MA MÈRE EST UNE DOMINATRICE, PARTIE 1

- Par l'auteur HDS Gregoire56 -
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Récit libertin : MA MÈRE EST UNE DOMINATRICE, PARTIE 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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MA MÈRE EST UNE DOMINATRICE, PARTIE 1
1. MARTINA G, SOIXANTE-DIX ANS, MAÎTRESSE DOMINATRICE

CHAPITRE 1

Superbe petite Italienne à l’intellect acéré, à l’humour acerbe, au caractère bien trempé quoiqu’à la sensibilité exacerbée, au visage aquilin éclairé par de grands yeux bruns, à la peau de pêche et à la gracieuse silhouette quelque peu androgyne, ma mère avait toujours fait tourner les têtes et chavirer les cœurs ; une sublime femme à poigne, en somme, aussi charmante qu’excitante.
Ainsi, parallèlement à une vie sentimentale plus ou moins normative, dans le refuge de rêveries érotiques où nul interdit moral n’avait cours, j’avais cultivé, dès l’adolescence, une torride passion secrète pour ma délicieuse génitrice, incoercible infatuation œdipienne qui n’avait fait que croître, et devenir sans cesse plus charnelle.
Le joli minois, les jambes musclées, les seins menus et les épaules carrées de ma procréatrice me subjuguaient tant, que peu de filles de mon âge soutenaient la comparaison.
Par ailleurs, étant donné que les figures de batteuses d’hommes et autres dominatrices sadiques – dont je ne désirais guère être victime, mais bien plutôt amant et complice – avaient toujours occupé une place prépondérante dans mon univers fantasmatique, je me figurais avant tout ma chère Maman dans un rôle de punisseuse sadique. La perspective de la voir supplicier des quidams soumis m’excitait plus que tout, si bien que je ne pouvais m’empêcher de l’imaginer en furie batteuse d’hommes : une cruelle amazone châtiant des imbéciles masochistes en les flagellant jusqu’au sang, en démolissant leurs parties intimes, en faisant ses besoins dans leur bouche, en les piétinant sous ses hauts talons, et cætera…
Vouant une adoration dévote aux cuisses et mollets parfaitement galbés de ma mère, ainsi qu’à ses pieds si mignons et impeccablement curés, durant toute ma jeunesse, je m’étais efforcé de dissimuler le trouble qui m’envahissait chaque fois qu’elle étendait ses jambes divines et remuait ses pieds ravissants sous mes yeux. Pétri de honte, je me contentais à cette époque de humer ses sous-vêtements sales ou ses chaussures, tout en rêvant de lécher son cul mince et ferme, suçoter ses courts orteils de bambine, et pilonner ardemment sa chatte.
Aussi indécent fût-il, ce désir à la fois incestueux et hybristophile s’était fait sans cesse plus prégnant, au fil des ans. Plus je tentais d’y renoncer, et plus j’imaginais ma séduisante génitrice en Maîtresse Martina : une belle et cruelle dominatrice qui jouirait de tabasser et humilier d’obséquieux soumis, dont je désirais plus que tout ceindre, embrasser et pénétrer le corps magistralement sculpté.
Outre que son autoritarisme goguenard, sa désinvolture canaille et son charme naturellement dominateur laissaient entrevoir une propension à incarner une méchante des plus crédibles, j’avais chéri divers souvenirs, au fil de l’enfance puis de l’adolescence, que l’on pourrait juger anecdotiques, mais qui ne manquèrent pas d’alimenter ma passion doublement déviante.
Au nombre de ces ténus indices, j’avais retenu, en premier lieu, les douteuses plaisanteries qu’elle partageait avec mon père au sujet de prétendus rapports sadomasochistes.
Tu mérites une punition… Cette nuit je vais te fouetter… avais-je plus d’une fois entendu Maman ricaner à ce propos.
Dans un registre différent, j’avais été ébahi, d’apprendre que lorsqu’elle était enfant, une antipathique poupée de grande taille faisait office d’exutoire à ses colères ; un hideux mannequin d’habitude remisé sous son lit, d’où elle ne l’extrayait que pour le frapper à grands coups de ceinture !
Divers récits de frasques lycéennes m’étaient par ailleurs restés en mémoire, qui relevaient d’un goût certain pour l’humiliation, tels les vols répétés du repas de midi d’un fayot ou la raillerie d’un convive maladroit pour cause d’apparente ringardise.
J’étais une vraie peste, m’avait-elle un jour confié, en me montrant une photo de classe où elle posait au milieu des beaux garçons de son lycée huppé.
Sans vergogne, elle m’avait raconté qu’à cette époque, elle se débarrassait de ses vêtements convenables dès qu’elle quittait le domicile bourgeois de ses parents, au profit de minijupes destinées à affoler les jeunes gens précités…
J’étais âgé d’une douzaine d’années, le jour où ma mère avait formulé une allégation qui m’avait bouleversé : elle avait clamé, ni plus ni moins, qu’elle ne verrait nul inconvénient à tabasser des pervers masochistes afin de se défouler sur eux tout en s’accaparant leur argent. Elle était allée jusqu’à mimer et bruiter des coups imaginaires :
Boum ! Boum ! Boum...
