ma maîtresse veut éduquer ma femme 2
Récit érotique écrit par Marcsivella [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2007 dans la catégorie Plus on est
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ma maîtresse veut éduquer ma femme 2
30 janvier 2007
Tout compte fait, le plan photos de Véronique a tourné court car plusieurs facteurs l’ont fait avorter.
Tout d’abord, son ami Karim est parti, pendant 2 semaines, faire un reportage en Inde. Quand il est revenu, Véronique a organisé la séance photo, mais elle a eu un accident de voiture qui l’a immobilisée, dans un plâtre, pendant un bout de temps. Evidemment, Marie n’a absolument pas voulu y aller sans sa ‘’copine’’.
Ce qui fait que, lorsque Véronique est revenue à la civilisation, rechapée à neuf (avec quelques jolies cicatrices, en plus), elle était d’une humeur de… chienne (le manque sans doute !). En plus, Marie était absente.
En effet, comme mon prêt immobilier avait été débloqué, j’avais annoncé à ma femme que j’allais entreprendre de grands travaux de rénovation dans cette baraque qui n’en avait pas vu, depuis fort longtemps (mes parents ayant laissé en l’état, l’héritage familial). Depuis que j’avais investi les lieux, je n’avais pas trouvé le temps de faire quoique ce soit.
Comme cela faisait un bout de temps que Marie me bassinait pour que je fasse quelque chose, j’avais décidé de me lancer dans l’aventure : à commencer par le salon, notre chambre à coucher, sans oublier l’aménagement des combles et les extérieurs.
Mais il y avait tant de choses à faire que je l’avais prévenu : pendant 1 mois, ce serait : soit ‘’Plâtre & Béton’’, soit l’hôtel !
Enfin de compte, mon épouse avait choisi de s’installer temporairement chez sa mère, pendant que moi, je m’arrangerai sur place. Je n’avais nullement l’intention de laisser le champs libre aux intervenants (maçons, peintres, etc.). Je voulais que ce soit bien fait et vite fait…
Un jour, tout en papotant, les 2 copines ont décidé d’organiser la soirée du 31 décembre, chez nous !
L’idée de faire la fête pendant les travaux ne m’emballait guère mais comme m’a dit ma femme : ‘’ au moins, aucune crainte de salir la moquette, tu vas la changer de toutes façons !’’.
Marie est donc revenue à temps de chez sa mère, pour organiser les festivités avec Véronique.
Malgré l’état de la maison, la soirée s’est superbement bien passée et j’ignore encore, combien de personnes ont dormi chez nous, après les libations!
Ils m’ont quand même ruiné pas mal de choses…
Le lendemain, au petit déjeuner… vers 16h00…, Marie m’a annoncé que, quand sa mère sera lassée de sa présence, Véronique pourra l’accueillir chez elle, pendant quelques jours, en attendant la fin des travaux.
Bon, moi, de toutes manières, je n’avais pas l’intention de quitter le chantier. Les choses allaient bon train, mais pour que cela dure, il me fallait être vigilant et surtout présent.
Le sous-sol était terminé, ainsi que la cuisine et les W.C au rez-de-chaussée. Il restait le salon, la salle à manger (peinture et tapisserie), au premier étage : les chambres, les cabinets de toilette, mon bureau, sans oublier les remises derrière notre chambre et l’escalier y menant, dehors. Ensuite, ils s’attaqueraient aux combles.
Mais comme j’avais décidé d’y mettre les moyens (au risque de les voir se bousculer), cela devrait aller assez promptement.
Pour en revenir au réveillon du Jour de l’An, nous avons accueilli une trentaine de personnes. J’en connaissais la plupart, mais Véronique m’avait demandé la permission d’inviter quelques amis à elle, qui avait l’habitude de réveillonner ensemble. Quand il y en a pour 20…
Je dois avouer qu’elle a eu une riche idée car, à cette occasion, j’ai fait la connaissance d’une de ses amies. Enfin, pas tout à fait : cette nana était, plus précisément, la fille d’une de ses amies. La mère n’étant pas disponible, Véronique avait trouvé bon d’amener la fille qui n’avait rien de prévu pour le réveillon.
Ce qui m’a intrigué, dès le moment où ma maîtresse me l’a présentée, c’est son prénom : Sévane.
Pas commun sur nos terres ! En fait, je dois le dire, j’ai été radicalement sous le charme de cette fille et le hasard, faisant bien les choses, j’ai pu, au cours de la soirée, discuter tranquillement avec elle, pendant que les autres se démenaient.
Elle m’a appris qu’elle était d’origine libano arménienne et que son prénom venait du nom d’un lac d’Arménie.
Son père était libanais et sa mère arménienne ; de pures souches mais elle, était née en Belgique. Quand ses parents ont divorcé, elle a suivi sa mère qui est venue s’installer en France, à cause de son travail. Comme cela est assez récent, elle s’est retrouvée un peu esseulée car tous ses amis étaient en Belgique.
Néanmoins, comme sa mère n’est apparemment pas du genre à rester cloîtrée chez elle, cela lui a permis de rencontrer des gens mais surtout, de dénicher une petite diaspora qui vit dans notre région.
Quand je lui ai demandé comment elle avait rencontré Véronique, elle m’a expliqué que sa mère avait fait sa connaissance lors d’un cocktail (Ah ! Véronique et les sauteries… !). Elles ont sympathisé et c’est ainsi qu’elle a croisé ma maîtresse, grâce à sa mère.
Au fur et à mesure que je parlais avec elle, cette fille me fascinait.
Je n’arrivais pas à détacher mon regard de son visage. Je me suis trouvé tout con quand, à un moment, elle m’a demandé si elle avait un vilain bouton sur le nez ! Bravo, pour ma discrétion… Mais je ne pouvais pas m’en empêcher.
Etait-ce de l’attirance ? Je l’ignore, mais tout en elle, me charmait : sa conversation distinguée, ses cheveux longs légèrement ondulés, très épais, bruns presque noirs avec des reflets auburn. Un visage délicat et des yeux d’un sombre profond. Si profond que parfois, j’avais l’impression que son regard me transperçait quand elle prenait attention à ce que je disais.
Là aussi, une chose surprenante : elle avait un pouvoir d’écoute qui me laissait croire que j’étais devenu soudain intelligent !
Nous nous découvrîmes des goûts communs, comme la peinture ou la lecture. Elle riait même à mes plaisanteries !
Comme elle se plaignait de ne pas avoir d’amis, avec qui visiter les galeries ou les musées, je m’avançais, grand Prince, à lui proposer, de l’accompagner un jour.
Ce n’est que lorsqu’elle s’éloigna de moi, qu’enfin je pris conscience qu’elle avait un corps.
Hé oui, je n’ai vu que son beau visage et son bel esprit ! Incroyable !
Quant à son corps, c’était l’Orient. Elle respirait l’exotisme. Enfin, l’idée que je m’en faisais.
Cette ‘’Orientalité’’ tout en courbes généreuses. Pas le look mannequin, mais plutôt celui d’une femme, enfin plutôt jeune femme, épanouie avec tout ce qu’il fallait et tout ce qu’il ne faudrait pas laisser s’installer au fil des ans….
Je n’arrivais pas à lui donner un âge, mais elle devait être à peine plus âgée que mon épouse et encore… Décidément je dois être attiré par les jeunettes ! Pourtant, il se dégageait d’elle une telle incroyable maturité.
J’appris aussi, avec ravissement, que ma belle orientale, avait été charmée par notre conversation.
Je n’ai pas trop insisté sur ce sujet de peur de contrarier ma maîtresse. De plus, ma femme s’était montrée un peu trop curieuse à mon goût. Cela l’avait très intriguée de me voir passer autant de temps avec cette parfaite inconnue.
Depuis l’histoire de l’autre nana, cette Manu, elle devenait suspicieuse… surtout quand il y avait des cheveux bruns qui rôdaient autour de moi !
Bref, je garde du réveillon, un très bon souvenir. En plus, Marie semblait ravie de jouer les hôtesses de maison. Elle qui, en général, fuyait la foule, s’éclatait soudain dans ce nouveau rôle.
Décidément, Véronique avait de plus en plus d’ascendance sur mon épouse. Jamais je n’aurais cru voir cette évolution, se faire si rapidement. Où alors, c’est moi qui avais été, depuis tout ce temps, très maladroit ou peu futé…
Deux jours après, Marie repartait chez sa mère et moi, je supervisais les coups de marteau dans la maison.
Malgré sa curiosité, j’interdis à ma femme de revenir chez nous, tant que les travaux ne seraient pas terminés. Je voulais lui faire la surprise de découvrir son nouveau Home.
Plus les jours passaient, plus la maison se transformait.
Le rez-de-chaussée était terminé, les 2 chambres d’amis à l’étage, la salle de bain aussi. Il ne restait que notre chambre (mais là, il y avait un mur à ouvrir), le cabinet de toilette attenant, mon bureau et les remises derrière notre chambre et mon bureau (Qui donc a bien pu concevoir une telle baraque aussi biscornue ?!).
Mais là, je suppose qu’il devait y avoir un sacré boulot à faire (sans compter l’escalier qui y mène).
Il faut dire que j’avais laissé ces deux pièces à l’abandon.
La première fois que j’ai grimpé le vieil escalier en bois, j’ai failli passer à travers ! Mais c’est lorsque j’ai ouvert la porte de l’espèce de débarras dont le mur est mitoyen avec notre chambre, que j’ai été découragé. Un vrai capharnaüm là-dedans ; j’ai préféré refermer la porte et oublier cet endroit…
Par contre pour les combles, les ouvriers les avaient maintenant aménagés pour de futures transformations.
C’est à cette période là que j’ai eu la surprise de recevoir sur mon téléphone portable, un message de la charmante libanaise, la belle Sévane.
Même si je me demandais comment elle avait fait pour avoir mes coordonnées, son message me faisait plaisir. En fait, elle se rappelait à mon bon souvenir et me remémorait ma promesse : à savoir, l’accompagner à une exposition. Justement, il y avait un vernissage dans une galerie et comme elle avait deux invitations, elle avait pensé à moi.
En plus, c’était une chance, car la galerie se situait dans une grande ville, proche de notre région, à environ 100 Kms de mon patelin.
J’ai du réfléchir avant de lui répondre car il me fallait trouver une bonne excuse pour Marie. J’étais tout de même supposé, suivre les travaux à la maison. Mais la tentation était forte…
J’inventais donc (mais pourquoi après tout ?) une raison ‘’valable’’ pour m’absenter.
Quand j’ai annoncé cela, par téléphone, à ma femme, elle n’a pas eu de réaction négative. Mais je pense que c’est surtout parce qu’elle allait bientôt s’installer chez sa copine (Qui se trouve être ma maîtresse…), le temps d’attendre la fin des travaux.
Avoir Véronique comme ‘’room mate’’ ne devait pas lui déplaire. De longues soirées de bavardages futiles, en perspective…
Dieu merci, j’étais seul à la maison, car quand je me suis préparé le matin, pour cette grande journée, j’étais excité comme une puce ! A croire que c’était mon tout premier rendez-vous galant !
J’avais convenu avec Sévane, de venir la chercher, non pas chez sa mère, mais dans la brasserie face à la gare.
Quand je suis entré dans l’établissement, un sourire radieux m’accueillit ! Cela fait toujours plaisir de se savoir attendu.
Tandis qu’elle m’assurait être ravie de me revoir, je recommençais ma vilaine manie : la dévorer des yeux !
Mais si la belle orientale s’en est rendue compte, elle n’en a rien laissé paraître. Et puis, cela ne devait pas lui être si désagréable, après tout.
Pendant tout le trajet, je ne pus m’empêcher de la détailler en catimini.
Elle aussi, semblait avoir fait des efforts vestimentaires. Elle était élégante dans son tailleur pantalon et veste noir et avec sa chemise d’homme blanche. C’était simple mais très chic. J’étais toujours aussi fasciné par sa longue et épaisse chevelure brune.
Même son trois-quarts en cuir, négligemment posé sur ses épaules, avait de la classe ! Tout était nickel, jusqu’à ses chaussures à petits talons !
J’avais bien fait de soigner ma tenue, sinon je serais passé pour un blaireau !
Alors que je conduisais la voiture, je me sentais emprunté. Heureusement que c’est elle qui a instauré le début de notre conversation, sinon, 100 Kms dans le silence… et bien c’est long !
Bref, je n’ai pas vu le temps s’écouler et nous somme arrivés vers 11 heures. Il était trop tôt pour aller déjeuner, alors nous sommes allés flâner dans le parc municipal.
Alors que nous nous promenions, c’est Sévane qui a croché tout naturellement mon bras. Cette soudaine intimité me mettait mal à l’aise. Etrange impression inexplicable, car nous ne faisions rien de mal. Néanmoins, je jetais fréquemment des regards autour de moi, comme si je me sentais coupable d’un méfait.
Elle, ne paraissait pas s’en apercevoir et continuait à me parler de ses goûts, de sa vie. Je n’ai réussi à me débarrasser de cette drôle d’impression qu’au bout de 20 minutes. Evidemment, pendant ce temps-là, mon attention s’est un peu dispersée et je n’ai pas tout suivi.
Ce n’est qu’au moment du déjeuner que je me suis réellement senti à mon aise auprès d’elle. Il y avait quand même un idée sournoise mais néanmoins perfide qui me trottait en tête : que pouvait-elle bien trouver de plaisant en ma compagnie ?
Mon choix en matière de restauration avait apparemment fait tilt : elle adorait les plats de poissons. Quant à la boisson, sans être une pocharde (j’en connaissais au moins deux…), elle semblait apprécier tout particulièrement le Chablis.
Nous nous sommes surpris à traîner à table mais le serveur nous a bien fait comprendre vers près de 14h45, que nous commencions à nous incruster un peu trop à son goût !
Nous nous sommes donc retrouvés à déambuler dans les rues et dans quelques magasins (il fallait quand même que je fasse montre de galanterie…), jusqu’à ce que la galerie ouvre ses portes.
Je dois dire que les peintures exposées, ont été plaisantes à regarder ; en particuliers, un jeune peintre qui avait un talent certain. Ma cavalière était emballée.
La journée s’est passée si vite que c’est avec regret que j’ai dû reconduire Sévane en fin de journée, à deux pas de chez sa mère.
Avant de me quitter, elle s’engagea à me rendre l’appareil en promettant de me faire découvrir la restauration libanaise. Un rapide bisou sur ma joue et elle disparût, telle un mirage.
Le chemin de retour me vit perplexe sur le déroulement de cette journée.
Aucune nouvelle pendant plusieurs jours. Les travaux avançaient et je l’avais presque ‘’rangée’’ dans un coin de ma mémoire quand, un matin, alors que j’étais au bureau, je m’aperçus qu’elle m’avait envoyé un SMS sur mon portable. Le message était simple : ‘’Midi. Devant la Poste. Déjeuner ensemble. Bise. Sévane’’. Précis, mais laconique !
Le cœur, quelque peu battant d’une manière désordonné, je me suis rendu à ce rendez-vous surprise.
Toujours autant de classe, mon Orientale !
Pas un mot d’explication sur son silence. C’était comme si elle m’avait quitté la veille…
Je m’abstenais de la questionner et je me surpris à réaliser qu’elle m’avait manqué.
Notre conversation, le déjeuner, tout se passât trop rapidement à mon goût et elle s’envola sans même un ‘’à bientôt’’ !
J’en ressentis une certaine amertume et me promis que c’était la dernière fois. Sauf que 3 jours après, je me soumis à son même diktat. Elle me fit le coup encore une fois.
Alors que j’étais en train de me jurer que c’était la der des der, elle m’annonça, avant de me quitter qu’elle m’invitait le vendredi suivant, à découvrir la cuisine libanaise, comme elle me l’avait promis. Mais cette fois, c’est elle qui m’invitait à dîner.
Pendant 2 jours, je me suis creusé la tête pour inventer un prétexte. Même si Marie squattait toujours chez Véronique, je devais être prudent. Encore heureux que cette dernière ne me tournait pas autour, toute occupée à prendre soin de sa locataire !
Sévane m’appela le vendredi matin et elle m’indiqua l’adresse du restaurant. C’est quand je le trouvais finalement que je me rendis compte que jamais, je ne l’aurais déniché seul. Caché à l’étage, au fond d’une cour, ce minuscule restaurant libanais était, on ne peut plus confidentiel.
Dès la porte franchie, j’ai tout de suite eu l’impression de me trouver dans un autre monde !
Quel dépaysement ! Le décors, les odeurs d’épice, les clients en majorité masculins, mais surtout quelques filles, dont certaines étaient voilées et qui fumaient la pipe à eau !
Incroyable, c’était la première fois que je voyais des nanas fumer le narguilé. Heu, je devrais plutôt dire la Shîsha, comme me l’a précisé Sévane (Hé oui, en plus, je suis devenu savant !).
« Si tu veux, Marc, on fumera la Shîsha toute à l’heure. Je te montrerai comment on s’en sert ».
