Ma jolie tante Estell (2)
Récit érotique écrit par Aurélen [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma jolie tante Estell (2)
Pierre revient vers sept heures. C’est un type jovial, gai, très attachant. Nous prenons un rafraîchissement sur la terrasse, dans les rayons du soleil descendant. Nous rions de bêtises qu’il nous raconte sur sa journée. Devant nous, le paysage est magnifique, et les grillons commencent çà et là à accorder leurs archets...
Toutefois, je me sens quelque peu gêné vis à vis de Pierre. Pendant la préparation du repas, alors que je passais l’aspirateur dans la piscine, je les ai entendu parler, rire, dans la cuisine... Et une fois à table, Pierre a l’air content, au clin d’oeil qu’il me fait.
Le soir, après le repas, nous sommes toujours sur la terrasse qui domine toute la vallée. Le ciel s’est incendié avec le soleil couchant. Les grillons ont trouvé leur partition. Estelle s’est habillée d’un tout petit short, restant les seins à l’air. Pierre aussi est en short. Comme ils sont habillés, ou si peu, j’ai quand même enfilé un maillot, par pudeur, ou politesse. Je suis adossé au parapet de la terrasse. Ils sont là tous les deux tranquilles, assis dans la balancelle en train de boire, et de flirter gentiment.
Moi je pense à ce que j’ai vécu cet après-midi, et cela me redonne des idées... qui commencent à monter et à prendre pas mal de place dans mon maillot. Heureusement que je suis habillé. Je les vois qui se chuchotent des choses qui doivent être amusantes, car Estelle rit de bon coeur. Elle est à moitié vautrée sur son mari, et il la cajole gentiment, simplement.
Après quelques minutes à sortir des banalités, Estelle me regarde avec insistance, comme indécise, un sourire prometteur au coin des lèvres.
- Pourquoi me regardes-tu comme cela ? Demandais-je
- Ben... je me demande si je ne vais pas recommencer ce que nous avons fait cet après midi...
Là, je me sens gêné. Je sais qu’elle a dû lui en parler, mais je n’en suis pas sûr... Et Pierre d’intervenir, jouant peut-être la comédie...
- Ah bon ? Et qu’avez-vous fait cet après midi ?
Elle s’assied droite, et prend une allure décidée...
- Et bien figure toi, mon chéri, que notre jeune invité m’a tout simplement en-cu-lée !
Elle avait bien insisté sur chaque syllabe, me laissant stupéfait !
- C’n’est pas vrai ! Et ç’était bon ?
- Justement ! C’était génial ! Et bien moi, mon chéri, tu me croiras si tu veux, mais ça m’a laissé un goût de “reviens-y”.
Et elle se lève, pose son verre, et presque nue, ouvrant le bouton supérieur de son short, elle s’approche de moi, me prend par le cou, et m’embrasse à pleine bouche, prenant possession de moi comme au cours d’un viol... Je sens son bassin se coller à mon ventre, s’y frottant avec beaucoup de volupté. Tout en lui rendant son baiser, je jette un oeil vers Pierre. Il est là, toujours assis, et il nous regarde. Il a glissé sa main dans son short, et la bosse remue régulièrement... Et il commente le spectacle...
- Oui chérie, t’es super comme ça avec lui... Je t’assure, tu es vraiment bandante...
A mon tour, pendant ce baiser démoniaque à défroquer un moine, j’ai posé mon verre, et mes mains libres s'égarent sur les seins bien fermes. Je sens la respiration d’Estelle perdre de sa tranquillité. Elle pose sa main sur mon sexe, et à travers le maillot, le prend à pleine main. Se mordant la lèvre inférieure, avec délice, elle murmure:
- Oh! Cette bite.... dis ... tu vas me la remettre ? Hein... mon cochon... tu aimes bien m’enculer ? Ça te plaît, hein?
Et brutalement elle s’agenouille devant moi, m’abaisse le slip, et mon engin se libère en se balançant. Elle me saisit aux hanches. Elle reste quelques secondes, là, semblant admirer mon braquemart devenu immobile, bien dressé vers le ciel étoilé. Et se tournant vers Pierre:
- T’as vu comme il est bien monté, le gamin? ...
