Ma femme, cette surprenante moitié ... P(1)
Récit érotique écrit par Expérimenteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma femme, cette surprenante moitié ... P(1)
Ma femme, cette surprenante moitié ... P(1)
Mon entourage, il y a quelles années ne nous donnaient pas plus de trois années de vie commune. Marié jeune, très jeune ça ne fessait que quelques jours où j'étais majeur avec déjà un enfant qui commençait à s'exprime. Elle plus âgé de cinq ans, femme voluptueuse presque mannequin aux formes agréablement bien proportionnées, elle se fessait remarqué partout où elle se promenait. Moi plus tôt moyen si je me fis à mes critères de beauté, pas laids, bâti, mais pas l'adonis, agréable, bien dans sa peau, mais je n'étais pas l'homme qui passe et que les femmes suivent du regard, normal quoi.
Après quelques années de vie commune, à l'heure où les enfants veulent leur vie et que l'on récupère la nôtre. On pouvait maintenant commencer à penser à nous de nouveau, notre couple. Cette année, les deux enfants s'en allaient en colonie de vacances, on passerait l'été seul au bord du lac. L'aîné ayant tant parlé de son camp à sa sœur de plus c'est deux mousquetaires avait le même cercle d'ami, or l'ultimatum nous fut donné, il y allait toutes les deux, cette année point à la ligne.
On allait enfin profiter du chalet comme on l'avait imaginé lors de sa construction. Couple sexuellement actif, mais un peu frustré de se retenir à causse des enfants, on veut bien les éduquer, mais pas servir de modèle "live". En famille, la sexualité était très bien abordée sans pudeur, mais avec une certaine retenue, mais sans couper bref en présence des enfants. Dans notre vie de couple, c'était autrement plus direct, plus explicite, car on avait appris à prendre et à donner du plaisir à l'autre sans cachette, ni détour. On était ouvert comme couple tout en respectant les limites de l'autre, curieux et aimant, l'expérimentation ne nous dérangeait pas. En partie due à ce que l'on n'avait pas "vécu notre jeunesse" ou simplement parque "l'on avait encore notre cœur d'adolescent qui veut tout essayer".
Notre première semaine estivale fut très active, on aurait dit que l'on rattrapait les retards accumulés. Il ni a pas un appartement qui fit épargner, comme des adolescents, on rentrait au chalet et dans le temps de le dire le feu était pris, on avait que cela en tète... Allumé, l'autre. Ma femme était encore plus femme plus belle et plus allumeuse qu'il y a 10 ans excusés l'expression une vraie salope "bcbg" avec une pointe de retenue qui fait dire "ne me donne pas la chance de te mettre la main dessus". Je voyais pour la première fois l'effet de l'âge sur elle, elle s'était bonifiée tout comme un bon vin avec le temps. Ses courbes plus prononcées et fermes, elle n'avait rien perdu de ses 20 ans seulement améliorés ce qui était déjà formidable.
J'étais content de ses retrouvailles, car depuis un certain temps, sans être plus distante et non moins affectueuse, elle avait une drôle d'attitude lorsqu'elle invitait de ses amies à la maison, elle me les fessait remarqué et demandais mon avis sur celle-ci. Si part malheur, je restais vague dans mes réponses du style "oui, elle n'est pas mal où c'est une belle femme, tu as raison". Il n'en fallait pas plus pour qu'elle me fasse remarquer "tu as vu son petit cul comme il se dandine, tu as vu ces mamelons, ils sont bien durs et pointés et non la moindre : regarde bien Linda se pencher, elle a toujours l'auréole dilatée, je lui mettrais bien un gode dans cul." Je commençais à croire que ma femme voulait ou avait eu une relation sexuelle avec une de ces copines et qu'elle ne savait pas comment l'abordé avec moi.
Enfin les vraies vacances deux semaines sans aller à l'ouvrage, tout le "weekend" la visite se succéda à un rythme effréné comme à l'habitude. Mais en ce dimanche ma femme insista pour que Linda reste à coucher ce qui ne plaisait guère, car je devais impérativement m'absenter et que je ne pourrais probablement pas être de retour avant les petites heures. Je partis donc à mon rendez-vous. Surpris à l'arrivée chez Jean-Marc, il ne me restait que peu d'ouvrage à faire, je la fis et repartis immédiatement ce qui devait prendre 7h à 8h fût réglé en 3 h. Je retournais au lac avec le doute et des images dans la tête.
