Ma première mature
Récit érotique écrit par David3 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2007 dans la catégorie Plus on est
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Ma première mature
Ma première matureJe m'appelle David, j'ai 28 ans et je suis acccro du sexe. Célibataire mais rarement seul, j'ai une profession qui m'offre, outre le luxe de bien gagner ma vie, l'avantage de renconter de nombreuses femmes. Plus qu'un jeu aujourd'hui, j'avoue humblement que séduire les femmes mariées est un challenge que j'aime relevé et que ces dernières ont ma préférence.
Je ne dirais pas que toutes les femmes sont infidèles ( comme nous...) mais mes conquêtes me font dire que si les plus jeunes cèdent plus facilement, celles qui ont du vécu y mettent plus d'enthousiasme.
Il y a 1 an, j'ai rencontré Sylvie. Elle avait la quarantaine et les portait bien. Brune, le teint légèrement hâlé, une belle poitrine, une allure de femme entretenue. Elle était bien sûr mariée et deux enfants.
Récemment embauchée j'avais eu la charge de lui expliquer les rouages de la société et de lui présenter la clientèle du secteur commercial que nous allions nous partager. A force d'être avec elle, la tentation s'est faite jour et j'ai commencé à m'intéresser à elle.
J'étais très attentionné, l'aidait dans ses dossiers, lui présentait les meilleurs clients ect....Avec le temps, nous sommes devenus plus complices. Elle m'a confié ses soucis, m'a parlé de sa famille, de ses enfants étudiants et bien sûr de son mari.
Mariée depuis 20 ans, un mari gentif, une bonne situation etc...mais elle s'ennuyait. Ce pour quoi, elle avait voulu retravailler. Elle était motivée, je le constatais. Elle me plaisait bien, et un jour je lui dis. Elle rougit mais ne dit rien.
J'avais peu d'espoir en sa conquête pourtant malgré les apparences, c'est au bout d'un petit mois qu'elle a craqué et que j'ai connu une aventure inespérée.
Un midi, nous repartions après le déjeuner pour la tournée de la clientèle lorsque dans la voiture, j'ai tenté le coup. Nous étions en pleine campagne et profitant d'un arrêt pour chercher notre itinéraire, j'ai d'abord posé ma main sur sa cuisse puis je me suis penché pour l'embrasser.
Au début, je n'étais sûr de rien et je m'attendais à un refus de sa part mais lorsque j'ai vu qu'elle résistait mollement et qu''elle ne réagissait pas brutalement au contact de ma main sur sa cuisse j'ai compris que c'était bon. Nous avons échangé un long baiser. J'aimais l'odeur de son parfum et de sentit sous mes doigts les courbes de cette femme mûre m'excitait au plus au point.
J'ai trouvé un petit coin discret et très vite, elle s'est laissée aller. Elle n'avait jamais trompé son mari (soit disant ..et je veux bien le croire) mais elle était chaude. Une vraie fontaine. J'avais ouvert son chemisier, et sous mes doigts je sentais une poitrine encore ferme avec des tetons assez longs que je prenais plaisir à pincer. Ce qu'elle semblait apprécier.
Rapidement, l'incorfont de l'habitacle et le climat aidant, nous sommes sortis de la voiture.
C'était la première fois que j'avais une aventure avec une femme de son âge et j'étais très excité à l'idée qu'elle trompait son mari et ça ne pouvait lui échapper. Je lui avais retiré son collant et je la caressai lorsqu'avant que je le fasse, elle a sorti mon sexe pour me faire une fellation. Elle suçait divinement bien et je voyais que malgré ses craintes, elle en voulait.
Nous étions à une vingtaine de mètres de la route et même si nous étions bien dissimulés, le risque que survienne un promeneur n'était pas exclu aussi, c'est debout contre la voiture que je l'ai prise.
Sans vantardise de ma part, j'ai vu qu'elle prenait son pied.
Rapidement, nous avons cessé de surveiller l'accès du chemin. J'étais cramponné à ses reins et n'avais plus d'autre priorité que de la faire " miauler " plus encore. Sylvie était une vraie poupée de chiffons et c'est à genoux sur mon imperméable que nous avons fini. Satisfait tous les deux..
