Ma première baise avec deux autres filles
Récit érotique écrit par TBM6999 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma première baise avec deux autres filles
Je suis le mari de Béatrice et je vous raconte l’histoire qu’elle m’a racontée.
Rappel : je m’appelle Béatrice, j’ai la cinquantaine, mais à l’époque des faits, j’avais tout juste 18 ans.
Après l’épisode « Mon dépucelage », voici « Ma première baise avec deux autres filles ».
Maintenant que je vous ai raconté comment j’ai commencé ma vie sexuelle sur les chapeaux de roues, je vais vous narrer la suite de mes expériences.
Mes copines, à qui j’ai raconté toute l’histoire avec des détails croustillants, m’ont fait part à leur tour de leurs expériences sexuelles. Certaines sont encore plus salopes que moi... et j’ai appris pas mal de choses et d’expressions utilisées : bouffer le cul, bouffer la chatte, tailler une pipe, décharger, la double pénétration que j’avais pratiquée sans savoir comment cela s’appelait, ...
Il y avait environ une semaine que j’avais baisée avec 6 blacks dans les caves de l’immeuble des 4000 lorsque je les ai rencontrés à nouveau. Ils se souvenaient de moi... et pour cause !
Cette fois-ci, ils m’ont dit qu’ils avaient une surprise pour moi et que si je voulais savoir de quoi il s’agissait, je devais les suivre dans les caves.
Le souvenir des caves étant resté dans ma mémoire comme agréable, je me suis dit pourquoi pas, tout en espérant revivre une séance de baise intense.
Je les suivais et nous nous sommes dirigés vers une autre cave que celle dans laquelle j’avais vécu des moments inoubliables quelques jours auparavant.
Nous entrons dans cette autre cave, toujours sans lumière. Cette fois-ci, personne n’a allumé de lumière pour l’instant, mais je ne m’inquiète pas car j’avais vu leurs bites et ils avaient pu voir ma chatte, mes seins et mon cul pour en user et abuser. J’ai donc pensé que nous allions baiser dans le noir.
Le fait est : je sens une main qui passe dans ma culotte après avoir déboutonné mon pantalon et qui ressort trempée en disant : « putain, toujours aussi bonne la petite. Elle aime toujours la bite, alors on va lui en donner ». Puis ils ont explosé de rire...
Celui qui a passé sa main dans mon entre-jambe descend ma culotte et mon pantalon pour finalement me les enlever. Il en profite pour retirer également mon haut. Je suis donc à poils entre six blacks, tous avec leur grosse bite dure et tendue, prêts à me prendre comme une chienne.
Je commence à toucher les bites qui se présentent à moi. J’en sens une qui se place sur ma petite rondelle et je commence à pousser mon bassin en arrière pour me faire enculer par cette grosse queue.
Je sens une bouche se poser sur ma chatte. Apparemment, il y a des adeptes pour bouffer une chatte. Je ne connaissais pas cette douceur, mais je dois reconnaitre que c’est super bon. OK pas autant qu’une bonne bite, certes. Mais quand même. Et puis je me dis que la bite va venir après. Mon bassin ne sait plus de quel côté il doit se pencher : soit vers la bouche pour accentuer le cunni, qui soit dit en passant est un délice, soit vers la bite pour me faire sodomiser (autre terme que mes copines m’ont appris).
Tout compte fait, je me décide à me pencher mon bassin vers l’avant pour me faire « bouffer la chatte », expression utilisée par mes copines pour m’expliquer le cunni.
Je sens la bite de mon pote black se retirer et je me dis que c’est bien dommage car je me serais bien fait enculer et bouffer la chatte en même temps encore un peu.
En fait, je sens une autre bouche qui vient se placer sur ma petite rondelle et qui commence à me titiller le cul, tout ça, en même temps devant et derrière. Ma chatte est trempée, mon cul semble s’ouvrir en même temps. Je me demande si je ne mouille pas du cul aussi, tellement c’est bon.
Je vois une lumière qui s’allume et là, surprise, ce sont deux filles qui me bouffent la chatte et le cul. Mes potes blacks éclatent de rire. Je n’ai jamais eu d’expérience homosexuelle, mais je dois avouer qu’une fois la surprise passée, c’était loin d’être désagréable.
