Ma femme Sylvie - histoire érotique

Cela faisait maintenant quatre heures que Pascal attendait le retour de sa femme Sylvie. Quatre heures qu'elle était partie se faire baiser chez son collègue de travail Marc à quelques kilomètres de là. Que pouvait-il se passer? Marc avait-il finalement hésité au point de rentrer dans d'interminables discussions avec elle. Cela se pouvait car Pascal se rappelait la réaction de Marc quand il lui avait demandé ce service. Dans un premier temps, celui-ci avait catégoriquement refusé. Puis, à force d'entêtement, Marc avait finalement accepté. Pascal avait su lui faire comprendre l' important pour lui d' être cocu. Après plus de quinze ans de mariage avec Sylvie et à l'approche de la quarantaine, il avait besoin de cette nouvelle expérience pour relancer son couple. Marc était parfait pour sa femme. Il était célibataire et bel homme et il était certain qu'il plairait à Sylvie tout comme il était certain de la réciproque car Sylvie, même à presque quarante ans, restait une femme extrêmement désirable. Ce soir était donc le grand soir. Marc et Sylvie s'y étaient préparés depuis plusieurs mois. Au début, quand Marc avait abordé ce sujet avec elle, elle était entrée dans une colère folle le traitant de malade mentale. Après de longues discussions animées, elle avait finalement accepté de coucher avec Marc par amour pour son mari et parce qu'elle avait compris l'importance que cela représentait pour lui. A maintes reprises Marc avait tenu à la rassurer longuement sur ce qu'il attendait d'elle. Sylvie n'étant pas particulièrement douée pour le sexe, elle devrait faire simplement ce qu'elle faisait habituellement avec lui, c'est à dire le laisser la pénétrer et jouir en elle dans une position de son choix, celle du missionnaire ou en levrette par exemple. Tout au plus devrait-elle le sucer préalablement si il lui demandait.
Plus de quatre heures donc que Pascal attendait sa femme. Elle était parti un peu avant le début du match de foot et il était presque une heure du matin maintenant. Que pouvait-il bien se passer? L'inquiétude commençait à s'emparer de lui et il hésitait entre aller se coucher et prendre sa voiture pour la rejoindre chez Marc. Il entendit le bruit des clés dans la serrure, Sylvie était de retour.
-Bonsoir chéri, lui dit-elle en se débarrassant de son manteau

-Bonsoir, répondit-il fébrilement

-Comment était ton match?

-Nul, les Français ont perdu. Et toi, ca s'est bien passé?

-Oui.....ca s'est bien passé.

C'était une des conditions, elle devait tout lui raconter dans les moindres détails afin que son fantasme prenne forme. Il avait besoin de tout savoir, comment Marc l'avait baisé, qu'elle était la taille de sa bite, si elle lui taillé une pipe et tout ce qu'il avait pu lui dire durant leur ébats.

-Et bien raconte, il t'a fait l'amour ou pas?

-Tu veux savoir si tu es bien cocu ou pas, me lança t-elle ? Eh bien oui, tu l'es. Et pas que par un seul mec si tu veux savoir, mais plusieurs! C'est bien ce que tu voulais non?

-Comment ça plusieurs? Que veux-tu dire? Explique toi.

-Quand je suis arrivée chez Marc, il y avait ton autre collègue Jean et aussi Fabrice, ton chef de service. Ils allaient regarder le match et tous les trois étaient assis sur le canapé devant la télé avec une bière à la main. J'étais debout dans le salon quand Marc m'a demandé de me dévêtir et...

-C'est ce qu'il t'a demandé? Pouvez-vous vous dévêtir?

-D'accord, d'accord, ce n'est pas exactement ce qu'il m'a dit. Il m'a dit de me foutre à poil tout de suite, si tu veux vraiment savoir. J'ai hésité un petit moment et puis je me suis déshabillée complètement...

