Ma nièce Pauline
Récit érotique écrit par Forever600 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma nièce Pauline
(Chapitre 1) Pauline mon Amour
Bon sang qu'il fait chaud, dehors !.. Heureusement, le dernier bain dans lapiscine a été rafraîchissant, et je suis retourné travailler dans mon labo,restant en maillot de bain en attendant le prochain plongeon. La maison estsilencieuse, seule Pauline est là, sans doute encore en train de lire à l'ombreà côté de la piscine.
La porte grince et Pauline entre, elle aussi simplement vêtue de son maillot debain deux-pièces noir aux bretelles défaites. Comment fait-elle pour ne jamaisavoir un bonnet qui tombe sous le sein ? Quel dommage... - "Ça va, ici ?
Hummm, il fait bon chez toi." - "Ouais, ça va ici à l'ombre. Mais tu peuxrester, assieds-toi", lui dis-je en lui montrant le tabouret haut qui me sertd'habitude à travailler. En s'asseyant, sa poitrine et son bras frôlentdélicieusement mon torse nu. Oh, tout à fait involontairement, sans doute,peut-être trop "tout à fait involontairement", on peut rêver. Hummm, la bellesent bon, sa peau est toute chaude de soleil, ferme et lisse.
Perchée sur le tabouret, les fesses sous elle et le dos appuyé au mur, lestalons remontés sur la barre lui ouvrant les jambes, donnant l'impressiond'offrir son bas-ventre à ma concupiscence. Mon imagination s'envole en uneseconde, et dans les instants qui suivent, j'ai le plus grand mal à réfrénerdes pensées lubriques et un début d'érection, que la forme ample de monmaillot de bain parvient peut-être à cacher encore. Fichtre ! Je lâcheraisbien les documents que je tiens pour poser mes mains sur elle ! Mais ce genrede geste ne doit pas être compris dans les relations normales oncle-nièce. Iln'empêche, cette fille grande, mince, jeune et pleine de santé est attirante.
Dommage qu'elle soit ma nièce et que quinze ans nous séparent. Enfin !...
Je reviens à mon travail histoire de changer d'idées, mais sans grandeconviction. Je sens qu'elle continue à me regarder un moment, comme si elleavait pu deviner mes pensées. Un instant, ce paradoxe m'amuse, de pouvoirimaginer les pires cochonneries à propos de quelqu'un qui se trouve juste àcôté, tout en ayant un comportement parfaitement innocent qui ne laisse riendeviner. Tu te rends compte, Pauline, que je suis en train d'imaginer ta boucheautour de mon sexe ? Que je le sens déjà gonfler sur ta langue ? Aïe, stop,C'est en train de gonfler dans mon maillot de bain, là. Il est temps de penserà autre chose !
- "Et tu t'ennuyais pas, là-bas, à bouquiner ?" - "Bof, non, mais il faittellement chaud dehors, on colle et c'est désagréable mon sous-tif qui meserre et les bretelles qui pendent, mais j'ose pas vraiment l'enlever, jetrouve que mes seins sont trop petits. Qu'est-ce que t'en penses, toi ? Tu lestrouves bien, tu les trouves à ton goût ?" Et joignant le geste à la parole,elle baisse résolument les bonnets de son maillot, se cambrant instinctivementpour m'offrir une poitrine plus volumineuse. Avec tout le reste de son corpsmagnifiquement bronzé, couleur de pain d'épice, la pâleur de ses seins aquelque chose de merveilleusement indécent, provocateur, qui la rend trèsdésirable. Le souffle me manque soudain devant ce spectacle si souventsouhaité, et des sentiments contradictoires m'envahissent : reculer encore,franchir le pas ? Mais qu'attend-elle, vraiment une simple appréciation ou queje fasse un premier pas ? Merde, est-ce qu'elle est vraiment innocente et jedois rester le bon tonton à cent lieues de penser à mal, ou est-cequ'elle-même vient de faire le premier pas ?
Pour me laisser un temps de réflexion, je ne bouge toujours pas. - "Oh non,ils ne sont pas du tout trop petits, tes seins..." Mais tout de suite, pour nepas laisser passer l'occasion, je relance le jeu : "ils sont ni trop petitspour devoir les cacher, ni trop gros pour être indécents. Au contraire, ilssont superbes, tes seins : bien ronds, fermes, des tétons bien pointus." C'estvrai qu'ils sont à croquer, et que Pauline a les auréoles gonflées et les boutsde seins qui pointent sans aucune bienséance. Elle ne doit pas être insensibleau compliment et à son propre exhibitionnisme, et elle se contorsionnelégèrement pour mettre son corps à moitié nu en valeur, déclenchant en moi unflot d'adrénaline et une érection qui devient difficile à cacher. C'est paspossible, elle ne peut pas faire tout ça innocemment, ça ne peut être qu'uneinvite.
- "Et puisque tu me poses la question, je peux te dire qu'au contraire ils meplaisent beaucoup, tes adorables seins." M'avançant d'un pas, je pose le boutdes doigts sur un de ses seins, effleurant à peine sa peau. Elle a comme unsursaut, un imperceptible mouvement de recul, mais fermant légèrement les yeuxelle gonfle encore sa poitrine, la tend de quelques millimètres pour larapprocher de mes doigts. Pas un souffle, pas un mot. Enhardi, je posedoucement ma main sur sa poitrine, et la caresse légèrement, laissant le tempsà Pauline de s'habituer à ce contact. Elle ne fait pas un geste, pour ne pasrompre ce moment décisif. Ma caresse se précise, mes doigts appuient sur sapeau, emprisonnant un sein dans ma main, frôlant un téton. Plus de doutepossible pour elle, ça n'est plus un geste d'appréciation, ni de simple amitiéun peu osé, ni même une coquinerie. Tous mes sens sont en alerte, j'ai chaudau bas-ventre, et je prends conscience de l'étroitesse de mon maillot debain... Mon autre main rejoint la première pour mieux caresser sa poitrine,titillant ses tétons qui se dressent, enroulant mes doigts autour d'un globechaud, ferme et affolant. Pauline se cambre, mes caresses dépassent un peu sapoitrine. Nos corps se frôlent et se sentent sans se toucher. Une touche deplaisir se dessine sur son visage. - "Humm, c'est doux, c'est agréable. C'estbon..." D'un geste assuré, je dégrafe le reste de son haut de maillot, quitombe et la laisse encore un peu plus nue qu'avant.