À l'arrivée, je voyais bien que les lumières de notre chambre étaient allumées, je vis donc le maximum de bruit sans exagérer, mais rien, ni, fis. En montant l'escalier pour aller à l'étage, je vis Linda et ma femme complètement nue en "69" il n'avait même pas fermé la porte de chambre, j'entendais les soupirs, les petits claquements de langue sur leurs vulves et je vis Linda inséré ses doigts dans la chatte de ma femme, le petit sursaut qu'elle fit m'indiqua qu'elle appréciait. Je les regardais faire l'amour et mon cerveau me disait (pas ma femme), mes yeux eus ne voulait pas se détourner de ce spectacle et entre mes jambes, car commençait à réagir à ce moment il y eut du mouvement. Je m'accroupis pour me dissimuler "suis-je un voyeur "par le temps de réfléchir après le commentaire attendu. Aller à quatre pattes que je te baisse comme tu le mérite petit pute et ma femme qui prit la position sans rétorquer. Avec l'angle de vu que j'avais, car ils étaient de dos à moi, je distinguais bien l'insertion et la va et viens du gode ceinture de Linda à chaque coup de bassin qu'elle lui donnait, elle maintenait les hanches de ma femme lui expriment un mouvement d'aller-retour sur son gode, je voyais bien le cul de Linda se dilater pendant que ma femme prenait le mouvement. Linda une main sur les fesses de ma femme si docile en profita pour venir s'introduire un doigt dans son anus. Ce qui déclencha en elle une fureur, on pouvait juste au frémissement de son corps comprendre qu'elle était sur le point d'éclater sur une jouissance folle, elle labourait les entrailles de ma femme et on attendait très bien le fla-coti de la mouille qu'elle relâchait, ses halètements, ses gémissements, je savais qu'elle était sur le point de jouir, cette salope allait faire jouir ma femme et prendre son pied en même temps ce qui ne tardait pas.
Je ne comprenais rien à la situation ce qui aurait dû me choquer au plus haut point me fessait bandé comme un cheval, ma femme fait du sexe avec une autre femme (Être cocu, oui, mais par une femme ; c'est la honte) du bruit, on se dissimule en espérant quelle non pas décidé de ce levé, car je suis fait à l'os, impossible de disparaitre, car elle m'entendrait descendre l'escalier et si je ne bouge pas, c'est sûr qu'elle me prennent sur le fait. Ouf, changement de position de ces deux dames, tête au pied du lit sur les coussins, elle se caresse à nouveau, s'embrasse et se fait plaisir Linda prend la position du missionnaire, Juste par ses hochements de tête, je devine qu'elle a de nouveau introduit son gode dans la chatte de ma femme. Je ne dois pas me faire repérer, je sens l'odeur du sexe jusqu'aux marches cela m'excite au plus haut point. Je peux voir Linda glissé un coussin sous les fesses de ma femme pour pouvoir la pénétrer plus profondément, elle commence à haleter, ma femme et à présent en phase, j'en profite, car tu me fais du bien. Dans le temps de le dire ma femme enveloppe de ses jambes les hanches de Linda. Je sais que cela ne sera pas long, car sa seconde jouissance vient vite. Elle éclata et entre les cris et les souffles de jouissance, elle exprima vulgairement son besoin d'atteindre son nirvana. Va si plante moi ta queue, chevauche-moi, défonce-moi comme une pute, je veux un orgasme.
J'avais mal dans l'entre-jambes, j'en étais congestionné, je pouvais sentir mon gland démesurément enflé, je ne pouvais plus endurer. Linda suait à grosse goute en essayant de contenter ma femme quand celle-ci lui demanda de la sodomiser en ses termes : prends mon cul ça presse, je veux mon orgasme salope met ta bite dans mon cul défonce-moi. Je n'en pouvais plus et j'ai donc commencé à me caresser par-dessus mon pantalon. À ce moment Linda souleva les jambes de ma femme pour bien dégager son auréole. Je savais qu'à ce stade ma femme subirait la sodomie sans problème, car elle devait être complètement dilatée de bonheur. Linda s'enfonçait dans son intérieur, j'entendis le petit floque de jus que son cul a l'habitude de faire quand ma femme est bien lubrifiée et que l'anus se referme sur le gland pour bien l'emprisonner. C'était insupportable, je me caressais de plus en plus vite tout en restant figé, la scène qui s'offrait à moi. Linda laminant l'arrière-train de ma femme tout en vérifiant de bien la pénétré.
