Ma femme exhibitionniste 3 - Partie 2

- Par l'auteur HDS Blois -
Récit érotique écrit par Blois [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme exhibitionniste 3 - Partie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2020 dans la catégorie Plus on est
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Ma femme exhibitionniste 3 - Partie 2
L’envie de la queue de Hubert était trop forte.

- Oui.

- Oui quoi.

- Oui, j’irai le voir.

Hubert a poussé sa queue écartant le vagin de ma belle. Elle avait la tête en arrière.

- Poussez, poussez. Haaaaa… C’est bon !! Haaaa putain !!

Le gros ventre de Hubert recouvrait ma chérie, je voyais ses seins mal menés par les coups de boutoir du voisin. Je me suis rapproché d’elle la queue à la main pour qu’elle me suce.
Hubert a vite fatigué de cette position, il s’est allongé sur le flanc et Stéphanie est venue s’adosser contre son ventre, sa queue s’est vite ré humidifié dans le vagin de Stéphanie.
Elle me suçait difficilement, car Hubert lui procurait une forte excitation et elle avait le souffle court et intense.
Je me retenais pour ne pas éjaculer, la voir se faire prendre par se gros homme était très excitant.

Hubert la pilonnais depuis quelques minutes, elle se retenait pour ne pas crier. La voyant se torde de plaisir, j’ai éjaculé sur ses seins que Hubert faisait ballotés. J’ai juste eut le temps de sortir mon portable pour faire une photo pour papy André que Hubert se vidait les bourses sur le ventre de Stéphanie.

Pour le remercier elle lui a nettoyé la queue avec une langue habile. Avant de nous quitter Il n’a pas manqué de lui rappeler :
- Tu n’oublies pas d’aller voir René.

- Oui je vais y aller.

Nous sommes partis en début d’après- midi nous promener en vélo que nous avons loué au camping, la piste cyclable traversait la forêt de pin. Je roulais devant, j’ai pris un chemin de terre qui nous a fait sortir de la piste.

Je me suis arrêté pour boire un coup.

- Tu nous emmènes ou ?

- Sa te rappelle rien ?

- Oui monsieur, la dernière fois que tu m’as emmenés en pleine nature dans un endroit paumé, c’était pour me baiser.

- Tu as envie ?

Elle m’a fait un signe de la main, me demandant de se rapprocher d’elle. Nous avons posé nos vélos pour nous asseoir dans le sable. La végétation nous cachait de la piste cyclable. Je me suis adossé à un sapin et elle venu sur mes genoux face à moi.
Mes mains parcouraient le corps de ma chérie, mes lèvres son cou. Nous avons descendu nos shorts et j’ai pénétré ma belle. Elle montait et descendait sur mon pénis.
J’entendais à quelques dizaines de mètres de nous, les voix des promeneurs qui passaient.
Son souffle et son rythme accéléraient, nous restions tout de même discrets.

- Tu as toujours envie de moi ?

- Oui, mon chéri. Je t’aime.

J’étais rassuré. Nous avons fini le cul plein de sable et mon tee-shirt flingué par la résine.

En revenant de notre balade, nous sommes passés par le mobile-home pour nous changer, on a passé notre maillot pour rejoindre la piscine, il faisait chaud aujourd’hui.
Stéphanie avait un maillot une pièce bleu marine recouvert d’un paréo à fleurs transparent, un chapeau tressé et des lunettes de soleil.
Une fois le mobile-home fermé elle m’a tendu le sac avec nos affaires.

- Tiens, je vais aller m’excuser à sa caravane. Je te rejoins à la piscine, réserve moi un transat.

- OK, tu ne veux pas que je vienne avec toi ?

- Non, sa va aller.

Bien sur je n’ai pas pris le chemin de la piscine et je l’ai suivi. Arrivé à hauteur de la caravane à René elle a regardé vers l’emplacement en face, il avait un retraité de petit taille, il était dégarnie le teint mat. C’était un maghrébin, il écoutait le tiercé sur une radio tout en prenant des notes sur son journal.
Elle lui a fait un signe de la tête pour lui dire bonjour qui lui a rendu. Elle est entrée sous l’auvent à René.

