Ma femme devient une pute Ch. 02
Récit érotique écrit par Trouchard [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma femme devient une pute Ch. 02
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Traduction d’un texte de Veri.
**************
Elle travaille pour le gang.
Cela fait un mois que ma femme Michelle m’a demandé de lui permettre d’assouvir son fantasme et de devenir une pute.
Ça avait commencé assez innocemment. Elle flirtait avec un gars dans un bar. Mais ce soir-là, elle avait été approchée par un proxénète et peu de temps après il l’avait emmené dans le bar de son gang où elle s’était rapidement transformée en pute. Il semble que, comme de nombreux souteneurs, José avait exercé un certain charme sur elle.
Je lui avais posé la question mais elle m’avait simplement dit qu’il avait la meilleure bite qu’elle n’ait jamais connue. Et il pouvait lui provoquer un orgasme juste en l’embrassant et en lui chuchotant dans l’oreille pendant qu’il massait sa chatte. Je crois que José a eu simplement la chance de se trouver là alors qu’elle voulait accomplir son fantasme. Elle avait toujours voulu être soumise, il avait le caractère d’un Maître.
Mon téléphone sonna à 5 heures du matin.
- Viens me chercher ! Fut tout ce qu’elle dit.
Je savais où elle était, probablement dans la rue près du bar où le gang avait ses quartiers. Je montai dans ma voiture pour aller la chercher. Il y avait eu des changements chez ma femme au cours de ce dernier mois. Ses mollets s’étaient musclés à force de marcher dans la rue avec des talons de 15 centimètres. Son cul était devenu plus ferme et plus rond. Elle avait perdu 4 ou 5 kilos et elle pesait environ 65 kilos maintenant. La perte de poids se voyait surtout sur son visage et sur ses jambes. Ses seins par contre n’avaient rien perdu.
Elle avait aussi cessé de s’embêter avec des coiffures compliquées. Soit elle se faisait une queue de cheval, soit elle laissait ses cheveux tomber sur ses épaules. D’une femme de 40 ans vraiment belle, elle était passée à l’apparence d’une vraie pute de trottoir. Elle n’était pas construite pour le sexe mais c’est ce qu’elle donnait et recevait, beaucoup. Au cours du mois écoulé, j’avais vu des vidéos d’hommes en train de la baiser en levrette tout en tirant sur sa queue de cheval, ce qui la rendait folle d’excitation.
L’autre changement chez ma femme était la façon dont elle vivait sa vie maintenant. Au cours d’une nuit, elle était passée d’un simple flirt à pute. Elle avait sucé et s’était faite baiser par de nombreux hommes, y compris celui qui avait mis un piercing sur son sein.
Depuis cette nuit-là, elle continua à porter l’emblème du gang sur son téton percé, y compris quand elle exerçait son métier d’avocate. Elle obéit à José, quitte son travail et rentre à la maison à 19 heures pour ensuite aller rencontrer un client important du souteneur, faire le trottoir ou se vendre dans le bar du gang. Elle était souvent fatiguée et avait l’air un peu hagard. Elle travaillait trop dur. Souvent, lorsqu’elle rentrait de sa nuit, elle était dans les vaps, sous l’effet de l’alcool, des joints ou de l’aphrodisiaque. Elle sentait la cigarette, même si dans la vie normale elle ne fumait pas. En vérité, elle aimait jouer avec une cigarette alors qu’elle était assise à un arrêt de bus ou appuyée contre un lampadaire en attendant le client.
Je conduisis jusqu’à un demi-pâté de maison du bar et je me garai. Je la vis sortir en état d’ébriété. Un mec assez grand, qui devait juste avoir 20 ans, avait un bras autour de sa taille et tripotait ses fesses.
Comme toujours, elle portait une jupe noire transparente sans sous-vêtements. Elle devait continuellement lutter pour que son cul reste couvert par le tissu alors qu’elle marchait sur ses talons hauts. Elle portait aussi un débardeur rouge transparent sous lequel ses seins tremblaient quand elle se déplaçait. A travers le tissu, on pouvait voir le bijou du gang suspendu à son téton percé. Elle m’avait confié que ce piercing continuait à exciter son téton, et qu’à plusieurs reprises, elle avait dû aller aux toilettes pour se masturber et soulager la tension sexuelle. Bien sûr, elle envoyait des photos de ses seins ou de sa chatte à son proxénète tout au long de la journée pour lui montrer qu’elle pensait à lui.
Michelle se mit à marcher devant l’homme, roulant ses fesses d’une façon très sexy. Puis elle s’arrêta et regarda par-dessus son épaule, les mains sur les hanches, en remuant encore plus son cul. Elle fit semblant de faire la moue parce qu’il ne la suivait pas. Le garçon renvoya son ami qui était avec lui puis il suivit ma femme. Il l’attrapa et je la vis tomber dans ses bras tandis qu’il l’enveloppait par derrière. Les deux mains masculines se posèrent sur sa poitrine tandis qu’il lui parla à l’oreille.
Je remarquai que les genoux de ma femme étaient sales. Elle avait dû passer beaucoup de temps à genoux avec des hommes ce soir.
Comme elle le faisait parfois au cours de ces dernières semaines, Michelle ouvrit son petit sac à main argenté, trouva son téléphone et appuya dessus pour appeler mon téléphone. Ceci afin que je puisse tout entendre ce qui se passait. Je regardai le couple se diriger vers une Cadillac et y pénétrer par la banquette arrière.
J’entendis des bruits sourds et Michelle qui dit :
- Oh bébé, je t’ai regardé toute la nuit.
- Tu la veux ?
- Oui.
- Supplie alors, ma pute !
- Mmmmm, laisse-moi la sortir. Oh bébé, qu’elle est grosse, j’ai vraiment de la chance.
Je pus voir ma femme baisser la tête, mais la relever immédiatement.
- Je t’ai dit de supplier !
- Je la veux. Ta queue est si belle. Puis-je l’embrasser, s’il te plaît ? S’il te plaît, laisse la pute embrasser ta bite. Mmmmm… elle a bon goût. Laisse-moi la sucer s’il te plaît ? S’il te plaît…
J’entendis plus de bruits sourds.
- Oh tu veux toucher ma poitrine avant ? Vas-y bébé, prends ces seins. Tu as payé pour alors touche les tant que tu veux, je suis à toi.
Ça m’excitait d’entendre ma femme supplier un homme de la laisser sucer sa bite, comme ça m’excitait de la voir remuer son cul alors qu’elle marchait dans la rue. Mais j’étais inquiet aussi car tout cela avait pris beaucoup trop d’importance.
J’entendis l’homme sucer ses seins. Je savais que ça l’excitait.
- Bébé, laisse-moi te sucer, j’en ai besoin.