Cette affirmation eut d’autant plus de retentissement, dans mon esprit perturbé, que Maman avait réitéré une déclaration similaire une dizaine d’années plus tard – lors du repas de Noël de ma vingt-deuxième année, précisément : relatant la mésaventure d’une amie célibataire dont un soupirant contacté sur l’internet n’avait manifesté nul autre désir que celui d’astiquer ses bottes d’équitation, ma fantasque génitrice s’en était montrée franchement amusée, qui avait alors réaffirmé qu’elle tirerait volontiers profit de tels individus. Elle avait de surcroît démontré une connaissance au moins élémentaire des modalités de l’univers gynarchiste, en expliquant à mon frère cadet la nature majoritairement chaste et inoffensive des hommes soumis.
L’irraisonnable aspiration charnelle qui avait couronné ma propre mère que en tant que reine des dominatrices n’avait cessé de croître, dès lors que j’étais devenu majeur, périodiquement réalimentée par de subtils signaux tels que la mention du fameux fétichisme podophile de Quentin Tarantino, l’exhortation faite aux dames de foutre un coup de genou dans les couilles des dragueurs trop insistants, une troublante plaisanterie consistant à m’enjoindre à baiser son pied, ou encore le souhait d’écraser un pigeon squattant son balcon sous sa chaussure…
Quant au vœu de devenir une vieille dame indigne s’autorisant mille et un excès, l’évocation d’une aristocrate de l’Antiquité romaine qui voulut séduire son propre fils, ou le rappel des désirs ouvertement œdipiens de ma prime enfance, ils ne firent qu’attiser mes implacables pulsions incestueuses.
Ce ne fut toutefois pas avant l’âge de trente-sept ans, tandis que ma mère en avait soixante-et-onze, que j’osai enfin lui dévoiler mon brûlant désir consanguin et sadomasochiste à la fois. La tension sexuelle étant alors devenue intenable, j’avais de plus en plus de peine à dissimuler mon excitation en sa présence, d’autant plus que le temps n’avait guère altéré la splendeur de son petit corps musclé à la peau satinée – ni son admirable condition physique.
Sans doute, la coïncidence suivante joua-t-elle un rôle déclencheur, quant à la révélation de ma passion interdite : une amie m’avait cédé une vingtaine de tenues vestimentaires et autant de paires de chaussures dont elle souhaitait débarrasser son placard ; puisqu’elle faisait la même taille et la même pointure – un petit trente-huit, dans les deux cas –, je les offris à ma génitrice adorée.
Si Maman se montra surprise, du fait qu’une grande partie des vêtements en question étaient franchement sexys – mini-shorts en similicuir, bas résille, chaussures à talon et autres guêpières en dentelle –, elle afficha plus encore d’étonnement, après que j’eus révélé l’activité ludique, lucrative et indécente par le biais de laquelle mon amie les avait obtenus : la domination de pervers soumis contactés via des sites internet dédiés.
Certifiant que moult déviants étaient prêts à se ruiner auprès d’habiles humiliatrices, je dus faire fi de toute bienséance, pour trouver le cran de proposer à ma mère de poser elle-même dans des tenues plus ou moins affriolantes en vue de soutirer les deniers de tels invertis.
Mon soulagement fut infiniment libérateur, du fait que Maman se montra bien davantage amusée que vexée par mon indécente suggestion. Ricaneuse, elle consentit volontiers à l’essayage d’une tenue provocante.
Va dans la cuisine pendant que je choisis ce que je vais mettre, dit-elle. Je vais me changer, et tu me diras ce que tu en penses.
Stupéfié par son irrésistible sex-appeal, je restai coi, lorsque la vieille garce reparut dans un boléro en velours et un short en similicuir noirs, un body couleur saumon, des collants sombres pourvus d’une couture à l’arrière, et des escarpins très pointus au talon conique de six ou sept centimètres. S’étant prêtée au jeu de l’apprêtement licencieux avec enthousiasme, elle avait en outre égayé ses courts cheveux peroxydés d’un chapelet de roses en papier, et s’était démesurément maquillée : une surabondance de mascara embrumait ses grands yeux noisette, un rouge vermillon brillant rehaussait ses fines lèvres boudeuses, et un épais crayon noir lui dessinait des sourcils menaçants.
Transi de désir autant que de trac, fasciné par le short en similicuir, la couture des collants et les escarpins soulignant le galbe de ses jambes, je restai d’abord reclus dans un mutisme pantois, obnubilé par l’idée de flatter, palper et baiser chaque parcelle de l’avantageuse anatomie de ma folâtre ascendante : sa nuque élégante, ses bras et ses épaules encore vigoureux, ses cuisses bombées, ses mollets fuselés, ses petits seins tombants, ses clavicules saillantes, son ventre plat quoique mou, ses pieds adorables, ses modestes fesses douces et blanches, ainsi que son minou juteux… La perspective de mêler ma langue à la sienne, puis de pénétrer son corps cambré, m’emplissait d’une inégalable extase.
L’alcool aidant, je puisai dans la certitude qu’il vaut mieux nourrir des remords plutôt que des regrets, l’extravagante témérité d’avouer tout à coup à ma mère qu’elle me plaisait.
Nous restâmes tous deux paralysés durant d’interminables secondes de flottement, avant que j’osasse répéter qu’elle me plaisait – beaucoup.
Suite à cet intervalle d’immense embarras, tel un saut dans le vide, j’enlaçai fébrilement la superbe femme qui m’a mis au monde, en confessant que nulle autre ne m’avait jamais autant excité.