-Attends, tu veux dire que tu t'es foutue à poil devant ces trois gars, dont mon chef?

-Écoutes chéri, qu'est-ce que ca peut faire?. J'étais là et j'y étais pour une raison bien précise qui était de me faire sauter pour te faire plaisir. Alors par un, deux ou trois mecs, cela ne faisait aucune différence pour moi.

Pascal sentait son cœur battre la chamade, les choses avaient pris une tournure qu'il n'aurait pu imaginer possible. Son chef venait de baiser sa femme et cela, c'était tout simplement impensable.

-Ensuite, comme je voyais qu'aucun des trois de détachait les yeux de la télé, j'ai demandé à Marc ce qu'il voulait que je fasse. Il m'a répondu que quand le match serait fini, j'allai les sucer tous les trois et qu'ils allaient m'enculer à tour de rôle. Il a également préciser qu'il valait mieux que j'aime le sperme car j'allais devoir tout avaler. J'ai refusé catégoriquement bien sur, car ce n'était pas ce à quoi je m'attendais mais il a ajouté que c'était comme ça ou bien je me rhabillais immédiatement et je me barrai.

Pascal, n'en croyait pas ses oreilles et il craignait d'entendre la suite. Sa femme ne se serait quand même pas fait sodomiser par trois mecs alors que celle-ci n'a jamais daigné essayer une seule fois cette pratique avec son propre mari. C'était tout simplement surréaliste et l'excitation commençait à faire place à un début de désarroi total accompagné d'une certaine jalousie. Il lui lança.

-Chérie, tu t'es quand même pas fais sodomisé par trois mecs, rassure moi.

-Tout cela, c'est de ta faute. Si tu ne m'avais pas bourré le crane avec toute cette histoire, jamais je n'aurai accepté. Au lieu de cela, je n'ai pas voulu te décevoir et j'ai cédé.

-Non de Dieu, dit Pascal la mort dans l'âme. Vas-y continue.

-J'étais toute nue sur le canapé alors que la match commençait à la télé. Ton chef a alors demandé à Pascal si je ne pouvais pas leur sucer la bite à tour de rôle puisque le match ne semblait pas m' intéresser. Pascal à répondu que c'était une excellente idée. Ils ont donc enlevé leur chaussures, leur pantalon et leur slip et Pascal m'a ordonné de les sucer l'un après l'autre à genoux sur le tapis pendant toute la durée du match en précisant qu'ils s'occuperaient tous les trois de mon cul après. Tu te rends compte que pendant que je les suçaient, ils faisaient comme si de rien n'était. Ils discutaient constamment à propos de tel ou tel joueur ou de telle ou telle action de jeux. De temps en temps, ils m'adressaient la parole me demander de leur lécher les couilles ou pour m'insulter.

-C'était quoi ces insultes, dit Pascal qui commençait à sentir son sexe durcir.

-Bah tu sais bien, des choses comme 'T'es une sacré cochonne pompeuse de bites toi' ou 'T'as vraiment une bouche à sucer des queues ma salope' Des choses dans ce style quoi.

Pour Pascal, l'état d'excitation avait repris le dessus et il bandait maintenant très fort. Il découvrait une facette de sa femme dont il n'avait jamais soupçonné l'existence, Sylvie continua son récit.

-Une fois le match terminé, Marc ma fait mettre à quatre pattes sur la table basse et tous les trois se sont déshabillé entièrement. A ma demande, c'est Jean qui m'a sodomisé le premier car j'ai bien vu que c'était lui qui avait le plus petit sexe. Il m' a enduit l'anus de gel au préalable pour introduire son sexe plus facilement que je ne l'aurai pensé au départ. Ils ont tourné tous les trois autour de la table pendant au moins une heure, chacun d'entre eux passant de mon cul à ma bouche. Il m'ont aussi obligé à dire certaines grossièretés.

-Quoi donc? Je veux savoir.