Elles savent y faire, ces deux cochonnes. Je sens mon corps se contracter et une vague de plaisir déferler. Je jouis. Je décharge ma cyprine dans la bouche de cette blonde pulpeuse qui me suce le clito. Elle est aussi à poils et se fait bourrer la chatte pendant qu’elle me suce. Tout cela m’excite au plus haut point. Je tourne la tête et je regarde la jeune femme qui me lèche le cul et cette salope est également à poil. Elle est aussi vachement bien foutue... et quelle lécheuse ! Je sens de temps à autres sa langue qui cherche à rentrer dans mon cul et j’adore ça, alors je relâche mes muscles pour qu’elle puisse me pénétrer.
Mes potes blacks ont désormais 3 salopes à baiser, mais ils sont six. Les deux qui me bouffaient la chatte et le cul sont bi (encore un terme que mes copines m’ont appris).
Elles ont pris avec elles quelques « instruments ». Une fois que le black a bien défoncé le cul de celle qui me bouffe la chatte et qui lui a déchargé dans le cul, mes deux copines s’équipent.
Au départ, je n’ai pas compris tout de suite mais lorsque je les ai vues une fois qu’elles ont fini d’installer leur « matériel » j’ai compris. Elles avaient chacune un gode ceinture avec une bite d’une dimension assez proche de celles de mes amis blacks. Avec un avantage, c’est qu’elles ne débandaient pas... mais un inconvénient, c’est qu’elles ne déchargeaient pas.
Une de ces salopes, la blonde, se couche sur le dos et me demande de venir s’empaler sur cette bite, ce que je fais avec plaisir. Elle m’attire vers elle : nos seins se touchent et mes seins commencent sérieusement à durcir et mes pointes se dresser. Ce qui ne laisse pas indifférente la femme qui est en train de me baiser.
Tout comme les blacks l’avaient fait quelques jours auparavant, une fois collée à elle, mon cul est offert à sa copine qui me mets sa bite en silicone dans l’anus. Se faire défoncer par deux femmes n’est pas déplaisant, mais un des blacks avait décidé d’enculer la deuxième fille qui était en train de me sodomiser. Nous baisions à 4, enfilés les uns dans les autres. Quel pied monumental. Je ne pensais pas que ma chatte allait dégouliner comme ça. Hum. J’ai adoré.
Pendant ce temps-là, les 5 autres blacks se branlaient au-dessus de nous. Lorsque j’ai joui, cela a entrainé la jouissance des deux filles. Le black qui enculait la fille sur moi s’est mis à dire : « ah les salopes, elles vont me faire jouir ces putes. Je suis en train de baiser trois belles salopes qui aiment la bite. Je vais décharger mon foutre au fond de son cul à cette salope. » Il a déchargé son foutre au fond du cul de celle qui me sodomisait et cela a créé un enchainement de jouissances : tous les blacks ont vidé leurs couilles sur nous. On a pris une sacrée douche de foutre. Les salauds avaient les couilles bien pleines, vu ce qu’ils ont déchargé !
Une fois que le black s’est retiré du cul de ma « sodomisatrice » et qu’elle s’est retirée de mon cul, j’ai pu retirer ma chatte du gode ceinture. J’avais les orifices défoncés, mais putain que c’était bon.
J’ai eu l’occasion par la suite de croiser ces deux jeunes femmes dans la cité. Elles sont connues notamment comme des bons coups avec qui on peut baiser sans complexe, en leur demandant tout ce qui est possible de faire au niveau cul.
J’ai même entendu qu’elles avaient participé à des partouzes avec des couples légitimes, des queutards de première qui aiment bien les bi. Certains hommes poussant même leur femme dans les bras de ces demoiselles pour qu’elles se gouinent sous le regard des maris. Parfois, les maris les baisent, parfois ils se font seulement sucer et même d’autres fois, ils ne font que se branler en regardant, puis déchargent leur foutre sur qui veut bien en prendre sur le corps, les seins, le cul, la chatte.
Je me suis dit qu’un jour, il faudra que je participe à ces petites fêtes.
Je sors des caves dans un piteux état : du foutre dans les cheveux, j’ai enfilé mes habits sans m’essuyer. Il y a donc un peu de sperme qui vient tacher mes vêtements. Heureusement, mes parents travaillent et rentrent plus tard. Ils ne verront donc pas mon état et ne me poseront pas de question sur ce qui m’est arrivé.