Le Rubicon ayant ainsi été franchi, je révélai d’une traite les deux pôles de mon rêve le plus cher : devenir son amant, et la voir torturer des adorateurs masochistes tels des jouets défouloirs !
Un sourire triomphal fendit les lèvres exagérément rougies de Maman, lorsqu’elle sentit mon pénis durci contre son bassin, ce qui eut l’heur de la décoincer tout à fait, ainsi qu’elle le démontra en plongeant sa main dans mon caleçon avec des roucoulements canailles.
Je formulai encore une déclaration enflammée, tandis que nos mains avides palpaient mutuellement nos corps fiévreux.
Excité à tel point que j’étais secoué de tremblements nerveux, j’eus droit aux plus langoureux baisers imaginables – œillades torrides et contorsions de catin en sus –, en même temps qu’elle caressait mon phallus.
Des onomatopées sensuelles avaient remplacé les mots devenus dispensables, lorsque, au comble de la fièvre amoureuse, je conduisis ma conquête jusqu’à son lit.
J’embrassai tendrement l’irrésistible Jocaste dont les muscles affûtés frémissaient entre mes bras, lorsqu’elle se fut alanguie sur le matelas, caressant sa région lombaire d’une main, et glissant l’autre sous ses collants pour masser ses fesses.
Aussitôt amorcé, notre subit élan incestueux était devenu aussi naturel que d’aucuns eussent pu le juger inconvenant. En une fraction de seconde, nous n’avions plus été seulement mère et fils, mais également amants. Ainsi, oubliant tergiversations et tabous, nous nous sentîmes immédiatement semblables à tout autre couple d’amants passionnés.
Mon excitation atteignit un paroxysme épileptique, après que j’eus retiré à Maman ses escarpins pointus, son short en similicuir et ses collants sombres. J’entrepris de flatter et embrasser ses cuisses, ses mollets et ses pieds nus, tout en clamant le désir idolâtre qu’ils suscitaient en moi.
Or, la gourgandine leva sa jambe de déesse, et inséra ses orteils vernis dans ma bouche !
Tu les aimes, mes pieds ?!? Ça t’excite, hein… Ils t’excitent comme c’est pas possible, mes jolis petits pieds ! dit-elle avec un sourire de garnement, en remuant ses orteils moites sur ma langue.
Je fus heureux de confirmer, entre deux suçotements de ses succulents doigts de pied, qu’il s’agissait effectivement de l’un de mes plus chers fantasmes.
Tu es un gros pervers, déclara la superbe chipie en riant, avant d’extraire le bout de son pied droit de ma bouche pour y forcer le talon – un peu rugueux – du gauche.
Je continuai de cajoler et lécher passionnément les pieds de ma génitrice, pendant qu’elle se débarrassait du caraco noir et du body saumon, puis de son soutien-gorge – un modèle blanc des plus basiques.
Allez Coco, enlève tes habits ! Enlève ça, et fais-moi l’amour ! s’écria-t-elle, sitôt qu’elle se retrouva nue.
Je dégustai quelque peu sa vulve détrempée – le meilleur goût au monde – avant de la pénétrer.
Bien que rendu hâtif par une tension exacerbée, notre premier coït œdipien fut merveilleux.
Suite à cet instant exceptionnel, alors que nous nous caressions et nous embrassions fiévreusement dans son lit, je répétai à Maman mon désir le plus cher – hormis celui de la combler du mieux que je le pourrais : la voir endosser l’habit d’une cruelle punisseuse, aux dépens de stupides larbins masochistes qu’elle pourrait humilier, exploiter et martyriser à volonté…
Je ressentis une joie indescriptible, lorsque la vieille garce prononça ces mots :
Tu sais quoi, Coco ? J’adorerais ça… Vraiment. J’adorerais. J’en ai toujours eu envie, dans un coin de ma tête…
Ainsi donc, ma charmante génitrice attesta qu’elle prendrait un indicible plaisir à massacrer des loques soumises qui la vénéreraient d’autant plus qu’elle les torturerait, assurant crânement qu’elle s’autoriserait volontiers à leur infliger les châtiments les plus douloureux et les gages les plus ignobles !
Nous publiâmes donc l’annonce suivante, le jour même, dans la rubrique sadomasochiste d’un site internet spécialisé :
Maîtresse Martina, 67 ans, dominatrice cruelle et passionnée.
Je suis ton plus cher fantasme, et ton pire cauchemar.
Ayant toujours été une petite peste véritablement sadique, rien ne me fait tant mouiller qu’infliger des coups et des humiliations abominables à des sous-merdes qui acceptent de souffrir comme des bêtes à mes pieds.
D’origine italienne, je suis menue, mince et sportive. Quoique j’aie soixante-sept ans déjà, je suis restée particulièrement énergique, objectivement sexy et… Très brutale.
Une parmi un million, ma recherche est non-vénale, car je ne manque d’aucun caprice matériel. Mes gratifications sont bien plutôt les gémissements, les supplications et les larmes de mes victimes.
De retour d’un long séjour dans mon Italie natale, je suis actuellement en quête de véritables masochistes de la région, pour leur faire subir les pires douleurs et dégradations. Je peux recevoir chez moi, ou me déplacer – à condition d’être dignement véhiculée.
Je n’exige aucun tribut financier, mais attention : les simulations et jeux de rôles soft ne m’intéressent pas du tout, car je suis une maîtresse réellement hard ! La première fois qu’ils me rencontrent, mes esclaves sont souvent abasourdis, de ce qu’une petite nana de mon âge est capable de leur faire subir…
Si tu n’es pas un soumis et un maso confirmé, restons-en donc là, et ne perdons pas notre temps.
