ma maitresse
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Couleur du fond :
ma maitresse
Mon époux me comprend heureusement. Je lui laisse faire ce qu’il veut hors de la maison. Je sais qu’il fréquente une blonde assez grande, aux menus seins, et aux fesses rebondies. Normalement ils baisent dans un de ces hôtels qui existent aux abords des villes où les couples illégitimes se retrouvent pour passer un après midi ensemble. Comme nous ne sous cachons rien il me dit toujours avec qui il baise et comment. Je sais que ce qu’il aime chez cette blonde, c’est outre son corps, les façons diverses de le sucer. Il m’explique très bien ce qu’elle lui fait: je peux lui en faire autant. Il aime la sodomiser et se faire sucer après. J’aime bien le sucer après une autre: il me semble reconnaitre le goût de la salive de l’autre. Je ne le trompe jamais avec un autre: j’ai ce qu’il faut à la maison comme godemichet ou boules de geishas. J’aime me branler, j’aime me branler beaucoup et j’aime aussi les autres femmes. Je suis devenue bisexuelle:
J’ai une amie Maria avec qui nous partageons de délicieux moment de détente. Nous nous retrouvons chez elle. Comme elle est divorcée, vivant seule, nous pouvons nous aimer souvent en paix, les jeudi après midi, c’est une habitude que nous avons prises depuis notre première rencontre.
C’était chez une amie commune, nous bavardions de tout, surtout, comme toutes les femmes de sexe. Si notre amie commune aimait se masturber, nous en disions autant. Cette amie nous avouait un jour qu’elle avait fait l’amour avec une ancienne copine de classe. Elle s’en était presque converti au lesbianisme, tellement leurs rapports avaient étés profonds. Mais la fois suivante, elle se faisait baiser par un autre ami commun et concluait que finalement elle préférait les hommes bien membrés. J’avouais que je ne connaissais pas les rapports entre femmes et que si c’était possible j’aimerai tenter l’expérience. C’est à cet instant que Maria me disait qu’elle préférait les femmes et qu’elle était capable de me faire aimer les femmes.
Nous avions pris rendez vous chez le pour le jeudi, d’où notre choix de ce jour.
Quand j’arrivait chez elle, un peu fébrile, je me demandais où j’allais avec cette relation à venir.
Bon, j’aime jouir, comme toutes les autres je crois. J’aime certaines pratiques courantes en couple, baises, sodomie que j’aime bien, fellation, cunnilingus, annulingus que j’adore, masturbation avec ou sans mon époux, J’aime me doucher avec le jet sur mon clitoris. Bref je crois être une femme sensuelle sans plus, j’ajoute que je suis très tolérante pur les incartades de mon mari: j’aime quand il me raconte tout ce qu’il fait à une autre femme et ce qu’elle lui font. Par contre je ne lui ai pas dit que je venais faire un essai avec une autre femme: il ne m’en voudrait pas, il ne comprendrai pas, tout simplement, persuadé qu’il me donne tout ce que je veux. Je lui en parlerai après.
Je toque à la porte, Maria ouvre presque de suite. Elle ne me saute pas dessus: elle m’offre un café et pour me faire patienter, elle m’installe sur le divan dans le séjour. Je suis de plus en plus nerveuse. Je me demande dans quelle embrouille je me suis mise. Enfin elle revient servir, avec un grand sourire. Elle m’offre une tasse: je tremble un peu comme une jeune pucelle à qui on montre pour la première fois la queue de son futur.
Mari, aimable ne brusque rien. Nous bavardons: elle me dit pourquoi elle a divorcé, je lui parle de mon mari, des bons moments que nous passons tous les deux au lit. Elle sourit. Il me semble qu’elle va venir au moins m’embrasser. Elle reste toujours présente, mais lointaine avec moi.
Nos cafés terminés, elle me demande de l’aider pour laver les deux tasses. Pour deux tasses, elle pouvaient attendre. Je vais l’aider, puisqu’elle le demande. C’est dans la cuisine qu’elle s’approche de moi pour me donner un bisou qui se transforme en baiser: elle me prend dans ses bras. Me serre contre elle.