Puis elle approche sa bouche, les lèvres arrondies, dépose un baiser, puis deux, en me regardant... sort sa langue, me lèche le gland tout gonflé de désir, et enfin se le met entre les lèvres. Je sens cette douce chaleur prometteuse m’envahir le noeud, puis la tige tout entière. Je lève les yeux vers les étoiles, savourant ce moment délicieux. Assis sur la balancelle, Pierre a quitté son short, et, jambes ouvertes, sans complexe, il se branle doucement, en sirotant son verre, une étincelle rieuse dans les yeux...
- Elle est bonne ma chérie?
Là, je ne réponds pas, car je ne sais pas à qui Pierre s’adresse !
Elle a la bouche pleine... se contente de murmurer je ne sais quoi. Moi, je me donne totalement à cette caresse buccale, tendant mon bassin en avant. Il me plaît de lui montrer mon ascension vers le plaisir... Je la regarde, je me saisis la bite, la retire de sa bouche, et je me branle juste le gland, très rapidement, là, tout près de son visage. Elle adore, contemple, apprécie... Et sa bouche gourmande reprend ses droits... que je lui abandonne d’un grand coup de reins...
Après avoir posé son verre, Pierre se lève, entièrement nu, son énorme sexe bandé pointant sur son nombril... Il avance vers sa femme, la relève doucement, l’embrasse dans le cou, et la pousse contre moi, se collant lui-même contre elle. Coincée entre nous deux, nous la tenons par nos mains, nos ventres, nos bassins.
- Tu vas donc refaire ce que tu as fait avec Aurélien... tu vas me montrer ?... Dis...Tu veux bien ?
Elle ne peut répondre. Ma bouche est collée à la sienne, mes mains sur ses seins... Pierre lui abaisse son petit short, elle l’enjambe, et nous voilà tous les trois, nus, bandés, collés l’un à l’autre, à la merci des mains de tous, offerts, consentants, bas-ventres contre bas-ventres. Pierre et moi la caressons, la pelotons... Elle se donne totalement à nos caresses, même les plus intimes. Il n’y a plus d’intimité... Tout se prend, se touche... Elle-même passe ses mains partout, me branlant, branlant son mari derrière elle.
A côté de nous trois, il y a une petite tablette, et, avec Pierre, nous apercevons la bouteille d’huile solaire en même temps. La saisissant, il s’en verse dans la main, et en badigeonne généreusement les fesses tendues de sa femme. Cette caresse lui arrache des gémissements de plaisir, et, accrochée à mon cou, elle tend ses fesses à l’encontre des mains de son mari.
Après avoir reposé la bouteille, Pierre saisit sa femme aux hanches, applique son braquemart entre les lobes fessiers généreusement huileux, et le voilà qu’il entame la même danse que j’avais déjà dansée dans l’après midi.
- C’est comme ça que t’as fait, Aurélien ? Elle m’a raconté, tu sais, et c’est vrai que c’est vachement bon ! ...
Ses coups de bassin sont lents, amples. Il se caresse avec le cul d’Estelle. Je vois son sexe, bandé à l’extrême, monter et descendre entre les deux fesses tremblotantes et huileuses. Estelle se donne à cette caresse avec beaucoup de plaisir. Accrochée à mon cou d’une main, elle me branle de l’autre... Sa main masturbatrice, devenue rapidement huileuse aussi, est un délice... Ce qui me plaît, ce sont les mouvements de bassin de Pierre qui s’excite vraiment entre les fesses de sa femme...
- Ah que c’est bon... de se branler comme ça... Regarde Aurélien, elle m’excite bien... et toi aussi elle t’excite.. Hein ? Tu veux changer ? Venir à ma place ? Allez! Viens!... que je vois comment tu te branles avec son cul!
Estelle ne bouge pas, reste dans la position où elle était. Elle se prête volontiers à notre jeu. Pierre se dégage en continuant de se branler, je prends sa place, pose mon engin contre les fesses d’Estelle et me colle à elle de toute ma peau possible... Les jambes, les cuisses... Je la tiens par la taille, légèrement courbée en avant, et je m’active entre ses fesses comme une bête...
- Regarde-le notre Aurélien ! Le cochon ! Elle est bonne ! Hein ?
Estelle, suspendue au cou de son mari, l’embrasse et le branle aussi. Elle tourne son regard vers moi, comme pour apprécier le plaisir qu’elle me donne. Puis elle se penche sur lui et le suce. Le plaisir qu’elle lui donne est évident. Et lui semble ne pas me lâcher des yeux, son regard fixé sur les mouvements rythmés de mon bassin...