En revanche, si tu es un homme-larve prêt à être tabassé, flagellé, piétiné et humilié sans la moindre pitié, tes cris et tes pleurs seront un délice pour mes oreilles. Je prendrai le plus grand plaisir à t’insulter, t’attacher, te menotter, te traîner en laisse, te bâillonner, te séquestrer, te cogner avec mes gants cloutés, te massacrer à coups de pied, t’étrangler, te cracher à la gueule, t’écraser sous mes chaussures, détruire tes couilles, te faire lécher mes semelles sales, te cravacher jusqu’au sang, te casser le cul avec un gode, te marquer au fer rouge, pisser et chier dans ta bouche, et que sais-je encore….
Si tu es persuadé de pouvoir endurer une folle furieuse telle que moi, présente-toi un minimum, en résumant tes recherches et limites éventuelles.
L’annonce de ma mère remporterait un succès d’autant plus franc que nous y joignîmes quatre photographies percutantes bien qu’anonymisées.
La première image ne présentait qu’une jambe gainée de résille, un pied chaussé d’une bottine à talon aiguille noire, et une main dont l’index indiquait impérativement celle-ci.
Maman – alias, Maîtresse Martina – avait enfilé un outrageux pantalon en cuir noir et des sabots rivetés au gros talon en bois, pour la deuxième prise de vue consistant en un plan rapproché de sa main droite tenant une ceinture repliée, du majeur dressé de son autre main, ainsi que de la semelle de son lourd sabot suédois présentée face à l’objectif.
Obtenue au moyen d’un retardateur de prise de vue, la troisième image me représentait agenouillé face à Maîtresse Martina levant une main gantée de velours noir comme pour m’asséner une claque ; on l’y voyait, jambes nues, dans une courte jupe en toile denim et une blouse pistache sans manches, chaussée de bottillons de randonnée fourrés à l’épaisse semelle cannelée.
Bouche bée, regard exorbité ; je ressemblai probablement au loup priapique de Tex Avery, quand mon aventureuse génitrice parut dans la tenue entièrement noire et démesurément érotique que nous avions tous deux choisie pour la quatrième illustration de son annonce en ligne : un body échancré en dentelle ajourée orné d’un triangle de métal doré entre les seins, un extraordinaire mini-short en faux cuir noir, des bas sombres fixés à des porte-jarretelles, et des escarpins à talon aiguille très pointus parés d’un chaînon doré à l’avant.
Ayant installé mon téléphone sur un trépied, je m’allongeai à même le sol sitôt que j’eus activé le retardateur de la fonction photographique. Maman vint alors se jucher sur mon thorax sans hésitation. Malgré les journaux glissés sous mon t-shirt en vue de l’atténuer, je peinai à supporter l’atroce morsure de ses talons effilés, tandis que nous prenions la pose…
Fais pas ta lopette ! Je suis pas si lourde que ça, ou quoi ?!? lança-t-elle, narquoise, en réponse à mes gémissements étouffés.
Une fois descendue de ma poitrine, posant ses mains sur ses hanches, elle appuya un talon aiguille menaçant sur ma gorge – sans y appliquer de poids, bien heureusement –, et déclara avec un sourire enjôleur :
J’ai hâte de piétiner un pauvre con sous ces talons aiguilles, si tu savais…
Ensorcelé, je me relevai dès que l’impensable apprentie dominatrice eut ôté son escarpin de ma gorge, pour l’enlacer et l’embrasser avec ferveur. Mon sexe était alors devenu dur comme la pierre.
Après que j’eus délicatement renversé ma mère sur son lit, aussi brûlante d’excitation que moi-même, elle ne tarda pas à faire glisser son short de putain le long de ses jambes magnifiques, puis ses collants en nylon sombre. Ma bandaison était si intense qu’elle devint presque douloureuse, à l’instant où elle ôta son body saumon.
Ayant retiré ses souliers à talon, Maman les renfila cependant, à ma demande, avant que nous fissions l’amour.
Je la baisai comme je n’avais jamais baisé nulle autre femme auparavant, avec une fougue et une passion inédites.
Je restai en elle, après avoir éjaculé une première fois. Or, toute nue dans ses escarpins pointus de pétasse, elle m’excitait tellement, que je pus recommencer à limer son doux vagin moins d’une minute après…
Dès la publication de son annonce en ligne, Maîtresse Martina avait reçu nombre de sollicitations plus ou moins sérieuses ; il m’appartiendrait d’en faire le tri, afin de sélectionner les candidats au châtiment qu’elle aurait le bonheur de martyriser.

CHAPITRE 2

Le jour de sa toute première séance de domination, mon effrontée génitrice avait opté pour la tenue qu’elle portait lors de notre premier élan charnel : mini-short façon cuir noir, body saumon, boléro noir, collants sombres à couture et souliers à talon hyper pointus.
Nous échangeâmes un baiser langoureux, dès mon arrivée chez elle, au terme duquel la pétulante harpie me confia :
Tu as pas idée, comment je suis excitée… J’ai trop envie de commencer à le taper comme un chien, l’autre connard !
Ravi par cet enthousiasme belliqueux, et submergé par un incommensurable désir à la vue de ses divines gambettes gainées de nylon, je restai interdit.