Je vis ma femme baisser la tête. Pendant les dix minutes qui suivirent, je pus voir sa tête monter et descendre alors qu’il se relaxait et appréciait la fellation. Puis elle releva la tête et dit :
- Tu veux me baiser bébé ?
- Peut-être. Mais parlons un peu avant. Vous semblez un peu vieille pour faire la pute dans la rue.
Michelle rigola :
- En fait, c’est un temps partiel. J’ai une autre vie. Je fais ça pour le sexe, pas pour l’argent.
- Vraiment ?
- Oui bébé. Mais viens, tu es mon dernier client pour cette nuit. Amuse-toi, touche le cul de la pute.
Ça restait toujours étrange pour moi d’entendre Michelle parler comme une salope. Elle avait appris ce jargon ces dernières semaines et elle passait facilement de l’avocate à la prostituée.
- Attends une seconde. Dis m’en davantage. Si tu n’as pas besoin d’argent, que fais-tu vraiment ?
- Je travaille dans un bureau.
- Quel âge as-tu ?
- Et toi quel âge as-tu bébé ?
- 20 ans. Mais dis-moi ton âge !
- D’après toi quel âge ai-je ?
- je dirai 30 environ.
- Eh bien mon chéri, j’ai 40 ans, 41 ans dans deux mois. Mais maintenant tu veux baiser la cougar ou je finis de sucer ta belle queue ?
- J’aime les femmes plus âgées. J’aimerai t’emmener dans un motel pour que nous nous amusions.
- bébé, je viens de faire une longue nuit. José m’a fait marcher des heures dans la rue jusqu’à ce que je fasse 300 euros. Puis je suis allée au bar et tu as vu ce qui s’est passé. J’ai du baiser deux amis à José gratuitement, puis il y a eu les trois gars qui faisaient la fête. J’ai dû danser avec eux pendant une heure avant de sucer deux d’entre eux. Le troisième a payé pour me baiser et j’ai dû chevaucher sa queue. J’adorerai aller au motel avec toi, mais pas maintenant.
- Veux-tu me donner ton numéro de téléphone ?
- Euuuuhhh… Tu me traiteras gentiment ?
- Ouais.
- Est-ce que tu vas me draguer, m’acheter des vêtements sexy et du parfum ?
- Bien sûr.
- Alors tu veux que cette vieille femme de 40 ans devienne ta petite amie ?
Le gars rigola :
- je ne sais pas si ça en viendra là. Mais peut-être pouvons-nous commencer à être des amis avec certaines choses en plus.
- je veux un jeune garçon comme petit ami.
Je devinai que Michelle faisait la moue. Mais que voulait-elle ? Elle répondait déjà 24 heures sur 24 à tous les appels de son souteneur. Et maintenant elle voulait une relation avec un jeune.
- Eh bien, tu suces vraiment bien. Alors prenons rendez-vous dans un motel pour que tu me montres à quel point tu es bonne et nous verrons pour la suite.
J’entendis ma femme murmurer alors que sa tête retombait sur la bite :
- Je suis à toi bébé. Je suis bonne. Je vais te faire apprécier cette vieille salope. Et puis quand je ne travaillerai pas, je sucerai ta queue et tu me baiseras quand tu voudras. Jouis bébé. Ummmm.
Après que l’homme ait éjaculé, j’entendis Michelle lui donner son téléphone en disant :
- Peu importe ce que tu vas faire, mais ne le dis pas à José. Il me battra s’il sait que je fais ça derrière son dos.
Quelques instants plus tard, Michelle sortit de la voiture et alluma une cigarette. Elle éteignit son téléphone et commença à marcher vers moi, sans pouvoir s’empêcher de rouler du cul. Une voiture passa et klaxonna. Michelle s’arrêta, marcha vers le véhicule et se pencha dans la fenêtre passager. Quelques minutes plus tard, elle se releva et rangea ses seins qu’elle avait posé à travers la fenêtre. Je la vis également mettre 20 euros dans son sac.
Elle me rejoignit et monta dans la voiture :
- Conduis moi au bar mon chéri, je viens de gagner 20 euros que je dois donner à José. Ensuite nous rentrerons à la maison.
Je m’avançai devant le bar. Elle descendit de la voiture et alluma son téléphone. Je l’entendis demander à des gens où se trouvait José mais la musique trop forte couvrit la réponse. J’entendis des portes s’ouvrir et la musique s’éloigner. Michelle avait dû aller dans une pièce au fond. C’était plus calme et je pouvais entendre ses talons claquer sur le sol.
- Qu’est-ce que tu fais ici la pute ? Entendis-je José demander.
- je me suis arrêtée ici après avoir pris soin d’un type dans une voiture.
- Et qu’est-ce que ça me fait ?
- 20 euros bébé. Le type voulait juste jouer avec mes seins.
- Et tu es juste revenue pour me donner 20 euros ?
- Oui bébé. Tu es mon homme.
- Salope, je te l’ai déjà dit. S’ils s’arrêtent tu dois faire un marché et les faire accepter au moins une fellation. Arrête de mettre tes seins à la fenêtre. Je sais que ça t’excite mais j’ai besoin que tu me rapportes de l’argent.
- Je suis désolé bébé. Ça ne se reproduira plus.
- Donne-moi 80 euros.
- Quoi ?
- Tu me dois 80 euros la pute. Tu l’as sur toi ?
- Non bébé, je n’ai pas d’argent. Tu m’as dit de ne pas en avoir.
- Ok putain. Tu me dois 80 euros et tu me les donneras quand tu me reverras.
J’entendis Michelle repartir mais José la rappela :
- Salope, DJ me dit que tu lui as promis ta chatte !
Je connaissais DJ. C’était un des gros membres du gang. Il devait faire entre 120 et 150 kilos. Le premier soir, je l’avais vu accoster Michelle dans la rue. Elle avait promis de le baiser le lendemain avant que nous partions.
Elle m’avait confié qu’elle avait peur de lui, pas qu’il la blesse intentionnellement, mais comme il n’était pas très intelligent et qu’il avait une grosse bite, il était devenu un animal quand elle l’avait sucé. Il avait saisi ses cheveux et broyé ses seins, sa queue avait distendu sa bouche au maximum. Elle avait peur qu’il lui fasse mal s’il la baisait. Et comme il était musclé aussi, elle avait peur que ça dure longtemps.
J’entendis les talons de Michelle claquer sur le sol.
- C’est vrai bébé. DJ, je t’ai promis ma chatte. Je suis désolé. Laisse-moi te sucer et te soulager.
- Pas question ! Tu m’as promis ta chatte. Tu vas me baiser vieille pute ?
Michelle parla à José :
- Bébé, je suis fatigué. Ma chatte est douloureuse. Laisse-moi te sucer DJ et on baisera plus tard.