- Il y a quelqu’un ?

- Oui ?? Haaa !! C’est toi ! Qu’est ce qui t’amène ?

Elle était toute timide et avait du mal à s’exprimer.

- Hubert… Ma demandé de… Passer vous voir… Je tiens à m’excuser pour mon attitude envers vous…Voila. Je vais vous laisser.

- C’est gentil de ta part ma petite, mais j’aurais voulu que tu restes un peu avec moi.

- Je dois rejoindre mon mari qui m’attend.

- Je vais appeler Hubert pour lui dire que je suis déçu.

Il a baissé la tête montrant sa déception.

- Non, non !!! OK je veux bien rester un peu avec vous.

- Merci, c’est gentil de ta part. Je suis souvent tout seul. Mais contrairement à Hubert je suis généreux.

- C’est tout en votre honneur monsieur.

- Tu veux boire un coup ?

- Heeuuu ?? Oui merci.

- Abdel, veux-tu une boisson ?

Elle était étonné de cette demande au voisin d’en face.

- Volontiers, c’est fort aimable.

- Viens nous rejoindre !

L’homme s’est levé, il est venu autour de la table.

- Je ne reste pas longtemps, ma femme fait la sieste, après nous allons faire notre promenade. Il fait chaud aujourd’hui.

- Stéphanie je te présente Abdel, un habitué du camping, comme moi !

- Enchanté monsieur.

- René, je ne savais pas que tu avais de si jolis amis.
René a sourit.

- Tenez, je vous ai servi une citronnade.

Pour sa part René s’est ouvert une bière. Stéphanie écoutait les deux hommes discutés. René a vu qu’elle était sur le point de vider son verre et surement de partir.

- Tient Abdel, en fait tu tombes bien, la demoiselle a quelque peu mal au dos.

Stéphanie a fait des yeux tout ronds.

- Mais…
- Tu vois je prends soins de toi, et n’oublies pas que tu dois rester un peu. Oui ! Du coup Abdel, il me semblait que tu avais des mains expertes.

L’homme a regardé vers son emplacement et en retournant la tête, il a regardé Stéphanie avec un grand sourire.

- Oui ??!!! Tu sais bien dès que je peux aider ??!!

L’homme s’est levé, toujours surpris par cette demande.

- Stéphanie !! Bouge un peu ! Abdel va t’ausculter.

Ils ont écarté le banc de la table et Stéphanie a retiré son chapeau et son paréo. Le regard fixe et vide elle s’est assise dos au maghrébin qui se tenait debout derrière elle. Quand a René, il était bien enfoncé dans son siège de camping face au spectacle qui allait se tenir, les jambes croisées, la bière à la main.

Abdel est venu poser ses mains sur les épaules de ma chérie, elle s’est tendu violemment.

- Pardon, j’ai les mains froides.

Stéphanie avait le souffle court, tous ses muscles étaient crispés. René était encensé par la situation.

- Détendez-vous, vous êtes toute raide.

Il lui massait les épaules, les omoplates, ses doigts roulaient au tour de ses clavicules. Les pouces d’Abdel tournaient sur les muscles de son cou.

- Voila je sens que vous vous relaxez, c’est bien.

- Stéphanie tu devrais descendre les bretelles de ton maillot pour faciliter le travail d’Abdel.

Le masseur improvisé semblait content de la demande.

- Heuuu ?? Oui, sa va faciliter le soin.

Le menton tremblant elle a saisi les bretelles de son maillot pour les laisser tomber sur son avant bras, elle a croisé ses bras sur ses seins pour que son maillot ne tombe plus bas.

Abdel continuait à la masser tout en passant de temps à autre sa tête par-dessus ses épaules pour entre voir les seins de Stéphanie.
René était content d’offrir la petite au voisin.

- Alors !! Sa te fais du bien Stéphanie ?

Le ton était vicieux.