Mes parents n’étaient donc pas chez moi, et je n’avais pas les clés. Mais un voisin m’a vu rentrer et a tout de suite compris que je m’étais fait sauter. Mais il ne savait pas comment !
Rappel : je m’appelle Béatrice, j’ai la cinquantaine, mais à l’époque des faits, j’avais tout juste 18 ans.
Après l’épisode « Mon dépucelage », voici « Ma première baise avec deux autres filles ».
Maintenant que je vous ai raconté comment j’ai commencé ma vie sexuelle sur les chapeaux de roues, je vais vous narrer la suite de mes expériences.
Mes copines, à qui j’ai raconté toute l’histoire avec des détails croustillants, m’ont fait part à leur tour de leurs expériences sexuelles. Certaines sont encore plus salopes que moi... et j’ai appris pas mal de choses et d’expressions utilisées : bouffer le cul, bouffer la chatte, tailler une pipe, décharger, la double pénétration que j’avais pratiquée sans savoir comment cela s’appelait, ...
Il y avait environ une semaine que j’avais baisée avec 6 blacks dans les caves de l’immeuble des 4000 lorsque je les ai rencontrés à nouveau. Ils se souvenaient de moi... et pour cause !
Cette fois-ci, ils m’ont dit qu’ils avaient une surprise pour moi et que si je voulais savoir de quoi il s’agissait, je devais les suivre dans les caves.
Le souvenir des caves étant resté dans ma mémoire comme agréable, je me suis dit pourquoi pas, tout en espérant revivre une séance de baise intense.
Je les suivais et nous nous sommes dirigés vers une autre cave que celle dans laquelle j’avais vécu des moments inoubliables quelques jours auparavant.
Nous entrons dans cette autre cave, toujours sans lumière. Cette fois-ci, personne n’a allumé de lumière pour l’instant, mais je ne m’inquiète pas car j’avais vu leurs bites et ils avaient pu voir ma chatte, mes seins et mon cul pour en user et abuser. J’ai donc pensé que nous allions baiser dans le noir.
Le fait est : je sens une main qui passe dans ma culotte après avoir déboutonné mon pantalon et qui ressort trempée en disant : « putain, toujours aussi bonne la petite. Elle aime toujours la bite, alors on va lui en donner ». Puis ils ont explosé de rire...
Celui qui a passé sa main dans mon entre-jambe descend ma culotte et mon pantalon pour finalement me les enlever. Il en profite pour retirer également mon haut. Je suis donc à poils entre six blacks, tous avec leur grosse bite dure et tendue, prêts à me prendre comme une chienne.
Je commence à toucher les bites qui se présentent à moi. J’en sens une qui se place sur ma petite rondelle et je commence à pousser mon bassin en arrière pour me faire enculer par cette grosse queue.
Je sens une bouche se poser sur ma chatte. Apparemment, il y a des adeptes pour bouffer une chatte. Je ne connaissais pas cette douceur, mais je dois reconnaitre que c’est super bon. OK pas autant qu’une bonne bite, certes. Mais quand même. Et puis je me dis que la bite va venir après. Mon bassin ne sait plus de quel côté il doit se pencher : soit vers la bouche pour accentuer le cunni, qui soit dit en passant est un délice, soit vers la bite pour me faire sodomiser (autre terme que mes copines m’ont appris).
Tout compte fait, je me décide à me pencher mon bassin vers l’avant pour me faire « bouffer la chatte », expression utilisée par mes copines pour m’expliquer le cunni.
Je sens la bite de mon pote black se retirer et je me dis que c’est bien dommage car je me serais bien fait enculer et bouffer la chatte en même temps encore un peu.
En fait, je sens une autre bouche qui vient se placer sur ma petite rondelle et qui commence à me titiller le cul, tout ça, en même temps devant et derrière. Ma chatte est trempée, mon cul semble s’ouvrir en même temps. Je me demande si je ne mouille pas du cul aussi, tellement c’est bon.
Je vois une lumière qui s’allume et là, surprise, ce sont deux filles qui me bouffent la chatte et le cul. Mes potes blacks éclatent de rire. Je n’ai jamais eu d’expérience homosexuelle, mais je dois avouer qu’une fois la surprise passée, c’était loin d’être désagréable.