J’entendis José rire et dire :
- Tu lui dois.
Je pouvais entendre Michelle marcher puis je l’entendis dire :
- Prends moi dans tes bras bébé. Voilà. Donne ta main, prend un sein. Oh oui bébé, j’aime quand tu tires mon téton. Bébé, essaie de comprendre, ma chatte est vraiment douloureuse. Et ta bite est vraiment grosse. Je ne peux pas te baiser mais je vais te sucer bien comme il faut.
- Tu m’as menti. Je veux ta chatte ou ton cul.
J’entendis ma femme faire des petits bisous à DJ.
- Allez viens bébé. Tu as aimé quand je t’ai sucé.
- Non.
- Je te laisserai prendre mon cul deux fois. Il sera tout à toi. Mais laisse-moi me reposer ce soir.
- Viens chez moi !
- Quoi ?
- Viens chez moi, tu me suceras et je te laisserai dormir. Et au matin ta chatte et ton cul seront à moi. Pour autant que je veux. Tout le week-end.
Michelle se tourne vers José :
- José, j’ai vraiment besoin d’une pause.
J’entendis le souteneur rire.
- Tu t’es mise dans cette histoire toute seule. Alors débrouille toi. Tu baises mon ami maintenant ou alors tu es à lui tout le week-end.
Michelle soupira :
- Ok. Je vais rentrer avec toi.
- Suce moi d’abord ! Et supplie-moi de te baiser !
J’entendis Michelle se mettre à genoux et baisser sa braguette.
- Oh mon bébé ! Quelle grosse bite ! Je vais bien te sucer, puis tu me baiseras tout le week-end.
- Supplie putain !
- S’il te plaît bébé, s’il te plaît emmène ta pute chez toi et baise ce cul.
- Quel cul ?
- Mon cul ?
- Mauvaise réponse vieille pute !
- Ton cul bébé. Le cul de cette pute est à toi. La chatte de cette salope est à toi. Tu es l’homme. Tu possèdes ce cul. Tu as une pute pour toi tout seul tout le week-end.
- Bien putain ! Maintenant suce !
Une vingtaine de minutes plus tard, je vis Michelle sortir du bar et se diriger vers notre voiture.
- Tu as entendu ce qui vient d’arriver ?
- Oui. Et je n’aime pas ça ! Dis-je.
- Je suis coincé mon chéri. Ce mec est si fort. Tu ne peux pas l’arrêter, je dois y aller.
- Appelle-moi si tu as besoin. Et j’appellerai la police.
- Je pense que je peux le contrôler si je le satisfais. Veux-tu que je t’envoie des vidéos par le téléphone ?
Je baissai les yeux, j’étais embarrassé par ma réponse :
- Oui.
Puis je rajoutai :
- Dis le moi encore. Tu veux continuer à être comme ça ?
- Pendant un moment encore chéri. Jusqu’à ce que je sorte de mon fantasme. Je serai à la maison dimanche soir. Je t’appelle quand je peux.
Je la regardai s’éloigner et se diriger vers la voiture de DJ, toujours en tortillant son derrière. Elle baissait la tête et semblait inquiète. Pour la première fois, j’avais vu de l’indécision sur son visage. Elle venait de sucer un gros garçon musclé de 19 ans dont les pulsions étaient déchainées. Il avait maintenant sa propre pute de 40 ans et il voulait vivre ses fantasmes.
Je la vis monter dans la voiture et, quelques instants plus tard, elle baissa la tête. 20 minutes plus tôt elle l’avait sucé et il bandait à nouveau. Ça allait être un long week-end.
******
Mon téléphone vibra. Ça faisait plus de dix heures que je n’avais plus de nouvelles de Michelle. J’avais reçu un sms qui disait : « Va voir tes emails. Je vais bien.
J’ouvris l’ordinateur et je vis que j’avais plusieurs emails provenant d’une étrange adresse. C’était surement celle de DJ. Il y avait plusieurs vidéos. Je commençai par la première.
Michelle était nue sur un grand lit qui semblait avoir été fait sur mesure. Les draps étaient violets et surement en soie. Ma femme avait l’air fatiguée.
- Nous venons de nous réveiller. Je pensais que tu pourrais…
Sa phrase fut coupée par une main massive qui attrapa ses cheveux et baissèrent sa tête vers une entrejambe.
- Plus de bavardage !
Je vis Michelle prendre une énorme bite dans sa bouche. Comme elle me l’avait décrit, la queue étirait sa bouche. Après quelques instants, elle se retira, c’était trop douloureux. Elle commença à l’embrasser et à la lécher. Je vis une autre grosse main saisir un sein et titiller son mamelon. Elle lécha le gros membre en gémissant.
Elle était positionnée entre deux jambes massives et musclées. Son visage était tourné sur le côté, face à la caméra.
- Tu es si puissant bébé. J’adore cette grosse bite.
Quelques petits bisous, puis un long coup de langue et elle mit la pointe dans sa bouche et poussa. Ça étira sa bouche, elle bloqua ses lèvres autour de la queue et ses joues bougèrent alors qu’elle suçait.
Après quelques minutes, le garçon sortit sa queue.
- Il est temps que je prenne ta chatte.
Ma femme donna un grand coup de langue baveuse sur la bite, puis elle grimpa à cheval sur la verge de DJ. Je l’entendis gémir et se mettre à bouger tandis que l’homme avait pris un sein dans chaque main. Puis l’écran devint noir.
La vidéo était 20 minutes plus tard. Michelle était encore empalée sur la queue. Elle bondissait de haut en bas. Par deux fois, elle eut un orgasme et étira ses bras en l’air pendant que DJ tordait et tirait ses tétons, ce qui augmentait son orgasme.
Finalement, elle se laissa tomber sur le garçon. Celui-ci bougea les hanches et je vis qu’il était sur le point de jouir. Je vis des gouttes de sueur couler dans son dos et l’écran devint noir.
La vidéo suivante était la pire ou la meilleure suivant la façon dont on la visualisait. Elle avait été faite 75 minutes après que ma femme soit montée sur la queue.
Michelle était à quatre pattes, son cul bien en l’air. Elle portait ses talons de 15 centimètres et rien d’autre. DJ était une présence massive derrière elle. Il avait posé une grosse main sur le sein qui avait le piercing. Il alternait entre presser le sein et tirer sur la barre en métal qui transpercé le téton.
Michelle était une épave. Ses cheveux étaient trempés de sueur et son maquillage coulait sur son visage. Derrière elle, DJ la pilonnait en rythme, giflant son cul toutes les minutes et tirant ses cheveux.