- Oui, c’est agréable.

Elle par contre était moins enthousiaste.

Abdel a continué le soin en descendant le long de ses vertèbres. Il priait en même temps que sa femme ne se réveil pas.

René s’est levé en direction de la caravane. Après avoir brièvement disparu il est venu à coté d’Abdel.

- Mon pauvre, c’est toi qui va avoir mal au dos. Venez à l’intérieur !

Stéphanie s’est levé, tenant son maillot. Elle a suivi René jusqu’à la petite chambre de la caravane.

- Allonges toi sur le lit.

- Mais… Je ne vais pas…
- Allez !!! Allonges-toi !!!

Stéphanie s’est allongée sur la totalité du lit, sur le ventre les mains sur la poitrine.
Abdel est venu se positionner à genoux, à sa surprise René lui a tendu un flacon d’huile de massage.
René à retirer les objets de la table de nuit et si est assis.
Stéphanie a été surprise de sentir un liquide se déverser sur son dos. Après avoir enduit les épaules de Stéphanie d’huile de massage, Abdel a pris doucement son bras, elle a résisté.

- Laissez-vous faire, c’est pour être plus à l’aise.

Elle a retiré ses mains de sa poitrine et positionné ses bras le long de son corps.
Il a continué à la masser, ses mains descendaient dans le bas de son dos. Voyant qu’elle était détendue, il est venu lui saisir les bras délicatement pour retirer la bretelle de son maillot.

Abdel a remis de l’huile dans le creux de sa main, il a écarté le bras de Stéphanie pour le masser. Il a pris l’initiative de tirer sur les bretelles du maillot, libérant les seins de ma chérie, ils débordaient de chaque côté de son corps. Il a positionné sa main sur son short pour bloquer son érection.

René a rigolé en voyant le spectacle et il lui a fait signe de continué. Abdel passait ses mains le long de son corps, le bout de ses doigts caressait les seins de Stéphanie. René se touchait à travers son short. Il sait tout à coup levé, il a posé sa bière et il a saisi le maillot de Stéphanie et la tiré, dévoilant ses fesses au grand bonheur d’Abdel.

Stéphanie a essayé de stopper le déshabillage mais Abdel la maintenue en la massant de façon plus soutenue le temps que René lui retire son maillot. René a déversé de l’huile sur les fesses de Stéphanie. Tout les deux la massait, chaque un de son côté.
René s’est relevé pour retirer son short, il a pris sa queue dans la main pour se masturbé tout en caressant les cuisses de ma belle.

Abdel d’une main parcourait son dos et de l’autre malaxait ses fesses.

- Tiens Abdel, prends lui sa jambe et écarte la.

- Non !!! S’il vous plait.

René n’avait que faire des jérémiades de Stéphanie.

- Regarde-moi cette chatte Abdel !!!

René a remonté sa main le long de sa cuisse, il a inséré son majeur entre les lèvres de sa vulve. Stéphanie essayait de se retourner, montrant ses seins à Abdel.

- Non !! Arrêtez s’il vous plait
René faisait tourner ses doigts sur les lèvres de sa chatte.

- Elle mouille !!

Il a continué à faire tourner ses doigts quelques secondes avant de pénétrer son vagin avec son majeur.

- HAAaa non Haaaa !!!

Il n’a pas été long a lui inséré un deuxième.

- On va la retourner.

Il long retourné, elle cachait ses seins avec son bras.

- Arrêtez, s’il vous plait !!

René lui à nouveau inséré deux doigts, tout en accélérant le rythme.

- Regarde comme elle aime ça.

D’elle-même elle a écarté les cuisses pour que René lui enfonce au plus profond, de l’autre main il jouait avec son clitoris.
Abdel a retiré les mains de Stéphanie, découvrant ses gros seins. Il sait levé et a retiré son short et son tee-shirt, il avait le torse et les épaules très poilu, il a descendu son caleçon dévoilant un beau membre tendu avec de poils crépus blanc.
Il est revenu à côté d’elle nu.

- Prends ma queue.

