Ma nouvelle amie
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Ma nouvelle amie
De loin je crois voir ma sœur. Je me précipite pour l’embrasser: je ne l’ai pas revue depuis son départ il y a deux ans. Elle est partie fâchée avec les parents à cause de la fréquentation qu’elle avait avec un homme de plus de 50 ans, alors qu’elle n’en avait que la moitié. Manque de chance ce n’est pas elle. Je m’en aperçois quand arrivant par derrière je lui bouchais les yeux: c’était notre petit geste d’affection. J’ai fais une bourde: c’est une fille de mon âge, une belle brune. J’ai beau demander des excuses, je me sens réellement idiote. Cette fille me regarde et:
- Ce n’est rien voyons, une erreur arrive tout les jours
- Pas comme celle la.
- N’en parlons plus. Je vous invite à vous promener avec moi.
Nous voilà parti dans la ville errantes à la recherche d’une réconciliation. Je me demande où elle veut aller.
- Ou allons nous ?
- Chez moi, pour que je vous pardonne tout.
- A midi ?
- Oui, c’est l’heure de l’apéritif, je vous l’offre;
Gênée, j’accepte quand même. Je me suis fait peut être une amie.
Dans le salon , elle me fait assoir sur un fauteuil bien confortable. Elle s’occupe de sortir les verres:
- Que prendrez vous, j’ai à peu près de tout.
- Ce que vous prendrez.
Alors ce sera un peu de pastis dans beaucoup d’eau. Elle vient sur le fauteuil à coté du mien. Nous bavardons, comme toutes les femmes de nos petits problèmes de femmes. Surtout nous arrivons à parler d’intimité. Nous allons très loin dans nos confidences. Etant veuve très jeune elle a décidé de ne pas se remarier pour une raison simple, elle ne veux pas recommencer à faire l’amour avec un homme, le premier a suffit pour la dégouter du genre masculin.
Elle se trouve aussi bien avec la masturbation et ses objets.
Moi qui sort d’une relation du genre orageuse, je n’ai pas envie non plus de revenir vers un homme au moins dans l’immédiat.
- Si nous nous tutoyons ? Me demande-t-elle.
- Pourquoi pas.
Après tout elle a mon âge, a des problèmes sexuels.
- Tu te contente de te toucher ?
- Oui, et j’ai des amies avec qui je m’amuse.
- Tu t’amuses avec tes amies ? Comment ? Pas à la poupée
- Si tu veux, comme tu me plais, je peux te montrer.
- Montres moi alors.
- Ne râles pas si tu crois que je dépasse des limites morales.
- Tu ne veux pas me montrer comment voler ou tuer ?
- Non, c’est un genre de vol agréable. Lèves toi, je vais te montrer le début.
Je suis une fille obéissante, je me lève. Une fois debout elle se lève également, s’approche très près de moi pour poser ses lèvres sur les miennes. J’ai un léger mouvement de recul: elle ne retire pas sa bouche. J’aurai aussi bien pu me reculer et pourtant je reste en place comme une souche. Elle passe une main derrière ma tête et sa bouche s’ouvre sur mes lèvres. Elle m’embrasse bien, j’ouvre instinctivement la bouche quand sa langue force mes lèvres. Mon premier baiser avec une autre. Finalement elle embrasse aussi bien qu’un homme. Elle embrasse tellement bien que je sens de l’humidité au fond de mon string: elle est en train de m’exciter. Moi aussi je passe un bras derrière sa tête.
J’ai du l’encourager à continuer ma conquête puisqu’elle passe une main sur un sein, légèrement, presque tendrement. J’ose passer un bras sur sa taille. Elle doit prendre ça pour un accord.
Je dois reconnaitre que ce n’est pas désagréable d’être dans ses bras, avec sa bouche sur la mienne.
Quand elle se sépare de moi c’est pour me demander
- Le début t’as plu ? En tout cas-tu sais bien embrasser.
- Oui, j’ai aimé.
- Alors nous allons plus loin.
Je me doute bien qu’elle va me faire des choses que je devine agréables. Nous sommes toujours debout; elle commence par me déshabiller complètement, me tient pas les mains pour me reculer et voir mon corps.
- Tu sais que tu es bien faite. Dommage que tu ne te sois pas rasée le pubis. Tout à l’heure je te raserai.
