Ma mère paye mon premier gode
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Ma mère paye mon premier gode
Mes masturbations.
Je suis mariée depuis 15 ans, j’ai 40 ans, suis bien faite, aime baiser avec mon chéri Alain. Il nous arrive de temps en temps des disputes comme à tous les couples. Nous nous réconcilions sur l’oreiller. Pourtant j’ai gardé mon secret pour moi.
Depuis que j’ai 12 ans, j’ai pris l’habitude de me masturber. J’adore me faire plaisir seule. Au début, je ne connaissais pas ce plaisir excellent parfaitement. Et le temps passant, une copine m’a un jour montré ce qu’elle se faisait. Elle en faisait de choses compliquées. Elle se faisait jouir en passant son clitoris contre les angles d’un fauteuil en bois. En remuant bien tout son bas ventre, son clitoris bien collé contre le meuble, elle arrivait toujours à un orgasme. J’essayé devant elle sans résultat, sinon des douleurs sur la chatte. Elle mettait son drap plié également sur le con pur frotter encore son bouton. J’essayais pour arriver enfin à jouir. La meilleure façon était de me branler come toutes les filles, avec ma main droite.
Un jour, j’avais bien envie de ne plus être vierge. J’arrivais à convaincre facilement un vague cousin de me faire l’amour. Il m’a déshabillé, couché, fait écarter les cuisses pour venir poser sa bouche sur ma chatte. Je savais que souvent les hommes ou des femmes faisaient cette chose. Je ne me doutais pas que c’était si bon. Sa langue léchait partout, elle allait dans mon trou, et même sur mon petit trou. Je mouillais comme une vache qui pisse. J’ai eu un orgasme extraordinaire dont je me souviens encore. Je pensais qu’il allait s’arrêter alors qu’il bandait encore.
Il s’est installé entre mes jambes a posé sa queue sur mon entrée. Puis il est lentement entré dans mon vagin. C’était agréable au début, puis il a forcé un peu pour pulvériser mon hymen. J’ai un peu crié de douleur qui a passé très vite. Ensuite je le sentais aller et venir en moi. Agui bout d’un long moment j’ai enfin senti que je jouissais. Depuis je jouis presque toujours en ayant une bite à cet endroit ou souvent ailleurs, dans la bouche (oui, le fait de recevoir du sperme dans la bouche me fait jouir), ou dans le cul.
N’étant plus vierge je me disais que je pouvais en profiter. Je l’ai fait un après midi d’été quand j’étais seule à la maison. Je suis allée fouiller dans la chambre e ma mère : j’ai trouvé son godemiché. Sa forme montré que je pouvais m’en servir.
Je me suis couchée sur le lit, nue, les jambes bien ouvertes. Après m’être bien excitée en me caressant le clitoris, j’ai introduit le jouet dans mon con. Dès le début j’ai senti un nouveau plaisir en moi.
J’étais plongée dans la béatitude que je n’entendais pas ma mère venir. Elle m’a surprise en flagrant délit.
- Mais que fais-tu ?
- Je me masturbe.
- Alors fini qu’on parle ensuite.
Je ne me suis pas senti brimée, j’ai recommencé ma masturbation. J’ai joui bien mieux que les autres fois.
Je laissais le gode sur le lit pour aller rejoindre ma mère.
- Tu sais ce que tu as fait est normal, je le fais pour moi, tu peux le faire aussi, je ne te l’interdit pas. Si je le faisais toi tu te cacherais pour te donner du plaisir.
- Tu t’habille convenablement, nous allons en ville acheter ce qu’il te faut, que tu choisiras même.
Nous sommes effectivement allées acheter un jouet dans un grand magasin de fringues chics. Au sous sol un immense choix de joujoux était à la portée de chacune.
Je crois bien être la seule femme à qui sa mère a acheté ce qu’il fallait pour qu’elle jouisse son soul. Elle en a profité pur prendre un autre modèle style à vibrateur.
- J’espère que ça te suffira pour l’instant. Quand tu voudras changer en plus gros ou plus évolué, demandes moi le.
J’ai bien sur essayé le gode dès le soir venu. Le lendemain ma mère me demandait comment j’avais joui. Je répondais la vérité. C’était bien meilleur que ma main seule.
Le temps passant j’était en fac pour être avocate. Je réussissais parfaitement mon droit et mes études spécifiques d’avocate. Je n’étais surtout pas obnubilée par la recherche d’un partenaire pour jouir. Je me servais d’un gode, qui n’était plus le même qu’au début. Ma douce mère y veillait.
J’étais dans un cabinet d’avocat de province quand j’ai rencontré celui qui devait devenir mon mari, un client. Après un dragage intensif il m’a levé. Nous nous sommes embrassés pour la première fois sur un banc public. C’est là qu’il a commencé à me caresser la cuisse pour remonter sous ma jupe de petite fille sage. Il m’a entrainée dans son appartement. Je n’en suis plus ressorti sinon pour prendre mes affaire là où j’habitais.