Soudain, Pierre se dégage, tenant sa femme par la main, et l’attire vers un matelas de plage posé juste à côté. Il s’y allonge sur le dos. Il n’est pas nécessaire de faire un dessin à Estelle. Je la vois, de dos, enjamber son mari, un genou de part et d’autre, et se coucher sur lui. Le spectacle est super. Le cul d’Estelle, ouvert, offert, se frotte au sexe de Pierre, qui ne l’a pas encore pénétrée. C’est une vision d’intimité violée qui m’émeut beaucoup. Je m’agenouille entre les jambes de Pierre pour mieux voir et me délecter de cette délicieuse indiscrétion.
Ils sont en train de s’embrasser, de se frotter l’un contre l’autre, conscients du merveilleux spectacle lubrique qu’ils m’offrent. Et ne m’écoutant pas, je fais ce que je n’avais jamais fait... mais je ne peux m’en empêcher... Cela me paraît tellement dans l’ordre normal des choses... Je saisis le sexe de Pierre à pleine main... Il est dur, très dur sous mes doigts, sa peau glisse dans ma main, et me voilà en train de le branler, de faire ce geste que je n’avais jamais fait avant et qui me plaît beaucoup. Du coup, avec la main gauche, j’introduis mes doigts dans la chatte offerte d’Estelle. C’est doux, c’est chaud, c’est très mouillé, ça glisse tout seul.
La tige de chair de Pierre dans une main, mes doigts dans la chatte d’Estelle, mon pouce à lui titiller l’anus, et me voilà en train de branler totalement à moi tout seul ce couple. C’est vraiment extraordinaire de pouvoir réaliser cette double masturbation en toute simplicité, presque naturellement, en douceur... C’est vrai ça ! Quand on est plusieurs, pourquoi branler un homme ne serait qu’uniquement réservé aux femmes?
- Ça vous plaît, ce que je suis en train de vous faire...?
Ils ne répondent même pas... occupés qu’ils sont à réagir aux pulsions obscènes que je leur provoque. Leurs bassins vont au-devant de mes pressions, de mes glissements, de mes pénétrations digitales...Ils se donnent tous les deux, presque avec enthousiasme... et soudain... pourquoi pas !... Sans réfléchir plus d’une seconde, je me penche et prends le sexe de Pierre en bouche. Il l’a senti et donne un coup de bassin consentant. Estelle tourne la tête pour voir...
- Oh le cochon... c’est super, oh... ça m’excite... Vas- y Aurélien... branle-moi... fort... fort... oh oui... Oh, mon chéri...Ça m’excite de le voir te sucer... Oh oui Aurélien!...Suce le bien...
Je m’active de la bouche et de la main gauche... Et faire ce qui m’a toujours fasciné est à portée de main... là, je n’ai qu’à le faire... Alors de ma main gauche, j’écarte les lèvres de la chatte d’Estelle, pose le gland de Pierre sur cette partie si rose, si douce et si intime, le fait bouger comme je le ferais avec un gode... Je la branle avec un gode vivant... Je sens sous mes doigts l’irrésistible appel du sexe, l’irrésistible besoin de pénétration, l’irrésistible nécessité de possession d’un sexe par l’autre... J’ai l’impression de les brancher, comme des prises...
Pierre pousse du bassin, Estelle ondule des fesses, et hop ! la totalité du braquemart de Pierre disparaît, englouti entre les lèvres vaginales . Elle hurle, il gémit, et s’active fortement, vite, avec frénésie. Je contemple, amusé, comme un enfant voit son jouet fonctionner... Ça fonctionne, ça coulisse, ça fait «floc floc»... Admirateur, je me branle doucement, contemplant ce couple qui baise à grands coups de reins à dix centimètres de mes yeux... Le cul d’Estelle est merveilleux, pénétré ainsi par ce barreau de chair vivant qu’il investit à chaque coup de bas-ventre...
Au-dessus de la chatte gavée, l’adorable petit trou du cul... étoilé, légèrement dilaté par la pénétration de cet après-midi. Pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt ? C’est le moment de remettre ça ! Je saisis la bouteille d’huile et en verse carrément au-dessus du petit trou du cul..., et de suite, j’en étale partout entre les fesses... Estelle est aux anges... Elle hurle presque à Pierre:
- Oh mon chéri... je crois qu’il va encore m’enculer... comme cet après-midi ! Oh oui mon amour, ta femme chérie va se faire enfiler par deux bites en même temps ! Mon rêve... mon fantasme ! ...
