Ma femme enfin adultère

- Par l'auteur HDS JML -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme enfin adultère Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma femme enfin adultère
Avoir évoqué une relation de cocufiage volontaire est très différent d’avoir une occasion concrète de le vivre. Or c’est très exactement dans cette position que nous sommes ce soir-là, ou plutôt devant la décision de concrétiser ce fantasme. En rentrant dans notre bungalow, j’ai voulu sauter sur Sarah pour la baiser. Son refus a été courtois mais ferme. Alors nous discutons longuement. Elle me demande à de multiples reprises si je suis sûr de vouloir qu’elle me trompe. Son vocabulaire devient de plus en plus direct, voire humiliant à mon égard. Elle se caresse en me parlant, deux doigts plongés dans sa grotte, à travers la fente de ce sublime string. Voyant que je ne recule pas, Sarah me propose de nous endormir et de fixer la décision le lendemain matin, en précisant qu’elle commence à avoir envie de sentir la queue de ce vieux dans sa chatte, selon les termes précisément employés.
En me réveillant le matin, je ne me souviens plus de prime abord de la scène de la veille. Et puis en me collant nu contre elle, ma queue dure, les évènements me reviennent en mémoire. L’inconnu, le string fendu, la chatte trempée de Sarah, l’ultimatum, le refus de ma femme de me laisser la baiser hier soir. Je suis dans un état second. J’enlève le drap et écarte sans ménagement les jambes de Sarah. Je plonge deux doigts dans ses lèves intimes, sans rencontrer la moindre résistance, au contraire. Ma femme se réveille, étonnée mais souriante. Elle prend ma queue en main et me masturbe doucement- Bonjour mon amour- Bonjour ma belle- Ta queue est bien dure- Je suis assez excité oui- Serait-ce en lien avec hier ?
- A ton avis ?
- Tu as envie d’être cocu mon amour ? Tu as envie de m’aider à choisir un ensemble de lingerie noire conformément à la demande d’Éric et de m’accompagner au petit déjeuner pour aller lui signifier notre décision ?
- J’ai déjà choisi l’ensemble. Je veux que tu mettes la guêpière noire. Et la réponse à la première question est oui.
Sarah cesse de me branler et se redresse. Elle me demande si je suis certain. Je réponds par l’affirmative. Elle se lève, se penche sur la valise en écartant ostensiblement les jambes. J4aperçois son anus foncé et sa chatte brillante, ma bite me fait déjà presque mal. Ma femme sort un ensemble Simone Pérèle que je lui avais offert à nos débuts et enfile le string, noir avec des motifs rappelant un feu d’artifice. Elle met ensuite le bustier assorti, bien évidemment beaucoup trop chaud vu la température, mais tant pis. Enfin elle passe une jupe assez courte, et un tee shirt légèrement décolleté.
- Tu veux donc me voir prendre du plaisir dans les bras d’un autre ? Savoir qu’il me baise, que peut-être je vais aimer ça et en avoir encore envie ?
- Oui Sarah, je veux que tu ne penses qu’à ton plaisir.

Sarah ne répond pas et quitte la chambre. Je prends quelques minutes pour me préparer à mon tour, et descend dans la salle à manger en essayant de masquer mon impatience et ma fébrilité. Je les repère tout de suite, Sarah dans un coin et Eric à 4 ou 5 mètres sur une autre table. Il regarde les cuisses de Sarah que je devine ouvertes, même si de mon angle de vue je ne peux pas voir son entre jambes. Les dés sont jetés.