Il a saisi la main de Stéphanie pour la posé sur son membre et elle a commencé à le masturber, le retraité lui a saisi un sein.

- Tu as vu Abdel comme elle aime les queues ! Elle est chaude !

René est venu se positionner entre ses cuisses, il passait son gland rougeâtre entre les lèvres de sa chatte.
Il a poussé et sa queue blanche a disparue dans le vagin de Stéphanie.

- HAAAaa t’es bonne !

Le vieux maghrébin s’est déplacé pour approcher sa verge de la bouche de Stéphanie, elle a penché la tête et ouvert la bouche avalant le gland marron de l’homme.
René la pilonnait de plus en plus fort.
Abdel regardait les seins ballotés, et ce n’était pas sans effet.

- Haaa !!! Tu suces bien, je ne vais pas pouvoir résister. Haaa Haaa!!! Putain !!! Avale salope.

Le sperme de l’ancien s’est déversé dans sa bouche.

- La gourmande elle a tout avalé.

Abdel s’est rhabillé regardant par la fenêtre s’il n’y avait pas sa femme, il regardait René en train de prendre Stéphanie.

- Dommage, j’aurai tellement voulu la baiser.

René était concentré, il ne voulait pas éjaculer trop vite. Il a ralenti et il est venu embrasser le cou de Stéphanie, puis sur ses lèvres, sa langue est rentré dans sa bouche, les deux langues se mélangeaient.
Abdel regardait la queue de René rentrer et sortir du vagin de Stéphanie, il bandait à nouveau.
René sentait qu’il n’allait pas tenir, il s’est relevé et il a accéléré le rythme.
J’entendais Stéphanie.

-HAAaa… Haaa… HAAaaa..

- Je vais balancer !!!!

René s’est figé, se vidant les testicules dans le vagin de Stéphanie. Il s’est relevé doucement, regardant sa queue sortir du vagin de ma femme, un filet de sperme accompagnait son retrait.

Stéphanie a demandé de quoi se laver, c’est à ce moment que je suis parti à la piscine. Je me suis baigné dès en arrivant pour paraitre plus crédible. Elle m’a rejoint quelques minutes plus tard.

- Ca va ? Tu as été partie presque une heure !?

- Il a voulu que l’on couche ensemble.

- Tu as aimé.

- Non pas spécialement.

Je n’ai pas insisté, elle est restée sur son transat à bronzer tout en lisant un magazine.
Le soir nous n’avons pas bougé du mobile-home, devant la télé elle s’est endormie blottie contre mois, je l’ai porté jusque dans notre chambre.
Avant d’aller dormir j’ai été boire un verre d’eau sur la terrasse, et c’est avec surprise que j’ai reconnu Abdel qui passait dans le noir devant notre mobile-home.

- Bonsoir.

- Bonsoir.

Le lendemain matin, nous avons pris pour notre dernier jour le chemin du marché, il faisait très beau. Stéphanie avait une robe d’été blanche fleurie avec les épaules dénudées.
Arrivé sur place, le marché était bondé, nous avancions difficilement. Stéphanie regardait une étale de linge.

- Stéphanie !! Je vais regarder les lunettes de soleil.

- OK je ne bouges pas.

C’est en me dirigeant vers l’étale que j’ai vu Abdel et sa femme, je l’ai supposé car elle était voilé. Il nous a suivis.
Il se rapprochait de Stéphanie, il regardait autour de lui. Il a indiqué de la main des articles pour sa femme, elle s’est dirigée à quelques mètres de lui. Etant seul il s’est rapproché de Stéphanie, il a caché sa main avec un sac et la posée sur ses fesses.

- Mais qu’est ce que vous faites ?

- Tu me reconnais petite salope ?!

- Laissez-moi tranquille ! Il y a plein de monde.

- Ne t’inquiète pas. J’ai les couilles pleines et je veux te baiser.

Elle me cherchait tout en repoussant la main du maghrébin.

- Mon mari est la !