Je bande vraiment fort, surtout en sachant ce qu’il va arriver... car je saurai reconnaître les sensations déjà connues. Mes doigts titillent son petit trou... pendant que je prends position, debout, jambes fléchies... Je positionne mon sexe sur cet endroit si intime...
- Pierre ! Arrête de bouger, sinon je ne vais pas y arriver...
Mon gland est maintenant au centre du muscle anal... Bien huilé... Et je pousse doucement... Ça s’ouvre... le passage devient accueillant... Pierre recommence doucement à coulisser... moi, je pousse encore et encore...
- Oh oui ! Mon chéri, il le fait... il m’encule... j’en ai deux... oh oui c’est délicieux!...
Et je sens autour de mon gland coulisser l’anneau de chair étroit, m’assurant ainsi que je l’ai bien pénétrée, et à fond.
-Ça y est... il m’a enculée... oh oui, les gars... allez-y maintenant... branlez-vous dans mon cul... oh oui... je vous sens bien, tous les deux... je suis pleine... oh oui... c’est délicieux!...
Et avec Pierre nous commençons une danse rythmée, cadencée, nous projetant régulièrement au plus profond de son intimité. Tout coulisse parfaitement bien... Tout est doux, tout est chaud, tout n’est que plaisir... Estelle est comme une folle, totalement dévoilée, comme une bête en rut, assaillie par ses deux mâles qui s’excitent sur elle, et dans elle... C’est le plaisir brut pour le plaisir pur... la gestuelle alternative inlassablement désirée à chaque pénétration, insatiable, à chaque enfoncement... Avec Pierre, nous avons le rythme... Sur mon sexe je sens la pression du sein.
Bientôt, le dénouement n’est plus loin... Tenir cette femme enculée ainsi, alors qu’elle est elle-même empalée sur son mari, m’excite fortement, et je sens l’orgasme monter, monter... J’essaye de ralentir, de stopper tout mouvement... pour retarder l’explosion... Pierre aussi ne bouge plus, Estelle aussi, et moi, je lutte pour faire reculer l’orgasme et durer plus longtemps. Mais même sans aucun mouvement, le plaisir monte, monte...
- Oui, je vais jouir... je vais tout lâcher...
- Moi aussi,... je vais y aller, oh oui ! C’est bon.... ça vient ! Oui..Oui...
Et tout explose... violemment! Nos sexes, Estelle... notre tête... envoyant par saccades régulières nos spermes au fond de ses entrailles... Les spasmes nerveux éjaculateurs de Pierre se répercutent sur mon sexe... Tout se vide, tout s’écoule, tout se liquéfie... tout bascule...
Je m’écroule sur Estelle, sans m’être retiré...
Quelques minutes passent pendant lesquelles nous reprenons nos esprits...
Coincée entre nous deux, Estelle embrasse gentiment Pierre comme pour le remercier, tourne la tête et m’embrasse à mon tour...
- Génial ! Vous avez été tous les deux géniaux ! Ç’a été pour moi une première et c’est fantastique... Hein Pierre ? Dites! Nous recommencerons ?
Protestation de Pierre :
- Encore !
Puis, plus conciliant...
- Mais quand tu veux ma poule, lui répond Pierre... Mais laisse-nous le temps de récupérer...
Et en effet, nous eûmes l’occasion de recommencer souvent.
Estelle se donnait à nous sans aucun complexe, nous appelait, nous réclamait, parfois nous suppliait. C’était devenu un jeu... Ces quatre semaines de vacances furent noyées dans un véritable trio-délire sexuel. Il n’y eut pas de limite, pas d’interdit, beaucoup de plaisir, le plaisir pour le plaisir...Elle savait me provoquer, nous provoquer, n’importe où, n'importe quand et je ne résistais pas, m’accouplant à elle, la pénétrant là où nous étions... devant ou avec Pierre, dans la maison, sur le bord de la piscine... Elle nous redemanda plusieurs fois la double pénétration... Psychiquement et physiquement, cela avait l’air de lui convenir...
Mais je crois que c’était surtout l’ambiance qui, au départ, a jeté les bases d’un climat extrêmement favorable. Nous nous régalions... Juste par plaisir, juste pour le plaisir, juste pour notre plaisir. Nous baisions, nous nous masturbions ensemble ou mutuellement... simplement... tout simplement... tout doucement... et nous jouissions... parfaitement conscients du fait qu’il n’y a aucun mal à se faire du bien... y compris ensemble...