À brûle-pourpoint, Maman s’enquit donc :
Ben alors… Qu’est-ce que tu regardes ? Elles te plaisent, mes jambes ?
Ce à quoi je répondis affirmativement – bien que ce fût un euphémisme –, tellement émoustillé que j’en bégayais. J’étais en réalité sujet à une érection formidable, depuis qu’elle m’avait accueilli dans son body seyant, son mini-short de tombeuse rock’n’roll et ses escarpins pointus.
Ah, vraiment… Elle te fait autant d’effet que ça, ta vieille mère ? ironisa-t-elle, un peu gênée.
Ma bouillonnante excitation n’avait pourtant rien d’équivoque.
Mannaggia comme ils sont pointus, ces souliers ! Rien que l’idée de tirer des coups de pied avec ça, dans les couilles du pauvre mec qui va venir… Ben franchement, ça me fait mouiller comme une cochonne, en vint à déclarer ma mère peu après, en mimant quelques coups de pied dans le vide.
À l’aube de sa septième décennie d’existence, l’ex-soixante-huitarde revêtirait l’habit de maîtresse punisseuse avec une aisance déconcertante, dont je ne tarderais pas à découvrir les insoupçonnés trésors de sadisme et l’agressivité physique hors du commun.
L’épatante salope émit un ricanement satisfait, lorsque je fis mention du risque de causer d’irrémédiables blessures à l’inconscient pervers dont elle prévoyait de savater les couilles en escarpins pointus, qui déclara même :
Ce sera tant mieux, si je lui détruis ses couilles pour toujours ! Qu’il en perde une, ou même les deux, j’en ai rien à foutre.
Sur ce, je dévoilai l’instrument que j’avais tenu à offrir à mon amante et génitrice en cette circonstance tout à fait particulière : une cravache d’équitation en cuir noir – dont j’avais ôté la claquette. Ravie, elle s’en empara instantanément, pour en brouillonner l’air tout en s’exclamant qu’il lui tardait d’en cingler l’échine de serviles masochiste. Je certifiai, pour ma part, que je prendrais un plaisir au moins égal à en voir ses coups furieux déchirer l’épiderme de ceux-ci.
Je ne tardai pas à retirer à ma mère son mini-short façon cuir noir et ses collants, afin que nous refissions l’amour ; d’abord langoureusement, puis énergiquement, et enfin bestialement…
Ingénieur d’une quarantaine d’années de prime abord sympathique et courtois, celui dont nous attendions la visite se présenta avec dix minutes de retard.
Tu as vu l’heure, espèce de connard ?!? Tu as vu l’heure qu’il est ?!? Tu as dix minutes de retard, sale pédé de merde ! vociféra par conséquent Maîtresse Martina, dès que j’eus conduit le visiteur au séjour.
Sitôt que je me fus retiré dans le coin de la pièce d’où il était prévu que je contemplasse tout en silence, elle se précipita sur son invité pour lui asséner une paire de gifles magistrale.
À genoux ! Mets-toi à genoux, sous-merde ! cria-t-elle.
La vieille garce lança un savant coup de pied dans l’entrejambe du soumis, dès que celui-ci fut agenouillé ; la pointe effilée de son escarpin ayant fait mouche avec vigueur et précision, le pervers se recroquevilla aussitôt sur le sol en poussant un long gémissement.
Ha ! En plein dans le mille !
Une douleur insoutenable venait de foudroyer le sémillant quadragénaire ; sourde, profonde, coupant le souffle, remontant inexorablement dans l’abdomen.
Suite à cela, près de dix minutes durant, le convive de ma mère fut tenu de rester à genoux au milieu du séjour, tandis qu’elle s’ingéniait à le gifler le plus vigoureusement possible, cracher dans sa bouche ouverte et lancer des coups vicieux dans son bas-ventre du bout très pointu de son escarpin, tout en l’injuriant copieusement :
Tu fais pitié, espèce de merde… Tu me dégoûtes… Sale gros dégueulasse, va ! Fils de pute ! Je vais te faire souffrir, moi, tu vas voir… Taré de merde ! Tu es qu’un pervers, un malade mental…
Un formidable pointu dans les bourses du soumis vint conclure cette séquence introductive, qui lui extorqua un beuglement grotesque et le laissa une fois de plus recroquevillé sur le parquet.
Maman lui ordonna de se déshabiller entièrement, qui empoigna la cravache dont je venais de lui faire cadeau.
Mets-toi debout ! Mets-toi debout, et écarte les jambes ! gueula-t-elle, dès que l’esclave fut dénudé.
Je pus déceler un profond désemparement, dans les yeux écarquillés du pervers tremblant de terreur à la perspective d’un autre coup d’escarpin pointu dans ses attributs virils, durant l’interminable suspens que ménagea sa retorse dominatrice – qui se délecta de son épouvante – avant de lui expédier encore le bout de son pied entre les jambes.
L’esprit en vient à court-circuiter, inéluctablement, face à une vamp castratrice déterminée à télescoper vos parties intimes du bout de sa chaussure. Quel paradoxe vertigineux, en effet, que les jambes fuselées et les mignons petits pieds d’une jolie poupée que l’on rêverait de cajoler et bisouiller sans fin, mais qui vous infligent au contraire la pire douleur qu’un homme puisse connaître !
Et… Vlan ! Causant probablement davantage de souffrance que précédemment, du fait que l’organe était désormais nu, la pointe du soulier de ma mère percuta le sexe du pervers avec une brutalité effarante, et celui-ci s’effondra de nouveau en mugissant longuement.