Après le dîner, nous nous sommes installés ou plutôt engloutis au milieu d’un tas de poufs et de coussins richement brodés. Après quelques essais infructueux, j’ai quand même fini par tirer sur cette satanée pipe. Sévane m’a choisi un mélange de tabac/miel à la pomme (la fraise ne me tentait pas) ; quant à elle, elle s’est enfumée sous des volutes de menthe. Cette fille était vraiment surprenante.
Mais avant, j’ai eu le droit à un défilé de plats divers et… surprenants : baba ganouche, sambousseks, makaneks et des kellèges. Un régal !
Je dois dire que ma belle m’a scotché, même pour le choix du vin : un Kefraya. Un vin des plus vieux vignobles libanais de la plaine de la Bekaa.
Et pour me scotcher sur le vin : il m’en faut…
Affalé sur mes coussins, le ventre plein et le vin aidant, je suçotais béatement l’embout de ma pipe en lorgnant discrètement les cuisses de ma voisine. Sévane s’en doutait-elle ? Je l’ignore, en tous cas, à aucun moment, elle n’a rabattu sa jupe.
Pourtant, rien ne s’est passé entre nous. Mais, si elle m’avait fait des avances, je crois bien que je me serais laissé aller…
Et bien non ! Non seulement, nous nous sommes quittés sur un chaste baiser.
Pendant le chemin du retour, après l’avoir déposée, mon euphorie est retombée et j’ai commencé à me raisonner. Je me disais que je devais absolument mettre de l’espace entre cette fille et moi.
Sinon, ma tranquillité allait en prendre un sérieux coup et la situation deviendrait non seulement ingérable mais vite intenable entre ma femme, ma maîtresse et elle. Deux, ce n’était déjà pas facile, mais 3 !!!!
Hélas, les bonnes résolutions, c’est comme la pluie, cela ne dure guère…
J’ai fait une rechute ! Rechute qui ne m’a pas porté chance.
Quand Sévane, après m’avoir relancé 2 fois, a fini par me décider d’aller prendre un port avec elle, je suis tombé nez à nez sur ma femme en sortant de la brasserie, en compagnie de la fille. Heureusement que celle-ci a été réactive en disant à Marie que nous nous étions rencontrés fortuitement !
Cette fois, cela passait, mais pas la suivante !
Car 2 jours après, alors que j’allais chez Véronique, les rejoindre pour dîner, mon épouse m’a accueilli froidement (c’est un euphémisme….). Je me suis fait vertement engueuler car elle m’avait vu le midi même, en train de déjeuner en ville avec Sévane (décidément !). Et comme j’étais supposé être resté au bureau pour finir un dossier, cela ne cadrait pas avec ce qu’elle avait surpris. En plus, dans mon malheur, Marie était accompagnée de Véronique !
Dire que le dîner fût des plus joyeux…
Non seulement, Marie me faisait sa tête d’ampoule, mais en plus je dus subir les regards torves de ma maîtresse ! Un comble, moi qui n’avais même pas péché !!!
Aussi, quand le surlendemain, à midi, j’ai vu débouler dans mon bureau, ma femme et ma maîtresse, qui passaient là ‘’par hasard’’, je ne fus pas surpris. Je fis profil bas…
Traîné de force dans le restaurant du coin de la rue par mes deux furies, Véronique m’annonce qu’un rendez-vous a été convenu avec le photographe, ce Karim.
Comme par hasard… Ca sentait le plan fourbe ou je ne m’y connaissais pas !
Qu’avait bien pu dire Véronique, l’autre jour, après mon départ, pour convaincre Marie qui
semblait pourtant avoir oublié cette histoire de séance photos ?
Même si je me souviens de notre soirée passée chez ce Karim, cela me paraît loin maintenant.
J’avais fini par douter qu’elle réussisse à convaincre ma femme de se faire photographier par le Black.
Avant cette annonce surprise, je le regrettais un peu car l’idée d’avoir des photos, disons un peu coquine, de Marie, ne me déplaisait pas.
J’en avais voulu à Véronique de m’avoir mis cette idée dans la tête.
Quant à mon épouse, son ‘’histoire’’ de massage avortée avec le photographe Back, avait-elle laissé quelques traces.
Alors que j’y repense, assis face à elles dans ce restaurant, je ne peux pas m’empêcher de revoir la tête de ce Karim, quand ma femme, surprise par cet intrus ouvrant brusquement la porte de la chambre, l’avait envoyé valdinguer sur le lit.
Ce n’est pas charitable de ma part, mais je me marre encore (intérieurement, bien sûr…).
Ouais, en tous cas, ma pauvre Marie m’avait paru bien pensive à cette époque. Heureusement que Véronique l’avait occupée, en courant les magasins de fringues (notre compte bancaire avait commencé à flamber !). Mais pendant ce temps-là, moi je restais comme un couillon. Il s’agissait que ma maîtresse veille un peu moins sur mon épouse et un peu plus sur moi. C’était quand même un monde !
Par contre, question vestimentaire, l’évolution est frappante : elle est devenue très coquette.
Quand je regarde nos anciennes photos de vacances et que je compare à ce que Marie porte maintenant, c’est le jour et la nuit. Disparus, les vieux pulls difformes et les Jeans délavés : ils ont été remplacés par des ensembles jupes courtes ou pantalons moulants. Même ses sous-vêtements sont devenus plus sexy.
Je suis en train de m’habituer à tout ceci, un peu inquiet ; mais ma maîtresse n’arrête pas de me dire qu’il était temps que ma femme évolue.
Alors que je suis plongé dans mes pensées, Véronique m’en sort en me précisant que son ami met à sa disposition l’atelier photo qui se trouve chez lui. Par contre, ce sera le vendredi après-midi, car Karim n’est pas libre le week-end…
… Véronique a vraiment des idées de oufs ! J’aurais très bien pu déjeuner avec elles ce midi. Au lieu de cela, j’ai dû me pastiller un vieux sandwich caoutchouteux, en attendant qu’elles arrivent.
Véronique m’a dit que je ne devrai arriver que quand elle me téléphonera sur mon portable. Allez savoir pourquoi.
Enfin, elle vient de m’appeler. Je dois me présenter à la porte du studio qui est attenant à la maison de Karim.
C’est lui qui vient m’ouvrir et me guide jusqu’à son bureau. Il a l’air enchanté de me revoir ??!
Marie est bien sûr là, en compagnie du Véronique.
En regardant Karim., je m’aperçois que je l’avais vu plus clair de peau, lors de sa soirée : origine africaine et non antillaise, comme je le supposais.
Assise à côté de ma maîtresse, Marie semble empruntée.
- « Tu prends un verre avec nous ? On a déjà commencé sans toi » : Me propose Véronique.
Puis, elle me fait signe de la suivre pour que je l’aide. Dans la cuisine du mec, elle m’explique qu’elle a dû avoir la main lourde avec le Rouge lors du déjeuner, parce que, au dernier moment, Marie semblait hésiter à venir se faire photographier.
Pourtant, elles avaient choisi ensemble la tenue qu’elle devait porter pour cette séance. L’alcool aidant, mon épouse avait fini par se laisser traîner ici mais ce n’était pas gagné. Aussi, un verre ou deux de plus, ne seraient pas de trop.
Dans ma petite tête, je me dis que ma maîtresse allait finir par transformer ma femme en une vraie pocharde !
Je verse les Scotchs pour Karim et moi, quant à Véronique, elle prépare 2 cocktails à base de Rhum blanc. Je note au passage qu’elle ‘’tasse’’ celui de Marie.
Sitôt servis, les verres sont rapidement vidés, même si mon épouse paraît avoir du mal à avaler le sien, tant il est corsé.
Je regarde autour de moi : le bureau du gars est très cossu. Une porte ouverte permet d’entrevoir un petit studio de photographe.
Il nous fait entrer dans l’atelier et pendant que je m’intéresse aux différents appareils qu’il utilise pour faire ses clichés, Karim explique à ma femme comment va se dérouler la séance photos.
Tout en écoutant d’une oreille le Black, je jette des regards en direction de ma femme qui est assise dans un coin. On dirait qu’elle est plutôt nerveuse car elle se tortille sur une chaise en rajustant ses vêtements. Karim tente de l’apaiser en lui assurant qu’il sera très patient. De plus, il lui rappelle qu’il lui a promis de lui remettre les photos et les négatifs dans le cas où elle n’aimerait pas les clichés. Elle pourra ainsi les détruire.
Alors que le Black parle, il s’interrompt soudain et, s’adressant à ma maîtresse, il s’exclame : « Je devrais faire du bon boulot, regarde comme elle est belle, la Princesse !».
C’est vrai qu’elle est superbe dans son ensemble noir à rayures. Sa veste croisée laissait à peine deviner un haut en dentelle noir lui aussi, quant à sa jupe longue, je déplore qu’elle lui cache les jambes.
Elle ne porte aucun bijou, pas même sa montre. Ses longs cheveux noirs (nouvelle teinte ?) se confond avec la couleur de son ensemble et fait ressortir le bleu de ses yeux.
J’ai beau avoir une relation ‘’coupable’’ avec Véronique, je trouve ma femme vraiment belle et je l’aime.
Marie aurait dû fièrement rejeter ses épaules en arrière pour se mettre en valeur mais elle semble si empruntée.
Son sourire est crispé.
- « Sers lui un petit remontant !» : conseille Karim à Véronique. « Elle en a besoin, je pense ».
Alors que les deux filles s’éclipsent, il me détaille les autres accessoires photos, qui sont disposés dans le studio. Je remarque deux matelas mis l’un sur l’autre, face aux objectifs.
Quand il surprend mon regard, il me précise qu’il a reçu des copains mais qu’il n’a pas eu le temps de faire du rangement.
A l’invitation de Karim, nous laissons le champ libre afin que ma femme se retrouve seule devant l’objectif, fixé sur un trépied.
Suivant ses instructions, elle adopte une série de positions : debout, penchée, de trois-quarts.
Il la mitraille sous tous les angles. Je pouffe de la voir, manifestement, très nerveuse.
Karim soupire et dit : « Elle est très belle, mais elle est trop crispée pour permettre une réussite à 100%. Que dois-je faire ? ».
Véronique s’approche soudain de ma femme et elles parlent à voix basse. Elle revient bientôt vers moi et me dit que ma présence rend Marie nerveuse et l’empêche d’être naturelle. Il faut la comprendre, elle m’a vu sourire et elle a peur que je me moque d’elle.
- « Tu devrais peut être aller faire un tour en attendant que ce soit terminé ? » : Me conseille ma maîtresse.
Ah, bah ça c’est trop fort !!!
Devant mon air interrogateur, Marie me confirme de la tête, me faisant comprendre que c’est ce qu’elle souhaite apparemment.
OK, je lui dis que de toutes façons, j’ai du travail qui m’attend au bureau (mais je suis vexé).
Bon, je lui téléphonerai quand j’aurai fini, avant de venir la rechercher. Qu’elle m’attende ici avec Véronique, chez Karim.
Elle accepte, comme soulagée d’éliminer un spectateur qui risque de la ridiculiser, ce qui n’est pas mon genre. Et puis, comme Véronique reste, elle se sent rassurée.
- « Bon, je te raccompagne, suis-moi » : Me dit cette dernière.
Je fais une bise à mon épouse et salue le Black, avant de quitter le studio.
Arrivée à la porte d’entrée, Véronique ricane en me regardant.
- « T’as pas peur de la laisser avec ce Black ? Tu sais pourtant ce qui s’est passé avec lui, la dernière fois ».
Non, je n’ai pas peur car le type s’est mangé un râteau !
- « Et bien, tu as tort, je suis sûre que, te sachant parti, il va essayer de la baiser ».
Je lui rétorque que non, pas devant elle.
- « Moi ? Oh, non ! J’ai des choses à faire ».
Par bravade, je balance à Véronique que, même si on laisse Marie seule, je n’ai pas de crainte. D’ailleurs, je lui conseille qu’il serait souhaitable pour elle, qu’elle arrête de fantasmer !
Piquée au vif, ma maîtresse me jette un: « D’accord, mon vieux. Si Karim baise ta femme, ici, cette après-midi, tu me donnes 300 Euros. Cash ! Si rien ne se passe, c’est moi qui te les refile. Tu tiens le pari ? »
Trop facile pour elle, je ne serai pas là pour vérifier. Elle pourra me raconter des conneries, histoire de se faire facilement 300 Euros.
- « Ok ! C’est logique. La preuve, tu vas l’avoir ! Mais attention, interdiction d’intervenir ou alors, je raconte à ta femme que c’est toi qui a tout manigancé. Tu tentes le coup, mon petit père ou t’as peur de perdre 300 Euros ? ».
Pris à mon propre piège, je hoche la tête en silence, de peur qu’elle ne me vanne encore (Et puis, je suis tellement sûr de moi).
Elle me dit de la suivre.
Nous sortons et contournons la maison. Arrivés derrière l’atelier, elle ouvre une petite porte et me fait entrer dans une espèce de petite débarras où est entreposé un tas de bric-à-brac.
Elle referme la porte et me pousse doucement. L’obscurité est totale. Quand enfin elle s’atténue, j’aperçois, en face de moi, une toute petite ouverture.
Véronique me prend la main et me guide vers celle-ci.
« Tiens, ne fais pas de bruit et approche-toi de la vitre » : me murmure-t-elle.
C’est ce que je fais. Dès que mon visage se trouve face à la petite lucarne, je réalise qu’elle donne directement sur le studio.
Je suis même surpris d’entendre Karim qui est en train de parler à Marie.
Devant mon air interrogateur, Véronique me montre une petite bouche de ventilation à gauche de ma tête.
Voilà donc d’où viennent les sons.
- « Bon, je te quitte. Tu ne bouges pas, promis ?! » : Murmura-t-elle.
Je n’ai même pas le temps de réagir que déjà, la porte se referme, me laissant seul !
Karim parle très doucement à ma femme qui, un verre à la main (encore !) semble se décrisper.
Une fois vide, Il recommence à la photographier jusqu’à ce que Véronique apparaisse dans mon champ de vision.
Ma femme paraît soulagée de la voir entrer.
- «Alors, ça se passe bien ? ».
- « Pas vraiment, Véro. Ta copine nous fait un blocage » : répond-il.
- « Bon, vous allez faire quelques photos ensemble. Je pense que cela ira mieux ensuite ».
Véronique s’approche et il leurs fait prendre des poses différentes.
J’ai l’impression que c’est un peu mieux mais pourtant, je me rends compte que Marie n’est pas tout à fait à son aise devant l’objectif.
- « Bon, on fait une pause ! Ouf, il fait chaud ici ! Tiens, Véro, prépare-nous quelque chose à boire ».
Ma maîtresse disparaît de la pièce et revient quelques secondes plus tard avec 3 grands verres. Pendant qu’ils boivent, ma femme fait remarquer à Véronique que son cocktail est trop fort ; néanmoins, elle l’avale quand même.
- « Bon, moi, je vous laisse, je dois passer au bureau. Je reviens tout à l’heure. Allez, à plus ! ».
Je vois que mon épouse fait un peu la gueule parce que sa copine part.
Véronique sortie, Karim installe 3 projecteurs, qu’il allume et place deux espèces de grands parapluies blancs ouverts.
Il s’approche de ma femme et lui arrange les cheveux d’une main, tout en lui posant l’autre, en bas des reins pour qu’elle les cambre.
- « Bon, on n’y arrivera pas comme ça. D’abord, on va t’attacher les cheveux ! ».
Il attrape une espèce de chouchou qui traîne là, enroule les longs cheveux de Marie en les remontant et les fixent avec le lien.
« Voilà, on voit bien ta nuque ! ».
Coiffée ainsi, cela donne à ma femme un air plus sévère.
Karim tire vers elle, un des projecteurs et fait de nouveaux clichés.
Au bout de cinq minutes, Marie commence à se plaindre de la chaleur.
« Bah, évidemment, avec ce que tu as sur le dos ! ».
Tout en prononçant cela, il enlève, d’un geste anodin, la veste de Marie et la jette sur la chaise.
Passive, mon épouse n’esquisse pas un mouvement.
Je m’aperçois aussitôt qu’elle a mis en dessous de sa veste, une espèce de caraco ou plutôt de nuisette décolletée, en satin noir, maintenue sur les épaules, par deux fines bretelles.
A demie transparente, il est facile de remarquer tout de suite qu’elle ne porte pas de soutien gorge en dessous. L’absence de bretelles de soutif, ne fait que le confirmer (Véronique a encore frapper !).
Dès que le Black lui a ôté sa veste, Marie s’est instinctivement cambrée en arrière pour compenser la lourdeur de ses seins. C’est un geste qui me fait souvent rire mais qui m’agace en même temps ; à chaque fois, je lui dis que sa poitrine n’a pas besoin de cela, vu qu’elle tient toute seule.
Il prend ensuite quelques photos, mais à voir son visage, je sens qu’il n’est pas satisfait.
- « « Allez, on fait un petit break ! Ok ? Assieds-toi là, ma Belle j’arrive ! » : Dit-il en lui montrant le tas de matelas.