- Oh… euhh… il me…euhhh… baise… euhhh… depuis 40 minutes… euhh… euhh… euhh…et il… ne s’arrêtera pas… euhh… c’est un dur à cuire… et euhh… euhh… il ne s’arrêtera pas… euhh… je… euhh… jouis… euhh…et il ne veut pas s’arrêter… euhh… ahhh… euhh…
La sueur coulait sur son visage. La tension d’être baisée aussi rudement se voyait dans son visage rougi de ses orgasmes. Il y avait des veines qui pulsaient dans son cou. Derrière elle, je pouvais voir la sueur couler sur la poitrine de DJ, mais il gardait le rythme.
- Ohhh, je ne peux pas continuer… Il doit s’arrêter… Ahhh… pas encore… Ohhhh…. Ahhhh.
Je la vis se cambrer alors que DJ tirait ses cheveux pour mettre sa tête en arrière.
- Tu jouis putain ?
- Oh oui, baise-moi oui. Oh merde je ne peux pas continuer. Je jouis encore. Oh s’il te plaît arrête.
DJ claqua son cul.
- Ne me dis pas d’arrêter vieille pute. Je vais te baiser toute la journée comme ça.
- Oh je suis désolé, je suis désolé. Tu es mon homme. Prends cette pute et baise-la. Mais s’il te plaît bébé, j’ai juste besoin de me reposer un peu.
- Tu es ma pute.
- Oui tu es mon Maître.
- Est-ce que quelqu’un t’a déjà aussi bien baisée ?
- Non jamais.
- Si je t’achète à José, tu seras ma chienne ?
- Oui. Achète-moi. Fais de moi ta pute personnelle. Je te baiserai et te sucerai seulement toi. Tu me possèderas.
Ma femme se donnait à un voyou de 19 ans. Je ne pouvais pas supporter cette idée.
- Tu veux que je jouisse vieille pute ?
- Oh oui Bébé. S’il te plaît jouis pour ta putain. S’il te plaît, s’il te plaît !
- Alors donne-moi ton cul vieille pute.
DJ sortit lentement sa grosse queue. Michelle se laissa tomber sur le lit, le visage et le ventre à plat. Ses cheveux blonds, trempés de sueur tombaient sur ses épaules et descendaient dans son dos. Son cul fut soulevé en l’air. Elle tremblait. Ses mains, tendues devant elle, saisirent les draps. Je pouvais voir ses ongles rouges se planter dans le tissu et le matelas.
- Demande-moi de t’enculer !
- je… Jamais… personne ne me l’a… fait…
Dj claqua son cul et le releva un peu plus. Il mit sa queue dans la raie des fesses et la frotta d’avant en arrière. Je vis Michelle lever son cul et commencer à accompagner son mouvement. Elle dit alors :
- S’il te plaît, s’il te plaît, baise mon cul de putain. Prends ce cul et fais-en la propriété de DJ. Tu vas posséder ce cul. Encule-moi. Fais de moi ta putain personnelle.
Ma femme tendit la main et guida lentement la grosse bite sur son trou du cul. DJ était gentil, il ne poussait pas fort et ne la déchirait pas. Michelle redressa son cul pour faciliter sa poussée et bientôt les deux prirent un rythme. A chacune des poussées du garçon, un peu de sa queue disparaissait dans le cul de Michelle. Elle gémit doucement.
Des moments, elle stoppait DJ et il le faisait, attendant qu’elle soit prête à repartir. Le garçon mit une main devant son visage et lui donna un doigt à sucer. Elle le fit pendant qu’il recommençait sa lente progression dans son cul. Puis il fut au fond. Michelle regarda la caméra en se relevant à quatre pattes. Ses seins pendaient et se balançaient lentement pendant qu’elle était sodomisée.
- Il m’a complètement enculée… euhh… ahhh… AHHHHH !
Elle jouit à nouveau. Son visage rougit et ses yeux roulent dans leurs orbites.
DJ maintient un rythme régulier, mais il est doux. Ma femme bouge son cul pour répondre à chaque coup de reins du garçon. Un petit gémissement et plusieurs grognements ensuite, DJ éjacule dans son cul. Il jouit avec force et Michelle aussi une nouvelle fois. Puis il s’effondre sur elle.
Je vis qu’elle avait été baisée pendant presque une heure et demie, y compris les vingt dernières minutes où elle avait été sodomisée pour la première fois.
DJ sortit de Michelle et posa sa tête sur le lit. Ma femme se releva et regarda la caméra pendant une minute. Ses yeux étaient vitreux. Elle était dans les vaps. Mais elle semblait satisfaite aussi. Elle se rapprocha de DJ qui la tira dans ses bras. Elle se recroquevilla contre lui. Je vis une des grosses mains se faufiler et attraper un sein pour le tripoter. Avec son autre main, il passa un doigt sur le visage de Michelle.
Celle-ci leva les yeux vers son amant qui devenait doux. Elle leva les bras et l’embrassa doucement sur les lèvres. Il lui murmura quelque chose. Elle sourit et l’embrassa à nouveau, avec plus de passion cette fois. Je vis sa langue entrer dans sa bouche et il la suça. Cela dura environ vingt minutes, puis je vis ma femme poser sa main sur la bite de DJ. Elle commença à le masturber et je vis qu’il réagissait très vite. Son jeune amoureux était prêt à recommencer.
Elle gémit et elle le tira vers elle, sa main guidant la queue de l’homme entre ses cuisses.
- Oh bébé, j’ai besoin de toi ! Murmura-t-elle.
- Tu es si mouillée. Répondit-il.
Ils se faisaient face, s’embrassant et entrecroisant leurs jambes. Michelle demanda :
- Bébé, j’ai besoin que tu me fasses l’amour. Tu peux faire ça ?
- Oui.
- Sois mon amoureux s’il te plaît bébé ?
- Oui je suis ton amant.
- Oh j’ai tellement besoin que DJ me fasse l’amour. Ça fait tellement longtemps que l’on ne m’a pas aimée
Leurs corps se mélangèrent. Ma femme âgée de 40 ans faisait l’amour à son amant de 19 ans. Elle murmura quelque chose au garçon qui se leva. Je vis sa main se diriger vers la caméra et l’écran devint noir.
Ça ne la dérangeait pas que je la voie se faire baiser. Mais quand elle faisait l’amour, elle ne voulait pas que je le voie. C’était privé entre elle et son jeune amant.
Ça me dérangea. C’était beaucoup plus que notre accord initial. Je repensai au gars dans la voiture quand j’avais été la chercher. Elle lui avait demandé d’être son petit ami et de lui faire l’amour s’il l’emmenait dans un motel.
Son besoin d’être une prostituée évoluait lentement vers quelque chose de plus profond et plus complexe. Elle ne voulait plus seulement être baisée, être appelée une pute et sucer des gars à genoux dans la rue.
