Ma femme devient une pute Ch. 01
Récit érotique écrit par Trouchard [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma femme devient une pute Ch. 01
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Traduction d'un texte de Veri.
**************
Rencontre avec un gang.
Mon épouse Michelle est une avocate de haut niveau dans notre ville qui est de taille moyenne. Nous sommes mariés depuis 22 ans environ. Il y a trois ans, notre vie sexuelle étant un peu en sommeil, je décidai de louer une chambre dans un hôtel pour jeune couple dans le quartier le plus ensoleillé de la ville. La chambre était vouée à l'amour avec un superbe jacuzzi.
A ma grande surprise, Michelle s'habilla en vraie salope, avec une jupe très courte, des hauts talons et un haut près du corps. Elle insista pour aller elle-même chercher la clé à la réception, roulant du cul à chaque pas et faisant se retourner sur elle plusieurs gars qui passaient par là. Une fois dans la chambre, elle me confia, que ces dernières années, elle fantasmait de devenir une prostituée.
Michelle est une blonde de taille moyenne. Sa poitrine fait un fantastique 95E naturel avec de belles aréoles et des mamelons qui durcissent très vite lorsqu'elle est excitée. Elle a aussi un beau cul qui a un peu grossit quand elle a eu 40 ans, mais qui est magnifique dans un short ou une jupe moulante.
Il y a quelques mois, Michelle a trouvé un bar universitaire local dans la petite ville voisine. Elle voulait se déguiser en salope et aller flirter avec les étudiants. Je lui ai demandé alors jusqu'où elle voulait aller?
- Je ne sais pas. Peut-être me laisserai-je offrir quelques verres par des garçons, et je leur laisserai poser leurs mains sur mes jambes. Peut-être les laisserai-je aussi agripper mon cul pendant que nous danserons. Si je suis un peu excitée, je flirterai avec le gars. Juste le temps d'être bien émoustillée et nous rentrerons à la maison pour baiser comme des fous.
Je dus admettre que l'idée de la voir comme une vieille salope se faire draguer par des étudiants m'excitait un peu, tant que ça n'allait pas trop loin.
La nuit suivante, nous sommes allés dans ce bar. Je l'ai laissé sur le parking. Je l'ai vu rouler du cul sur ses talons rouges de 15 centimètres alors qu'elle entrait dans le bar. Elle portait une petite jupe en jean et un haut noir qui faisait ressortir sa poitrine fantastique.
Quelques minutes plus tard, je suis entré et je me suis assis à une table près du bar avec une vue sur tout le lieu. Elle était déjà en train de parler avec quelques gars, une cigarette et un verre à la main. Je l'ai regardé rire et faire glisser ses ongles sur le bras d'un étudiant. Quelques instants plus tard ils étaient sur la piste de danse. Un slow débuta, elle se blottit dans les bras du jeune. La main de celui-ci frotta un moment son dos avant de disparaître sous sa jupe. Pendant ce temps ma femme fixa les yeux du garçon avant de l'embrasser, légèrement d'abord puis plus profondément.
La musique s'arrêta et Michelle retourna avec son ami à leur table. Le barman s'approcha et me demanda si je voulais une autre bière.
- Je vois que vous regardez cette vieille salope.
Je hochai la tête.
- Eh bien, regardez dons le mec là-bas?
Le barman désigne un homme au regard méchant dans un coin. Il devait avoir 19 ans et portait un bandeau avec des couleurs de gang.
- Il s'appelle José. Il dirige les filles qui travaillent par ici pour le gang NSP. Dans quelques minutes, il va surement s'occuper d'elle.
Je me demandai quoi faire en voyant le gars se lever et marcher vers Michelle. Il se pencha et murmura quelque chose à son oreille. Quelques secondes plus tard, je vis ma femme échanger son numéro de téléphone avec le garçon avec qui lequel elle avait dansé. Puis elle suivit José tout en exagérant son roulement de cul.
Lorsqu'elle passa vers moi, elle me jeta un coup d'œil et me sourit, alors je ne fis rien. José s'arrêta au bout du comptoir et s'assit sur un tabouret. Michelle se tint devant lui en levant légèrement une jambe pour la poser sur la barre du tabouret.
Ils commencèrent à discuter tranquillement et je vis Michelle rire et secouer la tête. José se leva et mit un doigt au sommet de son haut et il tira. Ma femme ne bougea pas, laissant José jeter un coup d'œil sur ses seins, puis elle repoussa sa main.
Ils parlèrent encore quelques minutes et je vis le barman leur apporter deux verres de Téquila. Ils les burent rapidement. José remit son doigt sur le haut et le tira vers le bas et vers lui. Encore une fois, Michelle le laissa regarder sa poitrine. Puis elle voulut repousser son doigt, mais cette fois-ci il attrapa sa main. Ils luttèrent un petit moment puis je vis ma femme se laisser attirer vers lui. José garda son doigt dans le haut et je le vis caresser un téton puis tourner autour. Son autre main descendit à l'intérieur des cuisses de Michelle puis remonter sous la jupe.
Mon épouse se tenait là, laissant un membre de gang jouer avec un sein et glisser sa main vers sa chatte. Elle avait un sourire sur le visage et elle le regardait dans les yeux. Elle était surement un peu excitée.
Je vis José enlever son bandana et lui donner. Elle passa devant moi sans dire un mot et entra dans les toilettes. Quelques instants plus tard, elle revint en portant le bandana à la place de son haut. Il couvrait à peine ses gros seins qui se balançaient. Ses nichons étaient si gros que sur le côté et le haut ils étaient clairement visibles. Le haut qu'elle portait auparavant était devenu sa jupe. Il était si serré qu'il remonta le long de ses jambes quand elle marchait. Il couvrait à peine son cul.