Il revient bientôt avec 2 nouveaux verres de jus de fruit. Vu la grimace de Marie, quand elle commence à boire le sien avec avidité, je suppose qu’il a dû encore le noyer avec une forte dose d’alcool (elle va finir par être complètement bourrée à ce train-là !).
Il s’installe à côté de Marie, sur les matelas à même le sol. Il lui parle doucement. Elle semble s’apprivoiser de plus en plus et, légèrement grisée par les verres d’alcool, elle se met à rire après une plaisanterie assez leste du type au sujet de la tenue des nanas des magazines.
Assis à quelques pas de moi, je vois Karim qui essaie de décontracter ma femme. Il passe maintenant sa main, très lentement, tout au long de son dos, en insistant à hauteur des reins (comment sait-il qu’elle adore cette caresse ?).
- « Bon, au boulot, ma chérie, ce n’était qu’un début. Tu es trop belle et j’enragerais de ne pas prendre de photos dignes de toi. A en faire rougir, les pétasses des magazines pour hommes ! Marie, je te veux plus sexy ! » : Dit-il, au bout d’un moment, en la faisant se lever des matelas.
- « C’est vrai qu’il fait chaud ici ! » : s’exclama-t-il soudain.
Le plus naturellement du monde, il retire sa chemise qu’il jette négligemment par terre.
Je note tout de suite, avec un peu d’angoisse, le regard intéressé de Marie sur le torse de Karim.
Il virevolte autour de ma femme tout en prenant des prises. Il l’encourage : « Plus sexy ! Encore ! Voilà, c’est presque ça ! ».
Docilement, elle le laisse disposer de son corps à sa guise. Seins saillants, jambes écartées, offerte à l’appareil.
J’ai l’impression qu’elle se pique à ce petit exercice. Ses joues se sont empourprées et un drôle de sourire est venu éclairer son visage. Les poses qu’elle prend maintenant, sont un brin plus’’ chaudes’’.
Tout en la photographiant, Karim tend à mon épouse son propre verre qu’elle finit d’une seule traite !
Les joues empourprées par l’alcool et la chaleur, elle se laisse guider maintenant sans aucune crainte.
- « Fais-moi disparaître cette affreuse jupe qui cache de si belles jambes. Allez, vas-y ! ».
Un drôle de sourire crispé aux lèvres, sans un mot, Marie baisse la fermeture Eclair de sa jupe et l’enjambe.
Qu’est-elle en train de penser alors qu’elle est en train de se mettre presque nue devant ce type ?
Lui ne fait aucun commentaire, se contentant de prendre quelques clichés.
- « Tourne-toi ! Baisse la bretelle gauche ! Voilà, découvre ton épaule ! ».
Marie obéit sagement, sans un mot. Je trouve son attitude passive, très étrange.
Comment peut-elle accepter de se monter ainsi devant lui, dans cette nuisette qui lui arrive à peine en haut des cuisses et avec un string qui lui couvre tout juste le sexe ! Elle serait à poil, sous ses yeux, que cela serait la même chose !
Karim, sans cesser de la mitrailler de son objectif, lui dicte des ordres de plus en plus directifs, qu’elle exécute aussitôt sans discuter : « Fais-moi face, jambes écartées ! Bien ! Les mains derrière la tête. Super ! Allez Marie, bombe ton torse, fais-moi ressortir tes seins ! Génial !... ».
Chaque injonction de sa part est suivie à la lettre. Incroyable !
- « Vas-y, ma Belle, un peu plus sexe encore! ».
Le black papillonne autour de Marie, lui faisant adopter des poses plus suggestives à chaque fois. Adroitement, il entraîne ma femme dans un étrange jeu de rôles.
La voici maintenant en train de se presser les seins par dessus sa nuisette. Ce traitement a pour effet de durcir ses tétons. Comme ils sont naturellement gros, je les vois qui pointent sous le satin.
Cuisses ouvertes, croupe offerte, je me dis qu’on est loin des photos gentiment sexy qui devaient être normalement prises dans ce studio ; surtout quand je vois Marie, suivant les conseils du Black, faire semblant de se caresser la chatte.
Cela dure depuis presque une demi heure !
- « On se fait une pause ? ». Ma femme hoche la tête.
- « Allez, une petite cigarette et après on remet cela. Vas t’asseoir, pendant que j’en prépare une » : Lui dit-il en indiquant les matelas.
Karim sort quelques instants. Quand il réapparaît, il est en train de terminer la confection d’une cigarette. Je ne suis pas un spécialiste mais sa clope a une drôle de tronche…
Il l’allume, tire un peu dessus et la tend à Marie. Je suis surpris de la voir tendre le bras, elle qui ne fume que très rarement.
- « Tire un bon coup dessus et inspire profondément » : Lui conseille-t-il. « Voilà, encore une fois » ;
La deuxième bouffée fait quelque peu tousser ma femme. Lui, cela le fait rire, l’idiot !
- «Faut que je te montre ce que j’ai déjà fait. J’aimerais bien y arriver avec toi ».
Pendant qu’il se dirige vers une commode, Marie continue de tirer machinalement sur la cigarette.
Karim fouille dans un tiroir et revient avec une grosse enveloppe Kraft.
- « Tiens, regarde un peu ça ».
A peine ma femme se lève-t-elle et fait un pas dans sa direction, qu’elle perd l’équilibre.
- « Oh, j’ai la tête qui tourne ! ».
Le Black a juste le temps de la rattraper avant qu’elle ne s’affale par terre.
- « Houla ! La petite dame a un coup de chaleur, on dirait ! Il faut qu’elle s’étende un peu. Voilà ! »: Dit Karim, en installant mon épouse sur les matelas.
Marie ne s’est même pas aperçue, qu’en s’asseyant, sa nuisette lui est remontée au-dessus des cuisses, découvrant ainsi son ventre. J’aperçois son string noir. C’est celui qu’elle s’est achetée dernièrement, en compagnie de Véronique. Un Tanga qui se noue de chaque côté avec une rosette.
-« Tiens, jette un coup d’œil pendant que je vais me verser un verre d’eau à la cuisine ».
Alors que ma chérie ouvre l’enveloppe et en sort des photos, on entend soudain un ‘’merde !’’ tonitruant, jaillir de la cuisine.
Marie lève la tête et aussitôt la replonge vers les photos. Je regarde machinalement vers la porte et totalement ahuri, je vois entrer Karim, torse nu musclé et en caleçon !
Je me rends compte qu’il est imposant. Tout comme la bosse qui déforme son sous-vêtement !
Il s’approche, presque sur la pointe des pieds, vers le tas de matelas. Arrivé près de Marie et devant son air étonné, il lui raconte qu’il vient de renverser son verre d’eau sur son pantalon.
Ma femme se contente de hocher la tête tant son attention est portée vers les photos.
Il s’installe près d’elle et se met à lui détailler les photos une à une.
J’ai beau me pencher, je n’arrive pas à les voir en détails. La seule chose dont je suis sûr, c’est que les filles qui posent, ne seront jamais bonnes sœurs !
Tout en lui demandant comment elle les trouve, il passe adroitement son bras autour de la taille de Marie.
- « Juste un petit coucou et je me sauve. J’ai oublié un dossier ici ».
Merde, j’avais oublié Véronique. Mais où était-elle passée ?
- « Tout va bien, Marie ? ».
Assis côte à côte, Karim enlace toujours mon épouse par la taille. Je m’aperçois qu’elle a posé sa tête contre l’épaule du Black.
- « Bon, j’en ai pour une petite heure et je reviens te chercher. D’accord ? ».
Marie acquiesce mollement et, à sa façon de rester collée contre le type, je me demande si elle a réellement compris sa copine.
Véronique sort de l’atelier, non sans avoir adressé un petit sourire à Karim.
Sitôt ma maîtresse sortie, il complimente ma femme sur son ‘’travail’’, déjà réalisé, il lui assure qu’elle peut en faire autant, si ce n’est mieux que ces nanas.
Elle se contente de ricaner nerveusement alors qu’il dépose sur sa joue, un chaste baiser.
- « Si ! Si ! J’en suis persuadé, ma Belle ! » : Assure-t-il. Mais pour cela, il faut te détendre, tu es toute nouée !
Il se penche en arrière et, avec des gestes très doux, il se met à masser le cou de Marie. Les doigts du type parcourent maintenant son dos. Mon épouse ferme les yeux.
En silence, les mains remontent et se posent sur le haut des épaules, puis alors qu’elles redescendent le long des avant-bras, elles font adroitement glisser les fines bretelles de la nuisette de Marie.
Karim se penche et embrassa doucement ma femme dans le cou. Je la vois tressaillir !
La scène n’avait rien de hard, mais il s’en dégage une sensualité incroyable.
A plusieurs reprises, il effectue innocemment ces mouvements sur les bras de ma femme, si bien qu’à un moment, le satin, fluide, se met à glisser tout seul, centimètre par centimètre,
Un dernier passage sur les avant-bras et je vois, atterré, les seins de ma femme qui se dévoilent peu à peu !
Mais c’est en découvrant ses deux mamelons érigés comme des tétines que je sens monter en moi une belle érection.
Quand il colle son corps contre le sien, elle ne réagit même pas !
Voir ma chérie, dans cette position, la poitrine exposée à la vue de ce type m’excite au plus haut point. J’entends le sang battre contre mes tempes.
Mais qu’est-ce qu’il me prend ! Je devrais me comporter autrement. Comme la dernière fois, lors de la séance de massage avortée avec ce Karim, mes sentiments sont contradictoires : un soupçon d’incrédulité, un gros rien de jalousie mêlés à cette étrange sensation de plaisir ( ?) d’épier ma femme avec ce type, sans qu’elle le sache.
Nous sommes tout de même bizarrement foutus, nous les hommes…
Il continue à la caresser doucement, l’air de rien. Il s’applique, plus particulièrement, à passer sa main droite entre le cou et la naissance de la poitrine de Marie ; de gauche à droite, puis de droite à gauche. A chaque lent passage, je me rends compte que sa main glisse peu à peu, jusqu’à ce que l’un de ses doigts effleure, comme par hasard, un des mamelons qui se met à se durcir un peu plus. Je vois Marie frissonner quand l’autre recommence le même frottement lent.
« Recule-toi un peu » : Lui dit-il en l’attirant vers lui alors qu’il s’adosse contre le mur.
Merde ! Je suis obligé de me tordre le cou pour mieux voir.
Ah ! Quand il trouve enfin la bonne position, je peux me redresser. Ils sont presque à côté de moi. Seul un mur nous sépare.
Il a réussi à passer son bras gauche autour de la taille de Marie. Elle s’est laissée aller tout contre lui, la tête posée contre son épaule.
Est-ce le fruit du hasard si sa main droite est posée sur ce sein dénudé ?
Cette main qui soudain se met à remuer lentement sur la chair nue. Marie se cambre sous la caresse et quand Karim se penche vers elle, sa bouche s’ouvre docilement sous les lèvres du Black.
Baiser passionné, juste sous mon nez !
Tout en embrassant ma femme, la main gauche du gars s’anime discrètement.
Le salaud ! Il est en train de dénouer adroitement, la rosette qui maintient le string de Marie.
Voilà, c’est fait, les cordons pendent sur le matelas !
Sa bouche abandonne les lèvres de mon épouse et vient se plaquer sur un mamelon. Pendant que Marie frissonne, l’autre s’agite. Je comprends son petit manège quand je vois disparaître son bras entre leurs deux corps.
Je suis sûr qu’il est en train de retirer l’autre cordon !
Alors qu’il bougeait, la main de ma femme s’est retrouvée sur la cuisse du gars.
J’entends un bruit de succion et à en croire les gémissements de Marie, ce ne doit pas être désagréable. D’ailleurs, il me suffit de constater que ma chère et fidèle épouse, effleure maintenant la jambe de son voisin.
Il se relève brusquement et aplatit sa bouche sur celle de sa conquête. Dans le même temps, je le surprends qui attrape la main posée sur sa cuisse et la pose d’autorité sur sa braguette gonflée, sans aucun doute, par le désir.
Le baiser fougueux doit émoustiller ma chérie car, après quelques caresses hésitantes, sa main s’enhardie.
C’est ce que devait attendre le Black car il vient de porter la sienne vers son caleçon. Il le déboutonne et en extirpe une queue raide, de très belle dimension. Directif, il saisie la main de Marie et la plaque sur sa bite.
La vache, j’ai bien failli crever de trouille quand une main est venue se poser sur mon épaule.
Je ne l’ai même pas entendue entrer !
- « Merde, Véronique, tu m’as fait une de ces peurs ! ».
- « Chut, ils vont nous entendre ! » : murmure-t-elle. « Alors, ça te plaît ? ».
Pourquoi elle me demande cela, la salope !
Mes yeux sont scotchés sur la main de son copain qui glisse maintenant vers le string noir de ma femme. Comme il a déjà dénoué les attaches, il n’a aucun mal à repousser le tissu.
Fasciné, je regarde les doigts du type disparaître entre les cuisses de ma femme.
Marie se met à gémir et sa main se crispe sur la queue qu’elle a empoignée.
Soudain, étrangement, Marie essaie de se dérober et s’offusque : « Arrêtez de faire ça, c’est pas bien. Je suis mariée ! ».
Ca, nous le savons tous ici...
Ses protestations me semblent un peu tardives…
De toutes façons, l’autre s’en fout royalement !
Pendant que je vois sa main s’agiter entre les cuisses de ma femme, il lui distille : « Laisse-toi faire, ma belle, je vais te faire jouir. Tu vas aimer ! ».
Les gesticulations de Marie vont en diminuant au fur et à mesure que le bras du Noir s’agite de plus en plus vite.
Peu à peu, je remarque que les jambes de mon épouse s’entrouvrent imperceptiblement. Quand ses protestations font bientôt place à de profonds gémissements, ses cuisses s’écartent franchement.
Je n’ai aucun mal à découvrir deux doigts de Karim qui vont et viennent lentement dans la chatte de Marie.
- « Regarde bien ! Maintenant, tu vas voir comment on gagne un pari ! ».
Me prenant la tête, Véronique la presse contre la lucarne.
Le type vient de faire basculer ma femme sur le tas de matelas. Puis, s’allongeant sur elle, il saisit ses jambes et les passe autour de son cou.
- « Regarde ! » : me murmure une nouvelle fois ma maîtresse, d’une voix excitée.
Pour voir, je vois !
Oh oui, je vois ce salaud empoigner sa grosse bite noire et la diriger entre les cuisses ouvertes. Un coup de reins et il enfile son gros gourdin dans la chatte offerte.
Dès qu’il remue en elle, Marie émet comme un son rauque. Ses gémissements se font de plus en plus fort au fur et à mesure que l’homme accélère la cadence.
Je ne sais plus comment je m’appelle !
Collée derrière moi, je sens le souffle chaud de Véronique et, pendant que le Black pilonne ma femme, tel un métronome, j’entends une voix rauque qui me susurre vicieusement à l’oreille :
- « Regarde, comme il baise bien ta femme, ce négro. Elle va prendre son pied, ta petite salope ! J’te parie qu’après, elle ne pourra plus s’en passer ».
Ma tête bourdonne.
Perverse, elle insiste : « J’te jure, après y avoir goûté, elle sera accro ! Elle ne pensera plus qu’à une chose : se faire enfiler par de grosses bites noires ».
Incrédule, je tourne ma tête vers Véronique. Mais qu’est-ce qu’elle raconte ?!
Avec un rictus un rien pervers, elle enfonce le clou :
- « Ca t’étonne ? Mais je la connais bien, ta Marie, Marc. T’es aveugle, au quoi ? Ta femme ? Mais ce n’est qu’ une petite salope qui ne veut pas se l’avouer. Fallait pas l’isoler chez toi ! Maintenant qu’elle est en train d’y goûter, t’auras du mal à la faire revenir en arrière ».
Je n’y comprends rien. Je ne l’ai jamais enfermée, c’est elle qui ne voulait pas sortir !
Devant mon air ébahi, Véronique se méprend sur mes interrogations ; elle en rajoute, pensant que j’abonde dans son sens: «Ca se passe comme on le voulait, non ? D’ailleurs, je vais m’arranger pour qu’elle ose me parler de sa petite histoire de cul, tu peux en être sûr ! Et puis, je vais tout faire pour ! Et tu sais ? Et bien moi, fais-moi confiance, je vais l’aider, en bonne copine ! Tu verras… Tu me connais, elle finira même par me supplier pour que je lui trouve de belles grosses queues de blacks».
J’ai la tête en feu. Ses paroles entrent dans mon cerveau comme autant de fers rouges.
Mais qu’est-ce qu’elle me dit ?
Tout en murmurant, ses doigts tripotent ma braguette et en extirpent adroitement ma queue. Elle se met à jouer avec mon gland presque douloureux.
J’ai les jambes en coton. Elle doit s’en apercevoir car, elle ajoute perfidement : «… Mais qu’est-ce que tu crois ? C’est moi qui ai tout arrangé. On va en parler toutes les deux et je vais l’encourager. Je vais même lui dire que tu aimerais bien la voir se faire draguer».