Je réalisai, qu’après tout ce que nous avions traversé, mon mariage était menacé.
A suivre …
Traduction d’un texte de Veri.
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Elle travaille pour le gang.
Cela fait un mois que ma femme Michelle m’a demandé de lui permettre d’assouvir son fantasme et de devenir une pute.
Ça avait commencé assez innocemment. Elle flirtait avec un gars dans un bar. Mais ce soir-là, elle avait été approchée par un proxénète et peu de temps après il l’avait emmené dans le bar de son gang où elle s’était rapidement transformée en pute. Il semble que, comme de nombreux souteneurs, José avait exercé un certain charme sur elle.
Je lui avais posé la question mais elle m’avait simplement dit qu’il avait la meilleure bite qu’elle n’ait jamais connue. Et il pouvait lui provoquer un orgasme juste en l’embrassant et en lui chuchotant dans l’oreille pendant qu’il massait sa chatte. Je crois que José a eu simplement la chance de se trouver là alors qu’elle voulait accomplir son fantasme. Elle avait toujours voulu être soumise, il avait le caractère d’un Maître.
Mon téléphone sonna à 5 heures du matin.
- Viens me chercher ! Fut tout ce qu’elle dit.
Je savais où elle était, probablement dans la rue près du bar où le gang avait ses quartiers. Je montai dans ma voiture pour aller la chercher. Il y avait eu des changements chez ma femme au cours de ce dernier mois. Ses mollets s’étaient musclés à force de marcher dans la rue avec des talons de 15 centimètres. Son cul était devenu plus ferme et plus rond. Elle avait perdu 4 ou 5 kilos et elle pesait environ 65 kilos maintenant. La perte de poids se voyait surtout sur son visage et sur ses jambes. Ses seins par contre n’avaient rien perdu.
Elle avait aussi cessé de s’embêter avec des coiffures compliquées. Soit elle se faisait une queue de cheval, soit elle laissait ses cheveux tomber sur ses épaules. D’une femme de 40 ans vraiment belle, elle était passée à l’apparence d’une vraie pute de trottoir. Elle n’était pas construite pour le sexe mais c’est ce qu’elle donnait et recevait, beaucoup. Au cours du mois écoulé, j’avais vu des vidéos d’hommes en train de la baiser en levrette tout en tirant sur sa queue de cheval, ce qui la rendait folle d’excitation.
L’autre changement chez ma femme était la façon dont elle vivait sa vie maintenant. Au cours d’une nuit, elle était passée d’un simple flirt à pute. Elle avait sucé et s’était faite baiser par de nombreux hommes, y compris celui qui avait mis un piercing sur son sein.
Depuis cette nuit-là, elle continua à porter l’emblème du gang sur son téton percé, y compris quand elle exerçait son métier d’avocate. Elle obéit à José, quitte son travail et rentre à la maison à 19 heures pour ensuite aller rencontrer un client important du souteneur, faire le trottoir ou se vendre dans le bar du gang. Elle était souvent fatiguée et avait l’air un peu hagard. Elle travaillait trop dur. Souvent, lorsqu’elle rentrait de sa nuit, elle était dans les vaps, sous l’effet de l’alcool, des joints ou de l’aphrodisiaque. Elle sentait la cigarette, même si dans la vie normale elle ne fumait pas. En vérité, elle aimait jouer avec une cigarette alors qu’elle était assise à un arrêt de bus ou appuyée contre un lampadaire en attendant le client.
Je conduisis jusqu’à un demi-pâté de maison du bar et je me garai. Je la vis sortir en état d’ébriété. Un mec assez grand, qui devait juste avoir 20 ans, avait un bras autour de sa taille et tripotait ses fesses.
Comme toujours, elle portait une jupe noire transparente sans sous-vêtements. Elle devait continuellement lutter pour que son cul reste couvert par le tissu alors qu’elle marchait sur ses talons hauts. Elle portait aussi un débardeur rouge transparent sous lequel ses seins tremblaient quand elle se déplaçait. A travers le tissu, on pouvait voir le bijou du gang suspendu à son téton percé. Elle m’avait confié que ce piercing continuait à exciter son téton, et qu’à plusieurs reprises, elle avait dû aller aux toilettes pour se masturber et soulager la tension sexuelle. Bien sûr, elle envoyait des photos de ses seins ou de sa chatte à son proxénète tout au long de la journée pour lui montrer qu’elle pensait à lui.
Michelle se mit à marcher devant l’homme, roulant ses fesses d’une façon très sexy. Puis elle s’arrêta et regarda par-dessus son épaule, les mains sur les hanches, en remuant encore plus son cul. Elle fit semblant de faire la moue parce qu’il ne la suivait pas. Le garçon renvoya son ami qui était avec lui puis il suivit ma femme. Il l’attrapa et je la vis tomber dans ses bras tandis qu’il l’enveloppait par derrière. Les deux mains masculines se posèrent sur sa poitrine tandis qu’il lui parla à l’oreille.
Je remarquai que les genoux de ma femme étaient sales. Elle avait dû passer beaucoup de temps à genoux avec des hommes ce soir.
Comme elle le faisait parfois au cours de ces dernières semaines, Michelle ouvrit son petit sac à main argenté, trouva son téléphone et appuya dessus pour appeler mon téléphone. Ceci afin que je puisse tout entendre ce qui se passait. Je regardai le couple se diriger vers une Cadillac et y pénétrer par la banquette arrière.
J’entendis des bruits sourds et Michelle qui dit :
- Oh bébé, je t’ai regardé toute la nuit.
- Tu la veux ?
- Oui.
- Supplie alors, ma pute !
- Mmmmm, laisse-moi la sortir. Oh bébé, qu’elle est grosse, j’ai vraiment de la chance.
Je pus voir ma femme baisser la tête, mais la relever immédiatement.
- Je t’ai dit de supplier !
- Je la veux. Ta queue est si belle. Puis-je l’embrasser, s’il te plaît ? S’il te plaît, laisse la pute embrasser ta bite. Mmmmm… elle a bon goût. Laisse-moi la sucer s’il te plaît ? S’il te plaît…
J’entendis plus de bruits sourds.
- Oh tu veux toucher ma poitrine avant ? Vas-y bébé, prends ces seins. Tu as payé pour alors touche les tant que tu veux, je suis à toi.
Ça m’excitait d’entendre ma femme supplier un homme de la laisser sucer sa bite, comme ça m’excitait de la voir remuer son cul alors qu’elle marchait dans la rue. Mais j’étais inquiet aussi car tout cela avait pris beaucoup trop d’importance.
J’entendis l’homme sucer ses seins. Je savais que ça l’excitait.
- Bébé, laisse-moi te sucer, j’en ai besoin.
