Ma femme, H., adore s'exhiber.

- Par l'auteur HDS Pit -
Récit érotique écrit par Pit [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme, H., adore s'exhiber. Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2007 dans la catégorie Plus on est
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Ma femme, H., adore s'exhiber.
Ma femme, H., adore s'exhiber. J'adore aussi la montrer. Nous sortons souvent en boite à 80 km de chez nous car elle ne veut pas prendre le risque de rencontrer des personnes qui nous connaissent. Devant des inconnus, elle ose des trucs vraiment hards ; en présence d'amis ou collègues, elle se contente de s'habiller sexy. Sa collègue M. qui est aussi la fille de la patronne de la boite où elle travaille lui a déjà reproché de s'habiller trop sexy ; en fait, elle est jalouse parce que son petit copain, J., en profite souvent pour regarder dans le décolleté de ma femme ou de regarder ses jambes quand elle porte une mini-jupe. En fait, il fait vraiment une fixation sur H. et me la prendrait bien s’il pouvait ; mais H. n’est vraiment pas intéressée.
Quand nous sortons en boite, là, c'est tout autre chose : elle porte toujours une tenue hyper sexy, limite sortable, et sans rien dessous. Ca nous excite tous les 2 de voir les mecs avec la langue pendue qui louchent pour voir ses formes très suggestives (elle est petite, mais hyper bien foutue) et même apercevoir de temps en temps sa petite chatte quand elle danse etc. L'entrée de la boite où on sort se situe dans une gallerie marchande dont une seule issue est encore ouverte la nuit ; il nous est arrivé plusieurs fois de sortir et d'aller du côté fermé de la gallerie pour "terminer" la soirée ; une fois même, nous avons été surpris occupés à baiser par 3 mecs qui ont bien pris leur temps avant de repartir... Très excitant.
Bien que c'était risqué, pour pimenter encore plus notre relation, j'ai récemment décidé de mettre au point un scénario assez osé : j'ai contacté J., le copain de la collègue, et lui ai demandé très franchement s'il aimerait matter H. D'abord étonné, il a tout de même admis que cela ne lui déplairait pas, « bien sûr ». Je lui ai alors dévoilé le goût que nous avions pour les sorties exhib, et lui ai expliqué mon plan. Il a tout de suite été d'accord.
C'est ainsi qu’un samedi du printemps dernier, H. et moi sommes sortis dans notre boite habituelle. Cette fois-ci, j'ai réussi à la convaincre de porter une tenue qu'elle n'avait jamais portée hors de la maison : il s'agit d'une sorte de tunique courte (elle lui arrive juste au-dessous de la chatte et des fesses) avec 2 fines bretelles, fort décoletée et très échancrée sous les bras ; de plus, elle est faite dans un tissus en coton blanc, très fin, mais à mailles ajourées ; c'est pas qu'on voit à travers, mais, comme la tenue est moulante, en plus, c'est tout comme. Elle a d'abord déclaré que ça, c'était vraiment trop, mais je lui ai dit qu' elle n'enlèverait son manteau qu'un fois à l'intérieur, et que, dedans, la luminosité étant très faible, ce serait OK.
Très émoustillée, elle s'est finalement laissé convaincre en déclarant : « si on se fait arrêter, c'est toi qui t'expliqueras ! »
Nous avons donc passé le début de la nuit en boite ; elle était très exitée et moi aussi ; sa tenue était vraiment trop hard ; nous sommes restés dans le coin le plus sombre de la piste, car en bougeant, elle dévoilait systématiquement ou le bas de ses fesses (mais là, encore, on pouvait croire qu'elle portait un string) ou carément sa petite touffe ; sans compter les fois ou un sein est sorti de la tunique...
C'est alors que, l'ayant quelque peu « chauffée » dans un coin, je lui ai proposé de sortir dans la gallerie pour aller nous "amuser" un peu avant de revenir terminer la nuit en boite... Elle n'avait bu que 2 bières, mais ça a largement suffi à installer complètement en elle une certaine insouciance. Et nous sortons donc de la boite. Sur qui tombons-nous, dans lagallerie, qui s'apprêtait "par hasard" justement à entrer dans la boite ? Sur J. !
Là, j'ai cru que le ciel leur tombait sur la tête à tous les deux !
J., parce que la vue de H. dans la tenue où elle était, juste devant lui, là, l'a complétement subjugué.
Elle, parce qu'elle ne s'attendait évidemment pas à le rencontrer là.
"Qu'est-ce que tu fais là", lui demande-t-elle, presque comme si cet endroit lui aurait été interdit.
La réponse était prête : "Je passe le weekend chez mon cousin et on sort en boite avec des copains"
Bien que je l'avais prévenu que H. serait dans une tenue très "osée", J. n'arrivait presque pas à détacher ses yeux du corps de H. Ils allaient des ses seins à ses cuisses et de ses cuisses à ses seins.
