Ma première expérience bisex avec un copain
Récit érotique écrit par Skarr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma première expérience bisex avec un copain
J'ai 29 ans, je suis bisexuel. Je viens régulièrement sur ce site pour lire des histoires qui m'excitent beaucoup, et c'est pourquoi j'ai eu envie de partager avec vous ma première fois avec un garçon.
Ça c'est passé peu de temps après mes dix-huit ans ; je venais de commencer ma première année de pharmacie à Tours, juste après mon bac à Vendôme. Le lycée n'avait pas été particulièrement facile, cumulant le double handicap d'être (très) bon en classe et très nul en sport ; ma physionomie allait avec, 52 kg pour 1,74 m, j'étais vraiment très sec. Avec les filles je n'avais pas eu d'expérience autre qu'un minimum de flirt en soirée (j'étais à l'époque maladivement timide, et secrètement amoureux d'une belle brune à la poitrine opulente) ; je n'étais pas consciemment attiré par les garçons, même s'il m'arrivait de visualiser les corps de mes camarades, vus dans les vestiaires pendant les cours d'EPS, lors de mes séances (quotidiennes) de plaisir solitaire.
Revenons à Tours : je louais un studio en centre-ville, donc éloigné de la fac de pharma, mais j'avais l'avantage d'être plus près de la gare et des commerces, et de pouvoir sortir un peu le soir. J'avais parmi mes camarades de première année Julien, qui était dans la même classe que moi en terminale ; il n'était alors pas dans mon premier cercle d'amis, mais le fait de nous retrouver en territoire inconnu nous a poussé à serrer les rangs, et il est rapidement devenu mon meilleur pote (et un peu le seul en ce début d'année universitaire). Physiquement, Julien était châtain clair, un peu plus grand que moi, mais moins d'1,80 m ; par contre bien plus baraqué : adepte de la musculation, il prenait régulièrement la pose dans les vestiaires lorsque nous étions au lycée pour nous montrer ses pectoraux bien définis, il baissait la ceinture de son caleçon pour que l'on voie sa ceinture d'Apollon, et avait même été jusqu'à faire le « full monthy » lors d'une incursion des filles dans notre vestiaire... il avait donc naturellement rejoint la liste imaginaire de mes amis masturbatoires.
Julien et moi avions rapidement pris l'habitude de réviser ensemble l'après-midi, plus souvent chez moi car mon appartement était plus grand, et je l'invitais régulièrement à manger le soir car il me faisait un peu pitié à ne manger que des conserves. Lors de nos révisions, Julien s'allongeait sur mon lit, qu'il trouvait très confortable (il m'avait même dit que mon lit était idéal pour baiser – mais je n'avais pas saisi l'allusion à ce moment-là), et quasiment à chaque fois déboutonnait son jean « pour être à l'aise ». Il nous arrivait régulièrement de discuter d'autres sujets plus passionnants que nos acides aminés et autres joies de la chimie organique, et aussi parlions nous souvent de nos copains du lycée, que je ne voyais plus guère. Julien, de son côté, était beaucoup mieux informé que moi, et connaissait notamment toutes les histoires de coucherie ; il m'a d'ailleurs appris ce jour-là que Claire, la brune dont j'étais éperdument mais secrètement amoureux, avait déjà quelques heures de vol, et qu'elle venait de se faire larguer méchamment dans un bar à Orléans (où elle était en fac de bio). A ma mine peu réjouie, il a compris que j'avais quelque intérêt pour la demoiselle :« Pardon, je ne savais pas que tu étais amoureux d'elle...
– Ben si...
– C'est-à-dire, je ne pensais pas que... tu sais, les filles...
– Quoi ? Tu pensais que j'étais gay ?
– Euh non mais, vu que tu traînais tout le temps avec Olivier... »Olivier était un de mes meilleurs amis au lycée, on était dans la même classe depuis la sixième, et on avait établi un système de « collaboration » très efficace, de la physique au latin... mais je ne voyais pas le rapport« Ben quoi Olivier ?
– Et bien Olivier, il l'est, gay !
– Quoi ? Mais non, il est avec Sarah !
– Bon ben alors il est bi...
– Mais d'où tu sors ça ?
– Euh... j'ai couché avec lui ! – C'est que toi tu l'es, gay ?