Je vis ma femme baisser la tête. Pendant les dix minutes qui suivirent, je pus voir sa tête monter et descendre alors qu’il se relaxait et appréciait la fellation. Puis elle releva la tête et dit :
- Tu veux me baiser bébé ?
- Peut-être. Mais parlons un peu avant. Vous semblez un peu vieille pour faire la pute dans la rue.
Michelle rigola :
- En fait, c’est un temps partiel. J’ai une autre vie. Je fais ça pour le sexe, pas pour l’argent.
- Vraiment ?
- Oui bébé. Mais viens, tu es mon dernier client pour cette nuit. Amuse-toi, touche le cul de la pute.
Ça restait toujours étrange pour moi d’entendre Michelle parler comme une salope. Elle avait appris ce jargon ces dernières semaines et elle passait facilement de l’avocate à la prostituée.
- Attends une seconde. Dis m’en davantage. Si tu n’as pas besoin d’argent, que fais-tu vraiment ?
- Je travaille dans un bureau.
- Quel âge as-tu ?
- Et toi quel âge as-tu bébé ?
- 20 ans. Mais dis-moi ton âge !
- D’après toi quel âge ai-je ?
- je dirai 30 environ.
- Eh bien mon chéri, j’ai 40 ans, 41 ans dans deux mois. Mais maintenant tu veux baiser la cougar ou je finis de sucer ta belle queue ?
- J’aime les femmes plus âgées. J’aimerai t’emmener dans un motel pour que nous nous amusions.
- bébé, je viens de faire une longue nuit. José m’a fait marcher des heures dans la rue jusqu’à ce que je fasse 300 euros. Puis je suis allée au bar et tu as vu ce qui s’est passé. J’ai du baiser deux amis à José gratuitement, puis il y a eu les trois gars qui faisaient la fête. J’ai dû danser avec eux pendant une heure avant de sucer deux d’entre eux. Le troisième a payé pour me baiser et j’ai dû chevaucher sa queue. J’adorerai aller au motel avec toi, mais pas maintenant.
- Veux-tu me donner ton numéro de téléphone ?
- Euuuuhhh… Tu me traiteras gentiment ?
- Ouais.
- Est-ce que tu vas me draguer, m’acheter des vêtements sexy et du parfum ?
- Bien sûr.
- Alors tu veux que cette vieille femme de 40 ans devienne ta petite amie ?
Le gars rigola :
- je ne sais pas si ça en viendra là. Mais peut-être pouvons-nous commencer à être des amis avec certaines choses en plus.
- je veux un jeune garçon comme petit ami.
Je devinai que Michelle faisait la moue. Mais que voulait-elle ? Elle répondait déjà 24 heures sur 24 à tous les appels de son souteneur. Et maintenant elle voulait une relation avec un jeune.
- Eh bien, tu suces vraiment bien. Alors prenons rendez-vous dans un motel pour que tu me montres à quel point tu es bonne et nous verrons pour la suite.
J’entendis ma femme murmurer alors que sa tête retombait sur la bite :
- Je suis à toi bébé. Je suis bonne. Je vais te faire apprécier cette vieille salope. Et puis quand je ne travaillerai pas, je sucerai ta queue et tu me baiseras quand tu voudras. Jouis bébé. Ummmm.
Après que l’homme ait éjaculé, j’entendis Michelle lui donner son téléphone en disant :
- Peu importe ce que tu vas faire, mais ne le dis pas à José. Il me battra s’il sait que je fais ça derrière son dos.
Quelques instants plus tard, Michelle sortit de la voiture et alluma une cigarette. Elle éteignit son téléphone et commença à marcher vers moi, sans pouvoir s’empêcher de rouler du cul. Une voiture passa et klaxonna. Michelle s’arrêta, marcha vers le véhicule et se pencha dans la fenêtre passager. Quelques minutes plus tard, elle se releva et rangea ses seins qu’elle avait posé à travers la fenêtre. Je la vis également mettre 20 euros dans son sac.
Elle me rejoignit et monta dans la voiture :
- Conduis moi au bar mon chéri, je viens de gagner 20 euros que je dois donner à José. Ensuite nous rentrerons à la maison.
Je m’avançai devant le bar. Elle descendit de la voiture et alluma son téléphone. Je l’entendis demander à des gens où se trouvait José mais la musique trop forte couvrit la réponse. J’entendis des portes s’ouvrir et la musique s’éloigner. Michelle avait dû aller dans une pièce au fond. C’était plus calme et je pouvais entendre ses talons claquer sur le sol.
- Qu’est-ce que tu fais ici la pute ? Entendis-je José demander.
- je me suis arrêtée ici après avoir pris soin d’un type dans une voiture.
- Et qu’est-ce que ça me fait ?
- 20 euros bébé. Le type voulait juste jouer avec mes seins.
- Et tu es juste revenue pour me donner 20 euros ?
- Oui bébé. Tu es mon homme.
- Salope, je te l’ai déjà dit. S’ils s’arrêtent tu dois faire un marché et les faire accepter au moins une fellation. Arrête de mettre tes seins à la fenêtre. Je sais que ça t’excite mais j’ai besoin que tu me rapportes de l’argent.
- Je suis désolé bébé. Ça ne se reproduira plus.
- Donne-moi 80 euros.
- Quoi ?
- Tu me dois 80 euros la pute. Tu l’as sur toi ?
- Non bébé, je n’ai pas d’argent. Tu m’as dit de ne pas en avoir.
- Ok putain. Tu me dois 80 euros et tu me les donneras quand tu me reverras.
J’entendis Michelle repartir mais José la rappela :
- Salope, DJ me dit que tu lui as promis ta chatte !
Je connaissais DJ. C’était un des gros membres du gang. Il devait faire entre 120 et 150 kilos. Le premier soir, je l’avais vu accoster Michelle dans la rue. Elle avait promis de le baiser le lendemain avant que nous partions.
Elle m’avait confié qu’elle avait peur de lui, pas qu’il la blesse intentionnellement, mais comme il n’était pas très intelligent et qu’il avait une grosse bite, il était devenu un animal quand elle l’avait sucé. Il avait saisi ses cheveux et broyé ses seins, sa queue avait distendu sa bouche au maximum. Elle avait peur qu’il lui fasse mal s’il la baisait. Et comme il était musclé aussi, elle avait peur que ça dure longtemps.
J’entendis les talons de Michelle claquer sur le sol.
- C’est vrai bébé. DJ, je t’ai promis ma chatte. Je suis désolé. Laisse-moi te sucer et te soulager.
- Pas question ! Tu m’as promis ta chatte. Tu vas me baiser vieille pute ?
Michelle parla à José :
- Bébé, je suis fatigué. Ma chatte est douloureuse. Laisse-moi te sucer DJ et on baisera plus tard.
J’entendis José rire et dire :
- Tu lui dois.