- Je peux te mettre nue ?
- Bien sur, fais le. Je n’attends que ça.
Je m’y prend comme je peux: je sais bien me déshabiller, je sais déshabiller un homme, mais pas tellement les femmes. Enfin quand elle est nue, je peux la regarder en détail. Ses seins me fascinent! Ils sont bien plus gros que les miens, ils tiennent tous seuls. Sa taille est fine sur des hanches larges et des jambes faites au moule, elle est très sexy. Elle me donne des envies de sexes.
Elle revient vers moi, se colle contre mon corps, nos poitrines bien serrées. La sensation de ses seins contre le miens me donnent encore plus envie de ………je ne sais pas encore trop quoi exactement. Sa bouche revient sur la mienne juste un instant. Elle me conduit dans sa chambre. Maintenant je sais ou je crois savoir ce qu’elle va faire. Nous nous asseyons sur le bord du lit. Nous nous enlaçons pour encore un baiser. Elle pose sa main sur mon genou, la passe à l’intérieur de les cuisses, caresse ma jambes en remontant vers ma bouche secrète. Elle va tellement lentement que je m’impatiente: qu’est-ce qu’elle attend pour venir sur mon bouton et le caresser. Son bras m’empêche moi d’aller la branler.
Enfin elle arrive au but: ses doigts me fouillent partout: elle me fait perdre la tête. Je ne m’attendais pas à une telle avalanche de plaisirs innomés. J’en suis au point où je ne sais même plus ce qu’elle me fait. Je ne me souviens que de l’orgasme unique qu’elle me donne. Je sais qu’à un moment elle a mis des doigts dans le cul et dans la chatte. Je suis obligé de me coucher. Elle me fait garder les jambes ouvertes, s’assoie juste à coté de moi sur la descente de lit, entre mes cuisses. Sa bouche vient remplacer sa main. Je sens sa langue lécher mon bouton à grands coups. Elle me caresse les seins encore mieux qu’avant. Puis quand je jouis encore, elle descend la langue à l’intérieur de la moule. Elle la fait tourner et trouve un endroit dont je n’avais qu’entendu parler: le fameux point G. Je m’entends gémir de plus en plus fort au fur et à mesure que le bout de sa langue frotte dans mon vagin. Je suis obligé de lui demander d’arrêter un moment: je n’en peux plus.
Nous nous couchons très près l’une de l’autre. Je me sens bien contre elle. Je peux lui caresser un sein et surtout lui sucer et lécher la mamelon. Elle tient ma tête pour que je ne parte pas.
Et puis, elle se retourne sur le lit, m’enjambe pour me donner toutes sa fente. J’attends qu’elle aussi se place sur mon sexe. Sa langue recommence cette fois ci sans entrer dans mon vagin. Elle lèche le bouton, comme je le lui fait. Je goute son jus. Il me plait beaucoup. J’aime aussi la douceur de la peau de son sexe. Je cherche à l’imiter: quand elle pose sa langue sur mon anus, j’en fait autant. Elle cherche à entrer dans le cul. Je cherche toujours à en faire autant. Je trouve que l’intérieur de son cul a un gout différent que le reste. Je fais comme elle, pour moi c’est bon, alors je vais lui faire pareil: j’entre et sors de son cul sans arrêt. Je sens que je jouis encore avec sa langue dans le cul. Il faut dire quand temps normal, quand je baise avec un homme j’aime bien me faire mettre par là. Je suis en plein orgasme quand je la sens jouir aussi.
Nous revenons en positions normale pour nous embrasser encore. J’ai quand sa langue vient dans ma bouche avec les gouts mêlés de ma moule et de mon cul.
Elle ne demande rien de suite, elle se lève pour revenir avec une bombe à raser et un rasoir. Elle me passe la crème sur tout le pubis et entre les jambes. Lentement, doucement pout ne pas me faire mal, elle enlève tous les poils. Elle m’embrasse le pubis avant de montrer dans un petit miroir le résultat. Je ne reconnais pas mon ventre.
Elle me fait plein de promesse pour la suite: si je veux, je peux venir tous les jours et même et surtout les nuits. Si je veux un godemiché, elle en a. Si j’aime baiser en trio elle a une copine qui aime ça aussi. Si je veux me faire mettre par plusieurs hommes à la fois, elle peux organiser tout ça.