Plus tard, sur la route, nous avons discuté et elle a tenté de se justifier sans toutefois refuser mes caresses et le soir avant de nous quitter, c'est à moins de 200 mètres de chez elle que dans la voiture rapidement, je l'ai de nouveau baisée..
Pourtant, les deux ou trois jours qui ont suivi, il m'a fallu " ramer " . Elle voulait que l'on oublie ce qui s'était passé, elle avait des enfants.., elle était trop vieille pour moi .etc.. mais dans mes bras je la sentais réceptive à mes caresses. Sa culpabilité m'excitait et contre son ventre, je m'amusais à lui faire sentir. Et puis un midi....
Sylvie s'est révèlée être une maitresse très appliquée. Le charmes des femmes mariées....La toute première fois à l'hôtel reste un des meilleurs souvenirs. Après une première baise assez rapide, j'ai vite compris que côté cul, elle était assez branchée. D'abord en levrette, c'est en cavalière que nous avons poursuivi. Montée sur moi, elle prenait son pied tant elle mouillait tandis que j'avais tout à loisir de caresser ses seins lourds et ses hanches pleines.
Plus tard, elle m'a avoué que depuis notre rencontre, elle connaissait un plaisir nouveau et que la taille de mon sexe n'y était pas étranger. J'étais assurément mieux monté que son mari et ça lui faisait de l'effet..
Parfois nos emplois du temps ou nos secteurs ne correspondaient pas, mais nous arrangions toujours pour nous rejoindre et nous avoins pris l'habitude de nous retrouver dans un hôtel où j'avais mes habitudes. Au bout de 8 jours, nous étions de venus de réels amants et j'étais parvenu sexuellement peu à peu à mes fins.
Plus difficile que la sodomie qu'elle avait redouté par crainte de la taille de mon sexe, Sylvie avait finalement cédé à mon désir, rassurée que j'étais sexuellement sain, à me prodiger une fellation compléte et je dois l'avouer que c'est avec sadisme que j'aimais lui imposer parfois juste avant de nous quitter pour qu'elle aille retrouver son mari..J'ai vite compris que c'est une situation qui l'excitait tout autant que moi.
C'était une excitation extrème de découvrir chaque jour les dessous qu'elle portait. C' était une indication sérieuse pour moi de vérifier ses dispositions lorsque je la découvrais en bas et porte-jarretelles. La posséder dans une tenue qu'elle réservait habituellement à son mari ne faisait qu'amplifier mon désir. L'idée m'est alors venue " qu'ils " recherchaient à sortir de la routine.
Ayant une petite expérience du triolisme que j'ai pu pratiquer le plus souvent avec deux femmes mais aussi parfois avec un couple d'amis, j'ai alors été tenté de lui en parler et c'est, non pas sur l'oreiller mais pendant que je la prenais que je l'ai fait.
Pendant qu'elle me " baisait " à cheval sur mon sexe et que je l'insultai pour son plus grand plaisir je lui fouillai les reins de mes doigts. J'en fus récompensé par un orgasme bruyant à mesure qu'elle vivait son viol.
C'est apaisée mais encore très amoureuse que j'appris qu'avec son mari, ils avaient quelques pratiques sexuelles au cours desquelles ils parlaient plus ou moins de libertinage. Pourtant même très excitée par mes doigts qui la caressaient Sylvie rejeta vivement l'idée que son mari soit mêlé à notre relation.
De toutes mes expériences, Sylvie était réellement une des femmes les plus chaude que j'ai connu. Rien à voir avec les jeunettes avec lesquelles je sortais habituellement. Sans parler des pratiques qu'elle acceptait sous ses airs réservés, elle avait un petit truc à elle pour se monter cochonne. Je sentais bien qu'il fallait savoir lui en imposer comme les fois où je l'entrainais dans la remise pour profiter de ses faveurs.
Persuadé qu'il suffisait d'un rien pour l'amener à mes desseins, j'ai commencé à l'assaillir en lui parlant d'un ami, jeune comme moi, avec lequel je partageais sa copine parfois.