Je tremble comme une feuille, quand sa langue cherche à entrer dans ma bouche. Et pourtant je ne me dérobe plus: nous avons commencé par nous embrasser, j’entend aller jusqu’au bout: après tout jouir avec une femme, avec un homme ou mes mains, il n’y a pas grande différence. Je rends ce baisers pendant que nos langues disputent un match dans nos bouche entrouvertes. Elle prend un seins dans une main: elle le caresse avec une douceur que je ne connaissais pas encore. Elle passe cette main sous mon, t-shirt pour arriver plus facilement à mon soutien gorge qu’elle défait. Cette fois elle prend directement mon sein, mes tétons durcissent. J’ai envie de continuer. Je me laisse faire même quand elle passe une main sous ma jupe. Je sais ce qu’elle me veut: elle va me masturber. Je me laisse faire: je ferme mes yeux dans l’attente de sa main sur mon bouton et quand il y arrive, je pousse un ouf de soulagement. Elle a passé sa main sous mon string et trouvé facilement mon point faible. Je commence à sentir arriver un orgasme pas comme les autres. Quand je jouis, je suis obligée de m’accrocher à son cou pour ne pas tomber.
Nous sortons de la cuisine pour aller dans sa chambre. Elle me déshabille lentement. Je suis comme une jeune mariée, dans le temps quand son nouvel époux la mettait nue. Je n’ai pas honte, j’ai seulement envie qu’elle aille plus vite. Même si elle n’st pas pressée, elle m’embrasse tout pouce de peau découverte. Je ne pense pas avoir été ainsi traitée. Quand je suis toute nue devant elle je ne sais que faire, elle se dévêt rapidement et me couche. Je commence à aimer ce traitement. J’aime encore plus quand elle embrasse mes seins et que se bouche descend d’abord vers mon nombril et encore plus bas: elle embrasse avec sa langue sortie le pubis. Elle est presque tournée vers le bas quand avec une main elle écarte le haut de mes lèvres intimes et sa langue vient sur mon bouton. Elle ne le lèche qu’après une instant que je trouve très long. Quel bonheur d’avoir sa langue à cet endroit.
Je ne peux rien lui faire d’agréable, je le regrette, j’aimerai lui donner des caresses très chaudes. Je sens le souffle de son nez sur mes lèvres et je sursaute quant elle me met un doigt sur le minou. Elle le fait passer entre les lèvres, le rentre complètement en le faisant aller et venir. Cette fois elle m’enjambe complètement: elle me suce bien mieux. Je sens ses seins durcis contre mon ventre. Ce n’est pas tout à fait un 69, ça en est proche, en tout cas, elle me lèche toujours, une main s’égare vers mon anus. J’en suis étonnée: je ne pensais pas que les femmes se fassent ça aussi. Elle pose un doigt qui m’effleure avant de le rentrer totalement dans mon cul. Je sais que je gémis: je sais que moi aussi je lui prend son bouton pour le lécher. Je la sens jouir sous cette caresse, j’en suis fière. Je cherche aussi son anus que je trouve bien plus bas que là où je pensais le trouver. Je ne le caresse pas: j’entre directement en elle. Elle veux me dire quelque chose, mais quoi? Comment parler quand on suce et se fait sucer. Je subis coup sur coup des orgasmes presque malgré moi. Je la fais jouir aussi.
Je ne sais combien de fois j’ai jouis, je ne sais combien de fois elle a joui. Nous sommes crevées. Nous cessons un moment. Nous sommes même trop fatiguées pour retrouver des positions normale. Nous échangeons des commentaires sur ce que nous venons de vivre: je suis plus que contente de ce que j’ai vécu. Elle est même étonnée de de que je lui ai fait pour notre première fois
Il est encore tôt: elle me demande si je veux un gode: elle peux me baiser si s’insiste. Je lui demande si elle aussi voudrai que je le lui fasse. Bien sur, même si elle préfère les femmes, elle aime aussi jouir avec une bite dans le con. Comme je suis d’accord, même si je sais que quand je dirai à mon mari ce que je viens de faire, il me la mettra.