Si avant elle avait l'air d'une salope, là elle était clairement une pute à la recherche de clients. La plupart des regards étaient sur elle quand elle sortit des toilettes. Elle marcha lentement vers José. Puis elle tomba dans ses bras et lui donna un baiser passionné.
Quelques minutes plus tard, ils s'approchèrent de moi. Michelle tenait le bras de José. Son autre main essayer de tirer sa jupe alors qu'elle remontait sur son cul.
- Tu es marié avec elle?
- Oui.
José sembla surpris.
- Eh bien, cette garce veut que je l'emmène dans mon bar, voir mes amis. Tu es OK?
Je regardai Michelle. Elle hocha la tête.
- Si c'est ce qu'elle veut. Dis-je.
- OK nous y allons. Mais laisse-moi te préciser certaines choses. C'est peut-être ta femme, mais ce soir c'est ma pute, ma chienne. Et celle de mes amis. Je ne veux pas de problème. Mais elle le fait parce qu'elle le veut. Alors ce soir elle est à nous.
Je regardai Michelle.
- C'est ce que je veux mon chéri. Une nuit. Viens regarder, ça sera amusant.
J'acquiesçai en hochant la tête. José se détourna, Michelle sortit avec lui et je les suivis. Une Cadillac s'arrêta devant eux et ils montèrent à l'arrière. Je pris ma voiture et je les suivis. Nous roulâmes environ vingt minutes avant d'atteindre les mauvais quartiers de la ville. Il y avait un bar à un coin de rue. La Cadillac s'arrêta devant. Je me garai de l'autre côté de la rue.
Je traversai la rue et je m'aperçus que la porte passager avant était ouverte. José était derrière, de dos, mais je ne pus voir Michelle. De la fumée sortait de la voiture. José attira mon attention. Il sourit. Quelques secondes plus tard, la tête de Michelle surgit. Clairement elle avait dû lui faire une fellation. Je vis quelqu'un lui tendre un joint. Un instant après, elle sortit de la voiture en toussant et en essayant de remettre son haut.
José s'approcha de moi :
- Ta femme fumait un joint imbibé d'aphrodisiaque. Bientôt elle va être bien excitée et je vais gagner de l'argent. Ce bandana qu'elle porte autour des seins signifie qu'elle est avec moi et mes amis. Personne ne la dérangera à moins qu'ils ne me parlent en premier. Elle est en sécurité, surtout si elle continue à sucer des bites comme elle vient de me le faire.
Michelle trébucha sur ses talons hauts, elle avait du mal à garder sa jupe sur ses fesses. Elle la tira mais elle couvrait à peine le haut de ses cuisses. Elle était vraiment salope avec un bout de tissu couvrant à peine ses seins, essayant de marcher avec des hauts talons alors que sa jupe couvrait à peine sa chatte, une salope de 40 ans au bras d'un jeune de 19 ans qu'elle venait de sucer.
Nous entrâmes dans le bar. La musique était forte et une fumée épaisse flottait dans l'air. Il y avait des dizaines de femmes, de toutes races, à différents stades de nudité, mais aucune n'était aussi blonde ou aussi vieille que Michelle. Quelques femmes étaient avec des hommes et dansaient tandis que d'autres marchaient dans le bar, plus ou moins habillées comme ma femme.
José est accueilli par ses amis. Lui et Michelle s'assirent à une table. Je pus voir que mon épouse était nerveuse, elle s'accrochait fermement à José.
Quelques minutes plus tard, un grand homme noir apparut. Je le reconnus, c'était un basketteur de l'équipe de l'université. Je le vis parler à José et lui remettre de l'argent. José parla à Michelle. Elle se leva et salua le noir. Ils parlèrent pendant quelques minutes puis l'homme l'emmena vers une table de billard, la main autour de sa taille. Ils jouèrent un petit moment, ma femme se penchant souvent en remuant ses fesses. Bientôt deux autres personnes vinrent et ils jouèrent deux contre deux.
Pendant qu'ils attendaient leur tour de jouer, Michelle s'asseyait sur les genoux du basketteur qui lui caressait l'oreille. Assise sur lui, elle bougeait ses fesses. Quand ce fut son tour, le black se leva, joua plusieurs boules, en manqua une et revint vers ma femme. Celle-ci se leva et se jeta dans ses bras. Ils s'embrassèrent passionnément. Puis de nouveau, elle s'assit sur ses genoux, le laissant glisser sa main sous le bandana couvrant ses seins. Je pouvais voir sa grosse main tripoter son nichon gauche, passer le doigt autour du mamelon et finalement le pincer, tout en l'embrassant et caressant son oreille.
Le joint aphrodisiaque que lui avait donné le gang était trop fort pour elle. Elle se leva et se mit à cheval sur son nouvel ami. Ils s'embrassèrent encore passionnément et le vis sa main jouer avec l'entrejambe du gars. Elle brisa leur baiser et lui murmura quelque chose à l'oreille. L'homme mit la main à sa poche et en tira de l'argent qu'il lui donna. Michelle, un sein presque à nu, traversa le bar en direction de José et lui donna les billets.
Son fantasme était maintenant devenu réalité. Cette avocate sexy de 40 ans, de bonne réputation, était soumise à un voyou de 19 ans. Elle lui appartenait. Elle était sa propriété et se vendait à qui il lui disait. José lui tendit un petit paquet et je réalisai que c'était un préservatif.