– Euh... oui... enfin, bi ! Tu ne le savais pas ? Pourtant pas mal de monde le sait à Vendôme »
Sur le coup je n'ai pas trop su quoi dire, et si spontanément j'avais eu un mouvement de recul, je ne voulais pas perdre mon ami... sans compter qu'il avait éveillé ma curiosité ! Je lui demandai plus de détails, et Julien m'a alors raconté comment il s'était retrouvé à une soirée organisée par une fille du lycée, avec un Olivier (célibataire à l'époque) assez alcoolisé qu'il avait proposé de raccompagner chez lui (à pied), vers quatre heures du matin. En chemin, Olivier lui avait fait tout un discours sur « les filles c'est nul, elles te chauffent et rien après... » avant de se tourner vers lui et de lui agripper le paquet « alors que les mecs, on peut compter sur eux ». Julien ne s'était pas fait prier, et avait entraîné Olivier dans un petit parc à proximité, où il lui avait fait une fellation d'enfer avant de se faire prendre appuyé contre un marronnier... En me racontant tout ça, Julien affichait un grand sourire ; il enchaîna sur ses parties de touche-pipi avec Frédéric lorsqu'ils étaient en seconde, et la fois où Jérémie l'avait sucé après avoir perdu (ou gagné?) à action-vérité (lors d'un week-end camping où je n'avais pas pu venir).
J'étais proprement hébété : « Alors là, je n'aurais jamais cru ça d'eux... »Julien rigolait doucement : « Et si... c'était le bon temps ! Rien que d'en parler, je suis tout émoustillé ! » Et en effet, je pouvais voir, à la protrusion de son caleçon qui dépassait de la braguette ouverte de son jean, qu'il était même carrément excité.
« Et apparemment je ne suis pas le seul ! » Effectivement son récit m'avait donné une érection, mais à le voir là, allongé sur mon lit, relevé sur les coudes, les jambes écartées, et sa queue qui emmenait son caleçon par sa braguette ouverte, j'avais développé une gaule puissante, franchement à l'étroit dans mon jean. Je ne savais plus quoi dire, confit de timidité, aussi je restai assis à mon bureau à le regarder, sans savoir quoi faire. Julien ne me laissa pas le temps de réfléchir : il s'assit au bord du lit et tendit la main pour me palper la queue à travers mon jean. « On t'a déjà fait ça ? » Je secouai la tête pour dire que non. Julien accentua la pression sur ma queue, et commença des petits mouvements circulaires. J'étais de plus en plus excité, le rouge me montait aux joues, et sans réfléchir je tendis la main et touchais sa bite à travers son caleçon qui dépassait de sa braguette. Julien me sourit, me fit pivoter sur ma chaise pour que je sois face à lui, il écarta un peu plus mes jambes et commença à carrément me pétrir le sexe. De mon côté j'empoignais sa queue et commençais à le masturber en tirant dessus ; sa queue me semblait plus fine que la mienne, du coup ça rendait la chose plus excitante encore. Au bout de quelques minutes de ce régime, nous étions franchement à l'étroit dans nos fringues, alors je retirai ma chemise et déboutonnai mon jean, pendant que Julien ôtait son tee-shirt, révélant ainsi ses pectoraux bien définis et ses abdos. Il prit en main ma queue à travers mon boxer, et commença à passer son autre main sur mon torse ; je regardais sa main effleurer mes tétons, m'envoyant des frissons, et je voyais mon torse se couvrir de rougeurs, signe de mon excitation intense. Je m'attelai à lui faire pareil, et tout en continuant à le masturber lentement à travers son caleçon, je promenai mes doigts sur ses pectoraux et ses abdos, avant de remonter vers son cou. Julien prit alors ma main droite et la guida dans son caleçon, descendant un peu son jean pour me faciliter la tâche ; j'empoignai son manche, aussi doux que le mien, et sa main guidait la mienne pendant que je le masturbais doucement. Il sortit alors sa queue de son caleçon et s'allongea, les jambes pendantes au bord du lit, les deux mains sous la tête, me laissant m'occuper de lui ; suivant le mouvement, je m'étais rapproché, et me trouvais alors agenouillé entre ses jambes, surplombant sa queue, effectivement plus fine que la mienne, peut-être un peu plus longue (donc environ 17 cm) ; j'étais par ailleurs étonné de voir à quel point ses poils pubiens étaient noirs, alors qu'il avait les cheveux presque blonds. Je continuai à le masturber, un peu plus vite, puis j'alternai avec des passages plus lents où je pétrissais son gland avec mon pouce ; voyant que le mouvement était moins aisé, je crachai dans ma main pour lubrifier un peu.