Ses mains jusque là inactives entourent ma taille, et attirent mon corps versle sien, doucement mais fermement. Sa position sur le tabouret, le pubis enavant, fait que nos deux bas-ventres se touchent, et après une très brèvehésitation, je lui laisse sentir mon érection déjà bien développée : au pointoù nous en sommes, elle doit bien savoir ce qu'elle fait, et s'attendre àtrouver... ce qu'elle découvre. A son âge, elle doit bien avoir une idée deces choses-là, même si elle n'a pas beaucoup pratiqué. Loin de s'offusquer, des'étonner ou même de reculer, elle paraît un moment mesurer "l'ampleur desdégâts", puis me serre plus fort contre elle. - "Humm", c'est tout ce qu'elleparvient à exprimer. Mes caresses se font plus pressantes, une de mes mainsdescend vers son ventre, caresse ses flancs. Ses muscles sont tendus, elle secontracte un peu plus, son pubis écrase mon sexe gonflé. Fermant les yeux,elle oscille, frottant son sexe contre le mien. Je bande de plus en plus, maverge répond à ses frottements par des mouvements incontrôlables quiaccentuent encore le contact brûlant de nos ventres.
Mon esprit vagabonde fugitivement, une dernière barrière se dresse, faut-ilarrêter là ? On peut encore renoncer, se séparer et en rire (un peu jaune),comme une bonne blague que l'on se serait jouée. Rien n'est consommé. Pauline adû sentir mon hésitation, car elle appuie encore un peu plus son sexe contremoi, et ses mains caressent mes reins, m'invitant à continuer. De ses lèvress'échappe un faible murmure inintelligible que je m'empresse d'interprétercomme un encouragement. C'en est fait des bonnes résolutions que j'ai failliprendre...
Je laisse une de mes mains descendre jusqu'à son bas de maillot, en caresse letissu et mes doigts rencontrent son mont de Vénus dont ils suivent le bombé.
Pauline suspend ses mouvements, sa bouche s'entrouvre sans qu'un son en sorte.
Un moment d'extase muette pendant lequel elle découvre les sensationsnouvelles de mes caresses à travers le tissu. La sensation doit lui plaire,car elle reprend les mouvements de son bassin, en harmonie avec ceux de mamain, pour en augmenter les effets.
Ma main remonte légèrement, pour redescendre aussitôt, mais mes doigts sontpassés à l'intérieur de son slip. Ils continuent à descendre contre sa peaunue. Le visage de Pauline, illuminé, reflète ce plaisir nouveau. Mes doigtsrencontre sa toison légère, douce et aussi peu abondante que celle d'uneadolescente. J'explore cette petite fourrure qui m'électrise, et ma mainenferme son pubis comme si elle en prenait possession. Pauline hoquette, secambre, ouvre démesurément la bouche à la recherche du souffle qui lui manque.
Son ventre a le même mouvement de contraction que je ressens sous mes doigts.
Elle commence à haleter doucement, laissant le plaisir l'envahir. Mes doigtsatteignent enfin son sexe et touchent ses grandes lèvres, brûlantes etgonflées par l'attente de caresses plus précises. Mes doigts vont et viennentsur elles, puis le long de la fente qui les sépare et que je sens s'épanouir.
A nouveau, Pauline a cessé de bouger, toute à l'attente et la découverte de cessensations. Elle continue à haleter, sa poitrine se soulevant à un rythme deplus en plus rapide. Elle sent son plaisir, le découvre avec une joie qui selit sur ses lèvres que j'ai furieusement envie de mordiller, mais comme Paulineje n'ose pas bouger de peur de rompre le charme.
Ma main est gênée par l'étroitesse de son maillot, mais il est trop tôt pourle lui ôter. Pour chercher un accès plus facile, je commence par enlever mamain : Pauline me lance soudainement un regard affolé, mélange de panique et dedéception, craignant que le jeu soit terminé... Adorable Pauline ! Mais non, jene vais pas te laisser là, et moi non plus, d'ailleurs, je ne veux pas enrester là, tu sens bien l'état de mon sexe ! Je glisse aussitôt mes doigts parle côté de son maillot, et je retrouve vite son ventre, sa toison et seslèvres gonflées. Les halètements de Pauline reprennent, la découverte continue.
Plus libres, mes doigts caressent sa chatte, glissent avec facilité le long desa fente entrouverte. Pauline mouille. Mes doigts effleurent un bourgeonnaissant, arrachant un nouveau hoquet à Pauline dont la plaisir augmente encore.
Elle avance sa main jusqu'à mon ventre, avec des mouvements un peu désordonnéspar les ondes de plaisir qui la rattrapent. Ses doigts caressent légèrementmon sexe à travers mon maillot, en évaluent le volume, mais elle n'ose pasfranchir le barrage du tissu. Sous sa caresse, une décharge électrique mesecoue, un moment je me demande si je ne vais pas jouir immédiatement. Ma mainse crispe sur son sexe, pousse son exploration, un de mes doigts glisse entreles lèvres de son sexe parfaitement lubrifié, et frotte l'intérieur de safente. Son clitoris pointe légèrement, je le sens tout vibrant sous monmajeur. Pauline geint tout doucement quand mon doigt effleure son clitoris, leplaisir se lit distinctement sur son visage. Sa main se referme sur mon membredurci, puis tirant vers le bas la ceinture de mon maillot, elle libère ma bitede son carcan de tissu. Lorsque ses doigts l'effleurent, une véritabledécharge électrique me parcourt, et pour la deuxième fois, j'ai du mal à meretenir de ne pas jouir prématurément. Délicatement, elle en explore lescontours, et je la laisse faire, arrêtant mes propres caresses. Elle part à ladécouverte de mon sexe, à sa base, à sa pointe, en suit de deux doigts la tigequ'elle presse doucement pour en éprouver la fermeté.