Elle a deux godemichets: elle me fait ouvrir les jambes, me fait sucer le gode comme un bite, le met juste çà l’entrée du vagin. C’est à moi de pousser pour qu’il entre. Elle le tient et quand il est au fond, elle commence les allers et venues. Elle profite aussi pour passer sa langue sur mon bouton. Je ne gémit pas, je cri de plaisir. Cette langue extraordinaire me donne autant de plaisir que le godemichet. Quand je jouis, cette fois je n’en peux plus. A mon tour de la baiser. Elle suce aussi son gode et elle se le met aussi. Je prends la relève pour les allers et venues. J’estime que si je le lui met dans le cul, elle en jouira davantage. Je ne me trombe pas, passé la barrière de l’anus, je le lui mets à fond. Mes vas et viens sont couronnés de succès. Je la fait jouir. Je ne l’ai pas sucé, ayant peur de ne pas réussir ma sodomie. Je suis fière de l’avoir enculée.
Je pars de chez elle avec la certitude de la revoir jeudi prochain. Je commence même à réfléchir sur les façons que je trouverai certainement pour la faire encore plus jouir.
Le soir, au lit, je décris dans les moindres détails mon après midi lesbien. Il est étonné comme je l’ai été de savoir qu’elle aimait aussi la sodomie. Mais après tout, nous sommes normales, même si nous aimons les femmes.
Je sais que je suis devenue bisexuelle, et alors où est le mal: j’en parle librement avec mon mari, même s’il voudrai participer à nos baise. Est-ce que je lui demande d’aller avec lui quand il baise sa blonde ?
J’ai une amie Maria avec qui nous partageons de délicieux moment de détente. Nous nous retrouvons chez elle. Comme elle est divorcée, vivant seule, nous pouvons nous aimer souvent en paix, les jeudi après midi, c’est une habitude que nous avons prises depuis notre première rencontre.
C’était chez une amie commune, nous bavardions de tout, surtout, comme toutes les femmes de sexe. Si notre amie commune aimait se masturber, nous en disions autant. Cette amie nous avouait un jour qu’elle avait fait l’amour avec une ancienne copine de classe. Elle s’en était presque converti au lesbianisme, tellement leurs rapports avaient étés profonds. Mais la fois suivante, elle se faisait baiser par un autre ami commun et concluait que finalement elle préférait les hommes bien membrés. J’avouais que je ne connaissais pas les rapports entre femmes et que si c’était possible j’aimerai tenter l’expérience. C’est à cet instant que Maria me disait qu’elle préférait les femmes et qu’elle était capable de me faire aimer les femmes.
Nous avions pris rendez vous chez le pour le jeudi, d’où notre choix de ce jour.
Quand j’arrivait chez elle, un peu fébrile, je me demandais où j’allais avec cette relation à venir.
Bon, j’aime jouir, comme toutes les autres je crois. J’aime certaines pratiques courantes en couple, baises, sodomie que j’aime bien, fellation, cunnilingus, annulingus que j’adore, masturbation avec ou sans mon époux, J’aime me doucher avec le jet sur mon clitoris. Bref je crois être une femme sensuelle sans plus, j’ajoute que je suis très tolérante pur les incartades de mon mari: j’aime quand il me raconte tout ce qu’il fait à une autre femme et ce qu’elle lui font. Par contre je ne lui ai pas dit que je venais faire un essai avec une autre femme: il ne m’en voudrait pas, il ne comprendrai pas, tout simplement, persuadé qu’il me donne tout ce que je veux. Je lui en parlerai après.
Je toque à la porte, Maria ouvre presque de suite. Elle ne me saute pas dessus: elle m’offre un café et pour me faire patienter, elle m’installe sur le divan dans le séjour. Je suis de plus en plus nerveuse. Je me demande dans quelle embrouille je me suis mise. Enfin elle revient servir, avec un grand sourire. Elle m’offre une tasse: je tremble un peu comme une jeune pucelle à qui on montre pour la première fois la queue de son futur.