Cela dut lui donner une idée, car Julien se releva sur un coude pour attraper ma nuque et rapprocher mon visage de sa bite. Je compris le message sans plus d'explication, et sans hésitation je pris son membre en bouche. D'abord le gland, et après m'être habitué à ce morceau de chair dans ma bouche, au goût assez indescriptible sur le coup, je commençai à le faire rouler avec ma langue. Julien avait l'air d'apprécier, et soupirais de plus en plus lourdement. Je lâchai son gland pour embrasser et lécher toute sa tige, avant de le reprendre en bouche, tout en continuant à le masturber doucement, pendant que mon autre main caressait son torse et son cou. J'essayais de faire descendre ma bouche sur sa queue, mais je préférais ne pas aller trop loin, la nausée guettant, et je me contentais de sucer son gland que ma langue explorait sous toutes les coutures, pendant que Julien se mettait à onduler du bassin en augmentant progressivement la cadence.
Puis Julien m'interrompit, et me fit me lever. Il se débarrassa de son jean et de son caleçon qui étaient descendus à mi-cuisse, et finit de me déshabiller, s'agenouillant devant moi pour faire passer mon pantalon et mon boxer. Puis ses mains empoignèrent mes fesses, et il engloutit ma queue tendue devant lui. La chaleur de sa bouche était complètement différente de ce que j'avais pu imaginer, et sous l'effet de la surprise je poussai un petit cri ; cela dut l'encourager, car Julien entreprit alors des mouvements de va et vient avec sa bouche, changeant la pression qu'il appliquait sur ma bite. Je l'accompagnai avec des mouvements de bassin et en appuyant sur sa nuque avec mes deux mains, et il se synchronisa sur moi, tout en continuant de me masser les fesses, ce qui décupla les sensations. Sentant la jouissance proche, je lui fis signe, et il me fit m'allonger sur le lit, où il continua de me sucer tout en me masturbant, jusqu'à ce que j'éjacule puissamment, plusieurs jets filant jusqu'en dans mon cou, en criant des « Oh putain ! »
J'étais allongé sur le dos, reprenant mon souffle, Julien à genou sur le lit entre mes jambes écartées. Il s'allongea sur moi, je sentais mon sperme sur mon ventre et mon torse qui nous collaient ensemble, et il m'embrassa, d'abord sur les lèvres, puis une vraie pelle qui me laissa à bout de souffle – la première fois que j'embrassais un mec. Puis il me chuchota à l'oreille : « Tu me fais confiance ? » J'acquiesçai, et me laissai faire, totalement passif. Julien se redressa, se remit à genoux entre mes jambes, et prit ma jambe gauche qu'il mit sur son épaule. Il prit un oreiller plié en deux pour caler mon bassin, puis commença à recueillir mon sperme pour l'appliquer sur mon anus exposé ; la fraîcheur du sperme refroidi me faisait frissonner, mais pas autant que le frôlement de ses doigts sur ma rondelle. Quand il eut rassemblé dans ma raie tout ce dont il avait besoin, Julien entreprit de me pénétrer avec un doigt, très progressivement, lubrifiant mon cul avec mon sperme au fur et à mesure. Je sentais son doigt progresser doucement, faire quelques va et vient qui me brûlaient un peu, puis repartir à la conquête de ma profondeur, me donnant des sensations étranges.