J'ai appris qu'à la suite d'une chute, Pauline avait perdu son pucelage,déchiré par un grand écart accidentel : elle n'est donc plus à proprementparler vierge, mais je soupçonne que ses expériences sexuelles sont trèssuccinctes. Vierge, non, mais pas très expérimentée, peut-être même pucelle !
C'est bien la impression que me transmettent ses caresses, celle d'une filledécouvrant "en vrai" le sexe d'un homme. Ses doigts s'enroulent autour de mabite et soudain la serrent avec fermeté : je me cambre violemment et laisse àmon tour échapper un grognement de plaisir. Pauline éprouve elle-même duplaisir à mon plaisir, son clitoris se dresse sous mes doigts qui ont reprisleur caresse sur son sexe brûlant. Enchantée de sa découverte, elle monte etdescend sa main fermée autour de ma bite, en une masturbation douce etcaressante.
Gênée par la ceinture de mon maillot, elle lâche un instant mon sexe agité depalpitations, pour défaire le cordon et le tirer vers le bas et le laissetomber à mes pieds. Je suis nu entre ses jambes ouvertes. Elle reprend monsexe dans sa main, pendant que son autre main part à la découverte de mestesticules. Ma bite palpitant dans sa main lui indique au fur et à mesure leplaisir qu'elle me fait ressentir, et elle module ses caresses pour me fairevibrer et soupirer le plus possible. Je ne lui cache pas mon plaisir et neréfrène pas les mouvements de mon sexe et de mon bas-ventre. - "Tu sais",souffle-t-elle soudain, "c'est la première fois que je fais ça, hein." Alorsainsi c'est sa première expérience ? Elle n'a donc jamais fait l'amour, n'ajamais caressé un sexe masculin ? - "Mais tu fais ça très bien, tu trouvestout ce qui fait plaisir à un garçon, tu peux pas savoir comme c'est bon,c'est abominablement bon, je sais pas comment tu fais !" - "Oh, j'ai justebien regardé une cassette "X" de mon frère, et puis ça me vient comme ça..."Ah, le délicieux aveu ! Pucelle et cochonne, sans expérience mais douée.
Impatient, un de mes doigts se glisse un peu plus encore dans sa fente etcommence à pénétrer doucement son sexe. Ses mains quittent mon ventre et seposent sur mon bras, arrêtant une seconde mon geste, puis aussitôtl'encouragent. J'en limite volontairement la pénétration, préférant quelqueslégères introductions à une pénétration profonde que je réserve pour ma verge.
Ses mains accompagnent mon geste, elle halète en rythme, ses jambes sontlargement écartées pour mieux s'offrir. Profitant de ses yeux fermés, monregard se pose sur son sexe que mon doigt ouvre et ferme, au-dessous d'unecourte toison rousse. Son clitoris est maintenant sorti de sa corolle et sedresse comme une petite bite. Ce n'est pas fréquent une fille avec un clitorisaussi érectile, et pendant que mon index va et vient en elle, mon pouce le luicaresse en même temps.
D'un geste rapide qu'elle accompagne de son bassin, je lui ôte son slip, ladécouvrant totalement nue, le blanc de son ventre et de ses seins la rendant àhurler de désir. Je reprends aussitôt ma caresse envahissante à l'entrée deson vagin. Elle se laisse complètement guider par le plaisir qu'elle ressent,libérée de toute inhibition, accompagne mes doigts de mouvements du bassinsans plus aucune retenue. C'est merveilleux, une pucelle comme ça, qui selibère totalement, qui s'ouvre au plaisir, qui le vit comme tout à l'heureelle vivait le mien, qui sent qu'elle a envie de faire l'amour, qui sent queça va être bon, et qui ne demande qu'à jouir.
Son plaisir coule sur mes doigts. Sans cesser ma caresse, mon autre main guidemon gland jusqu'à ce qu'il touche l'entrée qu'explore mon index.
Imperceptiblement, mon doigt cède la place au bout de mon sexe gonflé àéclater, jusqu'à ce qu'il commence à s'engager dans le ventre de Pauline. Ellecomprend soudain la cause de cette pénétration nettement plus large, ellecomprend je suis en train d'introduire mon sexe dans son ventre vierge.
Interprétant par erreur la lenteur de mon mouvement pour une hésitation à luifaire l'amour (alors que ce n'est que distiller mon plaisir extrême de laprendre pour la première fois), elle m'encourage dans un murmure : - "oh si,viens dans mon ventre..." Je la pénètre lentement, doucement, profitanttotalement de mon plaisir, de la sensation de ma bite qui écarte les parois deson vagin, lisant en même temps la progression de ses sensations sur sonvisage. Elle est comme extasiée, les jambes écartelées, le ventre offerts'ouvrant et appelant ma pénétration. Je n'ai jamais vu une pucelle autantouverte à son plaisir !
Lui enfiler la longueur de mon sexe me semble durer des heures comme s'ilétait immense et son ventre insondable. Ma verge palpite en la pénétrant, sonvagin répond à chacune de mes palpitations. L'un comme l'autre nous retenonsnotre respiration jusqu'au moment où toute la longueur de mon sexe l'apénétrée, et nous expirons chacun avec un gémissement de plaisir et decontentement. Je reste enfoncé en elle et elle reste arc-boutée vers moi.
Ivres de plaisir nous sommes immobiles, respirant doucement notre plaisir etcelui de l'autre. Pauline frissonne doucement, se préparant à un nouveautorrent de plaisir. Que c'est bon !... Cet extraordinaire sommet de bonheur seprolonge, Pauline devinant que d'autres ondes de plaisir vont encore venir. Jela regarde, elle est à la fois tendue et épanouie, ses yeux sont à peineentrouverts mais son regard est perdu on ne sait où, ses lèvres laissentéchapper une respiration rapide et profonde. Ses seins sont tendus vers moi,les tétons dressés, j'ai envie de les mordiller mais je ne veux pas rompre lecharme de ces instants trop fragiles. Son ventre se soulève régulièrement aurythme de sa respiration, mais sans toutefois laisser son pubis s'écarter dumien. Ma bite est profondément ancrée au fond de son ventre brûlant et humidequi m'enserre délicatement. Nos deux corps nus sont tendus l'un vers l'autre,chacun à l'affût de son propre plaisir et de celui de l'autre. Je bandeterriblement fort, envahissant totalement le sexe de Pauline. Il faudra que jeme réfrène si je ne veux pas lui faire plus de mal que de bien.