Linda en soulevant la tête me vit, comme pour me défier, elle poussa tout en les écartant les jambes de ma femme, pour que je puisse bien voir que son gode était entre les fesses de ma femme. Elle me voyait me caresser et ne dit pas mot, ma femme qui ne demandait que sa jouissance, Linda me sourit arrogante, elle prit bien le temps de se positionner et de faire en sorte que ma femme reste sur sa limite du plaisir sans la laisser s'éclater. Aller encore salope, bouge fait moi jouir, putain, j'en peux plus fait moi éclaté, baisse-moi comme une chienne. Linda me souriait d'un sourire narquois et dominateur qui voulait me dire " regarde bien, elle est mienne, c'est mon jouet, je peux la délivrer ou la faire pâtir longtemps ". Les supplications de ma femme se fessaient de plus en plus insistante pour atteindre le 7e ciel. Son bourreau regardait avec insistance la bosse de mes pantalons tout en fessant bien attention que sa victime ne perde pas de vigueur. Linda avec méthode et précaution tenait ma femme sur la limite de la jouissance et de l'orgasme et continuait de fixer mon entre-jambes. Je sors alors ma verge pour la défier et commence à me masturber devant elle, instantanément celle-ci donna plus de plaisir à ma femme. Quelle soumission perverse me fessait-elle subir, obligé de me masturber devant elle pour que ma femme puisse jouir entre ses mains. Je compris vite que si je ne venais devant cette tigresse, ma femme ne serait pas satisfaite par elle, plus que la situation évoluait plus j'avais l'impression de faire l'amour à ma femme par personne interposée et plus que la jouissance m'envahissait plus que ma femme montait vers son orgasme. Je pouvais lire dans le visage et l'expression de Linda sa jouissance de nous dominer et nous asservir à son petit jeu pervers. Ma femme fut foudroyée d'un orgasme violent et bruyant ce qui déclencha la mienne.
Un jet, un seul qui atterrit à mi-course entre le pied de l'escalier et l'entrée de la chambre et un spasme qui me traversa le corps comme un choc électrique. En relevant la tête, je vis Linda bien allongé sur ma femme épuisée, satisfaite et heureuse. Elle me regardait, soudain la honte et le remords me prirent, je m'éclipsais en catimini comme un enfant venant de faire un mauvais coup.
Cette nuit là, je suis remonté espérant retrouvé ma femme seule pour que l'on puisse discuter (calmé le jeu) avant que Linda ne mette la pagaille entre nous . Mais en arrivant en haut de l'escalier je les vis blottis ensemble, dormant comme un couple. Il ne me restait qu'ont effacé mes traces dans le passage et redescendre pénaux en espérant avoir la chance de discuté avec ma femme avant qu'un orage éclate.
Le réveil ne fut pas dur, j'avais décidé de ne pas aborder le sujet aussi longtemps que Linda serait là à moins que la situation mît contraigne. Voici les femmes qui descendent les marches l'odeur du petit-déjeuner doivent les avoir réveillés. Je les vois toute deux, décontractés, lumineuses et souriantes. Je remarque à ce moment que ma femme porte le petit complet de nuit que je lui ai offert il y a quelques années et que Linda est en nuisette transparente. Elle aurait pu être plus discrète pas besoin dans rajouter. Ma femme qui le porte comme si elle voulait rallumer ma flamme après une nuit torride. Sans gêne, je vois et je sens bien qu'elle se caresse mutuellement. En regardant ma femme dans ce vêtement, cela me rappelle plusieurs souvenirs. Pendant que je les sers à l'îlot ma tête vagabonde de souvenir en souvenir. Ceci a comme effet de déclencher de la gonflette chez moi. Il faut que je pense à autres choses ce n'est vraiment pas le moment, Linda éclate de rire en regardant ma femme, tu avais raison Mirianne, il ne peut pas te résister dans ces vêtements.
Pour le reste, il va falloir attendre la suite ...