Elles savent y faire, ces deux cochonnes. Je sens mon corps se contracter et une vague de plaisir déferler. Je jouis. Je décharge ma cyprine dans la bouche de cette blonde pulpeuse qui me suce le clito. Elle est aussi à poils et se fait bourrer la chatte pendant qu’elle me suce. Tout cela m’excite au plus haut point. Je tourne la tête et je regarde la jeune femme qui me lèche le cul et cette salope est également à poil. Elle est aussi vachement bien foutue... et quelle lécheuse ! Je sens de temps à autres sa langue qui cherche à rentrer dans mon cul et j’adore ça, alors je relâche mes muscles pour qu’elle puisse me pénétrer.
Mes potes blacks ont désormais 3 salopes à baiser, mais ils sont six. Les deux qui me bouffaient la chatte et le cul sont bi (encore un terme que mes copines m’ont appris).
Elles ont pris avec elles quelques « instruments ». Une fois que le black a bien défoncé le cul de celle qui me bouffe la chatte et qui lui a déchargé dans le cul, mes deux copines s’équipent.
Au départ, je n’ai pas compris tout de suite mais lorsque je les ai vues une fois qu’elles ont fini d’installer leur « matériel » j’ai compris. Elles avaient chacune un gode ceinture avec une bite d’une dimension assez proche de celles de mes amis blacks. Avec un avantage, c’est qu’elles ne débandaient pas... mais un inconvénient, c’est qu’elles ne déchargeaient pas.
Une de ces salopes, la blonde, se couche sur le dos et me demande de venir s’empaler sur cette bite, ce que je fais avec plaisir. Elle m’attire vers elle : nos seins se touchent et mes seins commencent sérieusement à durcir et mes pointes se dresser. Ce qui ne laisse pas indifférente la femme qui est en train de me baiser.
Tout comme les blacks l’avaient fait quelques jours auparavant, une fois collée à elle, mon cul est offert à sa copine qui me mets sa bite en silicone dans l’anus. Se faire défoncer par deux femmes n’est pas déplaisant, mais un des blacks avait décidé d’enculer la deuxième fille qui était en train de me sodomiser. Nous baisions à 4, enfilés les uns dans les autres. Quel pied monumental. Je ne pensais pas que ma chatte allait dégouliner comme ça. Hum. J’ai adoré.
Pendant ce temps-là, les 5 autres blacks se branlaient au-dessus de nous. Lorsque j’ai joui, cela a entrainé la jouissance des deux filles. Le black qui enculait la fille sur moi s’est mis à dire : « ah les salopes, elles vont me faire jouir ces putes. Je suis en train de baiser trois belles salopes qui aiment la bite. Je vais décharger mon foutre au fond de son cul à cette salope. » Il a déchargé son foutre au fond du cul de celle qui me sodomisait et cela a créé un enchainement de jouissances : tous les blacks ont vidé leurs couilles sur nous. On a pris une sacrée douche de foutre. Les salauds avaient les couilles bien pleines, vu ce qu’ils ont déchargé !
Une fois que le black s’est retiré du cul de ma « sodomisatrice » et qu’elle s’est retirée de mon cul, j’ai pu retirer ma chatte du gode ceinture. J’avais les orifices défoncés, mais putain que c’était bon.
J’ai eu l’occasion par la suite de croiser ces deux jeunes femmes dans la cité. Elles sont connues notamment comme des bons coups avec qui on peut baiser sans complexe, en leur demandant tout ce qui est possible de faire au niveau cul.
J’ai même entendu qu’elles avaient participé à des partouzes avec des couples légitimes, des queutards de première qui aiment bien les bi. Certains hommes poussant même leur femme dans les bras de ces demoiselles pour qu’elles se gouinent sous le regard des maris. Parfois, les maris les baisent, parfois ils se font seulement sucer et même d’autres fois, ils ne font que se branler en regardant, puis déchargent leur foutre sur qui veut bien en prendre sur le corps, les seins, le cul, la chatte.
Je me suis dit qu’un jour, il faudra que je participe à ces petites fêtes.
Je sors des caves dans un piteux état : du foutre dans les cheveux, j’ai enfilé mes habits sans m’essuyer. Il y a donc un peu de sperme qui vient tacher mes vêtements. Heureusement, mes parents travaillent et rentrent plus tard. Ils ne verront donc pas mon état et ne me poseront pas de question sur ce qui m’est arrivé.
Mes parents n’étaient donc pas chez moi, et je n’avais pas les clés. Mais un voisin m’a vu rentrer et a tout de suite compris que je m’étais fait sauter. Mais il ne savait pas comment !
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