Tout doucement, je commence à me retirer d'elle, Pauline ne craint plusmaintenant que je mette fin à notre partie. Elle sait que je vais lui fairel'amour, la baiser profondément pour son propre plaisir et le mien, qu'elleignore l'un comme l'autre. Elle reste tendue vers moi, attendant de ressentirla suite de son plaisir. Je m'enfonce à nouveau en elle, un peu plus profondencore, elle se cambre et ne retient pas un mouvement en avant de sonbas-ventre. Une ou deux fois encore, je sors très peu d'elle et je rentre, lajouissance s'épanouit sur sa figure. Je commence des mouvements plus amples etd'instinct Pauline devine ses propres mouvements pour m'accompagner. Ellerespire de plus en plus fort et va maintenant au devant de mon sexe, elles'empale dessus lorsque je tarde à la pénétrer. Elle gémit maintenant sans seretenir. Ses mains se posent sur mes reins, guidant mon mouvement en elle àson rythme qu'elle découvre en même temps. Je la laisse monter vers un orgasmequi se devine à travers le son plus rauque de son souffle, à la crispation deses mains, au va et vient de son ventre, aux palpitations de son vagin.
Soudain tétanisée, elle ne parvient même plus à me guider, et je continue à labaiser sur le même rythme, la regardant prendre son pied comme une grande. Lesyeux écarquillés, elle crie son plaisir alors que l'orgasme la submerge. Sajouissance déclenche la mienne, je plante ma bite au plus profond de sonventre et de puissants jets de sperme inondent son ventre, brûlants etinterminables. Elle ressent chaque jet, me répond chaque fois par unepalpitation incontrôlée de son vagin. Un feu d'artifice m'aveugle et doucementj'arrête de la pilonner, vidé.
Quelques instants, nous restons immobiles, moi profitant de mon plaisirimmense, de ses yeux pleins de bonheur, de son visage épanoui par l'orgasme,elle assimilant peu à peu toute le plaisir qu'elle vient d'éprouver.
Semblant revenir à elle, elle me sourit de toutes ses dents, de tous ses yeux,de tout son corps. - "Alors c'était tout ça ? C'est extraordinaire, c'estfantastique... Hummmm ce que c'est bon !" Ses bras m'enlacent et elle me serrecontre elle tout son corps rivé au mien, même son sexe paraît serrer le mienencore raide dans son ventre. Écartant légèrement son visage, elle colle seslèvres aux miennes et me roule le patin le plus tendre et le plus passionné,si doux et si bon que je sens mon sexe se raidir à nouveau, alors que je nel'ai pas encore retiré de son ventre. Elle pose sa tête dans le creux de moncou, un câlin attendrissant qui me fait fondre mais certainement pasdébander...
- "C'est merveilleux de faire l'amour," me chuchote-t-elle dans l'oreille, "ilfaudra qu'on refasse l'amour ensemble encore, c'est bon, j'aime ça très fort.
Tu me referas l'amour, dis ? - "Bien sûr que moi j'ai envie de faire encorel'amour avec toi ! Et si tu veux encore, quand tu voudras ! Tu es adorablementexcitante quand tu fais l'amour, c'est très très bon et doux, et j'ai jouitrès très fort dans ton ventre..." - "Tu sais, j'avais jamais fait l'amour,avant, et quand tu es... quand tu as... quand je t'ai senti rentrer dans monventre, j'ai failli tourner de l'oeil tellement c'était bon. D'ailleurs, quandj'ai... quand j'ai joui, je crois que j'ai perdu conscience un instant." Satimidité à trouver les mots qui conviennent me font sourire, elle le comprendbien et en sourit elle-même. - "Tu sais , je sais pas tout dire encore ! Maisj'ai repris mes esprits quand j'ai senti que tu giclais en moi. Et puis j'aisenti comme ton... comme tu gonflais encore dans mon ventre et lescontractions de ton sexe. Oh, je savais pas que c'était aussi bon ! Alors tum'as mis plein de... plein de sperme dans mon ventre ? Hummm... Je suis pleinede toi ! Tu sais que je te sens encore dans mon ventre ? Ce que tu es raide !
Quand je t'ai caressé, je pensais que ça allait jamais rentrer, que ça nepouvait pas me... Mais c'est fou, ça m'a envahie !"
Je sens à nouveau ma bite palpiter dans son sexe, mais elle ne sait pas jebande à nouveau, prêt à la baiser. C'est un peu trop pour une premièreexpérience, et délicatement je sors ma bite de son délicat fourreau. Pauline aun mouvement pour suivre le mien et me conserver en elle, mais je m'en extraispourtant complètement. Saisissant mon membre raide, elle le caresse doucement,amoureusement, sans aucune timidité ni pudeur, juste avec un petit grognementde satisfaction et de reconnaissance mélangées.
Je regarde sa main qui caresse ma bite toute humide de ses propres sécrétionset de mon sperme, et son ventre aux lèvres ouvertes, toutes mouillées etrepues de plaisir. Ma bite se tend et j'ai vraiment envie de violer Pauline làsur le champ, même si ça ne serait pas vraiment un viol, mais je me retiens,cette première fois doit rester tel quel.
En me baissant pour ramasser son slip, ma bite lui échappe des mains, etj'embrasse les lèvres de son sexe qui pour la première fois ont un léger goûtde sperme. Oh, que je me retiens pour ne pas la lécher jusqu'à la jouissance !
Voilà une chose que je me promets bien de faire.
Je lui remets péniblement son slip, pendant qu'elle en profite pour jouer avecmon sexe, agaçant le bout de mon gland. Pas à dire, la belle y prend goût etse délure rapidement !
Je parviens enfin à remettre mon propre maillot pendant qu'elle rattache sonsoutien-gorge. - "Oh, ça coule le long de mes cuisses !" Sur cette nouvelledécouverte de Pauline, très vite, je sors, je cours vers la piscine et m'yplonge au plus vite, alors que Pauline se dirige vers la salle de bain pour unesorte de nettoyage qu'elle ne connaissait pas.