J’ai à peine rejoint Sarah qu’elle me fait signe qu’Éric nous demande de venir le voir.
- Les règles des quatre prochains jours sont les suivantes. Pour toi Stéphane, tu dois savoir que Sarah est comme ma femme pour cette durée. Tu ne la touches plus sans mon autorisation expresse, tu ne la baiseras pas et tu assisteras à sa dépravation selon mon bon vouloir. Est-ce clair ?
- Oui Monsieur.
- Je vois qu’il n’est pas utile de t’expliquer les règles concernant la façon de t’adresser à moi. Sarah, je veux que tu m’obéisses pendant ces quatre jours, pendant lesquels je vais te baiser et peut-être t’offrir à d’autres. Lorsque nous sommes dans un jeu sexuel, tu me vouvoies et m’appelle Monsieur. En dehors des jeux sexuels, tu peux me tutoyer, m’appeler mon chéri devant ton mari. J’exige une obéissance sans faille. Cela te convient-il ?
- Oui Monsieur, cela me convient.
- Très bien. Alors suivez-moi dans mon bungalow.
Nous quittons la vaste salle à manger, et à peine sortis, Eric enlace Sarah et l’embrasse très profondément, sa main gauche venant soulever la jupe et triturer ses fesses. Il arrête de lui rouler une pelle et lui sourit. Elle lui sourit en retour. Elle est soumise, je le sens. Je suis spectateur et à nouveau je bande. Nous nous éloignons, la main gauche d’Éric reste sous la jupe, la soulevant légèrement. Les bungalows sont relativement éloignés les uns des autres, et après 2 minutes de marches, alors que nous sommes dans une zone moins passante, et seuls à cet instant, Eric décrète qu’il ne doit pas être le seul à se délecter du spectacle des fesses de Sarah et lui enjoint de retirer la jupe. Ma femme, la sienne plutôt, hésite un instant, regarde autour d’elle puis s’exécute. Je les suis à distance pendant les quelques minutes qui nous séparent encore du bungalow d’Éric, et qui me semblent une éternité. Nous croisons deux jeunes hommes, 25 ans à peine, qui se retournent au moment de croiser Sarah. Au moment où je passe devant eux, je les entends parler sans discrétion- Salaud de vieux, avec une salope qui se balade en string devant tout le monde, il ne doit pas s’emmerder.
- En même temps, un cul pareil, avoue que tu aimerais y tremper ta queue…Je ne saisis pas la suite, mais ils ne lâchent pas Sarah du regard jusqu’au moment où elle pénètre dans le bungalow de son futur amant, suivi de son futur cocu. Ça a dû leur clouer le bec lorsqu’ils ont compris que je les avais entendus ! Nous entrons dans le bungalow, plus vaste que le nôtre, avec un mobilier qui se veut local, articulé autour d’un vaste lit. La grande porte vitrée donne sur la mer, elle est heureusement cachée des regards extérieurs par un voile.
Eric prend de suite la direction des opérations- Toi le cocu, à poil. Et toi ma petite catin exhibitionniste, retire ton tee-shirt. Ça t’a excitée de te balader à moitié nue ? De voir ces deux jeunes te mater ?
- Oui Monsieur, je reconnais que mon sexe est humide- Regarde la petite queue de ton cocu, elle est toute dure. (s’adressant à moi) Assieds-toi dans le coin et ne bouge pas. Sarah, tu as emmené des bikinis strings ?
- Je n’en ai pas - Je m’en doutais. Nous en achèterons en ville. Il n’est pas envisageable que je sois le seul à voir ton cul, il est si beauJoignant le geste à la parole, il embrasse à nouveau Sarah en lui malaxant les fesses. Sa main va très loin entre elles, à n’en pas douter elle atteint le côté face et la chatte de ma femme, qui gémit instantanément, me confirmant que son conquérant est habile de ses doigts.
« je veux que tu prennes une position appropriée pour me parler de toi. Enlève le bustier et mets-toi à quatre pattes, le cul vers ton cocu. »Découvrant les petits seins de Sarah, il lui en demande la taille. 85B, voire C, répond-elle en se mettant dans la position demandée, sur le lit. Eric tire un des tétons, ma femme étouffe un cri de douleur. Puis il enjoint de desserrer les jambes. La position ainsi adoptée est, de mon point de vue, incroyable.
Les jambes écartées, le cul bien en l’air, les fesses magnifiques de ma femme sont justes séparées par le fin tissu du string. Son sexe lisse est parfaitement moulé par cette étoffe qui le met en valeur, son anus dépasse de part et d’autre de la ficelle, spectacle qui me fait rend fou. Jamais je ne l’ai vu aussi exposé avec autant d’obscénité.
Eric me tire de ma rêverie :« cocu, viens enlever ce string avec les dents. Interdiction de la toucher, elle est à moi. »Tant bien que mal, je m’exécute. L’odeur que je sens est incroyable. La fleur de Sarah s’ouvre lorsque j’enlève le string. Ce sexe que je connais par cœur m’est à ce moment interdit et cela m’excite au plus haut point.
Eric me repousse sans ménagement et commence à caresser les fesses de Sarah en douceur, puis il frôle son sexe. Sarah souffle, elle gémit, manifestement partagée entre la gêne et l’excitation. Eric, sans empressement, enfonce le majeur au fond de la chatte de ma femme qui ne peut s’empêcher de laisser échapper un souffle de plaisir.
- Combien d’hommes as-tu connu Sarah ?
- SixClaque sur les fesses, cri de surprise. Il ajoute l’index.
- Pardon ??
- Six, Monsieur- Tu suces souvent ?
- Parfois, oui, Monsieur- Avec moi ce sera systématique, et à la demande. Et tu avaleras mon foutre si je te l’ordonne.
- Euh… Oui Monsieur
L’index sort de la chatte, remonte un peu et s’enfonce sans hésiter entre les fesses de Sarah. Celle-ci fait mine de bouger mais se ravise. Elle pousse un grognement de désapprobation très clair.
- Ton trou du cul est serré. Tu aimes la sodomie ?
- Non Monsieur- As-tu au moins déjà essayé ?
- Stéphane me l’a demandé, et a déjà mis un… jouet entre mes fesses mais je n’ai pas aimé.
- Tu n’as pas eu un vrai amant avant ? Qui t’a fait découvrir cela ?
- L’un d’eux a fait entrer son gland, mais j’avais trop mal.
(Stupéfaction. Je l’ignorais)- Décidément, tes amants étaient tous des gamins. Moi je sodomise toutes mes maîtresses. Si tu es ma maîtresse, je vais mettre ma queue à l’intérieur de ton joli cul. C’est compris ? Sinon, vous pouvez partir.
- C’est… c’est compris Monsieur.
Je m’y attendais mais la facilité et la rapidité avec laquelle cela arrive me stupéfait. Elle ne m’a même pas regardé. Toutefois, je reconnais que je rêve de son cul depuis si longtemps que je me suis mis à espérer qu’un homme plus persuasif que moi parvienne à le dépuceler. Et mes attentes semblent sur le point d’être satisfaites.