Finalement il parvint à passer le sphincter, et son doigt palpa ma prostate, déclenchant une vague de frissons et de plaisir. Sans s'attarder pour le moment, Julien reprit les va et vient, de plus en plus rapides, jusqu'à ce que le mouvement ne déclenche presque plus la sensation de brûlure. Puis il introduisit un deuxième doigt, tout en continuant à utiliser mon sperme comme lubrifiant ; la progression fut un peu plus rapide en profondeur, mais la douleur lors des mouvements ne passait pas beaucoup, jusqu'à ce que Julien reprenne ma bite de sa main gauche. Pour introduire le troisième doigt, il n'y avait plus assez de mon sperme, et Julien dut se pencher pour laisser couler de longs filets de salive sur mon anus. Je ressentais un plaisir complètement inconnu jusqu'ici, ainsi écartelé, avec une main qui me masturbait et une autre qui me pénétrait... Je regardais Julien, je voyais sa bite tendue juste à hauteur de mon trou, et je la désirais en moi... Je lui dis alors : « Vas-y... Prends moi ! »
Je tendis la main vers le tiroir de la table de nuit, en sortit un préservatif d'une boîte achetée « au cas où » (mais je n'aurais jamais imaginé que ma première fois se passe ainsi, et surtout pas avec un mec) et le lui tendis. Julien déroula la capote sur sa queue, puis me demanda si j'avais du gel lubrifiant. Euh... non. Il recommença donc à laisser couler sa salive sur mon anus, faisant passer un doigt à l'intérieur qui coulissait maintenant sans problème, tira sur ma cuisse qui était sur son épaule pour me rapprocher de lui, et de sa main gauche maintint sa queue pendant qu'il me pénétrait. Il resta bloqué presque au début, et appuya donc de plus en plus. Je ressentais une gêne croissante qui devint rapidement une douleur, mais lorsque mon sphincter céda et que sa bite plongea en moi, je ne pus retenir un cri. Il resta un moment en moi, le temps que je reprenne mon souffle, puis commença à se retirer doucement, déclenchant une douleur comme une brûlure, avant de replonger plus profondément encore, m'arrachant de nouveau un cri. Au fur et à mesure les va et vient se firent plus aisés, et comme Julien avait repris ma queue de sa main gauche pour me masturber, la douleur résiduelle se mélangeait au plaisir pour le rendre plus intense.
Au bout de quelques minutes, il se retira de moi, et me fit me mettre à genoux, penché en avant jusqu'à ce que ma tête touche le matelas. Il se positionna derrière moi, et je sentis sa salive couler de nouveau entre mes fesses, mais cette fois-ci j'eus la surprise de la sentir couler à l'intérieur de mon anus ; un doigt me confirma que ma rondelle était grande ouverte, ce qui me fit un petit peu peur mais qui m'excita aussi beaucoup. Julien guida sa bite dans mon anus, puis ses deux mains empoignèrent mes hanches, et il me pénétra profondément, avant d'entamer des mouvements de va et vient de plus en plus rapides. J'étouffai mes cris en mordant l'oreiller, la sensation de brûlure était intense, mais mon plaisir encore plus grand. Je sentais ses couilles qui tapaient contre les miennes à chaque mouvement, et ça m'excitait encore plus. Je sentais mes muscles internes se contracter tout seuls sur la bite de Julien à l'intérieur de moi, et j'éjaculai de nouveau. Peu de temps après Julien arrêta ses mouvements rapides, se retira de mon cul, me retourna sur le dos, ôta sa capote et éjacula sur mon ventre, avant de s'effondrer sur moi. Nous nous embrassâmes à pleine bouche puis nous restâmes quelques instants l'un à côté de l'autre.
Après avoir repris mon souffle, je m'assis au bord du lit, ressentant au passage une douleur au fondement, mais surtout une gêne, un sentiment bizarre de ne pas savoir quoi faire. Julien me demanda s'il pouvait prendre une douche, et pendant qu'il était dans la salle de bains je me rhabillai après avoir retiré ce que je pouvais du sperme répandu sur moi au moyen de plusieurs kleenex. Je refis également le lit, cachant ainsi les giclées de foutre maculant mes draps. Quand Julien revint de la salle de bains, il s'habilla, un peu gêné lui aussi, et me dit qu'il préférait rentrer chez lui maintenant. En passant la porte, il se retourna et me demanda : « Pas de regrets ? » Je le regardai dans les yeux et répondis sincèrement : « Non. » Et nous échangeâmes un sourire.
Le lendemain matin dans l'amphi, l'atmosphère était encore un peu bizarre, mais cela s'est dissipé rapidement. Par la suite nous avons continué à coucher ensemble occasionnellement, jusqu'à ce que Julien se trouve une copine régulière. De mon côté j'ai rencontré plusieurs personnes, garçons et filles, et je suis maintenant en couple avec une jolie rousse avec qui tout se passe très bien. Mais il m'arrive encore souvent de me masturber en me repassant le film de ma première fois avec Julien.