Et nous nous faisions beaucoup de bien... tous les trois, ensemble...
Toutefois, je me sens quelque peu gêné vis à vis de Pierre. Pendant la préparation du repas, alors que je passais l’aspirateur dans la piscine, je les ai entendu parler, rire, dans la cuisine... Et une fois à table, Pierre a l’air content, au clin d’oeil qu’il me fait.
Le soir, après le repas, nous sommes toujours sur la terrasse qui domine toute la vallée. Le ciel s’est incendié avec le soleil couchant. Les grillons ont trouvé leur partition. Estelle s’est habillée d’un tout petit short, restant les seins à l’air. Pierre aussi est en short. Comme ils sont habillés, ou si peu, j’ai quand même enfilé un maillot, par pudeur, ou politesse. Je suis adossé au parapet de la terrasse. Ils sont là tous les deux tranquilles, assis dans la balancelle en train de boire, et de flirter gentiment.
Moi je pense à ce que j’ai vécu cet après-midi, et cela me redonne des idées... qui commencent à monter et à prendre pas mal de place dans mon maillot. Heureusement que je suis habillé. Je les vois qui se chuchotent des choses qui doivent être amusantes, car Estelle rit de bon coeur. Elle est à moitié vautrée sur son mari, et il la cajole gentiment, simplement.
Après quelques minutes à sortir des banalités, Estelle me regarde avec insistance, comme indécise, un sourire prometteur au coin des lèvres.
- Pourquoi me regardes-tu comme cela ? Demandais-je
- Ben... je me demande si je ne vais pas recommencer ce que nous avons fait cet après midi...
Là, je me sens gêné. Je sais qu’elle a dû lui en parler, mais je n’en suis pas sûr... Et Pierre d’intervenir, jouant peut-être la comédie...
- Ah bon ? Et qu’avez-vous fait cet après midi ?
Elle s’assied droite, et prend une allure décidée...
- Et bien figure toi, mon chéri, que notre jeune invité m’a tout simplement en-cu-lée !
Elle avait bien insisté sur chaque syllabe, me laissant stupéfait !
- C’n’est pas vrai ! Et ç’était bon ?
- Justement ! C’était génial ! Et bien moi, mon chéri, tu me croiras si tu veux, mais ça m’a laissé un goût de “reviens-y”.
Et elle se lève, pose son verre, et presque nue, ouvrant le bouton supérieur de son short, elle s’approche de moi, me prend par le cou, et m’embrasse à pleine bouche, prenant possession de moi comme au cours d’un viol... Je sens son bassin se coller à mon ventre, s’y frottant avec beaucoup de volupté. Tout en lui rendant son baiser, je jette un oeil vers Pierre. Il est là, toujours assis, et il nous regarde. Il a glissé sa main dans son short, et la bosse remue régulièrement... Et il commente le spectacle...
- Oui chérie, t’es super comme ça avec lui... Je t’assure, tu es vraiment bandante...
A mon tour, pendant ce baiser démoniaque à défroquer un moine, j’ai posé mon verre, et mes mains libres s'égarent sur les seins bien fermes. Je sens la respiration d’Estelle perdre de sa tranquillité. Elle pose sa main sur mon sexe, et à travers le maillot, le prend à pleine main. Se mordant la lèvre inférieure, avec délice, elle murmure:
- Oh! Cette bite.... dis ... tu vas me la remettre ? Hein... mon cochon... tu aimes bien m’enculer ? Ça te plaît, hein?
Et brutalement elle s’agenouille devant moi, m’abaisse le slip, et mon engin se libère en se balançant. Elle me saisit aux hanches. Elle reste quelques secondes, là, semblant admirer mon braquemart devenu immobile, bien dressé vers le ciel étoilé. Et se tournant vers Pierre:
- T’as vu comme il est bien monté, le gamin? ...
Puis elle approche sa bouche, les lèvres arrondies, dépose un baiser, puis deux, en me regardant... sort sa langue, me lèche le gland tout gonflé de désir, et enfin se le met entre les lèvres. Je sens cette douce chaleur prometteuse m’envahir le noeud, puis la tige tout entière. Je lève les yeux vers les étoiles, savourant ce moment délicieux. Assis sur la balancelle, Pierre a quitté son short, et, jambes ouvertes, sans complexe, il se branle doucement, en sirotant son verre, une étincelle rieuse dans les yeux...