Pendant quelques temps, lui faisant l'amour, je lui en parlai et manifestement bien qu'elle chercha à s'en défendre feignant plus de s'intéresser au ressenti de la femme, je notai que c'est une situation qui l'excitait.
C'est un après-midi alors que je m'étais arrangé pour que nous partagions le même secteur que je lui fis la surprise de sa rencontre.
Réticente devant une situation évidente à ses yeux, Sylvie céda finalement à son propre désir et lorsqu'elle ne réagit pas quand je l'embrassai devant mon ami, j'ai compris que c'était gagné.
D'abord seul je la caressai découvrant peu à peu ses cuisses puis je guidai sa main vers mon sexe que je dégagai. Elle tressaillit lorsque Xavier se posta entre ses cuisses pourtant elle se laissa faire faire lorsqu'il entreprit d'embasser son ventre. Mieux, elle se pencha sur mon sexe lorsque lui écartant son string.
Histoire de bien la chauffer, c'est d'abord moi qui lui ai fait l'amour. Au début Xavier nous a observé puis, il s'est approché et lui a présenté son sexe qu'elle n'a pas repoussé. Je sentais que Sylvie mouillait énormément et ses gémissement étaient de plus en plus forts. Elle aimait et elle l'avouait. Xavier à son tour l'a chevauchée. C'était pour lui aussi une première expérience avec une femme de cet âge et il en a été récompensé en ayant l'honneur de la faire jouir.
Après une petite pause au cours de laquelle Sylvie nous gratifia de sa première double fellation, Xavier pour plus de confort nous conduisit dans sa chambre. Je lui laissai l'honneur d'honorer de nouveau Sylvie qui manifestement ne demandait plus que ça. Me réservant le morceau de choix, je ne manquai pas pendant ce temps là malgré ses reproches d'enregistrer la scène.
Pendant que Xavier prenait Sylvie en levrette et que j'occupai sa bouche je la préparai à la sodomie.
Craintive au début de notre relation elle n'avait depuis pas manqué d'exprimer le plaisir qu'elle prenait à cette forme de possession.
Sous mes doigts qui l'envahissaient, je sentais le sexe de Xavier. A mon tour, je me glissais contre Sylvie et je mesurai combien Xavier l'avait bien travaillée. Son ventre d'un rouge écarlate était inondé et je plongai à mon tour dans son antre béante.
Je la pilonnais, occupant le creux de ses reins de mon pouce tandis que, gémissante, elle recevait en bouche de Xavier qui s'était débarassé du préservatif qu'elle avait réclamée. Imprégné de sa jouissance, je glissai alors entre ses reins d'une lente et progressive poussée. Sylvie couinait de plaisir.
Doucement et sans la quitter, je l'entraînais dans une roulade de manière à me retrouver sous elle. Comme nous l'avions déjà pratiqué avec Virginie, sa copine, Xavier suivit le mouvement pour se placer entre les cuisses de notre maitresse et lui relever les jambes.
Après quelques tatonnements, je le sentis bientôt s'enfoncer dans le ventre de Sylvie qui pour la première fois se faisait prendre par deux hommes en même temps.
Immobile en elle,j'assistai à sa possession par Xavier lui sussurant à l'oreille des insanités. De mes mains, je caressais ses seins lourds, étirais ses mamelons érigés, caressais son ventre, son clitoris. Sa jouissance était évidente. Elle répondait à nos baisers, nous encourageait .Elle jouissait et nous le disait et j'avoue que j'en étais fière. Avoir tranformé une ménagère tranquille en véritable salope flattait évidement mon égo. Sylvie comme je lui demandais, jouait du cul se dandinant sur ma queue. Xavier qui s'était débarassé de son préservatif, occupait sa bouche et Sylvie entre deux cris tentait de le sucer.
Sa jouissance nous a comblé. Elle s'est faite entendre pendant qu'à mon tour, je la remplissais.