Mari, aimable ne brusque rien. Nous bavardons: elle me dit pourquoi elle a divorcé, je lui parle de mon mari, des bons moments que nous passons tous les deux au lit. Elle sourit. Il me semble qu’elle va venir au moins m’embrasser. Elle reste toujours présente, mais lointaine avec moi.
Nos cafés terminés, elle me demande de l’aider pour laver les deux tasses. Pour deux tasses, elle pouvaient attendre. Je vais l’aider, puisqu’elle le demande. C’est dans la cuisine qu’elle s’approche de moi pour me donner un bisou qui se transforme en baiser: elle me prend dans ses bras. Me serre contre elle.
Je tremble comme une feuille, quand sa langue cherche à entrer dans ma bouche. Et pourtant je ne me dérobe plus: nous avons commencé par nous embrasser, j’entend aller jusqu’au bout: après tout jouir avec une femme, avec un homme ou mes mains, il n’y a pas grande différence. Je rends ce baisers pendant que nos langues disputent un match dans nos bouche entrouvertes. Elle prend un seins dans une main: elle le caresse avec une douceur que je ne connaissais pas encore. Elle passe cette main sous mon, t-shirt pour arriver plus facilement à mon soutien gorge qu’elle défait. Cette fois elle prend directement mon sein, mes tétons durcissent. J’ai envie de continuer. Je me laisse faire même quand elle passe une main sous ma jupe. Je sais ce qu’elle me veut: elle va me masturber. Je me laisse faire: je ferme mes yeux dans l’attente de sa main sur mon bouton et quand il y arrive, je pousse un ouf de soulagement. Elle a passé sa main sous mon string et trouvé facilement mon point faible. Je commence à sentir arriver un orgasme pas comme les autres. Quand je jouis, je suis obligée de m’accrocher à son cou pour ne pas tomber.
Nous sortons de la cuisine pour aller dans sa chambre. Elle me déshabille lentement. Je suis comme une jeune mariée, dans le temps quand son nouvel époux la mettait nue. Je n’ai pas honte, j’ai seulement envie qu’elle aille plus vite. Même si elle n’st pas pressée, elle m’embrasse tout pouce de peau découverte. Je ne pense pas avoir été ainsi traitée. Quand je suis toute nue devant elle je ne sais que faire, elle se dévêt rapidement et me couche. Je commence à aimer ce traitement. J’aime encore plus quand elle embrasse mes seins et que se bouche descend d’abord vers mon nombril et encore plus bas: elle embrasse avec sa langue sortie le pubis. Elle est presque tournée vers le bas quand avec une main elle écarte le haut de mes lèvres intimes et sa langue vient sur mon bouton. Elle ne le lèche qu’après une instant que je trouve très long. Quel bonheur d’avoir sa langue à cet endroit.
Je ne peux rien lui faire d’agréable, je le regrette, j’aimerai lui donner des caresses très chaudes. Je sens le souffle de son nez sur mes lèvres et je sursaute quant elle me met un doigt sur le minou. Elle le fait passer entre les lèvres, le rentre complètement en le faisant aller et venir. Cette fois elle m’enjambe complètement: elle me suce bien mieux. Je sens ses seins durcis contre mon ventre. Ce n’est pas tout à fait un 69, ça en est proche, en tout cas, elle me lèche toujours, une main s’égare vers mon anus. J’en suis étonnée: je ne pensais pas que les femmes se fassent ça aussi. Elle pose un doigt qui m’effleure avant de le rentrer totalement dans mon cul. Je sais que je gémis: je sais que moi aussi je lui prend son bouton pour le lécher. Je la sens jouir sous cette caresse, j’en suis fière. Je cherche aussi son anus que je trouve bien plus bas que là où je pensais le trouver. Je ne le caresse pas: j’entre directement en elle. Elle veux me dire quelque chose, mais quoi? Comment parler quand on suce et se fait sucer. Je subis coup sur coup des orgasmes presque malgré moi. Je la fais jouir aussi.