Je pouvais entendre Michelle marcher puis je l’entendis dire :
- Prends moi dans tes bras bébé. Voilà. Donne ta main, prend un sein. Oh oui bébé, j’aime quand tu tires mon téton. Bébé, essaie de comprendre, ma chatte est vraiment douloureuse. Et ta bite est vraiment grosse. Je ne peux pas te baiser mais je vais te sucer bien comme il faut.
- Tu m’as menti. Je veux ta chatte ou ton cul.
J’entendis ma femme faire des petits bisous à DJ.
- Allez viens bébé. Tu as aimé quand je t’ai sucé.
- Non.
- Je te laisserai prendre mon cul deux fois. Il sera tout à toi. Mais laisse-moi me reposer ce soir.
- Viens chez moi !
- Quoi ?
- Viens chez moi, tu me suceras et je te laisserai dormir. Et au matin ta chatte et ton cul seront à moi. Pour autant que je veux. Tout le week-end.
Michelle se tourne vers José :
- José, j’ai vraiment besoin d’une pause.
J’entendis le souteneur rire.
- Tu t’es mise dans cette histoire toute seule. Alors débrouille toi. Tu baises mon ami maintenant ou alors tu es à lui tout le week-end.
Michelle soupira :
- Ok. Je vais rentrer avec toi.
- Suce moi d’abord ! Et supplie-moi de te baiser !
J’entendis Michelle se mettre à genoux et baisser sa braguette.
- Oh mon bébé ! Quelle grosse bite ! Je vais bien te sucer, puis tu me baiseras tout le week-end.
- Supplie putain !
- S’il te plaît bébé, s’il te plaît emmène ta pute chez toi et baise ce cul.
- Quel cul ?
- Mon cul ?
- Mauvaise réponse vieille pute !
- Ton cul bébé. Le cul de cette pute est à toi. La chatte de cette salope est à toi. Tu es l’homme. Tu possèdes ce cul. Tu as une pute pour toi tout seul tout le week-end.
- Bien putain ! Maintenant suce !
Une vingtaine de minutes plus tard, je vis Michelle sortir du bar et se diriger vers notre voiture.
- Tu as entendu ce qui vient d’arriver ?
- Oui. Et je n’aime pas ça ! Dis-je.
- Je suis coincé mon chéri. Ce mec est si fort. Tu ne peux pas l’arrêter, je dois y aller.
- Appelle-moi si tu as besoin. Et j’appellerai la police.
- Je pense que je peux le contrôler si je le satisfais. Veux-tu que je t’envoie des vidéos par le téléphone ?
Je baissai les yeux, j’étais embarrassé par ma réponse :
- Oui.
Puis je rajoutai :
- Dis le moi encore. Tu veux continuer à être comme ça ?
- Pendant un moment encore chéri. Jusqu’à ce que je sorte de mon fantasme. Je serai à la maison dimanche soir. Je t’appelle quand je peux.
Je la regardai s’éloigner et se diriger vers la voiture de DJ, toujours en tortillant son derrière. Elle baissait la tête et semblait inquiète. Pour la première fois, j’avais vu de l’indécision sur son visage. Elle venait de sucer un gros garçon musclé de 19 ans dont les pulsions étaient déchainées. Il avait maintenant sa propre pute de 40 ans et il voulait vivre ses fantasmes.
Je la vis monter dans la voiture et, quelques instants plus tard, elle baissa la tête. 20 minutes plus tôt elle l’avait sucé et il bandait à nouveau. Ça allait être un long week-end.
******
Mon téléphone vibra. Ça faisait plus de dix heures que je n’avais plus de nouvelles de Michelle. J’avais reçu un sms qui disait : « Va voir tes emails. Je vais bien.
J’ouvris l’ordinateur et je vis que j’avais plusieurs emails provenant d’une étrange adresse. C’était surement celle de DJ. Il y avait plusieurs vidéos. Je commençai par la première.
Michelle était nue sur un grand lit qui semblait avoir été fait sur mesure. Les draps étaient violets et surement en soie. Ma femme avait l’air fatiguée.
- Nous venons de nous réveiller. Je pensais que tu pourrais…
Sa phrase fut coupée par une main massive qui attrapa ses cheveux et baissèrent sa tête vers une entrejambe.
- Plus de bavardage !
Je vis Michelle prendre une énorme bite dans sa bouche. Comme elle me l’avait décrit, la queue étirait sa bouche. Après quelques instants, elle se retira, c’était trop douloureux. Elle commença à l’embrasser et à la lécher. Je vis une autre grosse main saisir un sein et titiller son mamelon. Elle lécha le gros membre en gémissant.
Elle était positionnée entre deux jambes massives et musclées. Son visage était tourné sur le côté, face à la caméra.
- Tu es si puissant bébé. J’adore cette grosse bite.
Quelques petits bisous, puis un long coup de langue et elle mit la pointe dans sa bouche et poussa. Ça étira sa bouche, elle bloqua ses lèvres autour de la queue et ses joues bougèrent alors qu’elle suçait.
Après quelques minutes, le garçon sortit sa queue.
- Il est temps que je prenne ta chatte.
Ma femme donna un grand coup de langue baveuse sur la bite, puis elle grimpa à cheval sur la verge de DJ. Je l’entendis gémir et se mettre à bouger tandis que l’homme avait pris un sein dans chaque main. Puis l’écran devint noir.
La vidéo était 20 minutes plus tard. Michelle était encore empalée sur la queue. Elle bondissait de haut en bas. Par deux fois, elle eut un orgasme et étira ses bras en l’air pendant que DJ tordait et tirait ses tétons, ce qui augmentait son orgasme.
Finalement, elle se laissa tomber sur le garçon. Celui-ci bougea les hanches et je vis qu’il était sur le point de jouir. Je vis des gouttes de sueur couler dans son dos et l’écran devint noir.
La vidéo suivante était la pire ou la meilleure suivant la façon dont on la visualisait. Elle avait été faite 75 minutes après que ma femme soit montée sur la queue.
Michelle était à quatre pattes, son cul bien en l’air. Elle portait ses talons de 15 centimètres et rien d’autre. DJ était une présence massive derrière elle. Il avait posé une grosse main sur le sein qui avait le piercing. Il alternait entre presser le sein et tirer sur la barre en métal qui transpercé le téton.
Michelle était une épave. Ses cheveux étaient trempés de sueur et son maquillage coulait sur son visage. Derrière elle, DJ la pilonnait en rythme, giflant son cul toutes les minutes et tirant ses cheveux.