Ça c'est passé peu de temps après mes dix-huit ans ; je venais de commencer ma première année de pharmacie à Tours, juste après mon bac à Vendôme. Le lycée n'avait pas été particulièrement facile, cumulant le double handicap d'être (très) bon en classe et très nul en sport ; ma physionomie allait avec, 52 kg pour 1,74 m, j'étais vraiment très sec. Avec les filles je n'avais pas eu d'expérience autre qu'un minimum de flirt en soirée (j'étais à l'époque maladivement timide, et secrètement amoureux d'une belle brune à la poitrine opulente) ; je n'étais pas consciemment attiré par les garçons, même s'il m'arrivait de visualiser les corps de mes camarades, vus dans les vestiaires pendant les cours d'EPS, lors de mes séances (quotidiennes) de plaisir solitaire.
Revenons à Tours : je louais un studio en centre-ville, donc éloigné de la fac de pharma, mais j'avais l'avantage d'être plus près de la gare et des commerces, et de pouvoir sortir un peu le soir. J'avais parmi mes camarades de première année Julien, qui était dans la même classe que moi en terminale ; il n'était alors pas dans mon premier cercle d'amis, mais le fait de nous retrouver en territoire inconnu nous a poussé à serrer les rangs, et il est rapidement devenu mon meilleur pote (et un peu le seul en ce début d'année universitaire). Physiquement, Julien était châtain clair, un peu plus grand que moi, mais moins d'1,80 m ; par contre bien plus baraqué : adepte de la musculation, il prenait régulièrement la pose dans les vestiaires lorsque nous étions au lycée pour nous montrer ses pectoraux bien définis, il baissait la ceinture de son caleçon pour que l'on voie sa ceinture d'Apollon, et avait même été jusqu'à faire le « full monthy » lors d'une incursion des filles dans notre vestiaire... il avait donc naturellement rejoint la liste imaginaire de mes amis masturbatoires.
Julien et moi avions rapidement pris l'habitude de réviser ensemble l'après-midi, plus souvent chez moi car mon appartement était plus grand, et je l'invitais régulièrement à manger le soir car il me faisait un peu pitié à ne manger que des conserves. Lors de nos révisions, Julien s'allongeait sur mon lit, qu'il trouvait très confortable (il m'avait même dit que mon lit était idéal pour baiser – mais je n'avais pas saisi l'allusion à ce moment-là), et quasiment à chaque fois déboutonnait son jean « pour être à l'aise ». Il nous arrivait régulièrement de discuter d'autres sujets plus passionnants que nos acides aminés et autres joies de la chimie organique, et aussi parlions nous souvent de nos copains du lycée, que je ne voyais plus guère. Julien, de son côté, était beaucoup mieux informé que moi, et connaissait notamment toutes les histoires de coucherie ; il m'a d'ailleurs appris ce jour-là que Claire, la brune dont j'étais éperdument mais secrètement amoureux, avait déjà quelques heures de vol, et qu'elle venait de se faire larguer méchamment dans un bar à Orléans (où elle était en fac de bio). A ma mine peu réjouie, il a compris que j'avais quelque intérêt pour la demoiselle :« Pardon, je ne savais pas que tu étais amoureux d'elle...
– Ben si...
– C'est-à-dire, je ne pensais pas que... tu sais, les filles...
– Quoi ? Tu pensais que j'étais gay ?
– Euh non mais, vu que tu traînais tout le temps avec Olivier... »Olivier était un de mes meilleurs amis au lycée, on était dans la même classe depuis la sixième, et on avait établi un système de « collaboration » très efficace, de la physique au latin... mais je ne voyais pas le rapport« Ben quoi Olivier ?
– Et bien Olivier, il l'est, gay !
– Quoi ? Mais non, il est avec Sarah !
– Bon ben alors il est bi...
– Mais d'où tu sors ça ?
– Euh... j'ai couché avec lui ! – C'est que toi tu l'es, gay ?