Je ne sais combien de fois j’ai jouis, je ne sais combien de fois elle a joui. Nous sommes crevées. Nous cessons un moment. Nous sommes même trop fatiguées pour retrouver des positions normale. Nous échangeons des commentaires sur ce que nous venons de vivre: je suis plus que contente de ce que j’ai vécu. Elle est même étonnée de de que je lui ai fait pour notre première fois
Il est encore tôt: elle me demande si je veux un gode: elle peux me baiser si s’insiste. Je lui demande si elle aussi voudrai que je le lui fasse. Bien sur, même si elle préfère les femmes, elle aime aussi jouir avec une bite dans le con. Comme je suis d’accord, même si je sais que quand je dirai à mon mari ce que je viens de faire, il me la mettra.
Elle a deux godemichets: elle me fait ouvrir les jambes, me fait sucer le gode comme un bite, le met juste çà l’entrée du vagin. C’est à moi de pousser pour qu’il entre. Elle le tient et quand il est au fond, elle commence les allers et venues. Elle profite aussi pour passer sa langue sur mon bouton. Je ne gémit pas, je cri de plaisir. Cette langue extraordinaire me donne autant de plaisir que le godemichet. Quand je jouis, cette fois je n’en peux plus. A mon tour de la baiser. Elle suce aussi son gode et elle se le met aussi. Je prends la relève pour les allers et venues. J’estime que si je le lui met dans le cul, elle en jouira davantage. Je ne me trombe pas, passé la barrière de l’anus, je le lui mets à fond. Mes vas et viens sont couronnés de succès. Je la fait jouir. Je ne l’ai pas sucé, ayant peur de ne pas réussir ma sodomie. Je suis fière de l’avoir enculée.
Je pars de chez elle avec la certitude de la revoir jeudi prochain. Je commence même à réfléchir sur les façons que je trouverai certainement pour la faire encore plus jouir.
Le soir, au lit, je décris dans les moindres détails mon après midi lesbien. Il est étonné comme je l’ai été de savoir qu’elle aimait aussi la sodomie. Mais après tout, nous sommes normales, même si nous aimons les femmes.
Je sais que je suis devenue bisexuelle, et alors où est le mal: j’en parle librement avec mon mari, même s’il voudrai participer à nos baise. Est-ce que je lui demande d’aller avec lui quand il baise sa blonde ?
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J aime ce genre d histoire. Je ne suis pas aux femmes, mais la sensualite m excite et
quand je lis ca avec mon copain on n a rarement le temps de se rendre jusqu a la fin.
Des que je commence a me sentir mouillee, je commence a me caresser mon copain continu
la lecture encore un peu et si je commence a gemir plus fort, il me defonce et des que
nous avons jouies tout les 2 on reprends la lecture ou il s etait arreter. Le fantasme
des hommes c est 2 femmes mais combien de femmes c est leur fantasme et qu elle ne l
avouent pas. Moi je ne l ai pas realise encore a se jour mais des que je vais en n
avoir l occasion je vais me laisser aller pour vraiment ressentir la jouissance qu
elle semble avoir. En fantasme c est une chose mais en realite ca doit etre quelque
chose. Merci de partager ces recits avec nous les lecteurs. Nous on viens de decouvrir
se site et on n a aime
quand je lis ca avec mon copain on n a rarement le temps de se rendre jusqu a la fin.
Des que je commence a me sentir mouillee, je commence a me caresser mon copain continu
la lecture encore un peu et si je commence a gemir plus fort, il me defonce et des que
nous avons jouies tout les 2 on reprends la lecture ou il s etait arreter. Le fantasme
des hommes c est 2 femmes mais combien de femmes c est leur fantasme et qu elle ne l
avouent pas. Moi je ne l ai pas realise encore a se jour mais des que je vais en n
avoir l occasion je vais me laisser aller pour vraiment ressentir la jouissance qu
elle semble avoir. En fantasme c est une chose mais en realite ca doit etre quelque
chose. Merci de partager ces recits avec nous les lecteurs. Nous on viens de decouvrir
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