Mickael
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Bon sang qu'il fait chaud, dehors !.. Heureusement, le dernier bain dans lapiscine a été rafraîchissant, et je suis retourné travailler dans mon labo,restant en maillot de bain en attendant le prochain plongeon. La maison estsilencieuse, seule Pauline est là, sans doute encore en train de lire à l'ombreà côté de la piscine.
La porte grince et Pauline entre, elle aussi simplement vêtue de son maillot debain deux-pièces noir aux bretelles défaites. Comment fait-elle pour ne jamaisavoir un bonnet qui tombe sous le sein ? Quel dommage... - "Ça va, ici ?
Hummm, il fait bon chez toi." - "Ouais, ça va ici à l'ombre. Mais tu peuxrester, assieds-toi", lui dis-je en lui montrant le tabouret haut qui me sertd'habitude à travailler. En s'asseyant, sa poitrine et son bras frôlentdélicieusement mon torse nu. Oh, tout à fait involontairement, sans doute,peut-être trop "tout à fait involontairement", on peut rêver. Hummm, la bellesent bon, sa peau est toute chaude de soleil, ferme et lisse.
Perchée sur le tabouret, les fesses sous elle et le dos appuyé au mur, lestalons remontés sur la barre lui ouvrant les jambes, donnant l'impressiond'offrir son bas-ventre à ma concupiscence. Mon imagination s'envole en uneseconde, et dans les instants qui suivent, j'ai le plus grand mal à réfrénerdes pensées lubriques et un début d'érection, que la forme ample de monmaillot de bain parvient peut-être à cacher encore. Fichtre ! Je lâcheraisbien les documents que je tiens pour poser mes mains sur elle ! Mais ce genrede geste ne doit pas être compris dans les relations normales oncle-nièce. Iln'empêche, cette fille grande, mince, jeune et pleine de santé est attirante.
Dommage qu'elle soit ma nièce et que quinze ans nous séparent. Enfin !...
Je reviens à mon travail histoire de changer d'idées, mais sans grandeconviction. Je sens qu'elle continue à me regarder un moment, comme si elleavait pu deviner mes pensées. Un instant, ce paradoxe m'amuse, de pouvoirimaginer les pires cochonneries à propos de quelqu'un qui se trouve juste àcôté, tout en ayant un comportement parfaitement innocent qui ne laisse riendeviner. Tu te rends compte, Pauline, que je suis en train d'imaginer ta boucheautour de mon sexe ? Que je le sens déjà gonfler sur ta langue ? Aïe, stop,C'est en train de gonfler dans mon maillot de bain, là. Il est temps de penserà autre chose !
- "Et tu t'ennuyais pas, là-bas, à bouquiner ?" - "Bof, non, mais il faittellement chaud dehors, on colle et c'est désagréable mon sous-tif qui meserre et les bretelles qui pendent, mais j'ose pas vraiment l'enlever, jetrouve que mes seins sont trop petits. Qu'est-ce que t'en penses, toi ? Tu lestrouves bien, tu les trouves à ton goût ?" Et joignant le geste à la parole,elle baisse résolument les bonnets de son maillot, se cambrant instinctivementpour m'offrir une poitrine plus volumineuse. Avec tout le reste de son corpsmagnifiquement bronzé, couleur de pain d'épice, la pâleur de ses seins aquelque chose de merveilleusement indécent, provocateur, qui la rend trèsdésirable. Le souffle me manque soudain devant ce spectacle si souventsouhaité, et des sentiments contradictoires m'envahissent : reculer encore,franchir le pas ? Mais qu'attend-elle, vraiment une simple appréciation ou queje fasse un premier pas ? Merde, est-ce qu'elle est vraiment innocente et jedois rester le bon tonton à cent lieues de penser à mal, ou est-cequ'elle-même vient de faire le premier pas ?
Pour me laisser un temps de réflexion, je ne bouge toujours pas. - "Oh non,ils ne sont pas du tout trop petits, tes seins..." Mais tout de suite, pour nepas laisser passer l'occasion, je relance le jeu : "ils sont ni trop petitspour devoir les cacher, ni trop gros pour être indécents. Au contraire, ilssont superbes, tes seins : bien ronds, fermes, des tétons bien pointus." C'estvrai qu'ils sont à croquer, et que Pauline a les auréoles gonflées et les boutsde seins qui pointent sans aucune bienséance. Elle ne doit pas être insensibleau compliment et à son propre exhibitionnisme, et elle se contorsionnelégèrement pour mettre son corps à moitié nu en valeur, déclenchant en moi unflot d'adrénaline et une érection qui devient difficile à cacher. C'est paspossible, elle ne peut pas faire tout ça innocemment, ça ne peut être qu'uneinvite.
- "Et puisque tu me poses la question, je peux te dire qu'au contraire ils meplaisent beaucoup, tes adorables seins." M'avançant d'un pas, je pose le boutdes doigts sur un de ses seins, effleurant à peine sa peau. Elle a comme unsursaut, un imperceptible mouvement de recul, mais fermant légèrement les yeuxelle gonfle encore sa poitrine, la tend de quelques millimètres pour larapprocher de mes doigts. Pas un souffle, pas un mot. Enhardi, je posedoucement ma main sur sa poitrine, et la caresse légèrement, laissant le tempsà Pauline de s'habituer à ce contact. Elle ne fait pas un geste, pour ne pasrompre ce moment décisif. Ma caresse se précise, mes doigts appuient sur sapeau, emprisonnant un sein dans ma main, frôlant un téton. Plus de doutepossible pour elle, ça n'est plus un geste d'appréciation, ni de simple amitiéun peu osé, ni même une coquinerie. Tous mes sens sont en alerte, j'ai chaudau bas-ventre, et je prends conscience de l'étroitesse de mon maillot debain... Mon autre main rejoint la première pour mieux caresser sa poitrine,titillant ses tétons qui se dressent, enroulant mes doigts autour d'un globechaud, ferme et affolant. Pauline se cambre, mes caresses dépassent un peu sapoitrine. Nos corps se frôlent et se sentent sans se toucher. Une touche deplaisir se dessine sur son visage. - "Humm, c'est doux, c'est agréable. C'estbon..." D'un geste assuré, je dégrafe le reste de son haut de maillot, quitombe et la laisse encore un peu plus nue qu'avant.