Perdu dans mes pensées je n’ai même pas vu Eric se déshabiller. Je dois reconnaître qu’il est bien fait pour son âge. Légèrement bedonnant, mais néanmoins entretenu, il exhibe devant la bouche de ma femme une queue qui semble normale. Je dis « qui semble » car malgré la vue de ma salope de femme devant lui, il ne bande pas, ce qui me paraît inconcevable.
Le message est toutefois clair et Sarah prend, presque timidement, sa queue dans la main. Il appuie la sienne derrière la tête pour manifester sa volonté, et sa maîtresse commence à le sucer comme elle le fait avec moi, à savoir avec assez peu d’entrain.
Eric n’est pas le genre à se laisser faire.
- Tu suces vraiment mal. Je vais t’apprendre à faire durcir une queue. Commence par bien lécher toute la hampe, et surtout le gland. Voilà… Regarde-moi en même temps, je veux voir tes yeux pendant que je te déforme la bouche. Maintenant tu fais attention à bien humidifier tes lèvres, et tu viens lécher le gland soigneusement. C’est mieux, tu commences à comprendre.
Fasciné, je vois la queue grossir. Elle n’est pas excessivement longue, 16 ou 17 cm je dirais, par contre elle est d’un diamètre bien supérieur à la mienne. Sans m’en rendre compte, j’ai commencé à me masturber frénétiquement.
- Cocu, arrête de te branler, je ne t’y ai pas autorisé ! Sarah, tu avales ma queue aussi profond que possible, enroule-la de ta langue. C’est pas mal, mais tu la prendras entièrement en bouche avant la fin de ton séjour, je te le promets. Mouille-la bien de ta salive, elle rentrera d’autant plus facilement dans ta chatte après. Mmmmhhh, c’est bien, tu es une belle chienne qui aime sucer. Je me trompe ?
- Non Monsieur, j’aime vous sucer.
- Je le savais. Allonge-toi sur le dos, le cul sur le bord du lit.