- Pour l’instant tu es toute seul, poses t’es mains sur le tissu !!! Tu ne vas pas nous faire un scandale devant tout le monde !

Le ton était sec, elle a posé ses mains sur le tissus, faisant mine d’en choisir.
Il a passé sa main sous la robe de Stéphanie pour caresser ses fesses.

- Tu vas me donner ta culotte.

- Non, pas devant tout le monde !

- Allez donne la moi, je te cache avec le sac.

Elle a passé discrètement une main sous sa robe pour descendre sa culotte qui est tombé à ses chevilles, Abdel c’est accroupi pour la récupérer. En se relevant Il a repassé sa main sous sa jupe et glissé son doigt entre ses fesses. Il a avancé pour tripoter sa vulve devant la foule compacte.

- Non ! Arrêtez !!!

- Ta chatte est bien humide pour une fille qui n’a pas envie. Bon ! Tu as de la chance, il y a trop de monde et ma femme m’attend, quand tu rentres au camping tu dis à ton mari que tu veux aller à la piscine et que tu te changeras dans les cabines, tu passes devant ma caravane. OK !!

- D’accord.

Il lui a enfoncé le doigt dans son vagin avant de partir.
Une fois qu’elle ne le voyait plus elle regardait autour d’elle.

- Stéphanie !! Stéphanie ! Je suis là. On avance ?

- Oui, OK.

Il nous a fallu une bonne heure pour faire le tour du marché, nous avons acheté des produits locaux.
C’est sur le chemin du retour que je me suis aperçu que quand le soleil traversait la robe blanche de ma chérie on voyait parfaitement à travers, je voyais ses fesses et sa chatte poilue, certain on du se régaler sur le marché.
En rentrant sur le camping, j’ai fait exprès de m’arrêter quand je voyais des hommes pour les laisser mater.

- Fred ?

- Oui.

- Je vais aller à la piscine tout à l’heure. Tu veux venir avec moi.

Je me doutais bien qu’il y avait un lien avec le maghrébin.

- Je vais d’abord commencer par ranger nos affaires pour demain, je te rejoindrais après.

- OK.

Elle a préparé son sac et elle était sur le point de partir.

- Tu ne te changes pas ?

- Non, je passerai mon maillot à la piscine.

- OK, à tout à l’heure.

Elle ne sait pas rendu compte qu’elle ne prenait pas le chemin le plus court et elle est passée devant la caravane d’Abdel. Son regard s’est tourné vers l’auvent, Abdel la regardé avec un sourire marqué. Il était assis sur sa chaise de camping torse nu, sa femme était à couper des légumes.
Il s’est levé suite à son passage la serviette sur l’épaule.

Quand Stéphanie est arrivée à la piscine elle s’est retournée, en voyant Abdel elle est rentrée dans le vestiaire et il a suivi.
Il y avait du monde dans le vestiaire, Stéphanie est entrée dans une cabine, Abdel a regardé autour de lui et il l’a suivi.

Le maghrébin s’exprimait à voix basse.

- Je ne croyais pas que tu serais venu, j’ai bandé tout le trajet. Retire ta robe !

Il retiré son short de bain en saisissant son membre poilu. Elle a retiré sa robe puis son soutien gorge.

Elle était face au mur, dos à Abdel.

- Pose les mains contre le mur et penche-toi.

Il a baissé sa queue pour qu’elle passe entre ses cuisses et il a saisi les seins de ma femme. Il se masturbait entre ses lèvres tout en pelotant ses seins.

- Caresse-moi la queue.

La main de Stéphanie est descendue entre ses cuisses, elle caressait la bite qui glissait entre ses lèvres humides.

- Tu as de gros seins de salope. C’est la première fois que tu vas te faire prendre par un arabe ?

- Oui, monsieur.

Tout en se masturbant, il a profité que des jeunes criaient dans le vestiaire pour fesser Stéphanie, il regardait ses fesses flotter sous les coups de plus en plus forts.
Pour faire cesser les coups elle a poussé du bout des doigts le gland du vieux maghrébin vers l’entrée de son vagin.