Plus les commentaires seront postés (bon ou mauvais) moins la suite se fera attendre
Mon entourage, il y a quelles années ne nous donnaient pas plus de trois années de vie commune. Marié jeune, très jeune ça ne fessait que quelques jours où j'étais majeur avec déjà un enfant qui commençait à s'exprime. Elle plus âgé de cinq ans, femme voluptueuse presque mannequin aux formes agréablement bien proportionnées, elle se fessait remarqué partout où elle se promenait. Moi plus tôt moyen si je me fis à mes critères de beauté, pas laids, bâti, mais pas l'adonis, agréable, bien dans sa peau, mais je n'étais pas l'homme qui passe et que les femmes suivent du regard, normal quoi.
Après quelques années de vie commune, à l'heure où les enfants veulent leur vie et que l'on récupère la nôtre. On pouvait maintenant commencer à penser à nous de nouveau, notre couple. Cette année, les deux enfants s'en allaient en colonie de vacances, on passerait l'été seul au bord du lac. L'aîné ayant tant parlé de son camp à sa sœur de plus c'est deux mousquetaires avait le même cercle d'ami, or l'ultimatum nous fut donné, il y allait toutes les deux, cette année point à la ligne.
On allait enfin profiter du chalet comme on l'avait imaginé lors de sa construction. Couple sexuellement actif, mais un peu frustré de se retenir à causse des enfants, on veut bien les éduquer, mais pas servir de modèle "live". En famille, la sexualité était très bien abordée sans pudeur, mais avec une certaine retenue, mais sans couper bref en présence des enfants. Dans notre vie de couple, c'était autrement plus direct, plus explicite, car on avait appris à prendre et à donner du plaisir à l'autre sans cachette, ni détour. On était ouvert comme couple tout en respectant les limites de l'autre, curieux et aimant, l'expérimentation ne nous dérangeait pas. En partie due à ce que l'on n'avait pas "vécu notre jeunesse" ou simplement parque "l'on avait encore notre cœur d'adolescent qui veut tout essayer".
Notre première semaine estivale fut très active, on aurait dit que l'on rattrapait les retards accumulés. Il ni a pas un appartement qui fit épargner, comme des adolescents, on rentrait au chalet et dans le temps de le dire le feu était pris, on avait que cela en tète... Allumé, l'autre. Ma femme était encore plus femme plus belle et plus allumeuse qu'il y a 10 ans excusés l'expression une vraie salope "bcbg" avec une pointe de retenue qui fait dire "ne me donne pas la chance de te mettre la main dessus". Je voyais pour la première fois l'effet de l'âge sur elle, elle s'était bonifiée tout comme un bon vin avec le temps. Ses courbes plus prononcées et fermes, elle n'avait rien perdu de ses 20 ans seulement améliorés ce qui était déjà formidable.
J'étais content de ses retrouvailles, car depuis un certain temps, sans être plus distante et non moins affectueuse, elle avait une drôle d'attitude lorsqu'elle invitait de ses amies à la maison, elle me les fessait remarqué et demandais mon avis sur celle-ci. Si part malheur, je restais vague dans mes réponses du style "oui, elle n'est pas mal où c'est une belle femme, tu as raison". Il n'en fallait pas plus pour qu'elle me fasse remarquer "tu as vu son petit cul comme il se dandine, tu as vu ces mamelons, ils sont bien durs et pointés et non la moindre : regarde bien Linda se pencher, elle a toujours l'auréole dilatée, je lui mettrais bien un gode dans cul." Je commençais à croire que ma femme voulait ou avait eu une relation sexuelle avec une de ces copines et qu'elle ne savait pas comment l'abordé avec moi.
Enfin les vraies vacances deux semaines sans aller à l'ouvrage, tout le "weekend" la visite se succéda à un rythme effréné comme à l'habitude. Mais en ce dimanche ma femme insista pour que Linda reste à coucher ce qui ne plaisait guère, car je devais impérativement m'absenter et que je ne pourrais probablement pas être de retour avant les petites heures. Je partis donc à mon rendez-vous. Surpris à l'arrivée chez Jean-Marc, il ne me restait que peu d'ouvrage à faire, je la fis et repartis immédiatement ce qui devait prendre 7h à 8h fût réglé en 3 h. Je retournais au lac avec le doute et des images dans la tête.