De toutes façon elle aime uniquement les femmes. Je peux profiter d’elle-même si je ne veux que me faire branler. Je reviendrai demain pour passer la journée avec elle. Si mes parents l’apprennent, ils risque une attaque cardiaque.
- Ce n’est rien voyons, une erreur arrive tout les jours
- Pas comme celle la.
- N’en parlons plus. Je vous invite à vous promener avec moi.
Nous voilà parti dans la ville errantes à la recherche d’une réconciliation. Je me demande où elle veut aller.
- Ou allons nous ?
- Chez moi, pour que je vous pardonne tout.
- A midi ?
- Oui, c’est l’heure de l’apéritif, je vous l’offre;
Gênée, j’accepte quand même. Je me suis fait peut être une amie.
Dans le salon , elle me fait assoir sur un fauteuil bien confortable. Elle s’occupe de sortir les verres:
- Que prendrez vous, j’ai à peu près de tout.
- Ce que vous prendrez.
Alors ce sera un peu de pastis dans beaucoup d’eau. Elle vient sur le fauteuil à coté du mien. Nous bavardons, comme toutes les femmes de nos petits problèmes de femmes. Surtout nous arrivons à parler d’intimité. Nous allons très loin dans nos confidences. Etant veuve très jeune elle a décidé de ne pas se remarier pour une raison simple, elle ne veux pas recommencer à faire l’amour avec un homme, le premier a suffit pour la dégouter du genre masculin.
Elle se trouve aussi bien avec la masturbation et ses objets.
Moi qui sort d’une relation du genre orageuse, je n’ai pas envie non plus de revenir vers un homme au moins dans l’immédiat.
- Si nous nous tutoyons ? Me demande-t-elle.
- Pourquoi pas.
Après tout elle a mon âge, a des problèmes sexuels.
- Tu te contente de te toucher ?
- Oui, et j’ai des amies avec qui je m’amuse.
- Tu t’amuses avec tes amies ? Comment ? Pas à la poupée
- Si tu veux, comme tu me plais, je peux te montrer.
- Montres moi alors.
- Ne râles pas si tu crois que je dépasse des limites morales.
- Tu ne veux pas me montrer comment voler ou tuer ?
- Non, c’est un genre de vol agréable. Lèves toi, je vais te montrer le début.
Je suis une fille obéissante, je me lève. Une fois debout elle se lève également, s’approche très près de moi pour poser ses lèvres sur les miennes. J’ai un léger mouvement de recul: elle ne retire pas sa bouche. J’aurai aussi bien pu me reculer et pourtant je reste en place comme une souche. Elle passe une main derrière ma tête et sa bouche s’ouvre sur mes lèvres. Elle m’embrasse bien, j’ouvre instinctivement la bouche quand sa langue force mes lèvres. Mon premier baiser avec une autre. Finalement elle embrasse aussi bien qu’un homme. Elle embrasse tellement bien que je sens de l’humidité au fond de mon string: elle est en train de m’exciter. Moi aussi je passe un bras derrière sa tête.
J’ai du l’encourager à continuer ma conquête puisqu’elle passe une main sur un sein, légèrement, presque tendrement. J’ose passer un bras sur sa taille. Elle doit prendre ça pour un accord.
Je dois reconnaitre que ce n’est pas désagréable d’être dans ses bras, avec sa bouche sur la mienne.
Quand elle se sépare de moi c’est pour me demander
- Le début t’as plu ? En tout cas-tu sais bien embrasser.
- Oui, j’ai aimé.
- Alors nous allons plus loin.
Je me doute bien qu’elle va me faire des choses que je devine agréables. Nous sommes toujours debout; elle commence par me déshabiller complètement, me tient pas les mains pour me reculer et voir mon corps.
- Tu sais que tu es bien faite. Dommage que tu ne te sois pas rasée le pubis. Tout à l’heure je te raserai.
- Je peux te mettre nue ?
- Bien sur, fais le. Je n’attends que ça.
Je m’y prend comme je peux: je sais bien me déshabiller, je sais déshabiller un homme, mais pas tellement les femmes. Enfin quand elle est nue, je peux la regarder en détail. Ses seins me fascinent! Ils sont bien plus gros que les miens, ils tiennent tous seuls. Sa taille est fine sur des hanches larges et des jambes faites au moule, elle est très sexy. Elle me donne des envies de sexes.