À grand renfort de coups d’escarpin dans les fesses et dans les flancs, le soumis fut ensuite mené, à genoux, jusqu’au canapé sur l’assise duquel il fut enjoint de plaquer son ventre et sa figure – en ramenant ses mains sur sa nuque.
Il s’ensuivit une flagellation effrénée ; de toutes ses forces, ma mère administra plusieurs dizaines de coups de cravache sur le dos et les fesses de son défouloir humain – qui arrachèrent à celui-ci des glapissements désopilants.
Après cette épouvantable cravachée, extatique bien qu’essoufflée, la flagellatrice somma le pervers quadragénaire de se coucher à plat ventre sur le sol tandis qu’elle s’asseyait sur le sofa. Cambrant ses chevilles de manière à enfoncer ses talons coniques au creux de la colonne vertébrale de son adorateur masochiste, elle se pencha en avant, pour examiner les rougeoyantes traces de cravache zébrant à présent le dos du malheureux. Elle éclata d’un rire méchant, lorsque celui-ci décrivit l’intense brûlure dont toute son échine était devenue le siège.
Suite à cela, Maman m’invita à m’allonger sur le canapé, tandis qu’elle-même s’en relevait ; dès que j’y fus installé, elle s’assit à califourchon sur moi, pour m’embrasser avec une fougue confinant à la brusquerie.
Lèche mes semelles, fils de pute ! Allez ! Lèche la saleté qu’il y a sous mes semelles ! ordonna-t-elle tout à coup au martyre terrassé.
Le soumis s’attela donc à pourlécher les semelles de ses escarpins, pendant qu’elle me chevauchait en dévorant ma bouche.
À voix basse, je confiai à ma délicieuse génitrice qu’elle m’excitait davantage que quiconque, que son époustouflante brutalité m’avait convaincu qu’elle était une dominatrice née, et qu’il me tardait de baiser une nouvelle fois éperdument son corps splendide…

CHAPITRE 3

Masque guerrier et parure érotique à la fois, Maman adopterait un maquillage excessif chaque fois qu’elle incarnerait son rôle de punisseuse sadique. Tout aussi fardée que lors de sa première séance de domination, elle portait cependant une tenue des plus simples, lorsque nous nous rendîmes chez le deuxième pervers dont nous avions sélectionné la candidature au supplice : un manteau matelassé en nylon brun foncé, un confortable jean à cinq poches gris clair, un pull en coton bordeaux, et des bottines noires à la semelle en gomme crantée modérément compensée.
Un trentenaire chétif nous accueillit dans un trois pièces minable, archétype de geek névrosé affublé de lunettes de vue ringardes et d’une calvitie précoce.
Alors c’est toi, le pauvre type que je vais tabasser aujourd’hui ! lança ma mère, dès que nous fûmes entrés. Tu es prêt, Lopette ?
Lopette : elle avait arbitrairement surnommé le soumis du jour ainsi dès les premiers échanges de courriels, en raison de son allure craintive et efféminée.
Je m’installai dans un coin du living-room, ainsi qu’il avait été convenu, tandis que ma mère déclenchait les hostilités.
Ben alors, connard ! Tu m’aides pas à enlever ma veste ?!? s’indigna-t-elle, avant d’administrer une puissante gifle au pervers trentenaire.
Hébété, l’insignifiant pervers voulut balbutier quelque chose, mais une seconde gifle le stoppa net.
Tu connais pas la galanterie, burino schifoso que tu es ! Sans doute qu’ils t’ont rien appris, tes connards de parents ! ajouta ma piquante génitrice, décidément en verve.
Le dénommé Lopette voulut accéder à l’exigence de l’impérieuse diva en doudoune synthétique, mais celle-ci se débarrassa elle-même de son manteau, puis repoussa le freluquet d’une manière surprenante : prenant appui d’une main sur un meuble, elle leva sa jambe dont elle tendit brusquement chaque muscle à l’horizontale, de sorte que le talon compensé de sa bottine percuta fortement l’abdomen du soumis.
Projeté en arrière, Lopette chuta au sol. Il s’y recroquevilla, car Maman se mit à l’agonir de furieux coups de pied dans le ventre, le dos et les fesse – qui lui arrachèrent des râles bouleversants.
Bouge pas, je vais chercher un truc, dit-elle, après un énième penalty dans l’estomac.
S’étant rendue dans la cuisine, la terrible peste en revint munie du tuyau en aluminium d’un aspirateur. Un masque d’effroi transfigura dès lors notre hôte, qui ne le quitterait plus.
Enlève tous tes habits, et mets-toi ici à quatre pattes, exigea Maîtresse Martina, en indiquant un tapis d’Orient au centre du séjour.
Au nombre d’une quinzaine environ, les coups de tuyau métallique assénés sur le fessier dénudé de Lopette le firent hurler de douleur, et y causèrent de sévères contusions.
Une fois qu’elle eut reposé le tuyau d’aspirateur, ma mère lança encore quelques fulgurants coups de pied dans le ventre du soumis qui l’allongèrent tout à fait au sol.
Tu vas voir, Lopette… Quand je reviens, tu vas souffrir comme un bête. Je vais te faire voir l’enfer ! prévint-elle, avant de s’éclipser dans la salle de bains avec le sac en toile qu’elle avait emporté avec elle – mais dont je ne connaissais guère le contenu.