Nous sommes restés ensemble une grande partie de l'après-midi au cours de laquelle Xavier a de nouveau et seul fait l'amour avec Sylvie. Je le savais pas encore mais ce devait être une émancipation calculée car peu après Sylvie decidait de mettre fin à notre relation. La raison, je l'ignore encore. J'en ai été déçue. Comme on l'est toujours lorsque l'on passe à côté d'une affaire.
Je ne dirais pas que toutes les femmes sont infidèles ( comme nous...) mais mes conquêtes me font dire que si les plus jeunes cèdent plus facilement, celles qui ont du vécu y mettent plus d'enthousiasme.
Il y a 1 an, j'ai rencontré Sylvie. Elle avait la quarantaine et les portait bien. Brune, le teint légèrement hâlé, une belle poitrine, une allure de femme entretenue. Elle était bien sûr mariée et deux enfants.
Récemment embauchée j'avais eu la charge de lui expliquer les rouages de la société et de lui présenter la clientèle du secteur commercial que nous allions nous partager. A force d'être avec elle, la tentation s'est faite jour et j'ai commencé à m'intéresser à elle.
J'étais très attentionné, l'aidait dans ses dossiers, lui présentait les meilleurs clients ect....Avec le temps, nous sommes devenus plus complices. Elle m'a confié ses soucis, m'a parlé de sa famille, de ses enfants étudiants et bien sûr de son mari.
Mariée depuis 20 ans, un mari gentif, une bonne situation etc...mais elle s'ennuyait. Ce pour quoi, elle avait voulu retravailler. Elle était motivée, je le constatais. Elle me plaisait bien, et un jour je lui dis. Elle rougit mais ne dit rien.
J'avais peu d'espoir en sa conquête pourtant malgré les apparences, c'est au bout d'un petit mois qu'elle a craqué et que j'ai connu une aventure inespérée.
Un midi, nous repartions après le déjeuner pour la tournée de la clientèle lorsque dans la voiture, j'ai tenté le coup. Nous étions en pleine campagne et profitant d'un arrêt pour chercher notre itinéraire, j'ai d'abord posé ma main sur sa cuisse puis je me suis penché pour l'embrasser.
Au début, je n'étais sûr de rien et je m'attendais à un refus de sa part mais lorsque j'ai vu qu'elle résistait mollement et qu''elle ne réagissait pas brutalement au contact de ma main sur sa cuisse j'ai compris que c'était bon. Nous avons échangé un long baiser. J'aimais l'odeur de son parfum et de sentit sous mes doigts les courbes de cette femme mûre m'excitait au plus au point.
J'ai trouvé un petit coin discret et très vite, elle s'est laissée aller. Elle n'avait jamais trompé son mari (soit disant ..et je veux bien le croire) mais elle était chaude. Une vraie fontaine. J'avais ouvert son chemisier, et sous mes doigts je sentais une poitrine encore ferme avec des tetons assez longs que je prenais plaisir à pincer. Ce qu'elle semblait apprécier.
Rapidement, l'incorfont de l'habitacle et le climat aidant, nous sommes sortis de la voiture.
C'était la première fois que j'avais une aventure avec une femme de son âge et j'étais très excité à l'idée qu'elle trompait son mari et ça ne pouvait lui échapper. Je lui avais retiré son collant et je la caressai lorsqu'avant que je le fasse, elle a sorti mon sexe pour me faire une fellation. Elle suçait divinement bien et je voyais que malgré ses craintes, elle en voulait.
Nous étions à une vingtaine de mètres de la route et même si nous étions bien dissimulés, le risque que survienne un promeneur n'était pas exclu aussi, c'est debout contre la voiture que je l'ai prise.
Sans vantardise de ma part, j'ai vu qu'elle prenait son pied.
Rapidement, nous avons cessé de surveiller l'accès du chemin. J'étais cramponné à ses reins et n'avais plus d'autre priorité que de la faire " miauler " plus encore. Sylvie était une vraie poupée de chiffons et c'est à genoux sur mon imperméable que nous avons fini. Satisfait tous les deux..
Plus tard, sur la route, nous avons discuté et elle a tenté de se justifier sans toutefois refuser mes caresses et le soir avant de nous quitter, c'est à moins de 200 mètres de chez elle que dans la voiture rapidement, je l'ai de nouveau baisée..