Quoi, draguer ???
- « Chéri, c’est pour nous ! Il faut qu’elle se sente bien coupable et qu’elle nous foute la paix. Je vais si bien l’éduquer ta femme, que je vais en faire une vraie petite pute ! Et tu vas aimer ça, crois-moi ! Oh oui, tu vas bander comme maintenant, quand tu la regarderas se faire baiser par toutes ces grosses queues ! ».
Je dois avoir l’air con à la fixer ainsi, avec des yeux de veau.
Elle poursuit comme pour enfoncer le clou : « Puis, je suis même sûre qu’elle aimerait se faire enculer ! »
Je suis paumé mais je dois l’admettre, excité aussi, alors que Véronique me branle la queue de plus en plus vite.
Véronique me conseille de bien profiter du spectacle, après tout je vais payer pour cela !
Elle s’agenouille devant moi et avale ma bite. Pendant qu’elle me suce, je colle mon visage, la tête vide, contre la lucarne.
Le type continue à baiser Marie, comme un fou. J’entends ses gémissements ininterrompus. Soudain, elle jette un grand cri et son corps est secoué par de violents de spasmes.
Karim s’écroule sur elle, toujours enfoncé dans son ventre.
Ils restent ainsi un long moment.
Peu à peu, les pieds de mon épouse recommencent à s’agiter dans le dos de son amant.
En veut-elle encore ?
Sans doute, car il la besogne à nouveau, très énergiquement.
Je ne reconnais plus ma femme, elle est déchaînée !
Même ici, derrière ce mur, je peux entendre le corps de Karim qui claque contre le ventre de Marie. Je vois maintenant le bassin du Black qui se soulève et retombe violemment. A chaque coup de butoir, il pousse un braillement sourd.
Soudain, elle se mit à hurler des obscénités au milieu de ses cris de plaisir.
Jamais je ne l’ai vu ni entendu comme cela !!!
Une décharge électrique me parcourt l’échine et je ne peux m’empêcher de décharger dans la bouche de Véronique.
Pendant que je suis secoué par des contractions, ma vicieuse maîtresse se lève et tout en s’essuyant la bouche, avec un large sourire, me balance :
- « Maintenant, la touche finale ! ».
Elle sort aussitôt, me plantant là avec mon pantalon tirebouchonné sur les chevilles !
Je porte mon regard vers l’atelier, à travers la lucarne.
Ma femme gît sur les matelas, les yeux fermés.
De dos, le black est en train de boire de l’eau à même la bouteille. Quand il se retourne, je note que son sexe s’est tout juste ramolli. Mais même sans érection, j’envie ce salaud d’avoir une queue pareille.
Un peu moins de la moitié de la mienne, quand je bande et d’une épaisseur étonnante. Je comprends mieux pourquoi ma chérie hurlait toute à l’heure…
Karim s’approche de Marie et lui ordonne de se lever. Ma femme obéit docilement. Elle semble si fragile à côté de lui.
Il se place derrière elle et enlace son buste. Ses grosses mains partent envelopper la poitrine dénudée.
Dès qu’il se met à lui pétrir rudement les seins, en étirant parfois les tétons, Marie se met à gesticuler sur place en poussant des petits cris.
Il tourne la tête de Marie vers lui et l’embrasse à pleine bouche, pendant qu’une de ses mains se plaque sur la chatte exposée.
A peine étonné, je constate que ma Belle écarte d’elle-même les jambes. Il en profite pour insinuer sa main entre ses cuisses.
J’ai un brusque mouvement de surprise quand il retourne mon épouse dans ma direction.
Non, ils ne peuvent pas me voir ! Pourtant, ils sont à moins de 2 mètres de moi.
Il lui fait poser un pied sur le tas de matelas. Les jambes ainsi écartées, ses doigts viennent crocheter le sexe ouvert dans lequel il en introduisit deux. Tout de suite, il commença à les remuer lentement.
Les mouvements de va-et-vient se font plus nerveux et ma femme desserre encore plus ses cuisses. Il accélère la cadence de ses doigts dans le ventre de Marie.
Très vite, elle rejette sa tête contre le torse du Noir et se met à feuler comme une bête.
La scène est incroyable et je sens soudain, que je bande à nouveau !
Le contraste est saisissant entre cette tête blanche sur le corps noir du type.
Bizarrement, une nouvelle vague de jalousie m’envahit. Pourtant, je me traite de con car j’ai laissé faire cela.
Je dois m’habituer à admettre que je ne suis qu’un sale petit voyeur qui prend son pied à mater sa femme se faire baiser par un autre. Véronique avait raison, j’y prends goût !
- « A genoux, ma petite pute ! ».
Comment ma femme peut-elle accepter de se faire insulter ainsi ?!
Pourtant, elle obtempère docilement. Agenouillée, elle saisit la trique face à elle et elle se met à lui donner des petits coups de langue en insistant sur le gland violacé du type.
Elle gobe la grosse bite quand il lui commande de le faire.
Sa bouche a des difficultés à avaler entièrement la queue du Black, tant elle est dimensionnée.
Sans qu’il lui ordonne, elle se met à jouer avec ses grosses couilles allant jusqu’à les lécher !
Si ses yeux sont fermés, c’est certainement plus à cause du plaisir qu’elle ressent que par honte.
Je ne la savais pas aussi salope que ça ! Encore une découverte !
Au bout d’un moment, satisfait sans doute, il lui dit brusquement de s’allonger. Soumise, elle va vers le tas de matelas. Il la rejoint et s’allonge sur le dos. Son sexe fait quasiment un angle droit !
J’en ai presque des complexes et je ne peux m’empêcher de regarder le mien tristement ; je ne pourrai jamais lutter !
Il lui dit quelque chose mais je ne saisis pas ses paroles jusqu’à ce que je voie Marie l’enjamber.
A genoux sur son ventre, face à lui, les cuisses largement écartées, elle se relève légèrement pendant qu’il empoigne sa bite.
Putain, la vache ! Il est vraiment monté comme un âne, le salaud !
Il positionne son gland épais devant le sexe de mon épouse et soulève son bassin. Dès qu’il est emmanché, il saisit les hanches de ma femme et l’attire lentement vers lui.
Marie se cabre en poussant un râle et je vois distinctement chaque centimètre de sa hampe, s’enfoncer dans la chatte.
Comment une petite bonne femme, comme elle, peut engloutir un gourdin aussi gros ?!
Karim la tient solidement par la taille et, patiemment, lui fait prendre le rythme du coït.
Chaque fois qu’elle rabaisse ses fesses, Marie souffle de tous ses poumons.
Quand il entreprend d’appuyer vigoureusement ses premiers coups de reins, elle n’a déjà plus la force de crier.
Echevelée, le regard absent, sa bouche grande ouverte n’émet aucun son ; ce n’est que lorsqu’il s’enfonce complètement et que sa queue disparaît totalement qu’elle pousse alors un cri rauque qui est salué d’un ‘’han’’ de bûcheron.
C’est la première fois que je vois ma femme se perdre ainsi.
Elle n’est plus qu’une femelle pantelante et infiniment désirable !
Ce Black est en train de me faire découvrir une autre Marie que je n’avais jamais soupçonné durant nos ébats (J’ignore encore combien de temps, il la baisa ainsi, mais cela me sembla, à ce moment là, une éternité).
C’est juste au moment quand je l’entends hurler son orgasme, la tête rejetée en arrière, que j’ai la surprise de découvrir Véronique entrant dans l’atelier.
Marie ne peut pas remarquer sa présence puisque, toujours empalée sur le Black, elle est de dos.
Mais quand sa copine balance un : - « Oh, désolée ! Pardon, je ne voulais pas ! ».
C’est à ce moment précis que ma chère et tendre épouse fait un bond de cabri, comme si un serpent venait de la mordre!
Livide, les yeux hagards et les cheveux trempée par la sueur, elle fixe, muette de saisissement, sa meilleure amie qui vient de la surprendre, nue et assise à califourchon sur un mec.
Les ‘’Beuuuu… Heuuu..’’ qu’elle réussit à émettre lamentablement, ne sont guère convaincants.
Faut dire que la scène est suffisamment explicite !
Véronique prend son temps avant de sortir de l’atelier, non sans avoir lancé à ma femme un drôle de regard.
Il faut tout de même quelques minutes avant que Marie ne retrouve tous ses esprits et se rhabille précipitamment.
Ce n’est que lorsque Karim quitte la pièce que ma maîtresse réapparaît.
Marie, assise, sur les matelas, sanglote. La peur des conséquences, sans doute…
Non sans un ‘’t’es vraiment une belle salope !’’, Véronique tente de la rassurer. Elle lui promet de ne rien dire de ce qu’elle vient de découvrir, surtout à moi.
Après tout, entre amies intimes, c’est tout à fait normal.
Avec la maîtrise d’un Machiavel en jupons, elle met toute sa science à l’embobiner.
Elle lui explique qu’elle la comprend. Après tout, elle est jeune et c’est normal. Et puis, je suis souvent absent.
- « Enfin, à partir du moment où ton mari l’ignore, cela ne peut pas lui faire du mal » : confie-t-elle à sa ‘’copine’’. « Après tout, il fait peut être la même chose de son côté : la preuve, tu l’as déjà surpris avec deux nanas ».
La salope ! Elle me fait quoi comme plan ?!
- « Et puis, ce sera notre petit secret. Après tout, je suis discrète et je t’aime beaucoup. D’ailleurs on ne sait jamais, je peux t’aider en cas de besoin. Je connais beaucoup de mecs qui seraient ravis de faire ta connaissance. On est complice ou pas ? ».
Marie acquiesce de la tête.
Cela a à l’air de fonctionner car, je m’aperçois que, non seulement ma chère femme ne pleure plus mais qui plus est, écoute avec un certain intérêt, ce que lui dit son amie.
- «Après tout, entre filles, il faut s’entraider. Mais avant, dis-moi, honnêtement : t’as pris ton pied ? Il t’a bien baisé ? ».
Mon épouse baisse la tête, mais hoche timidement la tête.
- « Bah alors, pourquoi t’en priver, ma fille ? Tu sais que ton mec est en relation d’affaires avec moi et que je connais personnellement son patron ? ».
Nouveau hochement de tête.
Véronique poursuit : - «Ok ! Et bien, je peux très bien m’arranger pour que parfois, il doive partir en tournée ; quitte à ce que j’en organise moi-même et que je l’occupe. Ta maison est tellement isolée dans la campagne que tu peux facilement et sans risque, recevoir qui tu veux en toute discrétion. Et puis, en cas de problème, je te préviens. C’est mieux que de traîner en ville et de te faire surprendre, comme ton mec que tu as choppé la dernière fois, non ?».
Nous y voilà…Elle est quand même trop forte !!!
J’ignore ce que peut penser Marie de ce que lui propose sa copine, mais elle l‘écoute avec beaucoup trop d’attention à mon goût.
- « Tu sais, ma chérie, si tu veux être tranquille, tu dois faire toi aussi quelques efforts, non ? ».
Devant les sourcils en points d’interrogation de mon épouse, Véronique poursuit :
- « Bah oui, si tu veux avoir un peu de liberté et un petit jardin secret, il faut que tu ‘’occupes’’ ton mec. Donnes-lui un peu de ce dont il a envie. Il doit bien avoir des fantasmes ? ».
Comme ma femme n’a pas l’air de comprendre, elle précise sa pensée :
- « J’ai cru comprendre qu’il souhaitait que tu sois moins écolo et maintenant, tu commences à être canon. C’est bien même s’il reste encore des changements à faire ( ?). Maintenant, il faut que tu sois sexy en diable. Je ne veux pas dire que tu dois t’habiller comme une pute, quoique les mecs aiment ça ; mais fringues-toi encore plus ‘’sexe’’. Mets des trucs hyper décolletés, hyper courts, des fringues transparents. Si tu fais bander les mecs, rien qu’en te regardant, le tien sera super fier. En plus, tu m’as dit qu’il n’était pas maladivement jaloux, n’est-ce pas ?» ;
Marie lui confirme ce fait.
- « Ah, tu vois ! Et bien, la semaine prochaine, je t’emmène avec moi dans une boutique spécialisée. Tu es d’accord ? ».
Marie fait un hochement de tête affirmatif.
- « Et puisqu’on en est aux confidences, je vais te dire un petit secret. Ne vas pas lui rapporter ce que je vais te dire, hein ? » - (Signe de dénégation de ma femme) – « Lors de la soirée chez Karim, il t’a vu danser étroitement collé à lui. Et tu sais, ce qu’il m’a confié, ton mari, après ? Et bien, ça l’a fait bander de te voir ainsi. Il n’en revenait pas. Mais te mater en train de te faire draguer, ça lui a plus. Mais il pense que c’est parce que tu avais picolé. Il est persuadé qu’autrement, en temps normal, tu es trop coincée. Tu vois, je suis sûre qu’il aimerait bien que tu sois un peu plus salope, enfin coquine, je veux dire… ».
- « Non, t’es folle !!? ». Mon épouse n’en revient pas.
- « Fais-moi confiance. Je suis ta meilleure amie, non ?! D’ailleurs, après ce que je viens de voir, je n’ai plus d’hésitation, je vais te faire rencontrer certains de mes amis. Tu vas voir, je vais te sortir, moi !! ».
Ma maîtresse termine ainsi son long déballage commercial.
- « Mais attention, pour l’instant, sois prudente car, si ton mec prend son pied à te voir te faire draguer, il n’est sans doute pas encore disposé à ce que tu te fasses baiser devant lui. Les mecs ne sont pas jaloux, tant qu’ils pensent pouvoir maîtriser la situation. Tu comprends ? ».
Marie semble enregistrer ce que Véronique lui explique.
Cette dernière continue :- «Te faire draguer, oui, puisqu’il semble aimer cela ; te faire culbuter devant lui, non ! Pas encore tout de suite, en tous cas ! Mais si tu te débrouilles bien et que tu lui mets la pression, peut-être qu’un jour, tu pourras te faire baiser sans avoir à te cacher… ».
Je suis sur le cul : pas une fois, Marie n’a protesté ni refusé !
- « Oui, mais je ne veux pas qu’il saute des pétasses, moi ! » : Proteste mon épouse.
- « Mais Marie, t’as rien compris ! C’est toi qui dois l’amener à réaliser ce que tu veux ! Tu dois lui faire croire que cela vient de lui mais que tu n’es pas prête à accepter qu’il te trompe. T’inquiète, ma chérie, je t’aiderai ».
Mais où donc va-t-elle chercher tout cela...
- « Bon, refais-toi une beauté. Je vais téléphoner à Marc pour lui dire que je te raccompagne chez toi. Cela vaut mieux, n’est-ce pas !? »: S’esclaffe Véronique.
Juste avant de les voir sortir de l’atelier, j’entends ma maîtresse dire à mon épouse : «Et n’oublies pas ce que je viens de te confier. Si tu veux garder ton mari et t’envoyer en l’air tranquillement, fais le bander ! Mais ne racontes pas tes petites histoires, ça c’est uniquement entre toi et moi!».
Putain, comme cette nana est redoutable ! Ma femme semble avoir été emberlificotée de première !...
… Vite fait, je suis sortie de la remise sans me faire voir.
Je leurs ai laissé assez de temps avant de rentrer à la maison. Lorsque je suis arrivé, elles étaient toutes les deux en train de prendre un café. Aucun commentaire sur la séance photos et je n’en ai pas parlé non plus.
Seule, Véronique m’a annoncée que la journée s’était bien passée.
Il me semble avoir vu Marie rougir… Sa tête était défaite !
Prétextant la fatigue, mon épouse est allée se coucher, juste après le départ de ma maîtresse. Une fois au lit, elle a dû s’endormir comme une bûche !
Quand, le matin, je suis parti de la maison sans faire de bruit, Marie dormait encore !
Pas étonnant…
Depuis 3 jours, j’essaie de joindre Véronique, mais impossible car elle est en déplacement et son portable ne répond pas.
J’attends la suite.
Je suis à la fois inquiet et impatient de voir comment les choses vont se dérouler.
Depuis 3 jours, Marie, tout en étant tendue, se montre adorable avec moi. D’ailleurs, avant quand nous sortions hier, elle m’a demandé de l’aider à choisir ses fringues.
Je ne sais pas ce qui m’a pris mais je lui ai fait remarquer qu’elle pourrait s’acheter des choses un peu plus sexy.
- « Ah, tu crois ? Mais cela ne te fait rien si les mecs me matent? ».
Je l’ai assuré que je serai très fier de les voir baver sur un bijou qu’ils ne pourront jamais s’offrir…
- « Ah bon, je n’osais pas car je pensais que tu serais jaloux. Bon, d’accord, si c’est pour te faire plaisir, je vais demander à Véronique de venir faire les magasins avec moi. A moins que tu veuilles qu’on les fasse ensemble ?».