- Elle est bonne ma chérie?
Là, je ne réponds pas, car je ne sais pas à qui Pierre s’adresse !
Elle a la bouche pleine... se contente de murmurer je ne sais quoi. Moi, je me donne totalement à cette caresse buccale, tendant mon bassin en avant. Il me plaît de lui montrer mon ascension vers le plaisir... Je la regarde, je me saisis la bite, la retire de sa bouche, et je me branle juste le gland, très rapidement, là, tout près de son visage. Elle adore, contemple, apprécie... Et sa bouche gourmande reprend ses droits... que je lui abandonne d’un grand coup de reins...
Après avoir posé son verre, Pierre se lève, entièrement nu, son énorme sexe bandé pointant sur son nombril... Il avance vers sa femme, la relève doucement, l’embrasse dans le cou, et la pousse contre moi, se collant lui-même contre elle. Coincée entre nous deux, nous la tenons par nos mains, nos ventres, nos bassins.
- Tu vas donc refaire ce que tu as fait avec Aurélien... tu vas me montrer ?... Dis...Tu veux bien ?
Elle ne peut répondre. Ma bouche est collée à la sienne, mes mains sur ses seins... Pierre lui abaisse son petit short, elle l’enjambe, et nous voilà tous les trois, nus, bandés, collés l’un à l’autre, à la merci des mains de tous, offerts, consentants, bas-ventres contre bas-ventres. Pierre et moi la caressons, la pelotons... Elle se donne totalement à nos caresses, même les plus intimes. Il n’y a plus d’intimité... Tout se prend, se touche... Elle-même passe ses mains partout, me branlant, branlant son mari derrière elle.
A côté de nous trois, il y a une petite tablette, et, avec Pierre, nous apercevons la bouteille d’huile solaire en même temps. La saisissant, il s’en verse dans la main, et en badigeonne généreusement les fesses tendues de sa femme. Cette caresse lui arrache des gémissements de plaisir, et, accrochée à mon cou, elle tend ses fesses à l’encontre des mains de son mari.
Après avoir reposé la bouteille, Pierre saisit sa femme aux hanches, applique son braquemart entre les lobes fessiers généreusement huileux, et le voilà qu’il entame la même danse que j’avais déjà dansée dans l’après midi.
- C’est comme ça que t’as fait, Aurélien ? Elle m’a raconté, tu sais, et c’est vrai que c’est vachement bon ! ...
Ses coups de bassin sont lents, amples. Il se caresse avec le cul d’Estelle. Je vois son sexe, bandé à l’extrême, monter et descendre entre les deux fesses tremblotantes et huileuses. Estelle se donne à cette caresse avec beaucoup de plaisir. Accrochée à mon cou d’une main, elle me branle de l’autre... Sa main masturbatrice, devenue rapidement huileuse aussi, est un délice... Ce qui me plaît, ce sont les mouvements de bassin de Pierre qui s’excite vraiment entre les fesses de sa femme...
- Ah que c’est bon... de se branler comme ça... Regarde Aurélien, elle m’excite bien... et toi aussi elle t’excite.. Hein ? Tu veux changer ? Venir à ma place ? Allez! Viens!... que je vois comment tu te branles avec son cul!
Estelle ne bouge pas, reste dans la position où elle était. Elle se prête volontiers à notre jeu. Pierre se dégage en continuant de se branler, je prends sa place, pose mon engin contre les fesses d’Estelle et me colle à elle de toute ma peau possible... Les jambes, les cuisses... Je la tiens par la taille, légèrement courbée en avant, et je m’active entre ses fesses comme une bête...
- Regarde-le notre Aurélien ! Le cochon ! Elle est bonne ! Hein ?
Estelle, suspendue au cou de son mari, l’embrasse et le branle aussi. Elle tourne son regard vers moi, comme pour apprécier le plaisir qu’elle me donne. Puis elle se penche sur lui et le suce. Le plaisir qu’elle lui donne est évident. Et lui semble ne pas me lâcher des yeux, son regard fixé sur les mouvements rythmés de mon bassin...