– Euh... oui... enfin, bi ! Tu ne le savais pas ? Pourtant pas mal de monde le sait à Vendôme »
Sur le coup je n'ai pas trop su quoi dire, et si spontanément j'avais eu un mouvement de recul, je ne voulais pas perdre mon ami... sans compter qu'il avait éveillé ma curiosité ! Je lui demandai plus de détails, et Julien m'a alors raconté comment il s'était retrouvé à une soirée organisée par une fille du lycée, avec un Olivier (célibataire à l'époque) assez alcoolisé qu'il avait proposé de raccompagner chez lui (à pied), vers quatre heures du matin. En chemin, Olivier lui avait fait tout un discours sur « les filles c'est nul, elles te chauffent et rien après... » avant de se tourner vers lui et de lui agripper le paquet « alors que les mecs, on peut compter sur eux ». Julien ne s'était pas fait prier, et avait entraîné Olivier dans un petit parc à proximité, où il lui avait fait une fellation d'enfer avant de se faire prendre appuyé contre un marronnier... En me racontant tout ça, Julien affichait un grand sourire ; il enchaîna sur ses parties de touche-pipi avec Frédéric lorsqu'ils étaient en seconde, et la fois où Jérémie l'avait sucé après avoir perdu (ou gagné?) à action-vérité (lors d'un week-end camping où je n'avais pas pu venir).
J'étais proprement hébété : « Alors là, je n'aurais jamais cru ça d'eux... »Julien rigolait doucement : « Et si... c'était le bon temps ! Rien que d'en parler, je suis tout émoustillé ! » Et en effet, je pouvais voir, à la protrusion de son caleçon qui dépassait de la braguette ouverte de son jean, qu'il était même carrément excité.
« Et apparemment je ne suis pas le seul ! » Effectivement son récit m'avait donné une érection, mais à le voir là, allongé sur mon lit, relevé sur les coudes, les jambes écartées, et sa queue qui emmenait son caleçon par sa braguette ouverte, j'avais développé une gaule puissante, franchement à l'étroit dans mon jean. Je ne savais plus quoi dire, confit de timidité, aussi je restai assis à mon bureau à le regarder, sans savoir quoi faire. Julien ne me laissa pas le temps de réfléchir : il s'assit au bord du lit et tendit la main pour me palper la queue à travers mon jean. « On t'a déjà fait ça ? » Je secouai la tête pour dire que non. Julien accentua la pression sur ma queue, et commença des petits mouvements circulaires. J'étais de plus en plus excité, le rouge me montait aux joues, et sans réfléchir je tendis la main et touchais sa bite à travers son caleçon qui dépassait de sa braguette. Julien me sourit, me fit pivoter sur ma chaise pour que je sois face à lui, il écarta un peu plus mes jambes et commença à carrément me pétrir le sexe. De mon côté j'empoignais sa queue et commençais à le masturber en tirant dessus ; sa queue me semblait plus fine que la mienne, du coup ça rendait la chose plus excitante encore. Au bout de quelques minutes de ce régime, nous étions franchement à l'étroit dans nos fringues, alors je retirai ma chemise et déboutonnai mon jean, pendant que Julien ôtait son tee-shirt, révélant ainsi ses pectoraux bien définis et ses abdos. Il prit en main ma queue à travers mon boxer, et commença à passer son autre main sur mon torse ; je regardais sa main effleurer mes tétons, m'envoyant des frissons, et je voyais mon torse se couvrir de rougeurs, signe de mon excitation intense. Je m'attelai à lui faire pareil, et tout en continuant à le masturber lentement à travers son caleçon, je promenai mes doigts sur ses pectoraux et ses abdos, avant de remonter vers son cou. Julien prit alors ma main droite et la guida dans son caleçon, descendant un peu son jean pour me faciliter la tâche ; j'empoignai son manche, aussi doux que le mien, et sa main guidait la mienne pendant que je le masturbais doucement. Il sortit alors sa queue de son caleçon et s'allongea, les jambes pendantes au bord du lit, les deux mains sous la tête, me laissant m'occuper de lui ; suivant le mouvement, je m'étais rapproché, et me trouvais alors agenouillé entre ses jambes, surplombant sa queue, effectivement plus fine que la mienne, peut-être un peu plus longue (donc environ 17 cm) ; j'étais par ailleurs étonné de voir à quel point ses poils pubiens étaient noirs, alors qu'il avait les cheveux presque blonds. Je continuai à le masturber, un peu plus vite, puis j'alternai avec des passages plus lents où je pétrissais son gland avec mon pouce ; voyant que le mouvement était moins aisé, je crachai dans ma main pour lubrifier un peu.