- Tu la veux cochonne !!!

- Prenez-moi !

Elle a écartée les lèvres de sa vulve tout en maintenant le gland entre deux doigts et elle a reculé ses fesses. Abdel regardait son gland disparaitre doucement dans la chatte de ma chérie.
Stéphanie a posé ses deux mains sur le mur en sentant la queue s’introduire.

- Celle de ton mari n’est pas aussi grosse ?!

- Non, elle est plus petite.

Fière de lui. Abdel a introduit d’un coup sec le reste de sa verge et il a commencé à la prendre de façon vigoureuse.

- Tu aimes sa te faire prendre par d’autres hommes ! Tu es une vraie pute.

De temps à autre il ralentissait pour lui caresser les seins.

- Tu prends la pilule ?

- Oui.

- Dommage.

Il a de nouveau accéléré le pilonnage, Stéphanie sentait l’orgasme arriver.
Il a saisi les cheveux de Stéphanie, lui tirant la tête en arrière. Sa lui faisait mal.

- Ha, Ha, Ha… Je vais me vider dans ta chatte, Ho putain Ha, Ha, Ha…HAAAAAaaaaaa.

C’est bon !!! Haaa… T’es trop bonne.

Stéphanie s’est retenue d’exprimer son orgasme contrairement à Abdel.
Tout en se rhabillant il demandé à Stéphanie.

- Je dois y aller. Si tu quittes ton mari, n’hésites pas à venir me voire, j’aimerais t’avoir comme deuxième femme. Je garde ta culotte pour avoir l'odeur de ta chatte quand je veux.

Elle était stupéfaite par la demande et elle la regardé partir sans répondre. Avant de passer son maillot elle nettoyé le sperme coulant entre ses cuisses.

Je l’ai rejoint plus tard, elle était à lire sur un transat.

- Sa va ma chérie ?

- Oui, je me sens fatigué.

- Yvonne est passé et elle voudrait que l’on mange chez eux ce soir pour notre dernier jour. Je ne lui ai pas donné de réponse, si tu es fatigué je peux leurs dires non.

- Non, sa va aller, on ira chez eux.

Nous nous sommes baignés, je l’ai serré dans mes bras pour la réconforter.

Le reste de la journée nous l’avons passé à la plage, en rentrant nous avons fini de ranger nos affaires.

- Stéphanie ! On y va, il est l’heure.

- Je fini ! J’arrive !!

Quand je l’ai vu sortir, j’étais surpris.
Elle portait une jupe trapèze marron assez courte avec un chemisier blanc totalement déboutonné et fermé par un nœud. Elle me faisait penser à une écolière japonaise, les cheveux attachés.

Quand nous sommes arrivées sur la terrasse du mobile-home, Stéphanie a fait son effet. René et Hubert ne la lâchait pas des yeux.
Nous avons pris place autour de la table, Hubert nous a servis un apéro, en pleine discussion avec Yvonne, je remarquais que Stéphanie le vidait assez vite.
Cela faisait une petite heure que nous étions attablés quand Raphaël est arrivé.

Yvonne lui a demandé.

- Tu restes manger Raphaël ?

- Oui.

Nous nous sommes poussés et il s’est assis à côté de Stéphanie qui venait de vider son deuxième apéro.
René était en bout de table à côté de Raphaël.

- Alors Raphaël, tu t’es fais des copains au camping.

- Oui, j’ai des potes.

- Vous faites quoi de vos journées ?

- Piscine, plage et on glande au City.

- Tu as une petite copine ?

Ses grosses joues rougissaient.

- Oui J’ai eut une copine dans la semaine.

- C’est bien. Elle avait de gros nénés ? Tu les as touchés ?

Raphaël ne savait plus ou se mettre. René lui parlait à voix basse.

- Ils étaient gros comme ceux à Stéphanie ?

Il faisait non d’un signe de la tête, les yeux rivés sur la table avec un petit sourire.

- Tu peux les toucher !

- Non, je ne peux pas.