Ses mains jusque là inactives entourent ma taille, et attirent mon corps versle sien, doucement mais fermement. Sa position sur le tabouret, le pubis enavant, fait que nos deux bas-ventres se touchent, et après une très brèvehésitation, je lui laisse sentir mon érection déjà bien développée : au pointoù nous en sommes, elle doit bien savoir ce qu'elle fait, et s'attendre àtrouver... ce qu'elle découvre. A son âge, elle doit bien avoir une idée deces choses-là, même si elle n'a pas beaucoup pratiqué. Loin de s'offusquer, des'étonner ou même de reculer, elle paraît un moment mesurer "l'ampleur desdégâts", puis me serre plus fort contre elle. - "Humm", c'est tout ce qu'elleparvient à exprimer. Mes caresses se font plus pressantes, une de mes mainsdescend vers son ventre, caresse ses flancs. Ses muscles sont tendus, elle secontracte un peu plus, son pubis écrase mon sexe gonflé. Fermant les yeux,elle oscille, frottant son sexe contre le mien. Je bande de plus en plus, maverge répond à ses frottements par des mouvements incontrôlables quiaccentuent encore le contact brûlant de nos ventres.
Mon esprit vagabonde fugitivement, une dernière barrière se dresse, faut-ilarrêter là ? On peut encore renoncer, se séparer et en rire (un peu jaune),comme une bonne blague que l'on se serait jouée. Rien n'est consommé. Pauline adû sentir mon hésitation, car elle appuie encore un peu plus son sexe contremoi, et ses mains caressent mes reins, m'invitant à continuer. De ses lèvress'échappe un faible murmure inintelligible que je m'empresse d'interprétercomme un encouragement. C'en est fait des bonnes résolutions que j'ai failliprendre...
Je laisse une de mes mains descendre jusqu'à son bas de maillot, en caresse letissu et mes doigts rencontrent son mont de Vénus dont ils suivent le bombé.
Pauline suspend ses mouvements, sa bouche s'entrouvre sans qu'un son en sorte.
Un moment d'extase muette pendant lequel elle découvre les sensationsnouvelles de mes caresses à travers le tissu. La sensation doit lui plaire,car elle reprend les mouvements de son bassin, en harmonie avec ceux de mamain, pour en augmenter les effets.
Ma main remonte légèrement, pour redescendre aussitôt, mais mes doigts sontpassés à l'intérieur de son slip. Ils continuent à descendre contre sa peaunue. Le visage de Pauline, illuminé, reflète ce plaisir nouveau. Mes doigtsrencontre sa toison légère, douce et aussi peu abondante que celle d'uneadolescente. J'explore cette petite fourrure qui m'électrise, et ma mainenferme son pubis comme si elle en prenait possession. Pauline hoquette, secambre, ouvre démesurément la bouche à la recherche du souffle qui lui manque.
Son ventre a le même mouvement de contraction que je ressens sous mes doigts.
Elle commence à haleter doucement, laissant le plaisir l'envahir. Mes doigtsatteignent enfin son sexe et touchent ses grandes lèvres, brûlantes etgonflées par l'attente de caresses plus précises. Mes doigts vont et viennentsur elles, puis le long de la fente qui les sépare et que je sens s'épanouir.
A nouveau, Pauline a cessé de bouger, toute à l'attente et la découverte de cessensations. Elle continue à haleter, sa poitrine se soulevant à un rythme deplus en plus rapide. Elle sent son plaisir, le découvre avec une joie qui selit sur ses lèvres que j'ai furieusement envie de mordiller, mais comme Paulineje n'ose pas bouger de peur de rompre le charme.
Ma main est gênée par l'étroitesse de son maillot, mais il est trop tôt pourle lui ôter. Pour chercher un accès plus facile, je commence par enlever mamain : Pauline me lance soudainement un regard affolé, mélange de panique et dedéception, craignant que le jeu soit terminé... Adorable Pauline ! Mais non, jene vais pas te laisser là, et moi non plus, d'ailleurs, je ne veux pas enrester là, tu sens bien l'état de mon sexe ! Je glisse aussitôt mes doigts parle côté de son maillot, et je retrouve vite son ventre, sa toison et seslèvres gonflées. Les halètements de Pauline reprennent, la découverte continue.
Plus libres, mes doigts caressent sa chatte, glissent avec facilité le long desa fente entrouverte. Pauline mouille. Mes doigts effleurent un bourgeonnaissant, arrachant un nouveau hoquet à Pauline dont la plaisir augmente encore.
Elle avance sa main jusqu'à mon ventre, avec des mouvements un peu désordonnéspar les ondes de plaisir qui la rattrapent. Ses doigts caressent légèrementmon sexe à travers mon maillot, en évaluent le volume, mais elle n'ose pasfranchir le barrage du tissu. Sous sa caresse, une décharge électrique mesecoue, un moment je me demande si je ne vais pas jouir immédiatement. Ma mainse crispe sur son sexe, pousse son exploration, un de mes doigts glisse entreles lèvres de son sexe parfaitement lubrifié, et frotte l'intérieur de safente. Son clitoris pointe légèrement, je le sens tout vibrant sous monmajeur. Pauline geint tout doucement quand mon doigt effleure son clitoris, leplaisir se lit distinctement sur son visage. Sa main se referme sur mon membredurci, puis tirant vers le bas la ceinture de mon maillot, elle libère ma bitede son carcan de tissu. Lorsque ses doigts l'effleurent, une véritabledécharge électrique me parcourt, et pour la deuxième fois, j'ai du mal à meretenir de ne pas jouir prématurément. Délicatement, elle en explore lescontours, et je la laisse faire, arrêtant mes propres caresses. Elle part à ladécouverte de mon sexe, à sa base, à sa pointe, en suit de deux doigts la tigequ'elle presse doucement pour en éprouver la fermeté.
J'ai appris qu'à la suite d'une chute, Pauline avait perdu son pucelage,déchiré par un grand écart accidentel : elle n'est donc plus à proprementparler vierge, mais je soupçonne que ses expériences sexuelles sont trèssuccinctes. Vierge, non, mais pas très expérimentée, peut-être même pucelle !