Pourtant, les deux ou trois jours qui ont suivi, il m'a fallu " ramer " . Elle voulait que l'on oublie ce qui s'était passé, elle avait des enfants.., elle était trop vieille pour moi .etc.. mais dans mes bras je la sentais réceptive à mes caresses. Sa culpabilité m'excitait et contre son ventre, je m'amusais à lui faire sentir. Et puis un midi....
Sylvie s'est révèlée être une maitresse très appliquée. Le charmes des femmes mariées....La toute première fois à l'hôtel reste un des meilleurs souvenirs. Après une première baise assez rapide, j'ai vite compris que côté cul, elle était assez branchée. D'abord en levrette, c'est en cavalière que nous avons poursuivi. Montée sur moi, elle prenait son pied tant elle mouillait tandis que j'avais tout à loisir de caresser ses seins lourds et ses hanches pleines.
Plus tard, elle m'a avoué que depuis notre rencontre, elle connaissait un plaisir nouveau et que la taille de mon sexe n'y était pas étranger. J'étais assurément mieux monté que son mari et ça lui faisait de l'effet..
Parfois nos emplois du temps ou nos secteurs ne correspondaient pas, mais nous arrangions toujours pour nous rejoindre et nous avoins pris l'habitude de nous retrouver dans un hôtel où j'avais mes habitudes. Au bout de 8 jours, nous étions de venus de réels amants et j'étais parvenu sexuellement peu à peu à mes fins.
Plus difficile que la sodomie qu'elle avait redouté par crainte de la taille de mon sexe, Sylvie avait finalement cédé à mon désir, rassurée que j'étais sexuellement sain, à me prodiger une fellation compléte et je dois l'avouer que c'est avec sadisme que j'aimais lui imposer parfois juste avant de nous quitter pour qu'elle aille retrouver son mari..J'ai vite compris que c'est une situation qui l'excitait tout autant que moi.
C'était une excitation extrème de découvrir chaque jour les dessous qu'elle portait. C' était une indication sérieuse pour moi de vérifier ses dispositions lorsque je la découvrais en bas et porte-jarretelles. La posséder dans une tenue qu'elle réservait habituellement à son mari ne faisait qu'amplifier mon désir. L'idée m'est alors venue " qu'ils " recherchaient à sortir de la routine.
Ayant une petite expérience du triolisme que j'ai pu pratiquer le plus souvent avec deux femmes mais aussi parfois avec un couple d'amis, j'ai alors été tenté de lui en parler et c'est, non pas sur l'oreiller mais pendant que je la prenais que je l'ai fait.
Pendant qu'elle me " baisait " à cheval sur mon sexe et que je l'insultai pour son plus grand plaisir je lui fouillai les reins de mes doigts. J'en fus récompensé par un orgasme bruyant à mesure qu'elle vivait son viol.
C'est apaisée mais encore très amoureuse que j'appris qu'avec son mari, ils avaient quelques pratiques sexuelles au cours desquelles ils parlaient plus ou moins de libertinage. Pourtant même très excitée par mes doigts qui la caressaient Sylvie rejeta vivement l'idée que son mari soit mêlé à notre relation.
De toutes mes expériences, Sylvie était réellement une des femmes les plus chaude que j'ai connu. Rien à voir avec les jeunettes avec lesquelles je sortais habituellement. Sans parler des pratiques qu'elle acceptait sous ses airs réservés, elle avait un petit truc à elle pour se monter cochonne. Je sentais bien qu'il fallait savoir lui en imposer comme les fois où je l'entrainais dans la remise pour profiter de ses faveurs.
Persuadé qu'il suffisait d'un rien pour l'amener à mes desseins, j'ai commencé à l'assaillir en lui parlant d'un ami, jeune comme moi, avec lequel je partageais sa copine parfois.
Pendant quelques temps, lui faisant l'amour, je lui en parlai et manifestement bien qu'elle chercha à s'en défendre feignant plus de s'intéresser au ressenti de la femme, je notai que c'est une situation qui l'excitait.