Là, elle est trop forte car elle sait que je n’aime pas faire du shopping. Elle apprend vite, ma coquine…
Bon, j’ai hâte que Véronique revienne. J’ai quelques mots à lui dire….
Tout compte fait, le plan photos de Véronique a tourné court car plusieurs facteurs l’ont fait avorter.
Tout d’abord, son ami Karim est parti, pendant 2 semaines, faire un reportage en Inde. Quand il est revenu, Véronique a organisé la séance photo, mais elle a eu un accident de voiture qui l’a immobilisée, dans un plâtre, pendant un bout de temps. Evidemment, Marie n’a absolument pas voulu y aller sans sa ‘’copine’’.
Ce qui fait que, lorsque Véronique est revenue à la civilisation, rechapée à neuf (avec quelques jolies cicatrices, en plus), elle était d’une humeur de… chienne (le manque sans doute !). En plus, Marie était absente.
En effet, comme mon prêt immobilier avait été débloqué, j’avais annoncé à ma femme que j’allais entreprendre de grands travaux de rénovation dans cette baraque qui n’en avait pas vu, depuis fort longtemps (mes parents ayant laissé en l’état, l’héritage familial). Depuis que j’avais investi les lieux, je n’avais pas trouvé le temps de faire quoique ce soit.
Comme cela faisait un bout de temps que Marie me bassinait pour que je fasse quelque chose, j’avais décidé de me lancer dans l’aventure : à commencer par le salon, notre chambre à coucher, sans oublier l’aménagement des combles et les extérieurs.
Mais il y avait tant de choses à faire que je l’avais prévenu : pendant 1 mois, ce serait : soit ‘’Plâtre & Béton’’, soit l’hôtel !
Enfin de compte, mon épouse avait choisi de s’installer temporairement chez sa mère, pendant que moi, je m’arrangerai sur place. Je n’avais nullement l’intention de laisser le champs libre aux intervenants (maçons, peintres, etc.). Je voulais que ce soit bien fait et vite fait…
Un jour, tout en papotant, les 2 copines ont décidé d’organiser la soirée du 31 décembre, chez nous !
L’idée de faire la fête pendant les travaux ne m’emballait guère mais comme m’a dit ma femme : ‘’ au moins, aucune crainte de salir la moquette, tu vas la changer de toutes façons !’’.
Marie est donc revenue à temps de chez sa mère, pour organiser les festivités avec Véronique.
Malgré l’état de la maison, la soirée s’est superbement bien passée et j’ignore encore, combien de personnes ont dormi chez nous, après les libations!
Ils m’ont quand même ruiné pas mal de choses…
Le lendemain, au petit déjeuner… vers 16h00…, Marie m’a annoncé que, quand sa mère sera lassée de sa présence, Véronique pourra l’accueillir chez elle, pendant quelques jours, en attendant la fin des travaux.
Bon, moi, de toutes manières, je n’avais pas l’intention de quitter le chantier. Les choses allaient bon train, mais pour que cela dure, il me fallait être vigilant et surtout présent.
Le sous-sol était terminé, ainsi que la cuisine et les W.C au rez-de-chaussée. Il restait le salon, la salle à manger (peinture et tapisserie), au premier étage : les chambres, les cabinets de toilette, mon bureau, sans oublier les remises derrière notre chambre et l’escalier y menant, dehors. Ensuite, ils s’attaqueraient aux combles.
Mais comme j’avais décidé d’y mettre les moyens (au risque de les voir se bousculer), cela devrait aller assez promptement.
Pour en revenir au réveillon du Jour de l’An, nous avons accueilli une trentaine de personnes. J’en connaissais la plupart, mais Véronique m’avait demandé la permission d’inviter quelques amis à elle, qui avait l’habitude de réveillonner ensemble. Quand il y en a pour 20…
Je dois avouer qu’elle a eu une riche idée car, à cette occasion, j’ai fait la connaissance d’une de ses amies. Enfin, pas tout à fait : cette nana était, plus précisément, la fille d’une de ses amies. La mère n’étant pas disponible, Véronique avait trouvé bon d’amener la fille qui n’avait rien de prévu pour le réveillon.
Ce qui m’a intrigué, dès le moment où ma maîtresse me l’a présentée, c’est son prénom : Sévane.
Pas commun sur nos terres ! En fait, je dois le dire, j’ai été radicalement sous le charme de cette fille et le hasard, faisant bien les choses, j’ai pu, au cours de la soirée, discuter tranquillement avec elle, pendant que les autres se démenaient.
Elle m’a appris qu’elle était d’origine libano arménienne et que son prénom venait du nom d’un lac d’Arménie.
Son père était libanais et sa mère arménienne ; de pures souches mais elle, était née en Belgique. Quand ses parents ont divorcé, elle a suivi sa mère qui est venue s’installer en France, à cause de son travail. Comme cela est assez récent, elle s’est retrouvée un peu esseulée car tous ses amis étaient en Belgique.
Néanmoins, comme sa mère n’est apparemment pas du genre à rester cloîtrée chez elle, cela lui a permis de rencontrer des gens mais surtout, de dénicher une petite diaspora qui vit dans notre région.
Quand je lui ai demandé comment elle avait rencontré Véronique, elle m’a expliqué que sa mère avait fait sa connaissance lors d’un cocktail (Ah ! Véronique et les sauteries… !). Elles ont sympathisé et c’est ainsi qu’elle a croisé ma maîtresse, grâce à sa mère.
Au fur et à mesure que je parlais avec elle, cette fille me fascinait.
Je n’arrivais pas à détacher mon regard de son visage. Je me suis trouvé tout con quand, à un moment, elle m’a demandé si elle avait un vilain bouton sur le nez ! Bravo, pour ma discrétion… Mais je ne pouvais pas m’en empêcher.
Etait-ce de l’attirance ? Je l’ignore, mais tout en elle, me charmait : sa conversation distinguée, ses cheveux longs légèrement ondulés, très épais, bruns presque noirs avec des reflets auburn. Un visage délicat et des yeux d’un sombre profond. Si profond que parfois, j’avais l’impression que son regard me transperçait quand elle prenait attention à ce que je disais.
Là aussi, une chose surprenante : elle avait un pouvoir d’écoute qui me laissait croire que j’étais devenu soudain intelligent !
Nous nous découvrîmes des goûts communs, comme la peinture ou la lecture. Elle riait même à mes plaisanteries !
Comme elle se plaignait de ne pas avoir d’amis, avec qui visiter les galeries ou les musées, je m’avançais, grand Prince, à lui proposer, de l’accompagner un jour.
Ce n’est que lorsqu’elle s’éloigna de moi, qu’enfin je pris conscience qu’elle avait un corps.
Hé oui, je n’ai vu que son beau visage et son bel esprit ! Incroyable !
Quant à son corps, c’était l’Orient. Elle respirait l’exotisme. Enfin, l’idée que je m’en faisais.
Cette ‘’Orientalité’’ tout en courbes généreuses. Pas le look mannequin, mais plutôt celui d’une femme, enfin plutôt jeune femme, épanouie avec tout ce qu’il fallait et tout ce qu’il ne faudrait pas laisser s’installer au fil des ans….
Je n’arrivais pas à lui donner un âge, mais elle devait être à peine plus âgée que mon épouse et encore… Décidément je dois être attiré par les jeunettes ! Pourtant, il se dégageait d’elle une telle incroyable maturité.
J’appris aussi, avec ravissement, que ma belle orientale, avait été charmée par notre conversation.
Je n’ai pas trop insisté sur ce sujet de peur de contrarier ma maîtresse. De plus, ma femme s’était montrée un peu trop curieuse à mon goût. Cela l’avait très intriguée de me voir passer autant de temps avec cette parfaite inconnue.
Depuis l’histoire de l’autre nana, cette Manu, elle devenait suspicieuse… surtout quand il y avait des cheveux bruns qui rôdaient autour de moi !
Bref, je garde du réveillon, un très bon souvenir. En plus, Marie semblait ravie de jouer les hôtesses de maison. Elle qui, en général, fuyait la foule, s’éclatait soudain dans ce nouveau rôle.
Décidément, Véronique avait de plus en plus d’ascendance sur mon épouse. Jamais je n’aurais cru voir cette évolution, se faire si rapidement. Où alors, c’est moi qui avais été, depuis tout ce temps, très maladroit ou peu futé…
Deux jours après, Marie repartait chez sa mère et moi, je supervisais les coups de marteau dans la maison.
Malgré sa curiosité, j’interdis à ma femme de revenir chez nous, tant que les travaux ne seraient pas terminés. Je voulais lui faire la surprise de découvrir son nouveau Home.
Plus les jours passaient, plus la maison se transformait.
Le rez-de-chaussée était terminé, les 2 chambres d’amis à l’étage, la salle de bain aussi. Il ne restait que notre chambre (mais là, il y avait un mur à ouvrir), le cabinet de toilette attenant, mon bureau et les remises derrière notre chambre et mon bureau (Qui donc a bien pu concevoir une telle baraque aussi biscornue ?!).
Mais là, je suppose qu’il devait y avoir un sacré boulot à faire (sans compter l’escalier qui y mène).
Il faut dire que j’avais laissé ces deux pièces à l’abandon.
La première fois que j’ai grimpé le vieil escalier en bois, j’ai failli passer à travers ! Mais c’est lorsque j’ai ouvert la porte de l’espèce de débarras dont le mur est mitoyen avec notre chambre, que j’ai été découragé. Un vrai capharnaüm là-dedans ; j’ai préféré refermer la porte et oublier cet endroit…
Par contre pour les combles, les ouvriers les avaient maintenant aménagés pour de futures transformations.
C’est à cette période là que j’ai eu la surprise de recevoir sur mon téléphone portable, un message de la charmante libanaise, la belle Sévane.
Même si je me demandais comment elle avait fait pour avoir mes coordonnées, son message me faisait plaisir. En fait, elle se rappelait à mon bon souvenir et me remémorait ma promesse : à savoir, l’accompagner à une exposition. Justement, il y avait un vernissage dans une galerie et comme elle avait deux invitations, elle avait pensé à moi.
En plus, c’était une chance, car la galerie se situait dans une grande ville, proche de notre région, à environ 100 Kms de mon patelin.
J’ai du réfléchir avant de lui répondre car il me fallait trouver une bonne excuse pour Marie. J’étais tout de même supposé, suivre les travaux à la maison. Mais la tentation était forte…
J’inventais donc (mais pourquoi après tout ?) une raison ‘’valable’’ pour m’absenter.
Quand j’ai annoncé cela, par téléphone, à ma femme, elle n’a pas eu de réaction négative. Mais je pense que c’est surtout parce qu’elle allait bientôt s’installer chez sa copine (Qui se trouve être ma maîtresse…), le temps d’attendre la fin des travaux.
Avoir Véronique comme ‘’room mate’’ ne devait pas lui déplaire. De longues soirées de bavardages futiles, en perspective…
Dieu merci, j’étais seul à la maison, car quand je me suis préparé le matin, pour cette grande journée, j’étais excité comme une puce ! A croire que c’était mon tout premier rendez-vous galant !
J’avais convenu avec Sévane, de venir la chercher, non pas chez sa mère, mais dans la brasserie face à la gare.
Quand je suis entré dans l’établissement, un sourire radieux m’accueillit ! Cela fait toujours plaisir de se savoir attendu.
Tandis qu’elle m’assurait être ravie de me revoir, je recommençais ma vilaine manie : la dévorer des yeux !
Mais si la belle orientale s’en est rendue compte, elle n’en a rien laissé paraître. Et puis, cela ne devait pas lui être si désagréable, après tout.
Pendant tout le trajet, je ne pus m’empêcher de la détailler en catimini.
Elle aussi, semblait avoir fait des efforts vestimentaires. Elle était élégante dans son tailleur pantalon et veste noir et avec sa chemise d’homme blanche. C’était simple mais très chic. J’étais toujours aussi fasciné par sa longue et épaisse chevelure brune.
Même son trois-quarts en cuir, négligemment posé sur ses épaules, avait de la classe ! Tout était nickel, jusqu’à ses chaussures à petits talons !
J’avais bien fait de soigner ma tenue, sinon je serais passé pour un blaireau !
Alors que je conduisais la voiture, je me sentais emprunté. Heureusement que c’est elle qui a instauré le début de notre conversation, sinon, 100 Kms dans le silence… et bien c’est long !
Bref, je n’ai pas vu le temps s’écouler et nous somme arrivés vers 11 heures. Il était trop tôt pour aller déjeuner, alors nous sommes allés flâner dans le parc municipal.
Alors que nous nous promenions, c’est Sévane qui a croché tout naturellement mon bras. Cette soudaine intimité me mettait mal à l’aise. Etrange impression inexplicable, car nous ne faisions rien de mal. Néanmoins, je jetais fréquemment des regards autour de moi, comme si je me sentais coupable d’un méfait.
Elle, ne paraissait pas s’en apercevoir et continuait à me parler de ses goûts, de sa vie. Je n’ai réussi à me débarrasser de cette drôle d’impression qu’au bout de 20 minutes. Evidemment, pendant ce temps-là, mon attention s’est un peu dispersée et je n’ai pas tout suivi.
Ce n’est qu’au moment du déjeuner que je me suis réellement senti à mon aise auprès d’elle. Il y avait quand même un idée sournoise mais néanmoins perfide qui me trottait en tête : que pouvait-elle bien trouver de plaisant en ma compagnie ?
Mon choix en matière de restauration avait apparemment fait tilt : elle adorait les plats de poissons. Quant à la boisson, sans être une pocharde (j’en connaissais au moins deux…), elle semblait apprécier tout particulièrement le Chablis.
Nous nous sommes surpris à traîner à table mais le serveur nous a bien fait comprendre vers près de 14h45, que nous commencions à nous incruster un peu trop à son goût !
Nous nous sommes donc retrouvés à déambuler dans les rues et dans quelques magasins (il fallait quand même que je fasse montre de galanterie…), jusqu’à ce que la galerie ouvre ses portes.
Je dois dire que les peintures exposées, ont été plaisantes à regarder ; en particuliers, un jeune peintre qui avait un talent certain. Ma cavalière était emballée.
La journée s’est passée si vite que c’est avec regret que j’ai dû reconduire Sévane en fin de journée, à deux pas de chez sa mère.
Avant de me quitter, elle s’engagea à me rendre l’appareil en promettant de me faire découvrir la restauration libanaise. Un rapide bisou sur ma joue et elle disparût, telle un mirage.
Le chemin de retour me vit perplexe sur le déroulement de cette journée.
Aucune nouvelle pendant plusieurs jours. Les travaux avançaient et je l’avais presque ‘’rangée’’ dans un coin de ma mémoire quand, un matin, alors que j’étais au bureau, je m’aperçus qu’elle m’avait envoyé un SMS sur mon portable. Le message était simple : ‘’Midi. Devant la Poste. Déjeuner ensemble. Bise. Sévane’’. Précis, mais laconique !
Le cœur, quelque peu battant d’une manière désordonné, je me suis rendu à ce rendez-vous surprise.
Toujours autant de classe, mon Orientale !
Pas un mot d’explication sur son silence. C’était comme si elle m’avait quitté la veille…
Je m’abstenais de la questionner et je me surpris à réaliser qu’elle m’avait manqué.
Notre conversation, le déjeuner, tout se passât trop rapidement à mon goût et elle s’envola sans même un ‘’à bientôt’’ !
J’en ressentis une certaine amertume et me promis que c’était la dernière fois. Sauf que 3 jours après, je me soumis à son même diktat. Elle me fit le coup encore une fois.
Alors que j’étais en train de me jurer que c’était la der des der, elle m’annonça, avant de me quitter qu’elle m’invitait le vendredi suivant, à découvrir la cuisine libanaise, comme elle me l’avait promis. Mais cette fois, c’est elle qui m’invitait à dîner.
Pendant 2 jours, je me suis creusé la tête pour inventer un prétexte. Même si Marie squattait toujours chez Véronique, je devais être prudent. Encore heureux que cette dernière ne me tournait pas autour, toute occupée à prendre soin de sa locataire !
Sévane m’appela le vendredi matin et elle m’indiqua l’adresse du restaurant. C’est quand je le trouvais finalement que je me rendis compte que jamais, je ne l’aurais déniché seul. Caché à l’étage, au fond d’une cour, ce minuscule restaurant libanais était, on ne peut plus confidentiel.
Dès la porte franchie, j’ai tout de suite eu l’impression de me trouver dans un autre monde !
Quel dépaysement ! Le décors, les odeurs d’épice, les clients en majorité masculins, mais surtout quelques filles, dont certaines étaient voilées et qui fumaient la pipe à eau !
Incroyable, c’était la première fois que je voyais des nanas fumer le narguilé. Heu, je devrais plutôt dire la Shîsha, comme me l’a précisé Sévane (Hé oui, en plus, je suis devenu savant !).
« Si tu veux, Marc, on fumera la Shîsha toute à l’heure. Je te montrerai comment on s’en sert ».