À l'arrivée, je voyais bien que les lumières de notre chambre étaient allumées, je vis donc le maximum de bruit sans exagérer, mais rien, ni, fis. En montant l'escalier pour aller à l'étage, je vis Linda et ma femme complètement nue en "69" il n'avait même pas fermé la porte de chambre, j'entendais les soupirs, les petits claquements de langue sur leurs vulves et je vis Linda inséré ses doigts dans la chatte de ma femme, le petit sursaut qu'elle fit m'indiqua qu'elle appréciait. Je les regardais faire l'amour et mon cerveau me disait (pas ma femme), mes yeux eus ne voulait pas se détourner de ce spectacle et entre mes jambes, car commençait à réagir à ce moment il y eut du mouvement. Je m'accroupis pour me dissimuler "suis-je un voyeur "par le temps de réfléchir après le commentaire attendu. Aller à quatre pattes que je te baisse comme tu le mérite petit pute et ma femme qui prit la position sans rétorquer. Avec l'angle de vu que j'avais, car ils étaient de dos à moi, je distinguais bien l'insertion et la va et viens du gode ceinture de Linda à chaque coup de bassin qu'elle lui donnait, elle maintenait les hanches de ma femme lui expriment un mouvement d'aller-retour sur son gode, je voyais bien le cul de Linda se dilater pendant que ma femme prenait le mouvement. Linda une main sur les fesses de ma femme si docile en profita pour venir s'introduire un doigt dans son anus. Ce qui déclencha en elle une fureur, on pouvait juste au frémissement de son corps comprendre qu'elle était sur le point d'éclater sur une jouissance folle, elle labourait les entrailles de ma femme et on attendait très bien le fla-coti de la mouille qu'elle relâchait, ses halètements, ses gémissements, je savais qu'elle était sur le point de jouir, cette salope allait faire jouir ma femme et prendre son pied en même temps ce qui ne tardait pas.
Je ne comprenais rien à la situation ce qui aurait dû me choquer au plus haut point me fessait bandé comme un cheval, ma femme fait du sexe avec une autre femme (Être cocu, oui, mais par une femme ; c'est la honte) du bruit, on se dissimule en espérant quelle non pas décidé de ce levé, car je suis fait à l'os, impossible de disparaitre, car elle m'entendrait descendre l'escalier et si je ne bouge pas, c'est sûr qu'elle me prennent sur le fait. Ouf, changement de position de ces deux dames, tête au pied du lit sur les coussins, elle se caresse à nouveau, s'embrasse et se fait plaisir Linda prend la position du missionnaire, Juste par ses hochements de tête, je devine qu'elle a de nouveau introduit son gode dans la chatte de ma femme. Je ne dois pas me faire repérer, je sens l'odeur du sexe jusqu'aux marches cela m'excite au plus haut point. Je peux voir Linda glissé un coussin sous les fesses de ma femme pour pouvoir la pénétrer plus profondément, elle commence à haleter, ma femme et à présent en phase, j'en profite, car tu me fais du bien. Dans le temps de le dire ma femme enveloppe de ses jambes les hanches de Linda. Je sais que cela ne sera pas long, car sa seconde jouissance vient vite. Elle éclata et entre les cris et les souffles de jouissance, elle exprima vulgairement son besoin d'atteindre son nirvana. Va si plante moi ta queue, chevauche-moi, défonce-moi comme une pute, je veux un orgasme.
J'avais mal dans l'entre-jambes, j'en étais congestionné, je pouvais sentir mon gland démesurément enflé, je ne pouvais plus endurer. Linda suait à grosse goute en essayant de contenter ma femme quand celle-ci lui demanda de la sodomiser en ses termes : prends mon cul ça presse, je veux mon orgasme salope met ta bite dans mon cul défonce-moi. Je n'en pouvais plus et j'ai donc commencé à me caresser par-dessus mon pantalon. À ce moment Linda souleva les jambes de ma femme pour bien dégager son auréole. Je savais qu'à ce stade ma femme subirait la sodomie sans problème, car elle devait être complètement dilatée de bonheur. Linda s'enfonçait dans son intérieur, j'entendis le petit floque de jus que son cul a l'habitude de faire quand ma femme est bien lubrifiée et que l'anus se referme sur le gland pour bien l'emprisonner. C'était insupportable, je me caressais de plus en plus vite tout en restant figé, la scène qui s'offrait à moi. Linda laminant l'arrière-train de ma femme tout en vérifiant de bien la pénétré.