- Mais si vas-y, vas-y !! Personne ne te regarde ! Elle ne dira rien.

Raphaël a doucement levé sa main et il est venu frôler le chemisier de ma chérie.

- Vas-y, vas-y !

Il a de nouveau déplacé sa main pour venir la déposer sur son sein.

- Tu vois ! Elle ne dit rien.

Raphaël lui pelotait le sein, sa petite queue cachée sous son ventre débordant n’a pas été longue à se tendre.
Yvonne regardait son neveu se faire plaisir sur le corps de ma femme et elle voulait lui en offrir un peu plus.

- Stéphanie ! Tu peux m’aider à apporter les plats ?

- Oui, bien sûr.

- Viens Raphaël.

- Oui ma tente.

Yvonne a demandé à Stéphanie de la suivre dans la chambre.

- Ma belle je crois que tu fais de l’effet au jeune !

Ayant vidé son troisième apéro, elle avait le sourire facile.

- Approche Raphaël ! Regarde.

Yvonne a dénoué le nœud de son chemisier et lui a retiré.

- Tu as vu la grosse paire qu’elle a ? Tu veux les voir ?

- Ho oui !!

Yvonne a dégrafé le soutient gorge de Stéphanie et lui a retiré.
Raphaël avait la bouche ouverte, la salive au bord des lèvres. Il a levé les mains pour les posés sur les seins de ma chérie, il les levait, les malaxait.

- Qu’est ce qu’elle est bonne ! Les copains ne me croiront jamais !

Yvonne le regardait jouer avec la grosse paire de loches. Elle est passé derrière Raphaël et lui a doucement baissé son short, l’élastique du short a bloqué sur la petite queue tendue décalotté, son ventre la recouvrait à moitié.
Yvonne est revenue vers Stéphanie, elle lui a appuyé sur l’épaule lui indiquant de s’agenouiller.

- Regarde Raphaël ! Elle va te sucer.

Il a avancé ses fesses, Stéphanie c’est approché la bouche ouverte, elle a fait le tour du gland avec sa langue avant d’avaler la queue du jeune obèse.
Ce nouveau plaisir était total, il avait les bras le long du corps, il regardait les yeux agar cette couguar le sucer.

- Raphaël ! Repousses ses cheveux derrière son oreille, je vais te filmer tu montreras à tes copains.

Le film n’a pas duré longtemps, le jeune puceau n’a pas put se retenir.
Il saisi la tête de Stéphanie pour baiser sa bouche, mais l’effet a été rapide.

- Ho putain !!! Je sens que sa vient ! Haaaa… Haaaa… HAAAAA !!!!! Attend ! Attend ! Sa coule encore.

Yvonne s’est rapprochée du visage de Stéphanie pour filmer Raphaël en train de donner les dernières gouttes de sperme sur son visage.

- Tata ! Film.

Il a tournée la tête de Stéphanie, la main sous son menton. Sur l’écran on voyait une bouche grande ouverte remplie de sperme.

- Avale maintenant !! Trop cool, les copains ne vont pas en croire leurs yeux, la daronne en train d’avaler mon spe.

- Qu’est ce qui se passe ici ?

- René !!! Elle m’a sucé !

- C’est bon hein ?

- Trop bon !!

- Tu as touché sa chatte ?

- Non.

- Regarde.

René a soulevé sa jupe, il a posé sa main sur sa cuisse, il a remonté jusque sur sa culotte en la caressant entre les cuisses.

- Vas-y à ton tour.

Raphaël c’est approché, il a posé sa main sur la culotte de Stéphanie, caressant le tissu.

- Rentre à l’intérieur.

Le bout des doigts de Raphaël est venu soulever l’élastique de sa culotte et sa main si est immiscée rentrant en contact avec la toison.
Yvonne lui a retiré sa jupe qu’elle a posée sur le lit, elle a ensuite saisi les deux côtés de sa culotte pour la faire tomber sur les chevilles.
René et Yvonne ont allongé Stéphanie sur le lit. Yvonne a écarté les cuisses de ma chérie.