Michelle retourna vers son basketteur et l'emmena sur un canapé dans un coin sombre. Ils s'embrassèrent pendant quelques minutes puis je vis sa tête se baisser entre ses jambes. Ensuite elle lui mit le préservatif et se mit à cheval sur lui. Il la baisa là, dans le coin sombre d'un bar.
Je connais ma femme et je peux dire quand elle simule ou quand elle a un vrai orgasme. Elle monta et descendit sur sa queue pendant 10 minutes. Puis l'homme accéléra ses coups de reins. Elle commença à se cambrer et elle mit ses mains derrière sa tête. Sa poitrine était libre d'accès pour le black. Il la tira contre lui et commença à sucer un mamelon. Ma femme adore qu'on lui suce ses tétons en la baisant. Je vis que son corps tremblait. Elle jouit. Quelques minutes plus tard, son partenaire éjacula. Elle s'effondra dans ses bras. Ils restèrent blottis pendant quelques minutes puis ma femme se leva et retourna vers José, son souteneur.
Cela recommença plusieurs fois. Des hommes venaient demander la vieille salope blanche. Ils payaient José et allaient avec elle, soit sur la piste de danse, soit au billard, soit à une table pour boire un verre. Et cela finissait toujours sur un canapé dans un coin sombre où elle les suçait ou se faisait baiser.
Bientôt deux heures du matin, je me demandai combien de temps cela allait durer encore. Michelle avait rompu notre accord et était allée plus loin que nous avions conclu. Elle venait de nous mettre dans une position où nous étions à la merci de voyous.
Puis elle vint vers moi et s'assit.
- Chéri, je suis tellement excitée. J'aime être une pute. Ça réalise tous mes fantasmes.
- Peut-on partir? Demandai-je.
- Pas avant que José me dise que je peux y aller.
Mais le proxénète s'approcha et dit :
- Viens, tu as gagné tes galons.
Michelle se leva, suivit José. Et je les suivis. Nous sortîmes du bar. Michelle était occupée à fixer son haut pour garder ses seins à l'intérieur du bandana. Tandis qu'elle marchait sur le trottoir, sa jupe remontait sur ses fesses et elle bougeait son cul comme une prostituée. Quelques rues plus loin, il y avait un salon de tatouage où nous entrâmes.
Dedans il y avait un jeune homme noir qui salua José avant de détailler Michelle et dire :
- Purée, cette pute est chaude.
- Elle a gagné un NSP en argent. Dit José.
Le gars hocha la tête et nous le suivîmes. Mon esprit était en ébullition. Un tatouage était hors de question, mais Michelle tenait fermement à son souteneur. Ils s'assirent à une table. Le gars avança et tira le haut de ma femme.
- Mmmmm, parfois j'adore mon boulot! Rit-il.
Michelle fut placée sur une chaise. Le tatoueur tendit la main et attrapa un petit ruban attaché à une petite barre.
- Seulement en argent? Se plaignit ma femme.
- Tu dois faire beaucoup plus de choses que remuer ton cul pour moi avant d'en avoir en or. Dit José.
Michelle fit la moue alors José se dirigea vers elle et se pencha :
- Tu es ma chienne?
Michelle hocha la tête.
- Tu es ma pute.
Michelle acquiesça à nouveau. José mit un doigt sous son menton. Elle leva les yeux vers lui alors qu'il l'embrassait profondément. Je pus voir ma femme prendre sa langue avec la sienne dans sa bouche.
José rompit le baiser et demanda :
- Dis le!
Michelle baissa les yeux :
- Je suis ta chienne.
- Plus fort!
Ma femme leva les yeux pour regarder son souteneur bien en face et dire :
Je suis ta salope. Je suis ta pute. Je baise seulement avec ceux que tu me dis.
- Ok. Continuons.
Le noir s'approcha, souleva une chaise et s'assit. Il tendit la main et saisit le sein gauche de Michelle. Il le caressa puis roula le téton entre son pouce et son index. Ma femme gémit. Il fit de même avec le sein gauche. Ma femme gémit encore plus.
- Le mamelon gauche est plus gros! Dit le gars.
Il sortit des liquides stérilisants pour nettoyer son mamelon gauche tout en continuant à le tirer. Michelle se tortilla sur son siège, en passant une jambe par-dessus l'autre. L'homme laissa tomber son autre main sur sa cuisse et je le vis l'avancer entre ses jambes. Michelle ouvrit les yeux et regarda José. Il hocha simplement la tête. Alors immédiatement elle écarta les jambes pour laisser l'accès à sa chatte. Le tatoueur la doigta pendant quelques minutes, tout en tirant et pinçant son téton gauche.
- Ok, c'est le moment.
Il mit du produit anesthésiant sur le mamelon, puis il le perça et y plaça la fine barre en argent avec le petit ruban NSP qui pendait à un anneau attaché à la barre. Il mit deux petits bouts ronds à l'extrémité de la barre qui transperçait son téton. Michelle était maintenant marquée du symbole du gang de José.
Elle baissa les yeux sur son sein puis se leva. Elle était hypnotisée. Elle mit ses bars autour de José qui lui dit :
- Ça veut dire que tu es notre pute. Aucun autre gang ne peut te toucher. Tu peux marcher n'importe où dans la ville avec tes tenues de salope, personne ne te dérangera sans mon accord.
Michelle embrassa profondément son proxénète avant de dire :
- Je suis tout à toi!
Elle me jeta un coup d'œil pendant une seconde puis l'embrassa à nouveau.
- Et tu ne l'enlèves jamais sans ma permission salope. Ok?
Michelle hocha la tête.
- Si je t'appelle au travail, tu prends ton téléphone et tu prends une photo de toi avec ce signe. Puis tu me l'envoies tout de suite pour que je sache que ma pute m'obéit.