Après le dîner, nous nous sommes installés ou plutôt engloutis au milieu d’un tas de poufs et de coussins richement brodés. Après quelques essais infructueux, j’ai quand même fini par tirer sur cette satanée pipe. Sévane m’a choisi un mélange de tabac/miel à la pomme (la fraise ne me tentait pas) ; quant à elle, elle s’est enfumée sous des volutes de menthe. Cette fille était vraiment surprenante.
Mais avant, j’ai eu le droit à un défilé de plats divers et… surprenants : baba ganouche, sambousseks, makaneks et des kellèges. Un régal !
Je dois dire que ma belle m’a scotché, même pour le choix du vin : un Kefraya. Un vin des plus vieux vignobles libanais de la plaine de la Bekaa.
Et pour me scotcher sur le vin : il m’en faut…
Affalé sur mes coussins, le ventre plein et le vin aidant, je suçotais béatement l’embout de ma pipe en lorgnant discrètement les cuisses de ma voisine. Sévane s’en doutait-elle ? Je l’ignore, en tous cas, à aucun moment, elle n’a rabattu sa jupe.
Pourtant, rien ne s’est passé entre nous. Mais, si elle m’avait fait des avances, je crois bien que je me serais laissé aller…
Et bien non ! Non seulement, nous nous sommes quittés sur un chaste baiser.
Pendant le chemin du retour, après l’avoir déposée, mon euphorie est retombée et j’ai commencé à me raisonner. Je me disais que je devais absolument mettre de l’espace entre cette fille et moi.
Sinon, ma tranquillité allait en prendre un sérieux coup et la situation deviendrait non seulement ingérable mais vite intenable entre ma femme, ma maîtresse et elle. Deux, ce n’était déjà pas facile, mais 3 !!!!
Hélas, les bonnes résolutions, c’est comme la pluie, cela ne dure guère…
J’ai fait une rechute ! Rechute qui ne m’a pas porté chance.
Quand Sévane, après m’avoir relancé 2 fois, a fini par me décider d’aller prendre un port avec elle, je suis tombé nez à nez sur ma femme en sortant de la brasserie, en compagnie de la fille. Heureusement que celle-ci a été réactive en disant à Marie que nous nous étions rencontrés fortuitement !
Cette fois, cela passait, mais pas la suivante !
Car 2 jours après, alors que j’allais chez Véronique, les rejoindre pour dîner, mon épouse m’a accueilli froidement (c’est un euphémisme….). Je me suis fait vertement engueuler car elle m’avait vu le midi même, en train de déjeuner en ville avec Sévane (décidément !). Et comme j’étais supposé être resté au bureau pour finir un dossier, cela ne cadrait pas avec ce qu’elle avait surpris. En plus, dans mon malheur, Marie était accompagnée de Véronique !
Dire que le dîner fût des plus joyeux…
Non seulement, Marie me faisait sa tête d’ampoule, mais en plus je dus subir les regards torves de ma maîtresse ! Un comble, moi qui n’avais même pas péché !!!
Aussi, quand le surlendemain, à midi, j’ai vu débouler dans mon bureau, ma femme et ma maîtresse, qui passaient là ‘’par hasard’’, je ne fus pas surpris. Je fis profil bas…
Traîné de force dans le restaurant du coin de la rue par mes deux furies, Véronique m’annonce qu’un rendez-vous a été convenu avec le photographe, ce Karim.
Comme par hasard… Ca sentait le plan fourbe ou je ne m’y connaissais pas !
Qu’avait bien pu dire Véronique, l’autre jour, après mon départ, pour convaincre Marie qui
semblait pourtant avoir oublié cette histoire de séance photos ?
Même si je me souviens de notre soirée passée chez ce Karim, cela me paraît loin maintenant.
J’avais fini par douter qu’elle réussisse à convaincre ma femme de se faire photographier par le Black.
Avant cette annonce surprise, je le regrettais un peu car l’idée d’avoir des photos, disons un peu coquine, de Marie, ne me déplaisait pas.
J’en avais voulu à Véronique de m’avoir mis cette idée dans la tête.
Quant à mon épouse, son ‘’histoire’’ de massage avortée avec le photographe Back, avait-elle laissé quelques traces.
Alors que j’y repense, assis face à elles dans ce restaurant, je ne peux pas m’empêcher de revoir la tête de ce Karim, quand ma femme, surprise par cet intrus ouvrant brusquement la porte de la chambre, l’avait envoyé valdinguer sur le lit.
Ce n’est pas charitable de ma part, mais je me marre encore (intérieurement, bien sûr…).
Ouais, en tous cas, ma pauvre Marie m’avait paru bien pensive à cette époque. Heureusement que Véronique l’avait occupée, en courant les magasins de fringues (notre compte bancaire avait commencé à flamber !). Mais pendant ce temps-là, moi je restais comme un couillon. Il s’agissait que ma maîtresse veille un peu moins sur mon épouse et un peu plus sur moi. C’était quand même un monde !
Par contre, question vestimentaire, l’évolution est frappante : elle est devenue très coquette.
Quand je regarde nos anciennes photos de vacances et que je compare à ce que Marie porte maintenant, c’est le jour et la nuit. Disparus, les vieux pulls difformes et les Jeans délavés : ils ont été remplacés par des ensembles jupes courtes ou pantalons moulants. Même ses sous-vêtements sont devenus plus sexy.
Je suis en train de m’habituer à tout ceci, un peu inquiet ; mais ma maîtresse n’arrête pas de me dire qu’il était temps que ma femme évolue.
Alors que je suis plongé dans mes pensées, Véronique m’en sort en me précisant que son ami met à sa disposition l’atelier photo qui se trouve chez lui. Par contre, ce sera le vendredi après-midi, car Karim n’est pas libre le week-end…
… Véronique a vraiment des idées de oufs ! J’aurais très bien pu déjeuner avec elles ce midi. Au lieu de cela, j’ai dû me pastiller un vieux sandwich caoutchouteux, en attendant qu’elles arrivent.
Véronique m’a dit que je ne devrai arriver que quand elle me téléphonera sur mon portable. Allez savoir pourquoi.
Enfin, elle vient de m’appeler. Je dois me présenter à la porte du studio qui est attenant à la maison de Karim.
C’est lui qui vient m’ouvrir et me guide jusqu’à son bureau. Il a l’air enchanté de me revoir ??!
Marie est bien sûr là, en compagnie du Véronique.
En regardant Karim., je m’aperçois que je l’avais vu plus clair de peau, lors de sa soirée : origine africaine et non antillaise, comme je le supposais.
Assise à côté de ma maîtresse, Marie semble empruntée.
- « Tu prends un verre avec nous ? On a déjà commencé sans toi » : Me propose Véronique.
Puis, elle me fait signe de la suivre pour que je l’aide. Dans la cuisine du mec, elle m’explique qu’elle a dû avoir la main lourde avec le Rouge lors du déjeuner, parce que, au dernier moment, Marie semblait hésiter à venir se faire photographier.
Pourtant, elles avaient choisi ensemble la tenue qu’elle devait porter pour cette séance. L’alcool aidant, mon épouse avait fini par se laisser traîner ici mais ce n’était pas gagné. Aussi, un verre ou deux de plus, ne seraient pas de trop.
Dans ma petite tête, je me dis que ma maîtresse allait finir par transformer ma femme en une vraie pocharde !
Je verse les Scotchs pour Karim et moi, quant à Véronique, elle prépare 2 cocktails à base de Rhum blanc. Je note au passage qu’elle ‘’tasse’’ celui de Marie.
Sitôt servis, les verres sont rapidement vidés, même si mon épouse paraît avoir du mal à avaler le sien, tant il est corsé.
Je regarde autour de moi : le bureau du gars est très cossu. Une porte ouverte permet d’entrevoir un petit studio de photographe.
Il nous fait entrer dans l’atelier et pendant que je m’intéresse aux différents appareils qu’il utilise pour faire ses clichés, Karim explique à ma femme comment va se dérouler la séance photos.
Tout en écoutant d’une oreille le Black, je jette des regards en direction de ma femme qui est assise dans un coin. On dirait qu’elle est plutôt nerveuse car elle se tortille sur une chaise en rajustant ses vêtements. Karim tente de l’apaiser en lui assurant qu’il sera très patient. De plus, il lui rappelle qu’il lui a promis de lui remettre les photos et les négatifs dans le cas où elle n’aimerait pas les clichés. Elle pourra ainsi les détruire.
Alors que le Black parle, il s’interrompt soudain et, s’adressant à ma maîtresse, il s’exclame : « Je devrais faire du bon boulot, regarde comme elle est belle, la Princesse !».
C’est vrai qu’elle est superbe dans son ensemble noir à rayures. Sa veste croisée laissait à peine deviner un haut en dentelle noir lui aussi, quant à sa jupe longue, je déplore qu’elle lui cache les jambes.
Elle ne porte aucun bijou, pas même sa montre. Ses longs cheveux noirs (nouvelle teinte ?) se confond avec la couleur de son ensemble et fait ressortir le bleu de ses yeux.
J’ai beau avoir une relation ‘’coupable’’ avec Véronique, je trouve ma femme vraiment belle et je l’aime.
Marie aurait dû fièrement rejeter ses épaules en arrière pour se mettre en valeur mais elle semble si empruntée.
Son sourire est crispé.
- « Sers lui un petit remontant !» : conseille Karim à Véronique. « Elle en a besoin, je pense ».
Alors que les deux filles s’éclipsent, il me détaille les autres accessoires photos, qui sont disposés dans le studio. Je remarque deux matelas mis l’un sur l’autre, face aux objectifs.
Quand il surprend mon regard, il me précise qu’il a reçu des copains mais qu’il n’a pas eu le temps de faire du rangement.
A l’invitation de Karim, nous laissons le champ libre afin que ma femme se retrouve seule devant l’objectif, fixé sur un trépied.
Suivant ses instructions, elle adopte une série de positions : debout, penchée, de trois-quarts.
Il la mitraille sous tous les angles. Je pouffe de la voir, manifestement, très nerveuse.
Karim soupire et dit : « Elle est très belle, mais elle est trop crispée pour permettre une réussite à 100%. Que dois-je faire ? ».
Véronique s’approche soudain de ma femme et elles parlent à voix basse. Elle revient bientôt vers moi et me dit que ma présence rend Marie nerveuse et l’empêche d’être naturelle. Il faut la comprendre, elle m’a vu sourire et elle a peur que je me moque d’elle.
- « Tu devrais peut être aller faire un tour en attendant que ce soit terminé ? » : Me conseille ma maîtresse.
Ah, bah ça c’est trop fort !!!
Devant mon air interrogateur, Marie me confirme de la tête, me faisant comprendre que c’est ce qu’elle souhaite apparemment.
OK, je lui dis que de toutes façons, j’ai du travail qui m’attend au bureau (mais je suis vexé).
Bon, je lui téléphonerai quand j’aurai fini, avant de venir la rechercher. Qu’elle m’attende ici avec Véronique, chez Karim.
Elle accepte, comme soulagée d’éliminer un spectateur qui risque de la ridiculiser, ce qui n’est pas mon genre. Et puis, comme Véronique reste, elle se sent rassurée.
- « Bon, je te raccompagne, suis-moi » : Me dit cette dernière.
Je fais une bise à mon épouse et salue le Black, avant de quitter le studio.
Arrivée à la porte d’entrée, Véronique ricane en me regardant.
- « T’as pas peur de la laisser avec ce Black ? Tu sais pourtant ce qui s’est passé avec lui, la dernière fois ».
Non, je n’ai pas peur car le type s’est mangé un râteau !
- « Et bien, tu as tort, je suis sûre que, te sachant parti, il va essayer de la baiser ».
Je lui rétorque que non, pas devant elle.
- « Moi ? Oh, non ! J’ai des choses à faire ».
Par bravade, je balance à Véronique que, même si on laisse Marie seule, je n’ai pas de crainte. D’ailleurs, je lui conseille qu’il serait souhaitable pour elle, qu’elle arrête de fantasmer !
Piquée au vif, ma maîtresse me jette un: « D’accord, mon vieux. Si Karim baise ta femme, ici, cette après-midi, tu me donnes 300 Euros. Cash ! Si rien ne se passe, c’est moi qui te les refile. Tu tiens le pari ? »
Trop facile pour elle, je ne serai pas là pour vérifier. Elle pourra me raconter des conneries, histoire de se faire facilement 300 Euros.
- « Ok ! C’est logique. La preuve, tu vas l’avoir ! Mais attention, interdiction d’intervenir ou alors, je raconte à ta femme que c’est toi qui a tout manigancé. Tu tentes le coup, mon petit père ou t’as peur de perdre 300 Euros ? ».
Pris à mon propre piège, je hoche la tête en silence, de peur qu’elle ne me vanne encore (Et puis, je suis tellement sûr de moi).
Elle me dit de la suivre.
Nous sortons et contournons la maison. Arrivés derrière l’atelier, elle ouvre une petite porte et me fait entrer dans une espèce de petite débarras où est entreposé un tas de bric-à-brac.
Elle referme la porte et me pousse doucement. L’obscurité est totale. Quand enfin elle s’atténue, j’aperçois, en face de moi, une toute petite ouverture.
Véronique me prend la main et me guide vers celle-ci.
« Tiens, ne fais pas de bruit et approche-toi de la vitre » : me murmure-t-elle.
C’est ce que je fais. Dès que mon visage se trouve face à la petite lucarne, je réalise qu’elle donne directement sur le studio.
Je suis même surpris d’entendre Karim qui est en train de parler à Marie.
Devant mon air interrogateur, Véronique me montre une petite bouche de ventilation à gauche de ma tête.
Voilà donc d’où viennent les sons.
- « Bon, je te quitte. Tu ne bouges pas, promis ?! » : Murmura-t-elle.
Je n’ai même pas le temps de réagir que déjà, la porte se referme, me laissant seul !
Karim parle très doucement à ma femme qui, un verre à la main (encore !) semble se décrisper.
Une fois vide, Il recommence à la photographier jusqu’à ce que Véronique apparaisse dans mon champ de vision.
Ma femme paraît soulagée de la voir entrer.
- «Alors, ça se passe bien ? ».
- « Pas vraiment, Véro. Ta copine nous fait un blocage » : répond-il.
- « Bon, vous allez faire quelques photos ensemble. Je pense que cela ira mieux ensuite ».
Véronique s’approche et il leurs fait prendre des poses différentes.
J’ai l’impression que c’est un peu mieux mais pourtant, je me rends compte que Marie n’est pas tout à fait à son aise devant l’objectif.
- « Bon, on fait une pause ! Ouf, il fait chaud ici ! Tiens, Véro, prépare-nous quelque chose à boire ».
Ma maîtresse disparaît de la pièce et revient quelques secondes plus tard avec 3 grands verres. Pendant qu’ils boivent, ma femme fait remarquer à Véronique que son cocktail est trop fort ; néanmoins, elle l’avale quand même.
- « Bon, moi, je vous laisse, je dois passer au bureau. Je reviens tout à l’heure. Allez, à plus ! ».
Je vois que mon épouse fait un peu la gueule parce que sa copine part.
Véronique sortie, Karim installe 3 projecteurs, qu’il allume et place deux espèces de grands parapluies blancs ouverts.
Il s’approche de ma femme et lui arrange les cheveux d’une main, tout en lui posant l’autre, en bas des reins pour qu’elle les cambre.
- « Bon, on n’y arrivera pas comme ça. D’abord, on va t’attacher les cheveux ! ».
Il attrape une espèce de chouchou qui traîne là, enroule les longs cheveux de Marie en les remontant et les fixent avec le lien.
« Voilà, on voit bien ta nuque ! ».
Coiffée ainsi, cela donne à ma femme un air plus sévère.
Karim tire vers elle, un des projecteurs et fait de nouveaux clichés.
Au bout de cinq minutes, Marie commence à se plaindre de la chaleur.
« Bah, évidemment, avec ce que tu as sur le dos ! ».
Tout en prononçant cela, il enlève, d’un geste anodin, la veste de Marie et la jette sur la chaise.
Passive, mon épouse n’esquisse pas un mouvement.
Je m’aperçois aussitôt qu’elle a mis en dessous de sa veste, une espèce de caraco ou plutôt de nuisette décolletée, en satin noir, maintenue sur les épaules, par deux fines bretelles.
A demie transparente, il est facile de remarquer tout de suite qu’elle ne porte pas de soutien gorge en dessous. L’absence de bretelles de soutif, ne fait que le confirmer (Véronique a encore frapper !).
Dès que le Black lui a ôté sa veste, Marie s’est instinctivement cambrée en arrière pour compenser la lourdeur de ses seins. C’est un geste qui me fait souvent rire mais qui m’agace en même temps ; à chaque fois, je lui dis que sa poitrine n’a pas besoin de cela, vu qu’elle tient toute seule.
Il prend ensuite quelques photos, mais à voir son visage, je sens qu’il n’est pas satisfait.
- « « Allez, on fait un petit break ! Ok ? Assieds-toi là, ma Belle j’arrive ! » : Dit-il en lui montrant le tas de matelas.