Linda en soulevant la tête me vit, comme pour me défier, elle poussa tout en les écartant les jambes de ma femme, pour que je puisse bien voir que son gode était entre les fesses de ma femme. Elle me voyait me caresser et ne dit pas mot, ma femme qui ne demandait que sa jouissance, Linda me sourit arrogante, elle prit bien le temps de se positionner et de faire en sorte que ma femme reste sur sa limite du plaisir sans la laisser s'éclater. Aller encore salope, bouge fait moi jouir, putain, j'en peux plus fait moi éclaté, baisse-moi comme une chienne. Linda me souriait d'un sourire narquois et dominateur qui voulait me dire " regarde bien, elle est mienne, c'est mon jouet, je peux la délivrer ou la faire pâtir longtemps ". Les supplications de ma femme se fessaient de plus en plus insistante pour atteindre le 7e ciel. Son bourreau regardait avec insistance la bosse de mes pantalons tout en fessant bien attention que sa victime ne perde pas de vigueur. Linda avec méthode et précaution tenait ma femme sur la limite de la jouissance et de l'orgasme et continuait de fixer mon entre-jambes. Je sors alors ma verge pour la défier et commence à me masturber devant elle, instantanément celle-ci donna plus de plaisir à ma femme. Quelle soumission perverse me fessait-elle subir, obligé de me masturber devant elle pour que ma femme puisse jouir entre ses mains. Je compris vite que si je ne venais devant cette tigresse, ma femme ne serait pas satisfaite par elle, plus que la situation évoluait plus j'avais l'impression de faire l'amour à ma femme par personne interposée et plus que la jouissance m'envahissait plus que ma femme montait vers son orgasme. Je pouvais lire dans le visage et l'expression de Linda sa jouissance de nous dominer et nous asservir à son petit jeu pervers. Ma femme fut foudroyée d'un orgasme violent et bruyant ce qui déclencha la mienne.
Un jet, un seul qui atterrit à mi-course entre le pied de l'escalier et l'entrée de la chambre et un spasme qui me traversa le corps comme un choc électrique. En relevant la tête, je vis Linda bien allongé sur ma femme épuisée, satisfaite et heureuse. Elle me regardait, soudain la honte et le remords me prirent, je m'éclipsais en catimini comme un enfant venant de faire un mauvais coup.
Cette nuit là, je suis remonté espérant retrouvé ma femme seule pour que l'on puisse discuter (calmé le jeu) avant que Linda ne mette la pagaille entre nous . Mais en arrivant en haut de l'escalier je les vis blottis ensemble, dormant comme un couple. Il ne me restait qu'ont effacé mes traces dans le passage et redescendre pénaux en espérant avoir la chance de discuté avec ma femme avant qu'un orage éclate.
Le réveil ne fut pas dur, j'avais décidé de ne pas aborder le sujet aussi longtemps que Linda serait là à moins que la situation mît contraigne. Voici les femmes qui descendent les marches l'odeur du petit-déjeuner doivent les avoir réveillés. Je les vois toute deux, décontractés, lumineuses et souriantes. Je remarque à ce moment que ma femme porte le petit complet de nuit que je lui ai offert il y a quelques années et que Linda est en nuisette transparente. Elle aurait pu être plus discrète pas besoin dans rajouter. Ma femme qui le porte comme si elle voulait rallumer ma flamme après une nuit torride. Sans gêne, je vois et je sens bien qu'elle se caresse mutuellement. En regardant ma femme dans ce vêtement, cela me rappelle plusieurs souvenirs. Pendant que je les sers à l'îlot ma tête vagabonde de souvenir en souvenir. Ceci a comme effet de déclencher de la gonflette chez moi. Il faut que je pense à autres choses ce n'est vraiment pas le moment, Linda éclate de rire en regardant ma femme, tu avais raison Mirianne, il ne peut pas te résister dans ces vêtements.
Pour le reste, il va falloir attendre la suite ...
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
histoire vraiment sympa, vivement la suite.
D'accord avec les remarques, incompréhensible, où est le correcteur?
Dommage expression et orthographe tellement mauvais...
C'est vrai mais l'histoire est sympa. Vite la suite !
dommage que ce soit mal écrit !! Ca en devient difficile et pénible à lire !
J'avais cru comprendre que HdS avait recruté un bataillon de correcteurs, voire rewritters. Où sont-ils? Je suppose que ce texte était déjà illisible avant d'être traduit en français avec un très mauvais logiciel. Indigne du site.