Ma première expérience avec une fille
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2010 dans la catégorie Pour la première fois
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Ma première expérience avec une fille
Ma première expérience avec une fille
Je n’ai jamais été très attirée par les garçons mais juste la complicité d’un moment câlin où chacun caresse l’autre et en ressent plein de bonnes choses. L’année de mes 16 ans, j étais quand même sortie avec quelques garçons, allant chaque fois un peu plus loin dans la découverte des choses du sexe mais sans jamais recevoir une verge en moi .
Durant l ’année scolaire qui suivait, j’allai à un voyage à Paris avec le lycée. A cause d’une de la maladie d’une fille du groupe, je me retrouvais seule en chambre, à l’hôtel. Cela me convenait bien finalement. Alors que tout le monde chahutait dans les couloirs, je pris un bain tranquillement puis me mis au lit avec un bouquin.
Une accompagnatrice, emploi jeune, passa me voir pour savoir si je ne m ’ennuyai point. C’était une fille toujours souriante mais hyper timide, avec des dents blanches et des yeux envoutants. Ces détails me plurent tout de suite en elle, même si je n’avais pas pour habitude de regarder les autres filles, et encore moins une de plus de 20 ans
On parla, rigola un long moment durant lequel une certaine complicité s’était installée. J’étais bien à ses côtés, et profitais de cette compagnie qui me correspondait si bien. Puis il y eut encore du bruit dans les couloirs et elle est partie faire la police.
A mon grand regret, le temps passait et elle ne revenait pas. J’allai donc me coucher en repensant à cette sublime conversation qui me donnait des frisons de joie. Je dormais presque, lorsque un insecte gratta à ma porte. Je me suis levée, et en ouvrant la porte, le doux visage blond de Patricia apparût.
- Tu ne dors pas, me demanda t elle, puis je m’abriter ici et guetter les fouteurs de merde qui me font tourner en bourrique ?
Après avoir refermé la porte, nous étions toutes les deux l’oreille collée au bois pour écouter les bruits du couloirs. Son souffle était rapide et alors que je m en étonnais elle me dit que son cœur battait à 100 à l heure et me prit la main pour la poser sous son sein gauche, sous son pull. C’est mon cœur à moi qui battait vite à présent. Elle me dit :
- Cela te gène ?
Je secouai la tête de gauche à droite. Elle dit alors :
- Si quelque chose te déplait, dis le moi tout de suite.
- Non c’est bon, lui dis-je.
Elle posa alors ma main sur son sein gauche, et la pressait bien fort afin que je le caresse. Après quelques secondes, ma main n’avait plus besoin d’être guidée et nos bouches se rencontrèrent, alors que sa main me caressait la poitrine à travers ma chemise de nuit. Mes sens étaient en alerte, pleins de frissons me parcouraient et mon bassin avait la bougeotte.
Puis les choses se corsèrent. Patricia parcouru mon corps de ses lèvres de haut en bas puis, alors que je guidais sa tête vers mon plaisir, elle passa sous ma chemise de nuit, fit entrer sa langue au creux de mes cuisses qui ne tardèrent pas à s’ouvrir. Je suffoquais, haletais, gémissait en regardant le plafonds.
J’imaginais que quelqu’un me voyait, avec mes 16 ans et demi, que mes camarades de lycée surnommaient la bonne sœur, car je ne prenais jamais part à leurs discussions sur le sexe, j’étais en train de me faire bouffer le minou, par une emploi jeune, et j adorais cela.
En quelques secondes, la chemise de nuit sauta, et nous nous retrouvions nues toutes les deux sur mon lit. Patricia vint sur moi, m’offrant son entre jambes, en 69, que je léchais goulument et l’ambiance était ponctuée de bruits de léchouilles et de gémissements. Puis elle me fit comprendre arrêter mes caresses et me dit :
- Laisses toi faire, ce soir c’est pour toi, alors fermes les yeux et ouvre toi encore plus.
J’étais allongée sur le dos, les jambes pliées et écartée et Patricia électrocutait tout le corps, en aspirant mon sexe dans sa bouche, pinçant mes pointes de sein et me maintenant le bassin car à chaque décharge je sursautais.
C’était comme si je perdais les pédales, je connaissais mon premier orgasme véritable, celui qui vous fait perdre la tête et le contrôle de vous même. Mon meilleur allié à cet instant fut l’oreiller car il me permit de crier mon plaisir sans retenue.
Au petit matin, je me réveillais dans ses bras, le visage sur sa poitrine que je suçotais avec tendresse afin de la réveiller en douceur. Notre histoire ne dura que 6 mois, je perdis ma virginité avec un accessoire en plastique manié par Patricia avec beaucoup de douceur. Puis nous nous séparâmes pour pleins de raisons, mais à ce jour, je suis une lesbienne authentique, multipliant les expériences et je ne le regrette pas.
Je n’ai jamais été très attirée par les garçons mais juste la complicité d’un moment câlin où chacun caresse l’autre et en ressent plein de bonnes choses. L’année de mes 16 ans, j étais quand même sortie avec quelques garçons, allant chaque fois un peu plus loin dans la découverte des choses du sexe mais sans jamais recevoir une verge en moi .