Cela dut lui donner une idée, car Julien se releva sur un coude pour attraper ma nuque et rapprocher mon visage de sa bite. Je compris le message sans plus d'explication, et sans hésitation je pris son membre en bouche. D'abord le gland, et après m'être habitué à ce morceau de chair dans ma bouche, au goût assez indescriptible sur le coup, je commençai à le faire rouler avec ma langue. Julien avait l'air d'apprécier, et soupirais de plus en plus lourdement. Je lâchai son gland pour embrasser et lécher toute sa tige, avant de le reprendre en bouche, tout en continuant à le masturber doucement, pendant que mon autre main caressait son torse et son cou. J'essayais de faire descendre ma bouche sur sa queue, mais je préférais ne pas aller trop loin, la nausée guettant, et je me contentais de sucer son gland que ma langue explorait sous toutes les coutures, pendant que Julien se mettait à onduler du bassin en augmentant progressivement la cadence.
Puis Julien m'interrompit, et me fit me lever. Il se débarrassa de son jean et de son caleçon qui étaient descendus à mi-cuisse, et finit de me déshabiller, s'agenouillant devant moi pour faire passer mon pantalon et mon boxer. Puis ses mains empoignèrent mes fesses, et il engloutit ma queue tendue devant lui. La chaleur de sa bouche était complètement différente de ce que j'avais pu imaginer, et sous l'effet de la surprise je poussai un petit cri ; cela dut l'encourager, car Julien entreprit alors des mouvements de va et vient avec sa bouche, changeant la pression qu'il appliquait sur ma bite. Je l'accompagnai avec des mouvements de bassin et en appuyant sur sa nuque avec mes deux mains, et il se synchronisa sur moi, tout en continuant de me masser les fesses, ce qui décupla les sensations. Sentant la jouissance proche, je lui fis signe, et il me fit m'allonger sur le lit, où il continua de me sucer tout en me masturbant, jusqu'à ce que j'éjacule puissamment, plusieurs jets filant jusqu'en dans mon cou, en criant des « Oh putain ! »
J'étais allongé sur le dos, reprenant mon souffle, Julien à genou sur le lit entre mes jambes écartées. Il s'allongea sur moi, je sentais mon sperme sur mon ventre et mon torse qui nous collaient ensemble, et il m'embrassa, d'abord sur les lèvres, puis une vraie pelle qui me laissa à bout de souffle – la première fois que j'embrassais un mec. Puis il me chuchota à l'oreille : « Tu me fais confiance ? » J'acquiesçai, et me laissai faire, totalement passif. Julien se redressa, se remit à genoux entre mes jambes, et prit ma jambe gauche qu'il mit sur son épaule. Il prit un oreiller plié en deux pour caler mon bassin, puis commença à recueillir mon sperme pour l'appliquer sur mon anus exposé ; la fraîcheur du sperme refroidi me faisait frissonner, mais pas autant que le frôlement de ses doigts sur ma rondelle. Quand il eut rassemblé dans ma raie tout ce dont il avait besoin, Julien entreprit de me pénétrer avec un doigt, très progressivement, lubrifiant mon cul avec mon sperme au fur et à mesure. Je sentais son doigt progresser doucement, faire quelques va et vient qui me brûlaient un peu, puis repartir à la conquête de ma profondeur, me donnant des sensations étranges.