H., elle, aurait probablement préféré être à poils qu’ habillée comme elle l'était : si elle avait été nue, elle aurait encore pu mettre un bras devant ses nichons pour les masquer et aurait pu cacher son sexe de l'autre main, comme le font toutes le femmes qui sont surprises nues. Mais, étant en principe vêtue, elle ne pouvait pas se cacher et, pour ne pas encore plus perdre la face, devait faire comme si de rien n'était ! En plus, après avoir dansé, elle était toute mouillée de transpiration, ce qui augmentait encore la "transparence" du tissus blanc ; et, comme la gallerie où nous nous trouvions était sensiblement plus fraîche que la boite surchauffée d'où nous sortions, la réaction physiologique immédiate ne s'était pas fait attendre : les bouts de ses seins avait bien durci et distendaient encore plus les mailles du tissus. Plus bandant que ça, tu meurs !
"M. est là aussi ?" , s'empresse-t-elle de lui demander.
LA QUESTION ! Je l'avais bien entendu prévue et J. avait donc bien appris sa réponse par coeur : "Non, elle n'est pas là, mais elle ne me croira pas quand je lui raconterai que je vous ai rencontrés ici !"
Cette réponse a agi comme un couperet sur ma femme.
H.: "Mais pourquoi dois-tu lui raconter que tu nous as vu?"
J. : "Pourquoi pas?"
Là, j’interviens : « Ecoute, J., je crois que je comprends ce qui inquiète H. : tu es d’accord qu’elle se trouve dans une tenue assez… décontractée, si j’ose dire ? »
J. : « Oui, ça c’est clair ! »
« Alors tu peux comprendre que c’est déjà embarrassant pour elle de se montrer à toi comme ça, mais si en plus, tu vas raconter ça à M., tout le monde le saura à la boite, et ce sera la honte totale pour H. Donc, si tu pouvais nous promettre de ne rien raconter, ce serait sympa. »
Ce dialogue avait été bien préparé à l’avance ; donc J. savais à la lettrre ce qu’il devait répondre :
J. : « Je comprends, mais qu’est-ce que j’ai à y gagner, moi de me taire ? Si M. apprend un jour qu’on s‘est vu ici, elle me fera une scène pas possible pour le lui avoir caché ! Elle croira que nous avions décidé de sortir ensemble sans elle ! Et puis, ce n’est pas moi qui me ballade presque à poils en rue, c’est H. ! »
Là, H. est prête à craquer.
Moi, je bande. Les mots « à poils en rue » ont encore augmenté mon excitation et je suis sûr que J. bande aussi.
En plus, il y a d’autre mecs près de la porte qui évidemment se rincent l’œil.
Ce qui décontenance H., c’est le danger que J. raconte la scène à M. Sinon, en soi, la situation l’exciterait bien aussi, je crois.
« Ecoute, J., tu dis que tu n’as rien à y gagner à te taire. Eh bien, nous allons te faire une proposition. »
J. : « Laquelle ? »
« Voilà : tu la trouve sexy, H. ? »
J. : « Bien sûr ! »
« Honnêtement, là, tu las la trouve bandante ? »
J. : « Heu… ben plutôt, oui. »
« Si tu promets que tu ne dis rien à M., elle va se mettre complètement à poils devant toi. »
Evidemment, H. est ébahie de ce que je viens de dire : « Qu’est-ce que tu racontes là ? Je ne vais jamais me mettre à poils devant lui ! C’est quoi ce délire ? »
Ma réponse était prête : « Tu ne veux pas qu’il aille raconter à M. qu’il t’a vue presque à poils en boite et dans la rue, non ? »
H. : « Non, bien sûr »
« Alors, il faut lui donner une bonne raison de ne pas le faire. Et comme je suppose que tu ne veux pas lui proposer de l’argent, je crois qu’un petit striptease le motiverait bien. Au point où tu en es, ça ne fera pas une grande différence ! C’est ça ou il raconte tout… »
H. : « Tu veux que je me mette à poils devant lui ? »
« S’il est d’accord avec le marché que je vais lui proposer, oui »
H. : « Quoi, ici, comme ça ? »
« Un peu plus loin dans la gallerie ; c’est ce qu’on allait faire, de toute façon. On aura juste un témoin en plus, c’est tout. »
H. : « Mais qu’est-ce qui l’empêchera de quand même tout raconter ensuite ? Et il en aura encore plus à raconter, tu penses ! »
« Bonne question. Mon marché est celui-ci : tant qu’il ne dit rien, on l’invitera de temps en temps à sortir en boite avec nous et à mater ton cul et tout le reste. S’il parle, on le saura et il sera privé de spectacle. Je suis sûr que ça, c’est une motivation inplacable ! »
J. intervient à son tour : « Là, je vous garantis que, dans ces conditions, je serai muet
comme une carpe ! »
Je crois que c’est à ce moment que l’angoisse et la honte de H. a commencé à se retransformer en excitation. Elle a d’abord fait mine d’accepter le deal comme forcée, mais, au fond de moi, je savais que l’idée que nous allions baiser dans ce lieu public sous le regard excité à l’extrême du copain de sa collègue devait déjà la refaire mouiller.
Et c’est ainsi que nous sommes allés tout au fond de la gallerie où elle a commencé par se mettre à poil devant nous deux ; après quoi, toujours sous le regard de J., j’ai eu droit à une partie de baise où nous avons joui comme jamais !
Jusque maintenant, J. a tenu sa promesse et nous aussi.
J’ai entretemps élaboré et mis en pratique un autre plan super, mais ça, c’est une autre histoire…

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