CHAPITRE 4

Je crus devenir fou d’excitation, quand Maman reparut dans une tenue presque intégralement noire et indéniablement sexy : le mini-short en similicuir et le body en dentelle orné d’un triangle en laiton qu’elle portait sur l’une des illustrations de son annonce en ligne, et des bottines à talon aiguille très pointues dont la tige s’engouffrait sous d’insolites mi-guêtres en laine égayées de perles blanches.
En proie au désir le plus ardent, je jaillis soudainement du coin de la pièce qui m’était censément dévolu, pour étreindre, tâter et masser le corps mince et musculeux de l’inimaginable amazone, pétrissant notamment ses fesses plates et douces sous le similicuir de son short minuscule.
Tandis que nos girons étaient aimantés et nos langues entremêlées, entre deux baisers passionnées, ma mère me confia :
Je veux les exciter, ces gros porcs. Je veux qu’ils bavent sur moi comme c’est pas permis… Qu’ils aient envie de mon corps. Mais c’est juste pour mieux les repousser, et puis les tabasser…
Déplaçant ma main sous son mini-short de pétasse, j’entrepris de caresser la vulve glabre et poisseuse de la gourgandine, tout en évoquant le sort ironiquement cruel des concupiscents soumis tel que le boutonneux chez lequel nous nous trouvions en l’occurrence ; rêvant par-dessus tout d’étreindre, flatter et baiser son corps exquis, ces imbéciles ne seraient pourtant gratifiés de nul autre contact physique que les coups brutaux de ses charmantes mains carrées et de ses mignons petits pieds – chaussés, la plupart du temps – au cours de virevoltantes dérouillées !
C’est l’heure du massacre, annonça ma mère, avant de retourner auprès de Lopette.
Ayant ordonné au pauvre type de s’agenouiller contre le radiateur du fond de la pièce, la virago en cuir et dentelle noirs me tendit une rallonge électrique.
Tiens, Coco. Je suis nulle pour faire les nœuds, alors tu vas l’attacher au radiateur, me dit-elle.
J’attachai donc l’inconscient masochiste de manière à ce qu’il fût à genoux, et que ses mains fussent immobilisées dans son dos. Ses testicules nus seraient ainsi exposés aux coups de pied de sa bourrelle sans qu’il fût en mesure de les protéger d’une quelconque façon.
Maman éclata d’un rire méchant, lorsque je lui fis remarquer que l’extrémité pointue et très dure de sa bottine pourrait infliger de sérieux dégâts à l’appareil génital du souffre-douleur – possiblement irréversibles. J’ajoutai que la seule idée d’en recevoir un coup dans les parties intimes me glaçait d’effroi.
C’est vrai ça… Je vais te les exploser, tes grosses couilles pendantes ! promit à ce propos la vieille salope à sa victime.
Passant tout de suite après de la parole aux actes, avec une mimique exprimant la hargne en même temps que la réjouissance, ma mère se mit à décocher de très violents coups de pied dans les bijoux de famille du soumis entravé.
Elle s’en donna à cœur joie, prenant soin de ramener sa jambe en arrière afin de conférer un maximum d’amplitude à ses coups de pied, ainsi que de frapper le sexe nu de Lopette avec la pointe redoutable de sa bottine sexy.
Han ! Han ! Han… Prends ça, connard ! Han ! Han… Ordure de merde ! Han ! Han ! Han…
Aux charmants grognements et exclamations d’effort qu’émettait l’énergique retraitée latteuse de couilles en expédiant le bout hyper pointu de sa bottine dans le scrotum de son esclave, et aux bruits secs de ces impacts, répondaient les hululements déchirants du pauvre hère.
Si tu vomis, tu devras tout remanger ! menaça la brutale tourmenteuse, lorsque le supplicié se mit à hoqueter comme s’il était sur le point de rendre son déjeuner.
La bottine pointue de Maman était venue meurtrir le scrotum de Lopette à trois dizaines de reprises au moins, lorsqu’elle daigna le libérer de ses entraves pour s’accorder une pause dans mes bras amoureux.
Visiblement accaparé par une implacable douleur abdominale, le soumis s’écroula au sol et y resta recroquevillé en geignant, après qu’il eut été détaché.
Maintenant, je vais le piétiner sous mes talons aiguilles, susurra bientôt Maîtresse Martina à mon oreille.
Ainsi donc, elle enjoignit l’esclave du jour à se coucher – sur le dos – le long d’une desserte sur laquelle elle prit appui, et se jucha hardiment sur son ventre creusé.
Pesant le plus possible sur les talons effilés de ses bottines tandis qu’elle marchait, tapait des pieds et sautillait gaiement sur le torse du dénommé Lopette, ma mère ne demeura guère insensible aux incessants cris de souffrance de celui-ci. Ces complaintes ne lui inspirèrent cependant nulle pitié, qui l’encouragèrent au contraire à piétiner l’inverti sous ses talons aiguilles avec davantage encore de cruauté…
En contemplant ma renversante génitrice – dont la lingerie et le similicuir noirs magnifiaient la silhouette finement athlétique – en train de marcher, trépigner, tressauter et déraper en talons aiguilles sur son piédestal vivant et hurlant, je fus définitivement convaincu qu’elle était la plus désirable démone qui eût jamais foulé aux pieds un misérable.