Il m’a fait l’amour la première divinement bien. Il a commencé par me branler. Il était le premier à le faire mis à part mon initiateur. Il m’a donné un premier orgasme assez bon, puis il m’a baisé. Là je sentais une nette différence entre un bout de plastique et une vraie queue vivante. Puis, étant plus qu’excité il m’a mise en levrette. Je me doutais bien de la suite, mais là il était le premier.
Avant qu’il entre dans mon petit trou, je lui ai avoué que j’étais vierge de ce coté. Il a pris de la salive dans ses doigts, la mise sur l’anus. Il n’a entré qu’un seul doigt. C’était très agréable. Voyant que j’étais satisfaite, il en a entré un autre. Puis il écartait ses doigts pour bien ouvrir mon cul.
J’étais décidée à le laisser venir dans mon ventre, je tenais à savoir l’effet d’une sodomie. Il m’a fait un peu mal quand il a entré sa queue. Puis, son gland passé, j’ai ressenti ce plaisir différent de la pénétration dans le con. J’ai tellement bien senti que j’ai joui encore une fois.
Tout fonctionnant parfaitement entre nous, nous sommes resté à la colle 3 ans avant de auster le pas. Ma mère en aparté me demandait si je continuais mes mauvaises habitudes solitaires. Ma réponse positive l’enchantait : j’étais comme elle, sauf qu’elle en avait parlé à mon père dès leur première baise.
Je me cachais toujours pour me branler. Pour moi c’étais normale, il devait le faire sans m’en parler, j’en faisais autant.
Un jour je le trouvais nu sur le lit conjugal. Il avait sa queue dans sa main : il se branlait sans se soucier de ma présence. Il ne m’avait pas entendu.
- Tu aimes te branler ?
- Bien sur et toi ?
J’avouais ce que je cachais depuis longtemps. Sa réaction était celle d’un mari normal.
- Montre moi comment tu fais, en se branleras ensemble.
C’est ce que j’ai fait, je me suis déshabillée comme lui, j’ai pris mon attirail je me le suis mis dans la chatte pur commencer ma masturbation alors que je m’étais déjà masturber une heure avant. Nous regardions l’autre se faire du bien.
Nous faisons toujours l’amour avec un plaisir plus grand maintenant que nous associons la masturbation à nos habitudes de baises, une autre façon de jouir une fois de plus.
Je suis mariée depuis 15 ans, j’ai 40 ans, suis bien faite, aime baiser avec mon chéri Alain. Il nous arrive de temps en temps des disputes comme à tous les couples. Nous nous réconcilions sur l’oreiller. Pourtant j’ai gardé mon secret pour moi.
Depuis que j’ai 12 ans, j’ai pris l’habitude de me masturber. J’adore me faire plaisir seule. Au début, je ne connaissais pas ce plaisir excellent parfaitement. Et le temps passant, une copine m’a un jour montré ce qu’elle se faisait. Elle en faisait de choses compliquées. Elle se faisait jouir en passant son clitoris contre les angles d’un fauteuil en bois. En remuant bien tout son bas ventre, son clitoris bien collé contre le meuble, elle arrivait toujours à un orgasme. J’essayé devant elle sans résultat, sinon des douleurs sur la chatte. Elle mettait son drap plié également sur le con pur frotter encore son bouton. J’essayais pour arriver enfin à jouir. La meilleure façon était de me branler come toutes les filles, avec ma main droite.
Un jour, j’avais bien envie de ne plus être vierge. J’arrivais à convaincre facilement un vague cousin de me faire l’amour. Il m’a déshabillé, couché, fait écarter les cuisses pour venir poser sa bouche sur ma chatte. Je savais que souvent les hommes ou des femmes faisaient cette chose. Je ne me doutais pas que c’était si bon. Sa langue léchait partout, elle allait dans mon trou, et même sur mon petit trou. Je mouillais comme une vache qui pisse. J’ai eu un orgasme extraordinaire dont je me souviens encore. Je pensais qu’il allait s’arrêter alors qu’il bandait encore.
Il s’est installé entre mes jambes a posé sa queue sur mon entrée. Puis il est lentement entré dans mon vagin. C’était agréable au début, puis il a forcé un peu pour pulvériser mon hymen. J’ai un peu crié de douleur qui a passé très vite. Ensuite je le sentais aller et venir en moi. Agui bout d’un long moment j’ai enfin senti que je jouissais. Depuis je jouis presque toujours en ayant une bite à cet endroit ou souvent ailleurs, dans la bouche (oui, le fait de recevoir du sperme dans la bouche me fait jouir), ou dans le cul.
N’étant plus vierge je me disais que je pouvais en profiter. Je l’ai fait un après midi d’été quand j’étais seule à la maison. Je suis allée fouiller dans la chambre e ma mère : j’ai trouvé son godemiché. Sa forme montré que je pouvais m’en servir.