Michelle hocha la tête.
- Très bien. Paye le gars! Déclara José avant de se détourner et de s'éloigner.
Michelle me regarda et dit :
- Je n'ai pas d'argent!
Le noir rigola :
- Tu crois que je veux de l'argent? Viens ici!
Il la prit par la taille et Michelle se laissa faire par ce tatoueur de 22 ans. Il la tira dans une pièce où il y avait un canapé. Quelques minutes plus tard, je l'entendis la baiser.
- Tu aimes les queues de noirs? Dit-il en la prenant en levrette.
- Oh oui j'adore ça. J'adore les grosses bites d'ébène. Baise-moi! Baise-moi avec ta grosse queue.
Je regardai dans la pièce et je vis l'homme lui tenir les cheveux comme des rênes alors qu'il la pilonne rudement. Ma femme se cambra et jouit. Le noir continua de la baiser. Elle était à quatre pattes, mais bientôt elle s'effondra sur le canapé. L'homme lui gifla le cul, alors elle le tendit vers lui et il put continuer à la marteler.
Quelques minutes plus tard, je vis Michelle serrer les bords du canapé et gémir :
- Je jouis encore!
Son corps trembla. Le noir éjacula aussi et s'effondra sur elle.
Quand Michelle arriva à se relever, elle me vit et eut le réflexe étonnant de se couvrir les seins. Elle me dit :
- S'il te plaît, va m'attendre dehors.
Je la vis s'asseoir et se blottir à côté de l'homme qui vient de la faire jouir. Quand je sortis, ils s'embrassèrent.
Quelques minutes plus tard, ma femme me rejoignit. Nous sortîmes du magasin. Notre voiture était à deux rues de là. Nous commençâmes à marcher, mon épouse faisant de son mieux pour garder sa jupe sur ses fesses.
Deux fois, sur le chemin, des membres de la bande de José nous ont arrêtés. A chaque fois ma femme est obligée de flirter avec les gars, de les embrasser ou de les laisser jouer avec ses seins.
Nous arrivâmes à la voiture mais un membre du gang nous avait suivis. Michelle pris les clés et me dit :
- Attends ici quelques minutes!
Le gars du gang la poussa contre notre véhicule et commença à l'embrasser. Il était vraiment gros, environ 120 kilos. Michelle passa ses mains sur sa poitrine et ses bras. Il lui dit :
- Je veux un peu de ton cul de vieille salope blanche.
- Mais beaucoup de tes amis m'ont baisée. C'est douloureux. Laisse-moi te tailler une pipe?
L'homme la repoussa contre la voiture :
- Je veux ta chatte.
Michelle l'embrassa profondément en mettant sa main entre ses jambes. Tout en tripotant sa queue sous son pantalon elle lui murmura :
- Bébé, ta bite est trop grosse. J'ai été trop baisée ce soir. Allez, laisse-moi te sucer! Comme une bonne pute j'avalerai tout. Et demain tu m'appelles et je viendrai pour que tu me baises bien.
Le membre du gang hocha la tête. Il mit ses mains sur le bandana et le retira. La scène était irréaliste. Ma femme, avocate réputée était dans la rue, à côté d'une voiture, dans une jupe courte et serrée, les seins à l'air, en face d'un garçon plus jeune qu'elle de 20 ans. Elle le laissa jouer avec ses seins. Il demanda :
- Dis que tu veux ça chienne!
Michelle sourit. Sa main tâtait la queue à travers le pantalon.
- Oh oui je le veux. J'ai rêvé d'une telle bite toute la nuit.
- Supplie!
Michelle se mit à genoux dans la rue, les seins pendants. Elle défit sa braguette et sortit la bite. Puis elle leva les yeux vers le garçon et dit :
- S'il te plaît bébé, laisse-moi sucer ta grosse et belle queue.
Elle voulut l'engouffrer dans sa bouche mais il retira son membre. Il voulait l'humilier.
- Embrasse la!
Michelle commença à faire des petits bisous de haut en bas de la verge dressée en murmurant :
- S'il te plaît bébé, laisse-moi sucer ta bite. S'il te plaît, j'ai besoin de la sucer.
Finalement, le gars fut satisfait. Il ordonna :
- Ok! Monte dans la voiture la pute!
Ils s'assirent sur la banquette arrière et quelques minutes plus tard, je vis la tête de ma femme disparaître entre les jambes du garçon. Cinq minutes plus tard, une porte s'ouvrit et le membre du gang descendit. Il rit en me disant :
- Elle a fait un super boulot. Elle est tout à toi maintenant.
Je montai dans la voiture. Je conduisis pendant quelques pâtés de maison en silence. Quand nous fûmes arrivés dans un quartier plus sûr, j'arrêtai la voiture. J'étais prêt à crier sur ma femme, mais elle me coupa la parole :
- Je sais ce que tu vas dire, mais ne le dis pas. C'est ce que je veux. Je veux être une pute. Je suis la putain de José. Il m'a marqué, je lui appartiens. Il m'a prise en face de toi et m'a soumise. C'est la chose la plus excitante qu'un homme puisse me faire, faire de moi une pute. Tu as eu ta chance mais José a été plus rapide. Il m'a eu quand il a commencé à jouer avec mes seins dans le bar. Alors ça va être comme ça, je serai sa prostituée comme je le voudrais. Je ne veux plus que tu viennes avec moi quand il m'appellera. Je le rejoindrai et je serai sa pute, je ferai le trottoir ou je travaillerai dans le bar. Je ferai ce qu'il veut.