Puisque je jugeai amusant de signaler à Maman l’éventualité que le pervers convulsionné sous ses talons effilés laissât divaguer un regard inconvenant entre ses cuisses, elle s’en offusqua sur le champ, et se fâcha démesurément.
C’est vrai ça, pédé de merde ?!? Tu as regardé sous mon short, hein ! Tu as essayé de regarder ma chatte, je parie ? Espèce de porc lubrique, tu me dégoûtes ! cria-t-elle.
Au paroxysme de l’emportement sadique, ne tenant nul compte des dénégations désespérées que Lopette tenta de formuler, la diabolique petite dame entreprit, en guise de rétorsion, de sauter à pieds joints sur sa cage thoracique !
Constatant l’inouïe sauvagerie dont elle était capable, je fus d’autant plus estomaqué, en voyant ma mère bondir sur la poitrine de sa victime à une dizaine de reprises au moins, que ses talons aiguilles démultipliaient l’ignoble barbarie d’une telle exaction.
Quand l’impitoyable piétineuse fut descendue du poitrail de son adorateur masochiste, celui-ci se trouvait au bord de la syncope, qui fit usage du minuscule filet de voix qui lui restait pour demander grâce.
Les trépidations en talons aiguilles sur le thorax et l’abdomen décharnés du soumis y avaient creusé d’innombrables estafilades et écorchures plus ou moins sanglantes.
Cela ne satisfaisait néanmoins pas complètement Maîtresse Martina. Elle ordonna à Lopette de se retourner, et bondit sur son dos ; usant de tout son poids, toute sa force et toute sa rage, elle s’appliqua à lacérer l’échine et le fessier du marchepied vivant sous ses talons aiguilles, en y marchant lourdement en cadence, ou en s’y tenant sur une seule jambe, aussi bien qu’en effectuant des mouvements du pied pendulaires propres à labourer profondément l’épiderme du martyre.
Tiens, Lopette ! Tiens ! Tiens ! Tiens… Regarde comment tu saignes, espèce de salaud ! Je vais te massacrer, tu vas voir ! Tiens ! Tiens… entendis-je notamment scander la jolie harpie, au rythme de ses piétinements démoniaques.
Au terme de son atroce châtiment à coups de talon aiguille, Lopette se retrouva entièrement couvert d’entailles plus ou moins saignantes. L’hémoglobine extraite du sinistre gribouillis écarlate avait souillé le sol parqueté, ainsi que les semelles des bottines de l’assaillante.
Par conséquent, Maîtresse Martina s’installa dans un fauteuil et s’y enfonça. Allongeant ses magnifiques jambes guêtrées et bottées sur la table basse qui lui faisait face, elle gueula :
Viens ici, Lopette ! Tu vas lécher tout le sang que tu as foutu sur mes semelles, gros dégueulasse !
Le pervers strié de sillons sanguinolents fut effaré, de découvrir des filaments gluants adhérant à l’étroit patin des talons aiguilles qui l’avaient abominablement écorché : des lambeaux de son épiderme, qu’il fut sommé d’avaler !
S’étant félicitée du macabre croquis vermillon que avaient gravé sur le ventre, la poitrine, le dos, les bras et le fessier de son nouveau soumis, Maman désigna trois profondes lacérations affligeant la région lombaire de celui-ci, ainsi que deux autres au niveau du pancréas, dont elle se plut à prédire qu’elles laisseraient des marques permanentes :
Tu vas garder les cicatrices de mes talons… Pendant toute ta vie. Ça te rappellera quelle carpette tu es… Tu es une sous-merde. Tout juste bon à te faire marcher dessus, et à lécher mes semelles !
Les testicules de Lopette avaient considérablement enflé et rougi, suite aux multiples coups de bottine pointue qu’y avait expédiés ma mère ; l’organe doublerait bientôt de volume et prendrait une teinte violacée, ainsi qu’on pourrait le constater sur les photographies que nous enverrait par la suite le frêle trentenaire. Quant à son fessier, affligé d’une gigantesque ecchymose en conséquence de coups de tuyau d’aspirateur acharnés, il resterait si douloureux, qu’il ne pourrait plus s’asseoir durant près de deux semaines.
Dénotant un insatiable appétit pour la violence et la coercition, les raclées infligées à ses premières victimes volontaires m’avaient convaincues que le rôle de dominatrice siérait parfaitement à ma charmante Maman septuagénaire. Un sadisme furibond et une vilenie perverse l’habitaient bel et bien, dont la réification dépasserait mes plus folles rêveries érotiques.
En tant qu’œdipien compagnon de la ravissante pimbêche, j’aurais le privilège de la voir torturer des larves humaines avec une extraordinaire férocité. Elle jouirait de casser leur figure, leurs couilles et leurs os, décrotter ses semelles dans leur bouche ou y faire ses besoins… Adepte de grossièretés et d’humour scabreux, à l’instar d’une méchante collégienne, elle ne manquerait de surcroît nulle occasion d’injurier, humilier et railler les déviants abrutis qui viendrait ramper à ses pieds.
Bien plutôt qu’éprouver des remords, à la suite des affreux passages à tabac infligés à ses souffre-douleurs, d’autant plus satisfaite que leurs blessures seraient graves, la méchante pétasse se gausserait de leurs plaies et de leurs bosses : coquards, coupures, hématomes, abrasions et autres scrotums bleus et noirs, la combleraient d’une satisfaction diabolique.

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Histoire sexe : Une rose rouge
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