Finalement il parvint à passer le sphincter, et son doigt palpa ma prostate, déclenchant une vague de frissons et de plaisir. Sans s'attarder pour le moment, Julien reprit les va et vient, de plus en plus rapides, jusqu'à ce que le mouvement ne déclenche presque plus la sensation de brûlure. Puis il introduisit un deuxième doigt, tout en continuant à utiliser mon sperme comme lubrifiant ; la progression fut un peu plus rapide en profondeur, mais la douleur lors des mouvements ne passait pas beaucoup, jusqu'à ce que Julien reprenne ma bite de sa main gauche. Pour introduire le troisième doigt, il n'y avait plus assez de mon sperme, et Julien dut se pencher pour laisser couler de longs filets de salive sur mon anus. Je ressentais un plaisir complètement inconnu jusqu'ici, ainsi écartelé, avec une main qui me masturbait et une autre qui me pénétrait... Je regardais Julien, je voyais sa bite tendue juste à hauteur de mon trou, et je la désirais en moi... Je lui dis alors : « Vas-y... Prends moi ! »
Je tendis la main vers le tiroir de la table de nuit, en sortit un préservatif d'une boîte achetée « au cas où » (mais je n'aurais jamais imaginé que ma première fois se passe ainsi, et surtout pas avec un mec) et le lui tendis. Julien déroula la capote sur sa queue, puis me demanda si j'avais du gel lubrifiant. Euh... non. Il recommença donc à laisser couler sa salive sur mon anus, faisant passer un doigt à l'intérieur qui coulissait maintenant sans problème, tira sur ma cuisse qui était sur son épaule pour me rapprocher de lui, et de sa main gauche maintint sa queue pendant qu'il me pénétrait. Il resta bloqué presque au début, et appuya donc de plus en plus. Je ressentais une gêne croissante qui devint rapidement une douleur, mais lorsque mon sphincter céda et que sa bite plongea en moi, je ne pus retenir un cri. Il resta un moment en moi, le temps que je reprenne mon souffle, puis commença à se retirer doucement, déclenchant une douleur comme une brûlure, avant de replonger plus profondément encore, m'arrachant de nouveau un cri. Au fur et à mesure les va et vient se firent plus aisés, et comme Julien avait repris ma queue de sa main gauche pour me masturber, la douleur résiduelle se mélangeait au plaisir pour le rendre plus intense.
Au bout de quelques minutes, il se retira de moi, et me fit me mettre à genoux, penché en avant jusqu'à ce que ma tête touche le matelas. Il se positionna derrière moi, et je sentis sa salive couler de nouveau entre mes fesses, mais cette fois-ci j'eus la surprise de la sentir couler à l'intérieur de mon anus ; un doigt me confirma que ma rondelle était grande ouverte, ce qui me fit un petit peu peur mais qui m'excita aussi beaucoup. Julien guida sa bite dans mon anus, puis ses deux mains empoignèrent mes hanches, et il me pénétra profondément, avant d'entamer des mouvements de va et vient de plus en plus rapides. J'étouffai mes cris en mordant l'oreiller, la sensation de brûlure était intense, mais mon plaisir encore plus grand. Je sentais ses couilles qui tapaient contre les miennes à chaque mouvement, et ça m'excitait encore plus. Je sentais mes muscles internes se contracter tout seuls sur la bite de Julien à l'intérieur de moi, et j'éjaculai de nouveau. Peu de temps après Julien arrêta ses mouvements rapides, se retira de mon cul, me retourna sur le dos, ôta sa capote et éjacula sur mon ventre, avant de s'effondrer sur moi. Nous nous embrassâmes à pleine bouche puis nous restâmes quelques instants l'un à côté de l'autre.
Après avoir repris mon souffle, je m'assis au bord du lit, ressentant au passage une douleur au fondement, mais surtout une gêne, un sentiment bizarre de ne pas savoir quoi faire. Julien me demanda s'il pouvait prendre une douche, et pendant qu'il était dans la salle de bains je me rhabillai après avoir retiré ce que je pouvais du sperme répandu sur moi au moyen de plusieurs kleenex. Je refis également le lit, cachant ainsi les giclées de foutre maculant mes draps. Quand Julien revint de la salle de bains, il s'habilla, un peu gêné lui aussi, et me dit qu'il préférait rentrer chez lui maintenant. En passant la porte, il se retourna et me demanda : « Pas de regrets ? » Je le regardai dans les yeux et répondis sincèrement : « Non. » Et nous échangeâmes un sourire.
Le lendemain matin dans l'amphi, l'atmosphère était encore un peu bizarre, mais cela s'est dissipé rapidement. Par la suite nous avons continué à coucher ensemble occasionnellement, jusqu'à ce que Julien se trouve une copine régulière. De mon côté j'ai rencontré plusieurs personnes, garçons et filles, et je suis maintenant en couple avec une jolie rousse avec qui tout se passe très bien. Mais il m'arrive encore souvent de me masturber en me repassant le film de ma première fois avec Julien.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mmmm quel pied
Histoire bien écrite, qui monte crescendo.
J'adorerais ça, une belle queue à sucer et de me faire prendre. Quelle chance !
Histoire bien écrite, qui monte crescendo.
J'adorerais ça, une belle queue à sucer et de me faire prendre. Quelle chance !