Je n'étais pas sûr de savoir comment gérer cette situation ou ce que j'allais faire.
A suivre...
Traduction d'un texte de Veri.
**************
Rencontre avec un gang.
Mon épouse Michelle est une avocate de haut niveau dans notre ville qui est de taille moyenne. Nous sommes mariés depuis 22 ans environ. Il y a trois ans, notre vie sexuelle étant un peu en sommeil, je décidai de louer une chambre dans un hôtel pour jeune couple dans le quartier le plus ensoleillé de la ville. La chambre était vouée à l'amour avec un superbe jacuzzi.
A ma grande surprise, Michelle s'habilla en vraie salope, avec une jupe très courte, des hauts talons et un haut près du corps. Elle insista pour aller elle-même chercher la clé à la réception, roulant du cul à chaque pas et faisant se retourner sur elle plusieurs gars qui passaient par là. Une fois dans la chambre, elle me confia, que ces dernières années, elle fantasmait de devenir une prostituée.
Michelle est une blonde de taille moyenne. Sa poitrine fait un fantastique 95E naturel avec de belles aréoles et des mamelons qui durcissent très vite lorsqu'elle est excitée. Elle a aussi un beau cul qui a un peu grossit quand elle a eu 40 ans, mais qui est magnifique dans un short ou une jupe moulante.
Il y a quelques mois, Michelle a trouvé un bar universitaire local dans la petite ville voisine. Elle voulait se déguiser en salope et aller flirter avec les étudiants. Je lui ai demandé alors jusqu'où elle voulait aller?
- Je ne sais pas. Peut-être me laisserai-je offrir quelques verres par des garçons, et je leur laisserai poser leurs mains sur mes jambes. Peut-être les laisserai-je aussi agripper mon cul pendant que nous danserons. Si je suis un peu excitée, je flirterai avec le gars. Juste le temps d'être bien émoustillée et nous rentrerons à la maison pour baiser comme des fous.
Je dus admettre que l'idée de la voir comme une vieille salope se faire draguer par des étudiants m'excitait un peu, tant que ça n'allait pas trop loin.
La nuit suivante, nous sommes allés dans ce bar. Je l'ai laissé sur le parking. Je l'ai vu rouler du cul sur ses talons rouges de 15 centimètres alors qu'elle entrait dans le bar. Elle portait une petite jupe en jean et un haut noir qui faisait ressortir sa poitrine fantastique.
Quelques minutes plus tard, je suis entré et je me suis assis à une table près du bar avec une vue sur tout le lieu. Elle était déjà en train de parler avec quelques gars, une cigarette et un verre à la main. Je l'ai regardé rire et faire glisser ses ongles sur le bras d'un étudiant. Quelques instants plus tard ils étaient sur la piste de danse. Un slow débuta, elle se blottit dans les bras du jeune. La main de celui-ci frotta un moment son dos avant de disparaître sous sa jupe. Pendant ce temps ma femme fixa les yeux du garçon avant de l'embrasser, légèrement d'abord puis plus profondément.
La musique s'arrêta et Michelle retourna avec son ami à leur table. Le barman s'approcha et me demanda si je voulais une autre bière.
- Je vois que vous regardez cette vieille salope.
Je hochai la tête.
- Eh bien, regardez dons le mec là-bas?
Le barman désigne un homme au regard méchant dans un coin. Il devait avoir 19 ans et portait un bandeau avec des couleurs de gang.
- Il s'appelle José. Il dirige les filles qui travaillent par ici pour le gang NSP. Dans quelques minutes, il va surement s'occuper d'elle.
Je me demandai quoi faire en voyant le gars se lever et marcher vers Michelle. Il se pencha et murmura quelque chose à son oreille. Quelques secondes plus tard, je vis ma femme échanger son numéro de téléphone avec le garçon avec qui lequel elle avait dansé. Puis elle suivit José tout en exagérant son roulement de cul.
Lorsqu'elle passa vers moi, elle me jeta un coup d'œil et me sourit, alors je ne fis rien. José s'arrêta au bout du comptoir et s'assit sur un tabouret. Michelle se tint devant lui en levant légèrement une jambe pour la poser sur la barre du tabouret.
Ils commencèrent à discuter tranquillement et je vis Michelle rire et secouer la tête. José se leva et mit un doigt au sommet de son haut et il tira. Ma femme ne bougea pas, laissant José jeter un coup d'œil sur ses seins, puis elle repoussa sa main.
Ils parlèrent encore quelques minutes et je vis le barman leur apporter deux verres de Téquila. Ils les burent rapidement. José remit son doigt sur le haut et le tira vers le bas et vers lui. Encore une fois, Michelle le laissa regarder sa poitrine. Puis elle voulut repousser son doigt, mais cette fois-ci il attrapa sa main. Ils luttèrent un petit moment puis je vis ma femme se laisser attirer vers lui. José garda son doigt dans le haut et je le vis caresser un téton puis tourner autour. Son autre main descendit à l'intérieur des cuisses de Michelle puis remonter sous la jupe.
Mon épouse se tenait là, laissant un membre de gang jouer avec un sein et glisser sa main vers sa chatte. Elle avait un sourire sur le visage et elle le regardait dans les yeux. Elle était surement un peu excitée.
Je vis José enlever son bandana et lui donner. Elle passa devant moi sans dire un mot et entra dans les toilettes. Quelques instants plus tard, elle revint en portant le bandana à la place de son haut. Il couvrait à peine ses gros seins qui se balançaient. Ses nichons étaient si gros que sur le côté et le haut ils étaient clairement visibles. Le haut qu'elle portait auparavant était devenu sa jupe. Il était si serré qu'il remonta le long de ses jambes quand elle marchait. Il couvrait à peine son cul.
