais envie de voir ma petite femme sucer une belle bite, se faire lécher la chatte, sa petite intimité, toute rose et fripée, et pour tout dire : se faire enculer.
Voici donc le scénario que nous avons mis au point. Je demanderai à ma chérie, comme un service, de porter à réparer un poste de radio à cet homme rencontré sur le site. Pour la suite de l'histoire nous l'appellerons Bernard. Il était convenu, avec celui-ci, qu'il placerait de nombreuses mini caméras dans chacune des pièces de son appartement, pour que je puisse suivre, via le Web, tout ce qui se passera.
Pour tout vous dire, ma femme est une coquine qui s'ignore. La soixantaine, avec encore de beaux restes, des seins aux pointes arrogantes, un petit ventre mignon comme tout, des fesses un peu enrobées certes, mais qui attirent le baiser, une chatte toute poilue et des grandes et grosses lèvres qu'il suffit d'effleurer pour l'exciter. Elle s'appelle Monique.
Ainsi, par un beau mercredi après-midi, Monique se rend chez Bernard. Elle sonne à l'interphone :– je suis l'épouse de François et je viens vous porter le poste à réparer.
– Montez, je vous en prie, deuxième gauche. Le clenche de la porte s'actionne, la porte s'ouvre, elle monte les deux étages. Bernard l'accueille.
– Bonjour, je crois que vous vous prénommez Monique ? Appelez-moi Bernard cela me fera plaisir. François m'a parlé souvent de vous et vous êtes comme je me l'imaginais : sympathique et même avenante, permettez-moi de vous embrasser. Une grosse bise sur une joue, une autre beaucoup plus près de la bouche, au coin des lêvres.
- Entrez, je vous en prie.
Il la guide vers le salon.
- Asseyez-vous dans le canapé, vous y serez plus à l'aise. Pendant ce temps, je vais regarder ce qu'il en est de cette panne. Je pense ne pas en avoir pour trop longtemps. Faites comme chez vous.
De chez moi, via le Web, je la vois s'installer et Bernard se retirer dans la pièce d'à côté. Elle a quitté son imper.
Sur la petite table, devant le canapé, Bernard a prie soin de poser, pêle-mêle, quelques revues pornos. Et, en premier, un album sans titre aux photos, plus suggestives les unes que les autres, le montrant à l'œuvre tant avec des hommes qu'avec des femmes.
De la pièce d' à côté il surveille ma femme afin de la surprendre en pleine lecture . Comme prévu, celle-ci, curieuse un peu de tout, prend l'album l'ouvre, le referme aussitôt quand elle aperçoit la première photo, elle repose l'album, regarde vers la pièce où Bernard s'est enfermé. Ne voyant rien bouger et l'entendant chantoner de l'autre côté, rassurée, elle reprend l'album en question. La bite de Bernard l'impressionne vraiment si l'on en croit sa réaction et sa façon de détailler la scène. Bernard, grâce aux webcams, la surveille également. Il la laisse quelque temps pour qu'elle se croit bien en sécurité, puis, pénètre dans la pièce le poste de radio à la main.
Elle referme et repose précipitamment, sur la petite table, l'album pornographique.
– Ne vous dérangez pas Monique je vous en prie.
Il s'approche du canapé.
- Ces photos vous plaisent, elles sont de moi et j'en suis assez fier ?
Il s'assoit à côté d'elle. Prise en flagrant délit ma femme rougit et bafouille :- euh ! non, enfin…Bernard s'asseoit à côté d'elle. Bien près d'elle. Ces cuisses contre les siennes- vous n'avez certainement pas eu le temps de voir les plus belles et les plus érotiques ? Regardez celle-ci. La photo en question le montre entre les cuisses d'une belle femme, aux seins nus, dont il lèche, avec une apparente avidité, la chatte bien épilée.
- Je vais partir, je vous en prie, vous êtes incorrecte.
- Mais non, restez cet album est fait pour le plaisir des yeux et seulement pour ça ! Regardez.
À présent, son bras droit est passé sur les épaules ma femme. Sa main gauche feuillette les pages de l'album et montre les photos tout en les commentant.
Je suis très surpris de constater que ma femme ne réagit plus. Elle n'essaie pas de se sauver voire de s'enfuir. Entre deux photos elle le regarde dans les yeux. C'est alors que la main gauche de Bernard relâche l'album et vient se poser sur le corsage de ma bien-aimée. Sa bouche effleure sa joue, puis son cou. À présent il embrasse son oreille et en mordille le lobe. Au lieu de s'éloigner, mon amour tourne ses lèvres vers les siennes. Ils se bécotent gentiment puis leurs lèvres s'entrouvent et leurs langues se mélangent. Ma femme est vaincue.
Un sentiment de profonde jalousie m'envahit. J'en suis vraiment bouleversé. Mais, curieusement je me mets à bander. C'est bien ce que je voulais, non ? Je vais être une nouvelle fois cocu. Cependant, cette fois-ci, j'en serai le témoin
La main de Bernard a tôt fait de se glisser sous le pull de Monique et sous son soutien-gorge. Il tripatouille, pince ses seins, en fait rouler les bouts. Puis, cette main qui me trahit, défait la ceinture du jean de ma chérie, ouvre la fermeture éclair, écarte le slip en coton pour se poser sur cette vulve que j'ai tant aimée. À présent ils s'embrassent fougueusement. La main de ma bien-aimée fait également le même chemin vers le pantalon de Bernard. Elle tate, essaie de soupeser ce qui s'y cache et la rendra heureuse.
Il se lève, défait son pantalon, le laisse tomber à terre.
– Baisse mon slip, salope, dégage ma queue !
Monique semble affolée. Quelle grossièreté quand même.
Oh, il est vraiment bien monté, le cochon. Elle va en avoir tout son content et moi aussi, si un jour si je les rejoins.
- Aller, suce moi. Les mains derrière le dos, comme le font les bonnes putains.
De chez moi je vois le gland de la grosse queue de Bernard forcer, s'enfoncer, violer les lèvres de ma chérie. Il va si profond qu'elle en a des hauts le cœur. Il accélère, lui lime, littéralement, la bouche comme s'il s'agissait d'une chatte ou d'un cul.
- Avale salope. Il lui maintient la tête pour qu'elle ne se retire pas et crache de longs jets de sperme tout au fond de sa gorge. Elle déglutit, s'étouffe, déglutit encore et avale toute la semence.
- Je ne vais pas te sauter aujourd'hui, ma pute chérie, bien que j'en ai envie. Pendant tous tes exploits, je t'ai filmé. Je suis prêt à diffuser ce film si tu ne veux pas devenir ma chose.
- Non, je vous paierai, je ferai tout ce que vous voulez mais pas ça.
- Me promets-tu de faire ce que je te demanderai ?
- Oui,- dis-moi : oui maître,- oui maître.
Je le savais. En elle une pute sommeille.
- Si tu ne le fais pas, je diffuserai ce film auprès de tous ceux qui te son chers : ton mari, ta famille, tes anciens collègues de travail… Tu reviendras mercredi prochain, à la même heure. Je ferai venir un ou deux bons copains qui joueront avec nous. Prépare ton cul, salope. Tu ne seras pas déçue..
Il la laisse réajuster son jean, remettre en place son soutien-gorge. Il l'accompagne à la porte de chez lui en lui palpant le cul.
- A mercredi,putain !
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