- Oh… euhh… il me…euhhh… baise… euhhh… depuis 40 minutes… euhh… euhh… euhh…et il… ne s’arrêtera pas… euhh… c’est un dur à cuire… et euhh… euhh… il ne s’arrêtera pas… euhh… je… euhh… jouis… euhh…et il ne veut pas s’arrêter… euhh… ahhh… euhh…
La sueur coulait sur son visage. La tension d’être baisée aussi rudement se voyait dans son visage rougi de ses orgasmes. Il y avait des veines qui pulsaient dans son cou. Derrière elle, je pouvais voir la sueur couler sur la poitrine de DJ, mais il gardait le rythme.
- Ohhh, je ne peux pas continuer… Il doit s’arrêter… Ahhh… pas encore… Ohhhh…. Ahhhh.
Je la vis se cambrer alors que DJ tirait ses cheveux pour mettre sa tête en arrière.
- Tu jouis putain ?
- Oh oui, baise-moi oui. Oh merde je ne peux pas continuer. Je jouis encore. Oh s’il te plaît arrête.
DJ claqua son cul.
- Ne me dis pas d’arrêter vieille pute. Je vais te baiser toute la journée comme ça.
- Oh je suis désolé, je suis désolé. Tu es mon homme. Prends cette pute et baise-la. Mais s’il te plaît bébé, j’ai juste besoin de me reposer un peu.
- Tu es ma pute.
- Oui tu es mon Maître.
- Est-ce que quelqu’un t’a déjà aussi bien baisée ?
- Non jamais.
- Si je t’achète à José, tu seras ma chienne ?
- Oui. Achète-moi. Fais de moi ta pute personnelle. Je te baiserai et te sucerai seulement toi. Tu me possèderas.
Ma femme se donnait à un voyou de 19 ans. Je ne pouvais pas supporter cette idée.
- Tu veux que je jouisse vieille pute ?
- Oh oui Bébé. S’il te plaît jouis pour ta putain. S’il te plaît, s’il te plaît !
- Alors donne-moi ton cul vieille pute.
DJ sortit lentement sa grosse queue. Michelle se laissa tomber sur le lit, le visage et le ventre à plat. Ses cheveux blonds, trempés de sueur tombaient sur ses épaules et descendaient dans son dos. Son cul fut soulevé en l’air. Elle tremblait. Ses mains, tendues devant elle, saisirent les draps. Je pouvais voir ses ongles rouges se planter dans le tissu et le matelas.
- Demande-moi de t’enculer !
- je… Jamais… personne ne me l’a… fait…
Dj claqua son cul et le releva un peu plus. Il mit sa queue dans la raie des fesses et la frotta d’avant en arrière. Je vis Michelle lever son cul et commencer à accompagner son mouvement. Elle dit alors :
- S’il te plaît, s’il te plaît, baise mon cul de putain. Prends ce cul et fais-en la propriété de DJ. Tu vas posséder ce cul. Encule-moi. Fais de moi ta putain personnelle.
Ma femme tendit la main et guida lentement la grosse bite sur son trou du cul. DJ était gentil, il ne poussait pas fort et ne la déchirait pas. Michelle redressa son cul pour faciliter sa poussée et bientôt les deux prirent un rythme. A chacune des poussées du garçon, un peu de sa queue disparaissait dans le cul de Michelle. Elle gémit doucement.
Des moments, elle stoppait DJ et il le faisait, attendant qu’elle soit prête à repartir. Le garçon mit une main devant son visage et lui donna un doigt à sucer. Elle le fit pendant qu’il recommençait sa lente progression dans son cul. Puis il fut au fond. Michelle regarda la caméra en se relevant à quatre pattes. Ses seins pendaient et se balançaient lentement pendant qu’elle était sodomisée.
- Il m’a complètement enculée… euhh… ahhh… AHHHHH !
Elle jouit à nouveau. Son visage rougit et ses yeux roulent dans leurs orbites.
DJ maintient un rythme régulier, mais il est doux. Ma femme bouge son cul pour répondre à chaque coup de reins du garçon. Un petit gémissement et plusieurs grognements ensuite, DJ éjacule dans son cul. Il jouit avec force et Michelle aussi une nouvelle fois. Puis il s’effondre sur elle.
Je vis qu’elle avait été baisée pendant presque une heure et demie, y compris les vingt dernières minutes où elle avait été sodomisée pour la première fois.
DJ sortit de Michelle et posa sa tête sur le lit. Ma femme se releva et regarda la caméra pendant une minute. Ses yeux étaient vitreux. Elle était dans les vaps. Mais elle semblait satisfaite aussi. Elle se rapprocha de DJ qui la tira dans ses bras. Elle se recroquevilla contre lui. Je vis une des grosses mains se faufiler et attraper un sein pour le tripoter. Avec son autre main, il passa un doigt sur le visage de Michelle.
Celle-ci leva les yeux vers son amant qui devenait doux. Elle leva les bras et l’embrassa doucement sur les lèvres. Il lui murmura quelque chose. Elle sourit et l’embrassa à nouveau, avec plus de passion cette fois. Je vis sa langue entrer dans sa bouche et il la suça. Cela dura environ vingt minutes, puis je vis ma femme poser sa main sur la bite de DJ. Elle commença à le masturber et je vis qu’il réagissait très vite. Son jeune amoureux était prêt à recommencer.
Elle gémit et elle le tira vers elle, sa main guidant la queue de l’homme entre ses cuisses.
- Oh bébé, j’ai besoin de toi ! Murmura-t-elle.
- Tu es si mouillée. Répondit-il.
Ils se faisaient face, s’embrassant et entrecroisant leurs jambes. Michelle demanda :
- Bébé, j’ai besoin que tu me fasses l’amour. Tu peux faire ça ?
- Oui.
- Sois mon amoureux s’il te plaît bébé ?
- Oui je suis ton amant.
- Oh j’ai tellement besoin que DJ me fasse l’amour. Ça fait tellement longtemps que l’on ne m’a pas aimée
Leurs corps se mélangèrent. Ma femme âgée de 40 ans faisait l’amour à son amant de 19 ans. Elle murmura quelque chose au garçon qui se leva. Je vis sa main se diriger vers la caméra et l’écran devint noir.
Ça ne la dérangeait pas que je la voie se faire baiser. Mais quand elle faisait l’amour, elle ne voulait pas que je le voie. C’était privé entre elle et son jeune amant.
Ça me dérangea. C’était beaucoup plus que notre accord initial. Je repensai au gars dans la voiture quand j’avais été la chercher. Elle lui avait demandé d’être son petit ami et de lui faire l’amour s’il l’emmenait dans un motel.
Son besoin d’être une prostituée évoluait lentement vers quelque chose de plus profond et plus complexe. Elle ne voulait plus seulement être baisée, être appelée une pute et sucer des gars à genoux dans la rue.
Je réalisai, qu’après tout ce que nous avions traversé, mon mariage était menacé.
A suivre …
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