Si avant elle avait l'air d'une salope, là elle était clairement une pute à la recherche de clients. La plupart des regards étaient sur elle quand elle sortit des toilettes. Elle marcha lentement vers José. Puis elle tomba dans ses bras et lui donna un baiser passionné.
Quelques minutes plus tard, ils s'approchèrent de moi. Michelle tenait le bras de José. Son autre main essayer de tirer sa jupe alors qu'elle remontait sur son cul.
- Tu es marié avec elle?
- Oui.
José sembla surpris.
- Eh bien, cette garce veut que je l'emmène dans mon bar, voir mes amis. Tu es OK?
Je regardai Michelle. Elle hocha la tête.
- Si c'est ce qu'elle veut. Dis-je.
- OK nous y allons. Mais laisse-moi te préciser certaines choses. C'est peut-être ta femme, mais ce soir c'est ma pute, ma chienne. Et celle de mes amis. Je ne veux pas de problème. Mais elle le fait parce qu'elle le veut. Alors ce soir elle est à nous.
Je regardai Michelle.
- C'est ce que je veux mon chéri. Une nuit. Viens regarder, ça sera amusant.
J'acquiesçai en hochant la tête. José se détourna, Michelle sortit avec lui et je les suivis. Une Cadillac s'arrêta devant eux et ils montèrent à l'arrière. Je pris ma voiture et je les suivis. Nous roulâmes environ vingt minutes avant d'atteindre les mauvais quartiers de la ville. Il y avait un bar à un coin de rue. La Cadillac s'arrêta devant. Je me garai de l'autre côté de la rue.
Je traversai la rue et je m'aperçus que la porte passager avant était ouverte. José était derrière, de dos, mais je ne pus voir Michelle. De la fumée sortait de la voiture. José attira mon attention. Il sourit. Quelques secondes plus tard, la tête de Michelle surgit. Clairement elle avait dû lui faire une fellation. Je vis quelqu'un lui tendre un joint. Un instant après, elle sortit de la voiture en toussant et en essayant de remettre son haut.
José s'approcha de moi :
- Ta femme fumait un joint imbibé d'aphrodisiaque. Bientôt elle va être bien excitée et je vais gagner de l'argent. Ce bandana qu'elle porte autour des seins signifie qu'elle est avec moi et mes amis. Personne ne la dérangera à moins qu'ils ne me parlent en premier. Elle est en sécurité, surtout si elle continue à sucer des bites comme elle vient de me le faire.
Michelle trébucha sur ses talons hauts, elle avait du mal à garder sa jupe sur ses fesses. Elle la tira mais elle couvrait à peine le haut de ses cuisses. Elle était vraiment salope avec un bout de tissu couvrant à peine ses seins, essayant de marcher avec des hauts talons alors que sa jupe couvrait à peine sa chatte, une salope de 40 ans au bras d'un jeune de 19 ans qu'elle venait de sucer.
Nous entrâmes dans le bar. La musique était forte et une fumée épaisse flottait dans l'air. Il y avait des dizaines de femmes, de toutes races, à différents stades de nudité, mais aucune n'était aussi blonde ou aussi vieille que Michelle. Quelques femmes étaient avec des hommes et dansaient tandis que d'autres marchaient dans le bar, plus ou moins habillées comme ma femme.
José est accueilli par ses amis. Lui et Michelle s'assirent à une table. Je pus voir que mon épouse était nerveuse, elle s'accrochait fermement à José.
Quelques minutes plus tard, un grand homme noir apparut. Je le reconnus, c'était un basketteur de l'équipe de l'université. Je le vis parler à José et lui remettre de l'argent. José parla à Michelle. Elle se leva et salua le noir. Ils parlèrent pendant quelques minutes puis l'homme l'emmena vers une table de billard, la main autour de sa taille. Ils jouèrent un petit moment, ma femme se penchant souvent en remuant ses fesses. Bientôt deux autres personnes vinrent et ils jouèrent deux contre deux.
Pendant qu'ils attendaient leur tour de jouer, Michelle s'asseyait sur les genoux du basketteur qui lui caressait l'oreille. Assise sur lui, elle bougeait ses fesses. Quand ce fut son tour, le black se leva, joua plusieurs boules, en manqua une et revint vers ma femme. Celle-ci se leva et se jeta dans ses bras. Ils s'embrassèrent passionnément. Puis de nouveau, elle s'assit sur ses genoux, le laissant glisser sa main sous le bandana couvrant ses seins. Je pouvais voir sa grosse main tripoter son nichon gauche, passer le doigt autour du mamelon et finalement le pincer, tout en l'embrassant et caressant son oreille.
Le joint aphrodisiaque que lui avait donné le gang était trop fort pour elle. Elle se leva et se mit à cheval sur son nouvel ami. Ils s'embrassèrent encore passionnément et le vis sa main jouer avec l'entrejambe du gars. Elle brisa leur baiser et lui murmura quelque chose à l'oreille. L'homme mit la main à sa poche et en tira de l'argent qu'il lui donna. Michelle, un sein presque à nu, traversa le bar en direction de José et lui donna les billets.
Son fantasme était maintenant devenu réalité. Cette avocate sexy de 40 ans, de bonne réputation, était soumise à un voyou de 19 ans. Elle lui appartenait. Elle était sa propriété et se vendait à qui il lui disait. José lui tendit un petit paquet et je réalisai que c'était un préservatif.
Michelle retourna vers son basketteur et l'emmena sur un canapé dans un coin sombre. Ils s'embrassèrent pendant quelques minutes puis je vis sa tête se baisser entre ses jambes. Ensuite elle lui mit le préservatif et se mit à cheval sur lui. Il la baisa là, dans le coin sombre d'un bar.