Durant l ’année scolaire qui suivait, j’allai à un voyage à Paris avec le lycée. A cause d’une de la maladie d’une fille du groupe, je me retrouvais seule en chambre, à l’hôtel. Cela me convenait bien finalement. Alors que tout le monde chahutait dans les couloirs, je pris un bain tranquillement puis me mis au lit avec un bouquin.
Une accompagnatrice, emploi jeune, passa me voir pour savoir si je ne m ’ennuyai point. C’était une fille toujours souriante mais hyper timide, avec des dents blanches et des yeux envoutants. Ces détails me plurent tout de suite en elle, même si je n’avais pas pour habitude de regarder les autres filles, et encore moins une de plus de 20 ans
On parla, rigola un long moment durant lequel une certaine complicité s’était installée. J’étais bien à ses côtés, et profitais de cette compagnie qui me correspondait si bien. Puis il y eut encore du bruit dans les couloirs et elle est partie faire la police.
A mon grand regret, le temps passait et elle ne revenait pas. J’allai donc me coucher en repensant à cette sublime conversation qui me donnait des frisons de joie. Je dormais presque, lorsque un insecte gratta à ma porte. Je me suis levée, et en ouvrant la porte, le doux visage blond de Patricia apparût.
- Tu ne dors pas, me demanda t elle, puis je m’abriter ici et guetter les fouteurs de merde qui me font tourner en bourrique ?
Après avoir refermé la porte, nous étions toutes les deux l’oreille collée au bois pour écouter les bruits du couloirs. Son souffle était rapide et alors que je m en étonnais elle me dit que son cœur battait à 100 à l heure et me prit la main pour la poser sous son sein gauche, sous son pull. C’est mon cœur à moi qui battait vite à présent. Elle me dit :
- Cela te gène ?
Je secouai la tête de gauche à droite. Elle dit alors :
- Si quelque chose te déplait, dis le moi tout de suite.
- Non c’est bon, lui dis-je.
Elle posa alors ma main sur son sein gauche, et la pressait bien fort afin que je le caresse. Après quelques secondes, ma main n’avait plus besoin d’être guidée et nos bouches se rencontrèrent, alors que sa main me caressait la poitrine à travers ma chemise de nuit. Mes sens étaient en alerte, pleins de frissons me parcouraient et mon bassin avait la bougeotte.
Puis les choses se corsèrent. Patricia parcouru mon corps de ses lèvres de haut en bas puis, alors que je guidais sa tête vers mon plaisir, elle passa sous ma chemise de nuit, fit entrer sa langue au creux de mes cuisses qui ne tardèrent pas à s’ouvrir. Je suffoquais, haletais, gémissait en regardant le plafonds.
J’imaginais que quelqu’un me voyait, avec mes 16 ans et demi, que mes camarades de lycée surnommaient la bonne sœur, car je ne prenais jamais part à leurs discussions sur le sexe, j’étais en train de me faire bouffer le minou, par une emploi jeune, et j adorais cela.
En quelques secondes, la chemise de nuit sauta, et nous nous retrouvions nues toutes les deux sur mon lit. Patricia vint sur moi, m’offrant son entre jambes, en 69, que je léchais goulument et l’ambiance était ponctuée de bruits de léchouilles et de gémissements. Puis elle me fit comprendre arrêter mes caresses et me dit :
- Laisses toi faire, ce soir c’est pour toi, alors fermes les yeux et ouvre toi encore plus.
J’étais allongée sur le dos, les jambes pliées et écartée et Patricia électrocutait tout le corps, en aspirant mon sexe dans sa bouche, pinçant mes pointes de sein et me maintenant le bassin car à chaque décharge je sursautais.
C’était comme si je perdais les pédales, je connaissais mon premier orgasme véritable, celui qui vous fait perdre la tête et le contrôle de vous même. Mon meilleur allié à cet instant fut l’oreiller car il me permit de crier mon plaisir sans retenue.
Au petit matin, je me réveillais dans ses bras, le visage sur sa poitrine que je suçotais avec tendresse afin de la réveiller en douceur. Notre histoire ne dura que 6 mois, je perdis ma virginité avec un accessoire en plastique manié par Patricia avec beaucoup de douceur. Puis nous nous séparâmes pour pleins de raisons, mais à ce jour, je suis une lesbienne authentique, multipliant les expériences et je ne le regrette pas.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j´adore
j'adore
vraiment tres excitante je suis convaincu qu etre une femme je serais moi aussi
lesbienne
lesbienne
Bien continer comme ca
c'est super tendre, un peu la rosée du matin de printemps...........
ça change agréablement de la vulgarité habituelle
ça change agréablement de la vulgarité habituelle
J'aime bien, c'est bien raconté il manque peut etre un chouia de détails^^
pas mal , mais manque description
Pourquoi ne pas avoir été si loin avec cette monitrice, pourquoi l'avoir laissé tombe,
raconte la suite de tes aventures lesbiennes en détail
raconte la suite de tes aventures lesbiennes en détail