Je me suis couchée sur le lit, nue, les jambes bien ouvertes. Après m’être bien excitée en me caressant le clitoris, j’ai introduit le jouet dans mon con. Dès le début j’ai senti un nouveau plaisir en moi.
J’étais plongée dans la béatitude que je n’entendais pas ma mère venir. Elle m’a surprise en flagrant délit.
- Mais que fais-tu ?
- Je me masturbe.
- Alors fini qu’on parle ensuite.
Je ne me suis pas senti brimée, j’ai recommencé ma masturbation. J’ai joui bien mieux que les autres fois.
Je laissais le gode sur le lit pour aller rejoindre ma mère.
- Tu sais ce que tu as fait est normal, je le fais pour moi, tu peux le faire aussi, je ne te l’interdit pas. Si je le faisais toi tu te cacherais pour te donner du plaisir.
- Tu t’habille convenablement, nous allons en ville acheter ce qu’il te faut, que tu choisiras même.
Nous sommes effectivement allées acheter un jouet dans un grand magasin de fringues chics. Au sous sol un immense choix de joujoux était à la portée de chacune.
Je crois bien être la seule femme à qui sa mère a acheté ce qu’il fallait pour qu’elle jouisse son soul. Elle en a profité pur prendre un autre modèle style à vibrateur.
- J’espère que ça te suffira pour l’instant. Quand tu voudras changer en plus gros ou plus évolué, demandes moi le.
J’ai bien sur essayé le gode dès le soir venu. Le lendemain ma mère me demandait comment j’avais joui. Je répondais la vérité. C’était bien meilleur que ma main seule.
Le temps passant j’était en fac pour être avocate. Je réussissais parfaitement mon droit et mes études spécifiques d’avocate. Je n’étais surtout pas obnubilée par la recherche d’un partenaire pour jouir. Je me servais d’un gode, qui n’était plus le même qu’au début. Ma douce mère y veillait.
J’étais dans un cabinet d’avocat de province quand j’ai rencontré celui qui devait devenir mon mari, un client. Après un dragage intensif il m’a levé. Nous nous sommes embrassés pour la première fois sur un banc public. C’est là qu’il a commencé à me caresser la cuisse pour remonter sous ma jupe de petite fille sage. Il m’a entrainée dans son appartement. Je n’en suis plus ressorti sinon pour prendre mes affaire là où j’habitais.
Il m’a fait l’amour la première divinement bien. Il a commencé par me branler. Il était le premier à le faire mis à part mon initiateur. Il m’a donné un premier orgasme assez bon, puis il m’a baisé. Là je sentais une nette différence entre un bout de plastique et une vraie queue vivante. Puis, étant plus qu’excité il m’a mise en levrette. Je me doutais bien de la suite, mais là il était le premier.
Avant qu’il entre dans mon petit trou, je lui ai avoué que j’étais vierge de ce coté. Il a pris de la salive dans ses doigts, la mise sur l’anus. Il n’a entré qu’un seul doigt. C’était très agréable. Voyant que j’étais satisfaite, il en a entré un autre. Puis il écartait ses doigts pour bien ouvrir mon cul.
J’étais décidée à le laisser venir dans mon ventre, je tenais à savoir l’effet d’une sodomie. Il m’a fait un peu mal quand il a entré sa queue. Puis, son gland passé, j’ai ressenti ce plaisir différent de la pénétration dans le con. J’ai tellement bien senti que j’ai joui encore une fois.
Tout fonctionnant parfaitement entre nous, nous sommes resté à la colle 3 ans avant de auster le pas. Ma mère en aparté me demandait si je continuais mes mauvaises habitudes solitaires. Ma réponse positive l’enchantait : j’étais comme elle, sauf qu’elle en avait parlé à mon père dès leur première baise.
Je me cachais toujours pour me branler. Pour moi c’étais normale, il devait le faire sans m’en parler, j’en faisais autant.
Un jour je le trouvais nu sur le lit conjugal. Il avait sa queue dans sa main : il se branlait sans se soucier de ma présence. Il ne m’avait pas entendu.
- Tu aimes te branler ?
- Bien sur et toi ?
J’avouais ce que je cachais depuis longtemps. Sa réaction était celle d’un mari normal.
- Montre moi comment tu fais, en se branleras ensemble.
C’est ce que j’ai fait, je me suis déshabillée comme lui, j’ai pris mon attirail je me le suis mis dans la chatte pur commencer ma masturbation alors que je m’étais déjà masturber une heure avant. Nous regardions l’autre se faire du bien.
Nous faisons toujours l’amour avec un plaisir plus grand maintenant que nous associons la masturbation à nos habitudes de baises, une autre façon de jouir une fois de plus.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une tres belle Histoire ,raconté par une Divine Femme : Fabriss34 Je peux supposer que Fabriss34 est tres belle et si je pouvais je lui dirais des folies les plus envoutantes tellement elle narre si bien ses Histoires qui vous inspirent........ Ce qu'elle dit est un nectar qui enchante les Sens et vous emmene au Paradis de l'Imaginaire .Merci Fabriss34 . titebabe22