C'est un après-midi alors que je m'étais arrangé pour que nous partagions le même secteur que je lui fis la surprise de sa rencontre.
Réticente devant une situation évidente à ses yeux, Sylvie céda finalement à son propre désir et lorsqu'elle ne réagit pas quand je l'embrassai devant mon ami, j'ai compris que c'était gagné.
D'abord seul je la caressai découvrant peu à peu ses cuisses puis je guidai sa main vers mon sexe que je dégagai. Elle tressaillit lorsque Xavier se posta entre ses cuisses pourtant elle se laissa faire faire lorsqu'il entreprit d'embasser son ventre. Mieux, elle se pencha sur mon sexe lorsque lui écartant son string.
Histoire de bien la chauffer, c'est d'abord moi qui lui ai fait l'amour. Au début Xavier nous a observé puis, il s'est approché et lui a présenté son sexe qu'elle n'a pas repoussé. Je sentais que Sylvie mouillait énormément et ses gémissement étaient de plus en plus forts. Elle aimait et elle l'avouait. Xavier à son tour l'a chevauchée. C'était pour lui aussi une première expérience avec une femme de cet âge et il en a été récompensé en ayant l'honneur de la faire jouir.
Après une petite pause au cours de laquelle Sylvie nous gratifia de sa première double fellation, Xavier pour plus de confort nous conduisit dans sa chambre. Je lui laissai l'honneur d'honorer de nouveau Sylvie qui manifestement ne demandait plus que ça. Me réservant le morceau de choix, je ne manquai pas pendant ce temps là malgré ses reproches d'enregistrer la scène.
Pendant que Xavier prenait Sylvie en levrette et que j'occupai sa bouche je la préparai à la sodomie.
Craintive au début de notre relation elle n'avait depuis pas manqué d'exprimer le plaisir qu'elle prenait à cette forme de possession.
Sous mes doigts qui l'envahissaient, je sentais le sexe de Xavier. A mon tour, je me glissais contre Sylvie et je mesurai combien Xavier l'avait bien travaillée. Son ventre d'un rouge écarlate était inondé et je plongai à mon tour dans son antre béante.
Je la pilonnais, occupant le creux de ses reins de mon pouce tandis que, gémissante, elle recevait en bouche de Xavier qui s'était débarassé du préservatif qu'elle avait réclamée. Imprégné de sa jouissance, je glissai alors entre ses reins d'une lente et progressive poussée. Sylvie couinait de plaisir.
Doucement et sans la quitter, je l'entraînais dans une roulade de manière à me retrouver sous elle. Comme nous l'avions déjà pratiqué avec Virginie, sa copine, Xavier suivit le mouvement pour se placer entre les cuisses de notre maitresse et lui relever les jambes.
Après quelques tatonnements, je le sentis bientôt s'enfoncer dans le ventre de Sylvie qui pour la première fois se faisait prendre par deux hommes en même temps.
Immobile en elle,j'assistai à sa possession par Xavier lui sussurant à l'oreille des insanités. De mes mains, je caressais ses seins lourds, étirais ses mamelons érigés, caressais son ventre, son clitoris. Sa jouissance était évidente. Elle répondait à nos baisers, nous encourageait .Elle jouissait et nous le disait et j'avoue que j'en étais fière. Avoir tranformé une ménagère tranquille en véritable salope flattait évidement mon égo. Sylvie comme je lui demandais, jouait du cul se dandinant sur ma queue. Xavier qui s'était débarassé de son préservatif, occupait sa bouche et Sylvie entre deux cris tentait de le sucer.
Sa jouissance nous a comblé. Elle s'est faite entendre pendant qu'à mon tour, je la remplissais.
Nous sommes restés ensemble une grande partie de l'après-midi au cours de laquelle Xavier a de nouveau et seul fait l'amour avec Sylvie. Je le savais pas encore mais ce devait être une émancipation calculée car peu après Sylvie decidait de mettre fin à notre relation. La raison, je l'ignore encore. J'en ai été déçue. Comme on l'est toujours lorsque l'on passe à côté d'une affaire.
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