Sarah obéit, et j’assiste alors à l’un des plus beaux cunnilingus de ma vie. Il faut dire que cet homme est diablement doué. Une fois le string retiré, je vois la langue virevolter autour des lèvres saillantes de mon épouse, insistant sur le clitoris, alternant avec l’entrée de la grotte qui est bientôt trempée. Eric n’oublie pas le trou du cul de Sarah, et enfonce sa langue assez profondément dans celui-ci, pendant que trois doigts ont pris possession de son vagin. C’est une vision incroyable, et ma femme feule de plaisir pendant plusieurs minutes avant d’exploser dans un orgasme qu’elle ne peut (ne veut) pas masquer.

Eric est visiblement satisfait, mais sa queue est encore dure et réclame, je le sais, la chatte de ma femme. Il lui écarte en grand les cuisses, mais à ma surprise, ne la prend pas. Il se lève, prend son téléphone et prend en photo son minou lisse et luisant de cyprine. Sarah fait mine de le cacher, mais elle se ravise en voyant son regard noir. Puis son amant prend une feuille sur la table de chevet, et la présente à Sarah.
« C’est mon test VIH fait avant les vacances. Je vais te baiser sans capote. »Et sans attendre de réponse (inutile au demeurant), il s’agenouille et dirige sa queue épaisse et noueuse vers l’orifice vaginal qu’il pénètre d’un coup. Ma femme crie de surprise, mais manifestement aussi de contentement de sentir enfin sa matrice remplie par une bonne queue. De mon côté, je réalise que pour la première fois depuis près de 10 ans, une autre queue que la mienne investit la chatte de ma femme. Je manque de jouir à cette simple penséeEric est un bon baiseur, c’est évident. Il commence à aller et venir en elle en faisant coulisser sa belle verge dans la grotte trempée, changeant de rythme lorsqu’il l’estime nécessaire. Ses mouvements amples et profonds semblent combler Sarah, et elle gémit de manière quasiment discontinue. Son amant place ses jambes sur ses épaules et continue de la baiser en lui palpant les seins, qu’il avait presque délaissé jusque-là. Il martyrise les tétines sans douceur, et à ma grande surprise elle ne se défile pas. Au contraire même, les bouts des seins pincés semblent accroître son plaisir. Je la sens monter et lorsque que l’homme accélère le rythme, elle jouit en gémissant tout en crispant ses doigts sur le bord du lit. Eric la laisse reprendre son souffle, se retire et l’oblige à se remettre à genoux devant lui :« Termine-moi avec ta jolie bouche, salope »Si jamais Sarah n’a sucé ma bite qui sortait de son vagin, cette fois elle n’hésite pas un instant. Et elle y met du cœur, ma belle ! Elle astique la verge qui me semble avoir encore grossi, la prenant bien en bouche et la branlant vigoureusement. Eric finit par céder et arrose les seins de Sarah de longs jets de sperme. La vision de ce liquide visqueux sur sa peau diaphane me fait jouir sans même que je ne me branle… Un grand sourire éclaire le visage de ma femme. Je suis heureux

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