Il revient bientôt avec 2 nouveaux verres de jus de fruit. Vu la grimace de Marie, quand elle commence à boire le sien avec avidité, je suppose qu’il a dû encore le noyer avec une forte dose d’alcool (elle va finir par être complètement bourrée à ce train-là !).
Il s’installe à côté de Marie, sur les matelas à même le sol. Il lui parle doucement. Elle semble s’apprivoiser de plus en plus et, légèrement grisée par les verres d’alcool, elle se met à rire après une plaisanterie assez leste du type au sujet de la tenue des nanas des magazines.
Assis à quelques pas de moi, je vois Karim qui essaie de décontracter ma femme. Il passe maintenant sa main, très lentement, tout au long de son dos, en insistant à hauteur des reins (comment sait-il qu’elle adore cette caresse ?).
- « Bon, au boulot, ma chérie, ce n’était qu’un début. Tu es trop belle et j’enragerais de ne pas prendre de photos dignes de toi. A en faire rougir, les pétasses des magazines pour hommes ! Marie, je te veux plus sexy ! » : Dit-il, au bout d’un moment, en la faisant se lever des matelas.
- « C’est vrai qu’il fait chaud ici ! » : s’exclama-t-il soudain.
Le plus naturellement du monde, il retire sa chemise qu’il jette négligemment par terre.
Je note tout de suite, avec un peu d’angoisse, le regard intéressé de Marie sur le torse de Karim.
Il virevolte autour de ma femme tout en prenant des prises. Il l’encourage : « Plus sexy ! Encore ! Voilà, c’est presque ça ! ».
Docilement, elle le laisse disposer de son corps à sa guise. Seins saillants, jambes écartées, offerte à l’appareil.
J’ai l’impression qu’elle se pique à ce petit exercice. Ses joues se sont empourprées et un drôle de sourire est venu éclairer son visage. Les poses qu’elle prend maintenant, sont un brin plus’’ chaudes’’.
Tout en la photographiant, Karim tend à mon épouse son propre verre qu’elle finit d’une seule traite !
Les joues empourprées par l’alcool et la chaleur, elle se laisse guider maintenant sans aucune crainte.
- « Fais-moi disparaître cette affreuse jupe qui cache de si belles jambes. Allez, vas-y ! ».
Un drôle de sourire crispé aux lèvres, sans un mot, Marie baisse la fermeture Eclair de sa jupe et l’enjambe.
Qu’est-elle en train de penser alors qu’elle est en train de se mettre presque nue devant ce type ?
Lui ne fait aucun commentaire, se contentant de prendre quelques clichés.
- « Tourne-toi ! Baisse la bretelle gauche ! Voilà, découvre ton épaule ! ».
Marie obéit sagement, sans un mot. Je trouve son attitude passive, très étrange.
Comment peut-elle accepter de se monter ainsi devant lui, dans cette nuisette qui lui arrive à peine en haut des cuisses et avec un string qui lui couvre tout juste le sexe ! Elle serait à poil, sous ses yeux, que cela serait la même chose !
Karim, sans cesser de la mitrailler de son objectif, lui dicte des ordres de plus en plus directifs, qu’elle exécute aussitôt sans discuter : « Fais-moi face, jambes écartées ! Bien ! Les mains derrière la tête. Super ! Allez Marie, bombe ton torse, fais-moi ressortir tes seins ! Génial !... ».
Chaque injonction de sa part est suivie à la lettre. Incroyable !
- « Vas-y, ma Belle, un peu plus sexe encore! ».
Le black papillonne autour de Marie, lui faisant adopter des poses plus suggestives à chaque fois. Adroitement, il entraîne ma femme dans un étrange jeu de rôles.
La voici maintenant en train de se presser les seins par dessus sa nuisette. Ce traitement a pour effet de durcir ses tétons. Comme ils sont naturellement gros, je les vois qui pointent sous le satin.
Cuisses ouvertes, croupe offerte, je me dis qu’on est loin des photos gentiment sexy qui devaient être normalement prises dans ce studio ; surtout quand je vois Marie, suivant les conseils du Black, faire semblant de se caresser la chatte.
Cela dure depuis presque une demi heure !
- « On se fait une pause ? ». Ma femme hoche la tête.
- « Allez, une petite cigarette et après on remet cela. Vas t’asseoir, pendant que j’en prépare une » : Lui dit-il en indiquant les matelas.
Karim sort quelques instants. Quand il réapparaît, il est en train de terminer la confection d’une cigarette. Je ne suis pas un spécialiste mais sa clope a une drôle de tronche…
Il l’allume, tire un peu dessus et la tend à Marie. Je suis surpris de la voir tendre le bras, elle qui ne fume que très rarement.
- « Tire un bon coup dessus et inspire profondément » : Lui conseille-t-il. « Voilà, encore une fois » ;
La deuxième bouffée fait quelque peu tousser ma femme. Lui, cela le fait rire, l’idiot !
- «Faut que je te montre ce que j’ai déjà fait. J’aimerais bien y arriver avec toi ».
Pendant qu’il se dirige vers une commode, Marie continue de tirer machinalement sur la cigarette.
Karim fouille dans un tiroir et revient avec une grosse enveloppe Kraft.
- « Tiens, regarde un peu ça ».
A peine ma femme se lève-t-elle et fait un pas dans sa direction, qu’elle perd l’équilibre.
- « Oh, j’ai la tête qui tourne ! ».
Le Black a juste le temps de la rattraper avant qu’elle ne s’affale par terre.
- « Houla ! La petite dame a un coup de chaleur, on dirait ! Il faut qu’elle s’étende un peu. Voilà ! »: Dit Karim, en installant mon épouse sur les matelas.
Marie ne s’est même pas aperçue, qu’en s’asseyant, sa nuisette lui est remontée au-dessus des cuisses, découvrant ainsi son ventre. J’aperçois son string noir. C’est celui qu’elle s’est achetée dernièrement, en compagnie de Véronique. Un Tanga qui se noue de chaque côté avec une rosette.
-« Tiens, jette un coup d’œil pendant que je vais me verser un verre d’eau à la cuisine ».
Alors que ma chérie ouvre l’enveloppe et en sort des photos, on entend soudain un ‘’merde !’’ tonitruant, jaillir de la cuisine.
Marie lève la tête et aussitôt la replonge vers les photos. Je regarde machinalement vers la porte et totalement ahuri, je vois entrer Karim, torse nu musclé et en caleçon !
Je me rends compte qu’il est imposant. Tout comme la bosse qui déforme son sous-vêtement !
Il s’approche, presque sur la pointe des pieds, vers le tas de matelas. Arrivé près de Marie et devant son air étonné, il lui raconte qu’il vient de renverser son verre d’eau sur son pantalon.
Ma femme se contente de hocher la tête tant son attention est portée vers les photos.
Il s’installe près d’elle et se met à lui détailler les photos une à une.
J’ai beau me pencher, je n’arrive pas à les voir en détails. La seule chose dont je suis sûr, c’est que les filles qui posent, ne seront jamais bonnes sœurs !
Tout en lui demandant comment elle les trouve, il passe adroitement son bras autour de la taille de Marie.
- « Juste un petit coucou et je me sauve. J’ai oublié un dossier ici ».
Merde, j’avais oublié Véronique. Mais où était-elle passée ?
- « Tout va bien, Marie ? ».
Assis côte à côte, Karim enlace toujours mon épouse par la taille. Je m’aperçois qu’elle a posé sa tête contre l’épaule du Black.
- « Bon, j’en ai pour une petite heure et je reviens te chercher. D’accord ? ».
Marie acquiesce mollement et, à sa façon de rester collée contre le type, je me demande si elle a réellement compris sa copine.
Véronique sort de l’atelier, non sans avoir adressé un petit sourire à Karim.
Sitôt ma maîtresse sortie, il complimente ma femme sur son ‘’travail’’, déjà réalisé, il lui assure qu’elle peut en faire autant, si ce n’est mieux que ces nanas.
Elle se contente de ricaner nerveusement alors qu’il dépose sur sa joue, un chaste baiser.
- « Si ! Si ! J’en suis persuadé, ma Belle ! » : Assure-t-il. Mais pour cela, il faut te détendre, tu es toute nouée !
Il se penche en arrière et, avec des gestes très doux, il se met à masser le cou de Marie. Les doigts du type parcourent maintenant son dos. Mon épouse ferme les yeux.
En silence, les mains remontent et se posent sur le haut des épaules, puis alors qu’elles redescendent le long des avant-bras, elles font adroitement glisser les fines bretelles de la nuisette de Marie.
Karim se penche et embrassa doucement ma femme dans le cou. Je la vois tressaillir !
La scène n’avait rien de hard, mais il s’en dégage une sensualité incroyable.
A plusieurs reprises, il effectue innocemment ces mouvements sur les bras de ma femme, si bien qu’à un moment, le satin, fluide, se met à glisser tout seul, centimètre par centimètre,
Un dernier passage sur les avant-bras et je vois, atterré, les seins de ma femme qui se dévoilent peu à peu !
Mais c’est en découvrant ses deux mamelons érigés comme des tétines que je sens monter en moi une belle érection.
Quand il colle son corps contre le sien, elle ne réagit même pas !
Voir ma chérie, dans cette position, la poitrine exposée à la vue de ce type m’excite au plus haut point. J’entends le sang battre contre mes tempes.
Mais qu’est-ce qu’il me prend ! Je devrais me comporter autrement. Comme la dernière fois, lors de la séance de massage avortée avec ce Karim, mes sentiments sont contradictoires : un soupçon d’incrédulité, un gros rien de jalousie mêlés à cette étrange sensation de plaisir ( ?) d’épier ma femme avec ce type, sans qu’elle le sache.
Nous sommes tout de même bizarrement foutus, nous les hommes…
Il continue à la caresser doucement, l’air de rien. Il s’applique, plus particulièrement, à passer sa main droite entre le cou et la naissance de la poitrine de Marie ; de gauche à droite, puis de droite à gauche. A chaque lent passage, je me rends compte que sa main glisse peu à peu, jusqu’à ce que l’un de ses doigts effleure, comme par hasard, un des mamelons qui se met à se durcir un peu plus. Je vois Marie frissonner quand l’autre recommence le même frottement lent.
« Recule-toi un peu » : Lui dit-il en l’attirant vers lui alors qu’il s’adosse contre le mur.
Merde ! Je suis obligé de me tordre le cou pour mieux voir.
Ah ! Quand il trouve enfin la bonne position, je peux me redresser. Ils sont presque à côté de moi. Seul un mur nous sépare.
Il a réussi à passer son bras gauche autour de la taille de Marie. Elle s’est laissée aller tout contre lui, la tête posée contre son épaule.
Est-ce le fruit du hasard si sa main droite est posée sur ce sein dénudé ?
Cette main qui soudain se met à remuer lentement sur la chair nue. Marie se cambre sous la caresse et quand Karim se penche vers elle, sa bouche s’ouvre docilement sous les lèvres du Black.
Baiser passionné, juste sous mon nez !
Tout en embrassant ma femme, la main gauche du gars s’anime discrètement.
Le salaud ! Il est en train de dénouer adroitement, la rosette qui maintient le string de Marie.
Voilà, c’est fait, les cordons pendent sur le matelas !
Sa bouche abandonne les lèvres de mon épouse et vient se plaquer sur un mamelon. Pendant que Marie frissonne, l’autre s’agite. Je comprends son petit manège quand je vois disparaître son bras entre leurs deux corps.
Je suis sûr qu’il est en train de retirer l’autre cordon !
Alors qu’il bougeait, la main de ma femme s’est retrouvée sur la cuisse du gars.
J’entends un bruit de succion et à en croire les gémissements de Marie, ce ne doit pas être désagréable. D’ailleurs, il me suffit de constater que ma chère et fidèle épouse, effleure maintenant la jambe de son voisin.
Il se relève brusquement et aplatit sa bouche sur celle de sa conquête. Dans le même temps, je le surprends qui attrape la main posée sur sa cuisse et la pose d’autorité sur sa braguette gonflée, sans aucun doute, par le désir.
Le baiser fougueux doit émoustiller ma chérie car, après quelques caresses hésitantes, sa main s’enhardie.
C’est ce que devait attendre le Black car il vient de porter la sienne vers son caleçon. Il le déboutonne et en extirpe une queue raide, de très belle dimension. Directif, il saisie la main de Marie et la plaque sur sa bite.
La vache, j’ai bien failli crever de trouille quand une main est venue se poser sur mon épaule.
Je ne l’ai même pas entendue entrer !
- « Merde, Véronique, tu m’as fait une de ces peurs ! ».
- « Chut, ils vont nous entendre ! » : murmure-t-elle. « Alors, ça te plaît ? ».
Pourquoi elle me demande cela, la salope !
Mes yeux sont scotchés sur la main de son copain qui glisse maintenant vers le string noir de ma femme. Comme il a déjà dénoué les attaches, il n’a aucun mal à repousser le tissu.
Fasciné, je regarde les doigts du type disparaître entre les cuisses de ma femme.
Marie se met à gémir et sa main se crispe sur la queue qu’elle a empoignée.
Soudain, étrangement, Marie essaie de se dérober et s’offusque : « Arrêtez de faire ça, c’est pas bien. Je suis mariée ! ».
Ca, nous le savons tous ici...
Ses protestations me semblent un peu tardives…
De toutes façons, l’autre s’en fout royalement !
Pendant que je vois sa main s’agiter entre les cuisses de ma femme, il lui distille : « Laisse-toi faire, ma belle, je vais te faire jouir. Tu vas aimer ! ».
Les gesticulations de Marie vont en diminuant au fur et à mesure que le bras du Noir s’agite de plus en plus vite.
Peu à peu, je remarque que les jambes de mon épouse s’entrouvrent imperceptiblement. Quand ses protestations font bientôt place à de profonds gémissements, ses cuisses s’écartent franchement.
Je n’ai aucun mal à découvrir deux doigts de Karim qui vont et viennent lentement dans la chatte de Marie.
- « Regarde bien ! Maintenant, tu vas voir comment on gagne un pari ! ».
Me prenant la tête, Véronique la presse contre la lucarne.
Le type vient de faire basculer ma femme sur le tas de matelas. Puis, s’allongeant sur elle, il saisit ses jambes et les passe autour de son cou.
- « Regarde ! » : me murmure une nouvelle fois ma maîtresse, d’une voix excitée.
Pour voir, je vois !
Oh oui, je vois ce salaud empoigner sa grosse bite noire et la diriger entre les cuisses ouvertes. Un coup de reins et il enfile son gros gourdin dans la chatte offerte.
Dès qu’il remue en elle, Marie émet comme un son rauque. Ses gémissements se font de plus en plus fort au fur et à mesure que l’homme accélère la cadence.
Je ne sais plus comment je m’appelle !
Collée derrière moi, je sens le souffle chaud de Véronique et, pendant que le Black pilonne ma femme, tel un métronome, j’entends une voix rauque qui me susurre vicieusement à l’oreille :
- « Regarde, comme il baise bien ta femme, ce négro. Elle va prendre son pied, ta petite salope ! J’te parie qu’après, elle ne pourra plus s’en passer ».
Ma tête bourdonne.
Perverse, elle insiste : « J’te jure, après y avoir goûté, elle sera accro ! Elle ne pensera plus qu’à une chose : se faire enfiler par de grosses bites noires ».
Incrédule, je tourne ma tête vers Véronique. Mais qu’est-ce qu’elle raconte ?!
Avec un rictus un rien pervers, elle enfonce le clou :
- « Ca t’étonne ? Mais je la connais bien, ta Marie, Marc. T’es aveugle, au quoi ? Ta femme ? Mais ce n’est qu’ une petite salope qui ne veut pas se l’avouer. Fallait pas l’isoler chez toi ! Maintenant qu’elle est en train d’y goûter, t’auras du mal à la faire revenir en arrière ».
Je n’y comprends rien. Je ne l’ai jamais enfermée, c’est elle qui ne voulait pas sortir !
Devant mon air ébahi, Véronique se méprend sur mes interrogations ; elle en rajoute, pensant que j’abonde dans son sens: «Ca se passe comme on le voulait, non ? D’ailleurs, je vais m’arranger pour qu’elle ose me parler de sa petite histoire de cul, tu peux en être sûr ! Et puis, je vais tout faire pour ! Et tu sais ? Et bien moi, fais-moi confiance, je vais l’aider, en bonne copine ! Tu verras… Tu me connais, elle finira même par me supplier pour que je lui trouve de belles grosses queues de blacks».
J’ai la tête en feu. Ses paroles entrent dans mon cerveau comme autant de fers rouges.
Mais qu’est-ce qu’elle me dit ?
Tout en murmurant, ses doigts tripotent ma braguette et en extirpent adroitement ma queue. Elle se met à jouer avec mon gland presque douloureux.
J’ai les jambes en coton. Elle doit s’en apercevoir car, elle ajoute perfidement : «… Mais qu’est-ce que tu crois ? C’est moi qui ai tout arrangé. On va en parler toutes les deux et je vais l’encourager. Je vais même lui dire que tu aimerais bien la voir se faire draguer».