C'est bien la impression que me transmettent ses caresses, celle d'une filledécouvrant "en vrai" le sexe d'un homme. Ses doigts s'enroulent autour de mabite et soudain la serrent avec fermeté : je me cambre violemment et laisse àmon tour échapper un grognement de plaisir. Pauline éprouve elle-même duplaisir à mon plaisir, son clitoris se dresse sous mes doigts qui ont reprisleur caresse sur son sexe brûlant. Enchantée de sa découverte, elle monte etdescend sa main fermée autour de ma bite, en une masturbation douce etcaressante.
Gênée par la ceinture de mon maillot, elle lâche un instant mon sexe agité depalpitations, pour défaire le cordon et le tirer vers le bas et le laissetomber à mes pieds. Je suis nu entre ses jambes ouvertes. Elle reprend monsexe dans sa main, pendant que son autre main part à la découverte de mestesticules. Ma bite palpitant dans sa main lui indique au fur et à mesure leplaisir qu'elle me fait ressentir, et elle module ses caresses pour me fairevibrer et soupirer le plus possible. Je ne lui cache pas mon plaisir et neréfrène pas les mouvements de mon sexe et de mon bas-ventre. - "Tu sais",souffle-t-elle soudain, "c'est la première fois que je fais ça, hein." Alorsainsi c'est sa première expérience ? Elle n'a donc jamais fait l'amour, n'ajamais caressé un sexe masculin ? - "Mais tu fais ça très bien, tu trouvestout ce qui fait plaisir à un garçon, tu peux pas savoir comme c'est bon,c'est abominablement bon, je sais pas comment tu fais !" - "Oh, j'ai justebien regardé une cassette "X" de mon frère, et puis ça me vient comme ça..."Ah, le délicieux aveu ! Pucelle et cochonne, sans expérience mais douée.
Impatient, un de mes doigts se glisse un peu plus encore dans sa fente etcommence à pénétrer doucement son sexe. Ses mains quittent mon ventre et seposent sur mon bras, arrêtant une seconde mon geste, puis aussitôtl'encouragent. J'en limite volontairement la pénétration, préférant quelqueslégères introductions à une pénétration profonde que je réserve pour ma verge.
Ses mains accompagnent mon geste, elle halète en rythme, ses jambes sontlargement écartées pour mieux s'offrir. Profitant de ses yeux fermés, monregard se pose sur son sexe que mon doigt ouvre et ferme, au-dessous d'unecourte toison rousse. Son clitoris est maintenant sorti de sa corolle et sedresse comme une petite bite. Ce n'est pas fréquent une fille avec un clitorisaussi érectile, et pendant que mon index va et vient en elle, mon pouce le luicaresse en même temps.
D'un geste rapide qu'elle accompagne de son bassin, je lui ôte son slip, ladécouvrant totalement nue, le blanc de son ventre et de ses seins la rendant àhurler de désir. Je reprends aussitôt ma caresse envahissante à l'entrée deson vagin. Elle se laisse complètement guider par le plaisir qu'elle ressent,libérée de toute inhibition, accompagne mes doigts de mouvements du bassinsans plus aucune retenue. C'est merveilleux, une pucelle comme ça, qui selibère totalement, qui s'ouvre au plaisir, qui le vit comme tout à l'heureelle vivait le mien, qui sent qu'elle a envie de faire l'amour, qui sent queça va être bon, et qui ne demande qu'à jouir.
Son plaisir coule sur mes doigts. Sans cesser ma caresse, mon autre main guidemon gland jusqu'à ce qu'il touche l'entrée qu'explore mon index.
Imperceptiblement, mon doigt cède la place au bout de mon sexe gonflé àéclater, jusqu'à ce qu'il commence à s'engager dans le ventre de Pauline. Ellecomprend soudain la cause de cette pénétration nettement plus large, ellecomprend je suis en train d'introduire mon sexe dans son ventre vierge.
Interprétant par erreur la lenteur de mon mouvement pour une hésitation à luifaire l'amour (alors que ce n'est que distiller mon plaisir extrême de laprendre pour la première fois), elle m'encourage dans un murmure : - "oh si,viens dans mon ventre..." Je la pénètre lentement, doucement, profitanttotalement de mon plaisir, de la sensation de ma bite qui écarte les parois deson vagin, lisant en même temps la progression de ses sensations sur sonvisage. Elle est comme extasiée, les jambes écartelées, le ventre offerts'ouvrant et appelant ma pénétration. Je n'ai jamais vu une pucelle autantouverte à son plaisir !
Lui enfiler la longueur de mon sexe me semble durer des heures comme s'ilétait immense et son ventre insondable. Ma verge palpite en la pénétrant, sonvagin répond à chacune de mes palpitations. L'un comme l'autre nous retenonsnotre respiration jusqu'au moment où toute la longueur de mon sexe l'apénétrée, et nous expirons chacun avec un gémissement de plaisir et decontentement. Je reste enfoncé en elle et elle reste arc-boutée vers moi.
Ivres de plaisir nous sommes immobiles, respirant doucement notre plaisir etcelui de l'autre. Pauline frissonne doucement, se préparant à un nouveautorrent de plaisir. Que c'est bon !... Cet extraordinaire sommet de bonheur seprolonge, Pauline devinant que d'autres ondes de plaisir vont encore venir. Jela regarde, elle est à la fois tendue et épanouie, ses yeux sont à peineentrouverts mais son regard est perdu on ne sait où, ses lèvres laissentéchapper une respiration rapide et profonde. Ses seins sont tendus vers moi,les tétons dressés, j'ai envie de les mordiller mais je ne veux pas rompre lecharme de ces instants trop fragiles. Son ventre se soulève régulièrement aurythme de sa respiration, mais sans toutefois laisser son pubis s'écarter dumien. Ma bite est profondément ancrée au fond de son ventre brûlant et humidequi m'enserre délicatement. Nos deux corps nus sont tendus l'un vers l'autre,chacun à l'affût de son propre plaisir et de celui de l'autre. Je bandeterriblement fort, envahissant totalement le sexe de Pauline. Il faudra que jeme réfrène si je ne veux pas lui faire plus de mal que de bien.