Soudain, Pierre se dégage, tenant sa femme par la main, et l’attire vers un matelas de plage posé juste à côté. Il s’y allonge sur le dos. Il n’est pas nécessaire de faire un dessin à Estelle. Je la vois, de dos, enjamber son mari, un genou de part et d’autre, et se coucher sur lui. Le spectacle est super. Le cul d’Estelle, ouvert, offert, se frotte au sexe de Pierre, qui ne l’a pas encore pénétrée. C’est une vision d’intimité violée qui m’émeut beaucoup. Je m’agenouille entre les jambes de Pierre pour mieux voir et me délecter de cette délicieuse indiscrétion.
Ils sont en train de s’embrasser, de se frotter l’un contre l’autre, conscients du merveilleux spectacle lubrique qu’ils m’offrent. Et ne m’écoutant pas, je fais ce que je n’avais jamais fait... mais je ne peux m’en empêcher... Cela me paraît tellement dans l’ordre normal des choses... Je saisis le sexe de Pierre à pleine main... Il est dur, très dur sous mes doigts, sa peau glisse dans ma main, et me voilà en train de le branler, de faire ce geste que je n’avais jamais fait avant et qui me plaît beaucoup. Du coup, avec la main gauche, j’introduis mes doigts dans la chatte offerte d’Estelle. C’est doux, c’est chaud, c’est très mouillé, ça glisse tout seul.
La tige de chair de Pierre dans une main, mes doigts dans la chatte d’Estelle, mon pouce à lui titiller l’anus, et me voilà en train de branler totalement à moi tout seul ce couple. C’est vraiment extraordinaire de pouvoir réaliser cette double masturbation en toute simplicité, presque naturellement, en douceur... C’est vrai ça ! Quand on est plusieurs, pourquoi branler un homme ne serait qu’uniquement réservé aux femmes?
- Ça vous plaît, ce que je suis en train de vous faire...?
Ils ne répondent même pas... occupés qu’ils sont à réagir aux pulsions obscènes que je leur provoque. Leurs bassins vont au-devant de mes pressions, de mes glissements, de mes pénétrations digitales...Ils se donnent tous les deux, presque avec enthousiasme... et soudain... pourquoi pas !... Sans réfléchir plus d’une seconde, je me penche et prends le sexe de Pierre en bouche. Il l’a senti et donne un coup de bassin consentant. Estelle tourne la tête pour voir...
- Oh le cochon... c’est super, oh... ça m’excite... Vas- y Aurélien... branle-moi... fort... fort... oh oui... Oh, mon chéri...Ça m’excite de le voir te sucer... Oh oui Aurélien!...Suce le bien...
Je m’active de la bouche et de la main gauche... Et faire ce qui m’a toujours fasciné est à portée de main... là, je n’ai qu’à le faire... Alors de ma main gauche, j’écarte les lèvres de la chatte d’Estelle, pose le gland de Pierre sur cette partie si rose, si douce et si intime, le fait bouger comme je le ferais avec un gode... Je la branle avec un gode vivant... Je sens sous mes doigts l’irrésistible appel du sexe, l’irrésistible besoin de pénétration, l’irrésistible nécessité de possession d’un sexe par l’autre... J’ai l’impression de les brancher, comme des prises...
Pierre pousse du bassin, Estelle ondule des fesses, et hop ! la totalité du braquemart de Pierre disparaît, englouti entre les lèvres vaginales . Elle hurle, il gémit, et s’active fortement, vite, avec frénésie. Je contemple, amusé, comme un enfant voit son jouet fonctionner... Ça fonctionne, ça coulisse, ça fait «floc floc»... Admirateur, je me branle doucement, contemplant ce couple qui baise à grands coups de reins à dix centimètres de mes yeux... Le cul d’Estelle est merveilleux, pénétré ainsi par ce barreau de chair vivant qu’il investit à chaque coup de bas-ventre...
Au-dessus de la chatte gavée, l’adorable petit trou du cul... étoilé, légèrement dilaté par la pénétration de cet après-midi. Pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt ? C’est le moment de remettre ça ! Je saisis la bouteille d’huile et en verse carrément au-dessus du petit trou du cul..., et de suite, j’en étale partout entre les fesses... Estelle est aux anges... Elle hurle presque à Pierre:
- Oh mon chéri... je crois qu’il va encore m’enculer... comme cet après-midi ! Oh oui mon amour, ta femme chérie va se faire enfiler par deux bites en même temps ! Mon rêve... mon fantasme ! ...
Je bande vraiment fort, surtout en sachant ce qu’il va arriver... car je saurai reconnaître les sensations déjà connues. Mes doigts titillent son petit trou... pendant que je prends position, debout, jambes fléchies... Je positionne mon sexe sur cet endroit si intime...