Elle revient vers moi, se colle contre mon corps, nos poitrines bien serrées. La sensation de ses seins contre le miens me donnent encore plus envie de ………je ne sais pas encore trop quoi exactement. Sa bouche revient sur la mienne juste un instant. Elle me conduit dans sa chambre. Maintenant je sais ou je crois savoir ce qu’elle va faire. Nous nous asseyons sur le bord du lit. Nous nous enlaçons pour encore un baiser. Elle pose sa main sur mon genou, la passe à l’intérieur de les cuisses, caresse ma jambes en remontant vers ma bouche secrète. Elle va tellement lentement que je m’impatiente: qu’est-ce qu’elle attend pour venir sur mon bouton et le caresser. Son bras m’empêche moi d’aller la branler.
Enfin elle arrive au but: ses doigts me fouillent partout: elle me fait perdre la tête. Je ne m’attendais pas à une telle avalanche de plaisirs innomés. J’en suis au point où je ne sais même plus ce qu’elle me fait. Je ne me souviens que de l’orgasme unique qu’elle me donne. Je sais qu’à un moment elle a mis des doigts dans le cul et dans la chatte. Je suis obligé de me coucher. Elle me fait garder les jambes ouvertes, s’assoie juste à coté de moi sur la descente de lit, entre mes cuisses. Sa bouche vient remplacer sa main. Je sens sa langue lécher mon bouton à grands coups. Elle me caresse les seins encore mieux qu’avant. Puis quand je jouis encore, elle descend la langue à l’intérieur de la moule. Elle la fait tourner et trouve un endroit dont je n’avais qu’entendu parler: le fameux point G. Je m’entends gémir de plus en plus fort au fur et à mesure que le bout de sa langue frotte dans mon vagin. Je suis obligé de lui demander d’arrêter un moment: je n’en peux plus.
Nous nous couchons très près l’une de l’autre. Je me sens bien contre elle. Je peux lui caresser un sein et surtout lui sucer et lécher la mamelon. Elle tient ma tête pour que je ne parte pas.
Et puis, elle se retourne sur le lit, m’enjambe pour me donner toutes sa fente. J’attends qu’elle aussi se place sur mon sexe. Sa langue recommence cette fois ci sans entrer dans mon vagin. Elle lèche le bouton, comme je le lui fait. Je goute son jus. Il me plait beaucoup. J’aime aussi la douceur de la peau de son sexe. Je cherche à l’imiter: quand elle pose sa langue sur mon anus, j’en fait autant. Elle cherche à entrer dans le cul. Je cherche toujours à en faire autant. Je trouve que l’intérieur de son cul a un gout différent que le reste. Je fais comme elle, pour moi c’est bon, alors je vais lui faire pareil: j’entre et sors de son cul sans arrêt. Je sens que je jouis encore avec sa langue dans le cul. Il faut dire quand temps normal, quand je baise avec un homme j’aime bien me faire mettre par là. Je suis en plein orgasme quand je la sens jouir aussi.
Nous revenons en positions normale pour nous embrasser encore. J’ai quand sa langue vient dans ma bouche avec les gouts mêlés de ma moule et de mon cul.
Elle ne demande rien de suite, elle se lève pour revenir avec une bombe à raser et un rasoir. Elle me passe la crème sur tout le pubis et entre les jambes. Lentement, doucement pout ne pas me faire mal, elle enlève tous les poils. Elle m’embrasse le pubis avant de montrer dans un petit miroir le résultat. Je ne reconnais pas mon ventre.
Elle me fait plein de promesse pour la suite: si je veux, je peux venir tous les jours et même et surtout les nuits. Si je veux un godemiché, elle en a. Si j’aime baiser en trio elle a une copine qui aime ça aussi. Si je veux me faire mettre par plusieurs hommes à la fois, elle peux organiser tout ça.
De toutes façon elle aime uniquement les femmes. Je peux profiter d’elle-même si je ne veux que me faire branler. Je reviendrai demain pour passer la journée avec elle. Si mes parents l’apprennent, ils risque une attaque cardiaque.
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