-A chaque rotation, je devais leur demander de m'enculer encore en disant 'Enculez-moi encore, s'il vous plait. Je veux une autre bite dans mon cul'. A chaque fois que l'un d'entre eux finissait de me sodomiser, je devais lui nettoyer la queue avec ma bouche et cela sans les mains puisque celles-ci étaient posées sur la table. J'avoue que sucer une queue dans cette position n'est pas très aisé mais je m'en suis pas mal sortie à les entendre.

-Comment ca?

-Oui, ils n'ont pas cessé de me complimenter. 'Elle suce vraiment bien cette grosse pute' ou 'On sent qu'elle aime se faire enculer la cochonne', voilà le type de réflexions que j'ai entendues et j'avoue que cela me rendait assez fière de moi finalement.

Pascal n'en revenait pas. En l'espace d'une soirée, sa femme était passée du stade bourgeoise coincée à celui de salope à tout faire.

-A la fin, Marc m'a fait mettre à genoux par terre. Fabrice a sorti une flute à champagne du buffet et m'a demandé de la tenir devant moi. Je les ai sucé encore un peu et tous les trois ont éjaculé dans ma flute qui s'est rapidement remplie au deux tiers. Marc a sorti trois autres flutes ainsi qu'une bouteille de champagne pour servir ses invités. Nous avons trinqué tous ensemble et j'ai bu tout mon verre comme eux à la différence que le mien était rempli de sperme.

-Et tu as aimé ca?

-Je dois avouer que j'y ai pris un certain plaisir, à ma grande surprise.

Sur ce, Pascal dont l'excitation était à son comble, ne put se contenir. Il attrapa sa femme par les cheveux et la fit mettre à genoux devant lui.

-Bien ma petite pute. Alors maintenant, tu vas ouvrir grand la bouche et tu vas me sucer la bite comme une grosse cochonne en aspirant bien le jus à chaque va et viens.

-Bien sur mon chéri, tout de suite.

Sylvie baissa le pantalon et le slip devant elle et prit le sexe de son mari en bouche.

-Oh, elle est bien juteuse. Je sens que je vais me régaler.

-Oui ma cochonne, mais avant que tu avales tout mon foutre, je vais t'enculer bien à fond.

-Comme tu voudras mon chéri,

-Enlèves ta culotte et mets toi à quatre pattes sur le canapé en relevant bien ton cul.

-J'ai laissé ma culotte chez Marc, mon chéri.

-Oh dis donc, ils ont du bien t'enculer tous les trois. Ma bite est rentrée dans ton cul comme dans du beurre.

Pendant qu'il sodomisait sa femme qui manifestait un plaisir non dissimulé, Pascal pensa à tout ce que cette soirée allait changer pour lui. Il ne remercierait jamais assez Marc pour les changements qu'il venait d'opérer dans sa vie car désormais, il allait pouvoir utiliser son épouse transformée en putain pour réaliser tous ces fantasmes ce qui, il faut bien le dire était un résultat bien au delà de ses attentes.
Lorsque Pascal éjacula dans sa bouche et qu'elle avala tout son sperme, Sylvie compris qu'elle ne pourrait plus jamais se passer de cette sensation que lui procurait le goût de ce jus délicieux. Elle sourit en pensant qu'il lui aura fallut attendre ses quarante ans pour découvrir cela et elle comptait bien désormais rattraper le temps perdu. Elle repensa à la proposition de Marc quand elle avait quitté son appartement.

-Samedi prochain je reçois quelques amis, juste une petite quinzaine de copains. Tu veux venir?. On t'enculera toute la soirée si tu veux et pour toi il y aura du jus de bites à volonté.

Sylvie avait accepté la proposition sur l'instant. Elle attendait déjà avec impatience ce prochain samedi ou elle se rendrait chez Marc et ou elle finirait la soirée le cul largement dilaté et le ventre bien rempli. Peut-être même y amènerait-elle son mari.....