- Pierre ! Arrête de bouger, sinon je ne vais pas y arriver...
Mon gland est maintenant au centre du muscle anal... Bien huilé... Et je pousse doucement... Ça s’ouvre... le passage devient accueillant... Pierre recommence doucement à coulisser... moi, je pousse encore et encore...
- Oh oui ! Mon chéri, il le fait... il m’encule... j’en ai deux... oh oui c’est délicieux!...
Et je sens autour de mon gland coulisser l’anneau de chair étroit, m’assurant ainsi que je l’ai bien pénétrée, et à fond.
-Ça y est... il m’a enculée... oh oui, les gars... allez-y maintenant... branlez-vous dans mon cul... oh oui... je vous sens bien, tous les deux... je suis pleine... oh oui... c’est délicieux!...
Et avec Pierre nous commençons une danse rythmée, cadencée, nous projetant régulièrement au plus profond de son intimité. Tout coulisse parfaitement bien... Tout est doux, tout est chaud, tout n’est que plaisir... Estelle est comme une folle, totalement dévoilée, comme une bête en rut, assaillie par ses deux mâles qui s’excitent sur elle, et dans elle... C’est le plaisir brut pour le plaisir pur... la gestuelle alternative inlassablement désirée à chaque pénétration, insatiable, à chaque enfoncement... Avec Pierre, nous avons le rythme... Sur mon sexe je sens la pression du sein.
Bientôt, le dénouement n’est plus loin... Tenir cette femme enculée ainsi, alors qu’elle est elle-même empalée sur son mari, m’excite fortement, et je sens l’orgasme monter, monter... J’essaye de ralentir, de stopper tout mouvement... pour retarder l’explosion... Pierre aussi ne bouge plus, Estelle aussi, et moi, je lutte pour faire reculer l’orgasme et durer plus longtemps. Mais même sans aucun mouvement, le plaisir monte, monte...
- Oui, je vais jouir... je vais tout lâcher...
- Moi aussi,... je vais y aller, oh oui ! C’est bon.... ça vient ! Oui..Oui...
Et tout explose... violemment! Nos sexes, Estelle... notre tête... envoyant par saccades régulières nos spermes au fond de ses entrailles... Les spasmes nerveux éjaculateurs de Pierre se répercutent sur mon sexe... Tout se vide, tout s’écoule, tout se liquéfie... tout bascule...
Je m’écroule sur Estelle, sans m’être retiré...
Quelques minutes passent pendant lesquelles nous reprenons nos esprits...
Coincée entre nous deux, Estelle embrasse gentiment Pierre comme pour le remercier, tourne la tête et m’embrasse à mon tour...
- Génial ! Vous avez été tous les deux géniaux ! Ç’a été pour moi une première et c’est fantastique... Hein Pierre ? Dites! Nous recommencerons ?
Protestation de Pierre :
- Encore !
Puis, plus conciliant...
- Mais quand tu veux ma poule, lui répond Pierre... Mais laisse-nous le temps de récupérer...
Et en effet, nous eûmes l’occasion de recommencer souvent.
Estelle se donnait à nous sans aucun complexe, nous appelait, nous réclamait, parfois nous suppliait. C’était devenu un jeu... Ces quatre semaines de vacances furent noyées dans un véritable trio-délire sexuel. Il n’y eut pas de limite, pas d’interdit, beaucoup de plaisir, le plaisir pour le plaisir...Elle savait me provoquer, nous provoquer, n’importe où, n'importe quand et je ne résistais pas, m’accouplant à elle, la pénétrant là où nous étions... devant ou avec Pierre, dans la maison, sur le bord de la piscine... Elle nous redemanda plusieurs fois la double pénétration... Psychiquement et physiquement, cela avait l’air de lui convenir...
Mais je crois que c’était surtout l’ambiance qui, au départ, a jeté les bases d’un climat extrêmement favorable. Nous nous régalions... Juste par plaisir, juste pour le plaisir, juste pour notre plaisir. Nous baisions, nous nous masturbions ensemble ou mutuellement... simplement... tout simplement... tout doucement... et nous jouissions... parfaitement conscients du fait qu’il n’y a aucun mal à se faire du bien... y compris ensemble...
Et nous nous faisions beaucoup de bien... tous les trois, ensemble...
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