Je connais ma femme et je peux dire quand elle simule ou quand elle a un vrai orgasme. Elle monta et descendit sur sa queue pendant 10 minutes. Puis l'homme accéléra ses coups de reins. Elle commença à se cambrer et elle mit ses mains derrière sa tête. Sa poitrine était libre d'accès pour le black. Il la tira contre lui et commença à sucer un mamelon. Ma femme adore qu'on lui suce ses tétons en la baisant. Je vis que son corps tremblait. Elle jouit. Quelques minutes plus tard, son partenaire éjacula. Elle s'effondra dans ses bras. Ils restèrent blottis pendant quelques minutes puis ma femme se leva et retourna vers José, son souteneur.
Cela recommença plusieurs fois. Des hommes venaient demander la vieille salope blanche. Ils payaient José et allaient avec elle, soit sur la piste de danse, soit au billard, soit à une table pour boire un verre. Et cela finissait toujours sur un canapé dans un coin sombre où elle les suçait ou se faisait baiser.
Bientôt deux heures du matin, je me demandai combien de temps cela allait durer encore. Michelle avait rompu notre accord et était allée plus loin que nous avions conclu. Elle venait de nous mettre dans une position où nous étions à la merci de voyous.
Puis elle vint vers moi et s'assit.
- Chéri, je suis tellement excitée. J'aime être une pute. Ça réalise tous mes fantasmes.
- Peut-on partir? Demandai-je.
- Pas avant que José me dise que je peux y aller.
Mais le proxénète s'approcha et dit :
- Viens, tu as gagné tes galons.
Michelle se leva, suivit José. Et je les suivis. Nous sortîmes du bar. Michelle était occupée à fixer son haut pour garder ses seins à l'intérieur du bandana. Tandis qu'elle marchait sur le trottoir, sa jupe remontait sur ses fesses et elle bougeait son cul comme une prostituée. Quelques rues plus loin, il y avait un salon de tatouage où nous entrâmes.
Dedans il y avait un jeune homme noir qui salua José avant de détailler Michelle et dire :
- Purée, cette pute est chaude.
- Elle a gagné un NSP en argent. Dit José.
Le gars hocha la tête et nous le suivîmes. Mon esprit était en ébullition. Un tatouage était hors de question, mais Michelle tenait fermement à son souteneur. Ils s'assirent à une table. Le gars avança et tira le haut de ma femme.
- Mmmmm, parfois j'adore mon boulot! Rit-il.
Michelle fut placée sur une chaise. Le tatoueur tendit la main et attrapa un petit ruban attaché à une petite barre.
- Seulement en argent? Se plaignit ma femme.
- Tu dois faire beaucoup plus de choses que remuer ton cul pour moi avant d'en avoir en or. Dit José.
Michelle fit la moue alors José se dirigea vers elle et se pencha :
- Tu es ma chienne?
Michelle hocha la tête.
- Tu es ma pute.
Michelle acquiesça à nouveau. José mit un doigt sous son menton. Elle leva les yeux vers lui alors qu'il l'embrassait profondément. Je pus voir ma femme prendre sa langue avec la sienne dans sa bouche.
José rompit le baiser et demanda :
- Dis le!
Michelle baissa les yeux :
- Je suis ta chienne.
- Plus fort!
Ma femme leva les yeux pour regarder son souteneur bien en face et dire :
Je suis ta salope. Je suis ta pute. Je baise seulement avec ceux que tu me dis.
- Ok. Continuons.
Le noir s'approcha, souleva une chaise et s'assit. Il tendit la main et saisit le sein gauche de Michelle. Il le caressa puis roula le téton entre son pouce et son index. Ma femme gémit. Il fit de même avec le sein gauche. Ma femme gémit encore plus.
- Le mamelon gauche est plus gros! Dit le gars.
Il sortit des liquides stérilisants pour nettoyer son mamelon gauche tout en continuant à le tirer. Michelle se tortilla sur son siège, en passant une jambe par-dessus l'autre. L'homme laissa tomber son autre main sur sa cuisse et je le vis l'avancer entre ses jambes. Michelle ouvrit les yeux et regarda José. Il hocha simplement la tête. Alors immédiatement elle écarta les jambes pour laisser l'accès à sa chatte. Le tatoueur la doigta pendant quelques minutes, tout en tirant et pinçant son téton gauche.
- Ok, c'est le moment.
Il mit du produit anesthésiant sur le mamelon, puis il le perça et y plaça la fine barre en argent avec le petit ruban NSP qui pendait à un anneau attaché à la barre. Il mit deux petits bouts ronds à l'extrémité de la barre qui transperçait son téton. Michelle était maintenant marquée du symbole du gang de José.
Elle baissa les yeux sur son sein puis se leva. Elle était hypnotisée. Elle mit ses bars autour de José qui lui dit :
- Ça veut dire que tu es notre pute. Aucun autre gang ne peut te toucher. Tu peux marcher n'importe où dans la ville avec tes tenues de salope, personne ne te dérangera sans mon accord.
Michelle embrassa profondément son proxénète avant de dire :
- Je suis tout à toi!
Elle me jeta un coup d'œil pendant une seconde puis l'embrassa à nouveau.
- Et tu ne l'enlèves jamais sans ma permission salope. Ok?
Michelle hocha la tête.
- Si je t'appelle au travail, tu prends ton téléphone et tu prends une photo de toi avec ce signe. Puis tu me l'envoies tout de suite pour que je sache que ma pute m'obéit.