- Donnes-moi ta main Raphaël. Tu vois la c’est son clito, la ses grosses lèvres.

La main de Raphaël guidé par Yvonne découvrait les parties génitales de ma femme.

- Mets ton doigts la et pousse doucement.

Raphaël a regardé son doigt s’enfoncer dans le vagin de Stéphanie, Yvonne faisait sortir et entré le doigt de Raphaël.

- Mon doigt devient tout humide, elle mouille.

René regardait le spectacle nu, la verge à la main, se masturbant devant le cours d’éducation sexuel.

- René, montre lui comment la prendre.

- Je pense qu’il a du voir plein de vidéos sur internet.

- Oui, Surement. Mais rien de tel quand vrai.

René c’est placé derrière Stéphanie, Yvonne à saisie sa queue et la sucé, elle relâchait la queue de René pour passer sa langue entre les lèvres et sur le clito de Stéphanie. Yvonne a placé le gland de René à l’entrée du vagin.
Raphaël regardait la queue de René pénètre doucement ma chérie et commencer à la pilonner.

Yvonne a écarté les cuisses.

- Raphaël retire moi ma culotte et touche moi.

Raphaël jouait avec les lèvres d’Yvonne, il a ensuite rentré un doigt dans son vagin, puis deux et trois.
Yvonne léchait la verge de René qui sortait et rentrait du vagin à Stéphanie.
Raphaël filmait ses doigts pénétrant sa tante et la grosse chatte trempée, il a remonté sa main entre les fesses d’Yvonne et son doigt s’est attardé sur son anus, il en faisait le tour.

- Non Raphaël, pas la !!! Non arrête !

Le doigt forçait sur l’anneau très serre, la première phalange est passée malgré le muscle contracté et le doigt s’est enfoncé entièrement.
Yvonne s’est mise sur le dos les cuisses écartées, elle venait de découvrir l’extase. Elle se masturbait pendant que le majeur de Raphaël la sodomisait.
Voyant le spectacle René n’a pas tenu longtemps.

- Regarde Raphaël je vais la remplir.

René s’est tendu essayant d’aller chercher au plus loin au fond du vagin de Stéphanie se vidant les bourses. Raphaël voyait le gland de René sortir suivi d’un filet de sperme crémeux se déposant sur la cuisse de Stéphanie.

Ils sont tout les trois revenus sur la terrasse, au bout d’une minute je me suis levé pour aller voir ce que faisait Stéphanie.

Arrivé dans la chambre je les découverte nu, allongée les bras en croix les yeux semi ouvert. Je l’ai prise dans mes bras.

- Stéphanie !!! Ma chérie !!!!!

De petits grognements sont sortis de sa bouche.

- On rentre ma chérie.

Je l’ai rhabillé rapidement, Hubert arrivait croyant pouvoir la prendre à son tour.

- Bonsoir nous rentrons.

J’ai filé jusqu’au mobile-home sans les regarder, j’ai fermé à clé derrière moi. Je me suis assis dans la douche chaude avec elle en la serrant dans mes bras.

- Il a dit que j’étais une pute.

- Quoi !!

- Un homme du camping à dit que j’étais une pute, alors je me suis comporté comme telle et je les ai laissé utiliser mon corps.

- Tu n’es pas une pute, tu es ma femme et je t’aime. Sur ce lit j’ai cru que tu étais mor.. !

Nous sommes restés sous l’eau enlacé.

Le lendemain, nous sommes partis très tôt, le camping était encore endormi.
Sur la route je lui demandé :
- Les trois mois qui viennent de passer ont été éprouvants pour toi, je pense que l’on doit tout arrêter et reprendre une vie normale.

- Je voudrais revoir Mr André.

- Tu es sur, tu n’as pas peur que cela recommence comme dans ce camping ?

- Je ne sais pas.

- On va rester que tout les deux pendant les quinze jours de vacances qu’ils nous restent.

- OK.

A suivre...

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Texte coquin : Ma femme exhibitionniste 3 - Partie 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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