Quoi, draguer ???
- « Chéri, c’est pour nous ! Il faut qu’elle se sente bien coupable et qu’elle nous foute la paix. Je vais si bien l’éduquer ta femme, que je vais en faire une vraie petite pute ! Et tu vas aimer ça, crois-moi ! Oh oui, tu vas bander comme maintenant, quand tu la regarderas se faire baiser par toutes ces grosses queues ! ».
Je dois avoir l’air con à la fixer ainsi, avec des yeux de veau.
Elle poursuit comme pour enfoncer le clou : « Puis, je suis même sûre qu’elle aimerait se faire enculer ! »
Je suis paumé mais je dois l’admettre, excité aussi, alors que Véronique me branle la queue de plus en plus vite.
Véronique me conseille de bien profiter du spectacle, après tout je vais payer pour cela !
Elle s’agenouille devant moi et avale ma bite. Pendant qu’elle me suce, je colle mon visage, la tête vide, contre la lucarne.
Le type continue à baiser Marie, comme un fou. J’entends ses gémissements ininterrompus. Soudain, elle jette un grand cri et son corps est secoué par de violents de spasmes.
Karim s’écroule sur elle, toujours enfoncé dans son ventre.
Ils restent ainsi un long moment.
Peu à peu, les pieds de mon épouse recommencent à s’agiter dans le dos de son amant.
En veut-elle encore ?
Sans doute, car il la besogne à nouveau, très énergiquement.
Je ne reconnais plus ma femme, elle est déchaînée !
Même ici, derrière ce mur, je peux entendre le corps de Karim qui claque contre le ventre de Marie. Je vois maintenant le bassin du Black qui se soulève et retombe violemment. A chaque coup de butoir, il pousse un braillement sourd.
Soudain, elle se mit à hurler des obscénités au milieu de ses cris de plaisir.
Jamais je ne l’ai vu ni entendu comme cela !!!
Une décharge électrique me parcourt l’échine et je ne peux m’empêcher de décharger dans la bouche de Véronique.
Pendant que je suis secoué par des contractions, ma vicieuse maîtresse se lève et tout en s’essuyant la bouche, avec un large sourire, me balance :
- « Maintenant, la touche finale ! ».
Elle sort aussitôt, me plantant là avec mon pantalon tirebouchonné sur les chevilles !
Je porte mon regard vers l’atelier, à travers la lucarne.
Ma femme gît sur les matelas, les yeux fermés.
De dos, le black est en train de boire de l’eau à même la bouteille. Quand il se retourne, je note que son sexe s’est tout juste ramolli. Mais même sans érection, j’envie ce salaud d’avoir une queue pareille.
Un peu moins de la moitié de la mienne, quand je bande et d’une épaisseur étonnante. Je comprends mieux pourquoi ma chérie hurlait toute à l’heure…
Karim s’approche de Marie et lui ordonne de se lever. Ma femme obéit docilement. Elle semble si fragile à côté de lui.
Il se place derrière elle et enlace son buste. Ses grosses mains partent envelopper la poitrine dénudée.
Dès qu’il se met à lui pétrir rudement les seins, en étirant parfois les tétons, Marie se met à gesticuler sur place en poussant des petits cris.
Il tourne la tête de Marie vers lui et l’embrasse à pleine bouche, pendant qu’une de ses mains se plaque sur la chatte exposée.
A peine étonné, je constate que ma Belle écarte d’elle-même les jambes. Il en profite pour insinuer sa main entre ses cuisses.
J’ai un brusque mouvement de surprise quand il retourne mon épouse dans ma direction.
Non, ils ne peuvent pas me voir ! Pourtant, ils sont à moins de 2 mètres de moi.
Il lui fait poser un pied sur le tas de matelas. Les jambes ainsi écartées, ses doigts viennent crocheter le sexe ouvert dans lequel il en introduisit deux. Tout de suite, il commença à les remuer lentement.
Les mouvements de va-et-vient se font plus nerveux et ma femme desserre encore plus ses cuisses. Il accélère la cadence de ses doigts dans le ventre de Marie.
Très vite, elle rejette sa tête contre le torse du Noir et se met à feuler comme une bête.
La scène est incroyable et je sens soudain, que je bande à nouveau !
Le contraste est saisissant entre cette tête blanche sur le corps noir du type.
Bizarrement, une nouvelle vague de jalousie m’envahit. Pourtant, je me traite de con car j’ai laissé faire cela.
Je dois m’habituer à admettre que je ne suis qu’un sale petit voyeur qui prend son pied à mater sa femme se faire baiser par un autre. Véronique avait raison, j’y prends goût !
- « A genoux, ma petite pute ! ».
Comment ma femme peut-elle accepter de se faire insulter ainsi ?!
Pourtant, elle obtempère docilement. Agenouillée, elle saisit la trique face à elle et elle se met à lui donner des petits coups de langue en insistant sur le gland violacé du type.
Elle gobe la grosse bite quand il lui commande de le faire.
Sa bouche a des difficultés à avaler entièrement la queue du Black, tant elle est dimensionnée.
Sans qu’il lui ordonne, elle se met à jouer avec ses grosses couilles allant jusqu’à les lécher !
Si ses yeux sont fermés, c’est certainement plus à cause du plaisir qu’elle ressent que par honte.
Je ne la savais pas aussi salope que ça ! Encore une découverte !
Au bout d’un moment, satisfait sans doute, il lui dit brusquement de s’allonger. Soumise, elle va vers le tas de matelas. Il la rejoint et s’allonge sur le dos. Son sexe fait quasiment un angle droit !
J’en ai presque des complexes et je ne peux m’empêcher de regarder le mien tristement ; je ne pourrai jamais lutter !
Il lui dit quelque chose mais je ne saisis pas ses paroles jusqu’à ce que je voie Marie l’enjamber.
A genoux sur son ventre, face à lui, les cuisses largement écartées, elle se relève légèrement pendant qu’il empoigne sa bite.
Putain, la vache ! Il est vraiment monté comme un âne, le salaud !
Il positionne son gland épais devant le sexe de mon épouse et soulève son bassin. Dès qu’il est emmanché, il saisit les hanches de ma femme et l’attire lentement vers lui.
Marie se cabre en poussant un râle et je vois distinctement chaque centimètre de sa hampe, s’enfoncer dans la chatte.
Comment une petite bonne femme, comme elle, peut engloutir un gourdin aussi gros ?!
Karim la tient solidement par la taille et, patiemment, lui fait prendre le rythme du coït.
Chaque fois qu’elle rabaisse ses fesses, Marie souffle de tous ses poumons.
Quand il entreprend d’appuyer vigoureusement ses premiers coups de reins, elle n’a déjà plus la force de crier.
Echevelée, le regard absent, sa bouche grande ouverte n’émet aucun son ; ce n’est que lorsqu’il s’enfonce complètement et que sa queue disparaît totalement qu’elle pousse alors un cri rauque qui est salué d’un ‘’han’’ de bûcheron.
C’est la première fois que je vois ma femme se perdre ainsi.
Elle n’est plus qu’une femelle pantelante et infiniment désirable !
Ce Black est en train de me faire découvrir une autre Marie que je n’avais jamais soupçonné durant nos ébats (J’ignore encore combien de temps, il la baisa ainsi, mais cela me sembla, à ce moment là, une éternité).
C’est juste au moment quand je l’entends hurler son orgasme, la tête rejetée en arrière, que j’ai la surprise de découvrir Véronique entrant dans l’atelier.
Marie ne peut pas remarquer sa présence puisque, toujours empalée sur le Black, elle est de dos.
Mais quand sa copine balance un : - « Oh, désolée ! Pardon, je ne voulais pas ! ».
C’est à ce moment précis que ma chère et tendre épouse fait un bond de cabri, comme si un serpent venait de la mordre!
Livide, les yeux hagards et les cheveux trempée par la sueur, elle fixe, muette de saisissement, sa meilleure amie qui vient de la surprendre, nue et assise à califourchon sur un mec.
Les ‘’Beuuuu… Heuuu..’’ qu’elle réussit à émettre lamentablement, ne sont guère convaincants.
Faut dire que la scène est suffisamment explicite !
Véronique prend son temps avant de sortir de l’atelier, non sans avoir lancé à ma femme un drôle de regard.
Il faut tout de même quelques minutes avant que Marie ne retrouve tous ses esprits et se rhabille précipitamment.
Ce n’est que lorsque Karim quitte la pièce que ma maîtresse réapparaît.
Marie, assise, sur les matelas, sanglote. La peur des conséquences, sans doute…
Non sans un ‘’t’es vraiment une belle salope !’’, Véronique tente de la rassurer. Elle lui promet de ne rien dire de ce qu’elle vient de découvrir, surtout à moi.
Après tout, entre amies intimes, c’est tout à fait normal.
Avec la maîtrise d’un Machiavel en jupons, elle met toute sa science à l’embobiner.
Elle lui explique qu’elle la comprend. Après tout, elle est jeune et c’est normal. Et puis, je suis souvent absent.
- « Enfin, à partir du moment où ton mari l’ignore, cela ne peut pas lui faire du mal » : confie-t-elle à sa ‘’copine’’. « Après tout, il fait peut être la même chose de son côté : la preuve, tu l’as déjà surpris avec deux nanas ».
La salope ! Elle me fait quoi comme plan ?!
- « Et puis, ce sera notre petit secret. Après tout, je suis discrète et je t’aime beaucoup. D’ailleurs on ne sait jamais, je peux t’aider en cas de besoin. Je connais beaucoup de mecs qui seraient ravis de faire ta connaissance. On est complice ou pas ? ».
Marie acquiesce de la tête.
Cela a à l’air de fonctionner car, je m’aperçois que, non seulement ma chère femme ne pleure plus mais qui plus est, écoute avec un certain intérêt, ce que lui dit son amie.
- «Après tout, entre filles, il faut s’entraider. Mais avant, dis-moi, honnêtement : t’as pris ton pied ? Il t’a bien baisé ? ».
Mon épouse baisse la tête, mais hoche timidement la tête.
- « Bah alors, pourquoi t’en priver, ma fille ? Tu sais que ton mec est en relation d’affaires avec moi et que je connais personnellement son patron ? ».
Nouveau hochement de tête.
Véronique poursuit : - «Ok ! Et bien, je peux très bien m’arranger pour que parfois, il doive partir en tournée ; quitte à ce que j’en organise moi-même et que je l’occupe. Ta maison est tellement isolée dans la campagne que tu peux facilement et sans risque, recevoir qui tu veux en toute discrétion. Et puis, en cas de problème, je te préviens. C’est mieux que de traîner en ville et de te faire surprendre, comme ton mec que tu as choppé la dernière fois, non ?».
Nous y voilà…Elle est quand même trop forte !!!
J’ignore ce que peut penser Marie de ce que lui propose sa copine, mais elle l‘écoute avec beaucoup trop d’attention à mon goût.
- « Tu sais, ma chérie, si tu veux être tranquille, tu dois faire toi aussi quelques efforts, non ? ».
Devant les sourcils en points d’interrogation de mon épouse, Véronique poursuit :
- « Bah oui, si tu veux avoir un peu de liberté et un petit jardin secret, il faut que tu ‘’occupes’’ ton mec. Donnes-lui un peu de ce dont il a envie. Il doit bien avoir des fantasmes ? ».
Comme ma femme n’a pas l’air de comprendre, elle précise sa pensée :
- « J’ai cru comprendre qu’il souhaitait que tu sois moins écolo et maintenant, tu commences à être canon. C’est bien même s’il reste encore des changements à faire ( ?). Maintenant, il faut que tu sois sexy en diable. Je ne veux pas dire que tu dois t’habiller comme une pute, quoique les mecs aiment ça ; mais fringues-toi encore plus ‘’sexe’’. Mets des trucs hyper décolletés, hyper courts, des fringues transparents. Si tu fais bander les mecs, rien qu’en te regardant, le tien sera super fier. En plus, tu m’as dit qu’il n’était pas maladivement jaloux, n’est-ce pas ?» ;
Marie lui confirme ce fait.
- « Ah, tu vois ! Et bien, la semaine prochaine, je t’emmène avec moi dans une boutique spécialisée. Tu es d’accord ? ».
Marie fait un hochement de tête affirmatif.
- « Et puisqu’on en est aux confidences, je vais te dire un petit secret. Ne vas pas lui rapporter ce que je vais te dire, hein ? » - (Signe de dénégation de ma femme) – « Lors de la soirée chez Karim, il t’a vu danser étroitement collé à lui. Et tu sais, ce qu’il m’a confié, ton mari, après ? Et bien, ça l’a fait bander de te voir ainsi. Il n’en revenait pas. Mais te mater en train de te faire draguer, ça lui a plus. Mais il pense que c’est parce que tu avais picolé. Il est persuadé qu’autrement, en temps normal, tu es trop coincée. Tu vois, je suis sûre qu’il aimerait bien que tu sois un peu plus salope, enfin coquine, je veux dire… ».
- « Non, t’es folle !!? ». Mon épouse n’en revient pas.
- « Fais-moi confiance. Je suis ta meilleure amie, non ?! D’ailleurs, après ce que je viens de voir, je n’ai plus d’hésitation, je vais te faire rencontrer certains de mes amis. Tu vas voir, je vais te sortir, moi !! ».
Ma maîtresse termine ainsi son long déballage commercial.
- « Mais attention, pour l’instant, sois prudente car, si ton mec prend son pied à te voir te faire draguer, il n’est sans doute pas encore disposé à ce que tu te fasses baiser devant lui. Les mecs ne sont pas jaloux, tant qu’ils pensent pouvoir maîtriser la situation. Tu comprends ? ».
Marie semble enregistrer ce que Véronique lui explique.
Cette dernière continue :- «Te faire draguer, oui, puisqu’il semble aimer cela ; te faire culbuter devant lui, non ! Pas encore tout de suite, en tous cas ! Mais si tu te débrouilles bien et que tu lui mets la pression, peut-être qu’un jour, tu pourras te faire baiser sans avoir à te cacher… ».
Je suis sur le cul : pas une fois, Marie n’a protesté ni refusé !
- « Oui, mais je ne veux pas qu’il saute des pétasses, moi ! » : Proteste mon épouse.
- « Mais Marie, t’as rien compris ! C’est toi qui dois l’amener à réaliser ce que tu veux ! Tu dois lui faire croire que cela vient de lui mais que tu n’es pas prête à accepter qu’il te trompe. T’inquiète, ma chérie, je t’aiderai ».
Mais où donc va-t-elle chercher tout cela...
- « Bon, refais-toi une beauté. Je vais téléphoner à Marc pour lui dire que je te raccompagne chez toi. Cela vaut mieux, n’est-ce pas !? »: S’esclaffe Véronique.
Juste avant de les voir sortir de l’atelier, j’entends ma maîtresse dire à mon épouse : «Et n’oublies pas ce que je viens de te confier. Si tu veux garder ton mari et t’envoyer en l’air tranquillement, fais le bander ! Mais ne racontes pas tes petites histoires, ça c’est uniquement entre toi et moi!».
Putain, comme cette nana est redoutable ! Ma femme semble avoir été emberlificotée de première !...
… Vite fait, je suis sortie de la remise sans me faire voir.
Je leurs ai laissé assez de temps avant de rentrer à la maison. Lorsque je suis arrivé, elles étaient toutes les deux en train de prendre un café. Aucun commentaire sur la séance photos et je n’en ai pas parlé non plus.
Seule, Véronique m’a annoncée que la journée s’était bien passée.
Il me semble avoir vu Marie rougir… Sa tête était défaite !
Prétextant la fatigue, mon épouse est allée se coucher, juste après le départ de ma maîtresse. Une fois au lit, elle a dû s’endormir comme une bûche !
Quand, le matin, je suis parti de la maison sans faire de bruit, Marie dormait encore !
Pas étonnant…
Depuis 3 jours, j’essaie de joindre Véronique, mais impossible car elle est en déplacement et son portable ne répond pas.
J’attends la suite.
Je suis à la fois inquiet et impatient de voir comment les choses vont se dérouler.
Depuis 3 jours, Marie, tout en étant tendue, se montre adorable avec moi. D’ailleurs, avant quand nous sortions hier, elle m’a demandé de l’aider à choisir ses fringues.
Je ne sais pas ce qui m’a pris mais je lui ai fait remarquer qu’elle pourrait s’acheter des choses un peu plus sexy.
- « Ah, tu crois ? Mais cela ne te fait rien si les mecs me matent? ».
Je l’ai assuré que je serai très fier de les voir baver sur un bijou qu’ils ne pourront jamais s’offrir…
- « Ah bon, je n’osais pas car je pensais que tu serais jaloux. Bon, d’accord, si c’est pour te faire plaisir, je vais demander à Véronique de venir faire les magasins avec moi. A moins que tu veuilles qu’on les fasse ensemble ?».
Là, elle est trop forte car elle sait que je n’aime pas faire du shopping. Elle apprend vite, ma coquine…
Bon, j’ai hâte que Véronique revienne. J’ai quelques mots à lui dire….
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