Tout doucement, je commence à me retirer d'elle, Pauline ne craint plusmaintenant que je mette fin à notre partie. Elle sait que je vais lui fairel'amour, la baiser profondément pour son propre plaisir et le mien, qu'elleignore l'un comme l'autre. Elle reste tendue vers moi, attendant de ressentirla suite de son plaisir. Je m'enfonce à nouveau en elle, un peu plus profondencore, elle se cambre et ne retient pas un mouvement en avant de sonbas-ventre. Une ou deux fois encore, je sors très peu d'elle et je rentre, lajouissance s'épanouit sur sa figure. Je commence des mouvements plus amples etd'instinct Pauline devine ses propres mouvements pour m'accompagner. Ellerespire de plus en plus fort et va maintenant au devant de mon sexe, elles'empale dessus lorsque je tarde à la pénétrer. Elle gémit maintenant sans seretenir. Ses mains se posent sur mes reins, guidant mon mouvement en elle àson rythme qu'elle découvre en même temps. Je la laisse monter vers un orgasmequi se devine à travers le son plus rauque de son souffle, à la crispation deses mains, au va et vient de son ventre, aux palpitations de son vagin.
Soudain tétanisée, elle ne parvient même plus à me guider, et je continue à labaiser sur le même rythme, la regardant prendre son pied comme une grande. Lesyeux écarquillés, elle crie son plaisir alors que l'orgasme la submerge. Sajouissance déclenche la mienne, je plante ma bite au plus profond de sonventre et de puissants jets de sperme inondent son ventre, brûlants etinterminables. Elle ressent chaque jet, me répond chaque fois par unepalpitation incontrôlée de son vagin. Un feu d'artifice m'aveugle et doucementj'arrête de la pilonner, vidé.
Quelques instants, nous restons immobiles, moi profitant de mon plaisirimmense, de ses yeux pleins de bonheur, de son visage épanoui par l'orgasme,elle assimilant peu à peu toute le plaisir qu'elle vient d'éprouver.
Semblant revenir à elle, elle me sourit de toutes ses dents, de tous ses yeux,de tout son corps. - "Alors c'était tout ça ? C'est extraordinaire, c'estfantastique... Hummmm ce que c'est bon !" Ses bras m'enlacent et elle me serrecontre elle tout son corps rivé au mien, même son sexe paraît serrer le mienencore raide dans son ventre. Écartant légèrement son visage, elle colle seslèvres aux miennes et me roule le patin le plus tendre et le plus passionné,si doux et si bon que je sens mon sexe se raidir à nouveau, alors que je nel'ai pas encore retiré de son ventre. Elle pose sa tête dans le creux de moncou, un câlin attendrissant qui me fait fondre mais certainement pasdébander...
- "C'est merveilleux de faire l'amour," me chuchote-t-elle dans l'oreille, "ilfaudra qu'on refasse l'amour ensemble encore, c'est bon, j'aime ça très fort.
Tu me referas l'amour, dis ? - "Bien sûr que moi j'ai envie de faire encorel'amour avec toi ! Et si tu veux encore, quand tu voudras ! Tu es adorablementexcitante quand tu fais l'amour, c'est très très bon et doux, et j'ai jouitrès très fort dans ton ventre..." - "Tu sais, j'avais jamais fait l'amour,avant, et quand tu es... quand tu as... quand je t'ai senti rentrer dans monventre, j'ai failli tourner de l'oeil tellement c'était bon. D'ailleurs, quandj'ai... quand j'ai joui, je crois que j'ai perdu conscience un instant." Satimidité à trouver les mots qui conviennent me font sourire, elle le comprendbien et en sourit elle-même. - "Tu sais , je sais pas tout dire encore ! Maisj'ai repris mes esprits quand j'ai senti que tu giclais en moi. Et puis j'aisenti comme ton... comme tu gonflais encore dans mon ventre et lescontractions de ton sexe. Oh, je savais pas que c'était aussi bon ! Alors tum'as mis plein de... plein de sperme dans mon ventre ? Hummm... Je suis pleinede toi ! Tu sais que je te sens encore dans mon ventre ? Ce que tu es raide !
Quand je t'ai caressé, je pensais que ça allait jamais rentrer, que ça nepouvait pas me... Mais c'est fou, ça m'a envahie !"
Je sens à nouveau ma bite palpiter dans son sexe, mais elle ne sait pas jebande à nouveau, prêt à la baiser. C'est un peu trop pour une premièreexpérience, et délicatement je sors ma bite de son délicat fourreau. Pauline aun mouvement pour suivre le mien et me conserver en elle, mais je m'en extraispourtant complètement. Saisissant mon membre raide, elle le caresse doucement,amoureusement, sans aucune timidité ni pudeur, juste avec un petit grognementde satisfaction et de reconnaissance mélangées.
Je regarde sa main qui caresse ma bite toute humide de ses propres sécrétionset de mon sperme, et son ventre aux lèvres ouvertes, toutes mouillées etrepues de plaisir. Ma bite se tend et j'ai vraiment envie de violer Pauline làsur le champ, même si ça ne serait pas vraiment un viol, mais je me retiens,cette première fois doit rester tel quel.
En me baissant pour ramasser son slip, ma bite lui échappe des mains, etj'embrasse les lèvres de son sexe qui pour la première fois ont un léger goûtde sperme. Oh, que je me retiens pour ne pas la lécher jusqu'à la jouissance !
Voilà une chose que je me promets bien de faire.
Je lui remets péniblement son slip, pendant qu'elle en profite pour jouer avecmon sexe, agaçant le bout de mon gland. Pas à dire, la belle y prend goût etse délure rapidement !
Je parviens enfin à remettre mon propre maillot pendant qu'elle rattache sonsoutien-gorge. - "Oh, ça coule le long de mes cuisses !" Sur cette nouvelledécouverte de Pauline, très vite, je sors, je cours vers la piscine et m'yplonge au plus vite, alors que Pauline se dirige vers la salle de bain pour unesorte de nettoyage qu'elle ne connaissait pas.
Mickael
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