Michelle hocha la tête.
- Très bien. Paye le gars! Déclara José avant de se détourner et de s'éloigner.
Michelle me regarda et dit :
- Je n'ai pas d'argent!
Le noir rigola :
- Tu crois que je veux de l'argent? Viens ici!
Il la prit par la taille et Michelle se laissa faire par ce tatoueur de 22 ans. Il la tira dans une pièce où il y avait un canapé. Quelques minutes plus tard, je l'entendis la baiser.
- Tu aimes les queues de noirs? Dit-il en la prenant en levrette.
- Oh oui j'adore ça. J'adore les grosses bites d'ébène. Baise-moi! Baise-moi avec ta grosse queue.
Je regardai dans la pièce et je vis l'homme lui tenir les cheveux comme des rênes alors qu'il la pilonne rudement. Ma femme se cambra et jouit. Le noir continua de la baiser. Elle était à quatre pattes, mais bientôt elle s'effondra sur le canapé. L'homme lui gifla le cul, alors elle le tendit vers lui et il put continuer à la marteler.
Quelques minutes plus tard, je vis Michelle serrer les bords du canapé et gémir :
- Je jouis encore!
Son corps trembla. Le noir éjacula aussi et s'effondra sur elle.
Quand Michelle arriva à se relever, elle me vit et eut le réflexe étonnant de se couvrir les seins. Elle me dit :
- S'il te plaît, va m'attendre dehors.
Je la vis s'asseoir et se blottir à côté de l'homme qui vient de la faire jouir. Quand je sortis, ils s'embrassèrent.
Quelques minutes plus tard, ma femme me rejoignit. Nous sortîmes du magasin. Notre voiture était à deux rues de là. Nous commençâmes à marcher, mon épouse faisant de son mieux pour garder sa jupe sur ses fesses.
Deux fois, sur le chemin, des membres de la bande de José nous ont arrêtés. A chaque fois ma femme est obligée de flirter avec les gars, de les embrasser ou de les laisser jouer avec ses seins.
Nous arrivâmes à la voiture mais un membre du gang nous avait suivis. Michelle pris les clés et me dit :
- Attends ici quelques minutes!
Le gars du gang la poussa contre notre véhicule et commença à l'embrasser. Il était vraiment gros, environ 120 kilos. Michelle passa ses mains sur sa poitrine et ses bras. Il lui dit :
- Je veux un peu de ton cul de vieille salope blanche.
- Mais beaucoup de tes amis m'ont baisée. C'est douloureux. Laisse-moi te tailler une pipe?
L'homme la repoussa contre la voiture :
- Je veux ta chatte.
Michelle l'embrassa profondément en mettant sa main entre ses jambes. Tout en tripotant sa queue sous son pantalon elle lui murmura :
- Bébé, ta bite est trop grosse. J'ai été trop baisée ce soir. Allez, laisse-moi te sucer! Comme une bonne pute j'avalerai tout. Et demain tu m'appelles et je viendrai pour que tu me baises bien.
Le membre du gang hocha la tête. Il mit ses mains sur le bandana et le retira. La scène était irréaliste. Ma femme, avocate réputée était dans la rue, à côté d'une voiture, dans une jupe courte et serrée, les seins à l'air, en face d'un garçon plus jeune qu'elle de 20 ans. Elle le laissa jouer avec ses seins. Il demanda :
- Dis que tu veux ça chienne!
Michelle sourit. Sa main tâtait la queue à travers le pantalon.
- Oh oui je le veux. J'ai rêvé d'une telle bite toute la nuit.
- Supplie!
Michelle se mit à genoux dans la rue, les seins pendants. Elle défit sa braguette et sortit la bite. Puis elle leva les yeux vers le garçon et dit :
- S'il te plaît bébé, laisse-moi sucer ta grosse et belle queue.
Elle voulut l'engouffrer dans sa bouche mais il retira son membre. Il voulait l'humilier.
- Embrasse la!
Michelle commença à faire des petits bisous de haut en bas de la verge dressée en murmurant :
- S'il te plaît bébé, laisse-moi sucer ta bite. S'il te plaît, j'ai besoin de la sucer.
Finalement, le gars fut satisfait. Il ordonna :
- Ok! Monte dans la voiture la pute!
Ils s'assirent sur la banquette arrière et quelques minutes plus tard, je vis la tête de ma femme disparaître entre les jambes du garçon. Cinq minutes plus tard, une porte s'ouvrit et le membre du gang descendit. Il rit en me disant :
- Elle a fait un super boulot. Elle est tout à toi maintenant.
Je montai dans la voiture. Je conduisis pendant quelques pâtés de maison en silence. Quand nous fûmes arrivés dans un quartier plus sûr, j'arrêtai la voiture. J'étais prêt à crier sur ma femme, mais elle me coupa la parole :
- Je sais ce que tu vas dire, mais ne le dis pas. C'est ce que je veux. Je veux être une pute. Je suis la putain de José. Il m'a marqué, je lui appartiens. Il m'a prise en face de toi et m'a soumise. C'est la chose la plus excitante qu'un homme puisse me faire, faire de moi une pute. Tu as eu ta chance mais José a été plus rapide. Il m'a eu quand il a commencé à jouer avec mes seins dans le bar. Alors ça va être comme ça, je serai sa prostituée comme je le voudrais. Je ne veux plus que tu viennes avec moi quand il m'appellera. Je le rejoindrai et je serai sa pute, je ferai le trottoir ou je travaillerai dans le bar. Je ferai ce qu'il veut.
Je n'étais pas sûr de savoir comment gérer cette situation ou ce que j'allais faire.
A suivre...
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