ma première visite chez le gynéco
Récit érotique écrit par Bourguignon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2005 dans la catégorie Pour la première fois
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ma première visite chez le gynéco
A peine mes 18 ans dépassés, ma mère Claire avait décidé de m’accompagner chez son gynéco pour une première visite. Le rendez vous avait été pris pour un mardi matin à 10heures.
Notre tour vint et nous rentrâmes dans le bureau du docteur attenant à son cabinet d’examen..
Claire commença à prendre la parôle et le docteur Bernard très vite se retourna vers moi pour me poser des questions précises : Depuis quel âge as-tu tes règles ? sont elles régulières ? etc etc.
Bon si tu veux bien nous allons passer à coté pour t’examiner.
Une fois dans son cabinet il me dit d’une voix douce, déshabille toi, ne garde que ton slip . Tu peux te mettre derrière la paravent si tu veux.
Oh oui que je voulais ! je me retrouvai comme une petite fille tremblante et intimidé. Bon d’accord le docteur aurait pu être mon père, ou plutôt justement. Cela me rendait toute timide. Enfin les mains sur les seins je sortis de derrière mon paravent, très naturellement comme si de rien n’était.
Viens sur la bascule me dit il nous allons te peser. Je montais donc sur la bascule les bras ballant le long du corps et là en s’arrêtant quelques instant, il me dit :Wouah Laure tu es devenue une très belle jeune fille.
53kg Bien pour 1m 70 non ?
Seulement 1,68m répondis je. Bien très bien bon équilibre.
Viens t’asseoir sur la table je vais t’examiner.
Ces simples mots commencèrent à me donner des frissons. Voila un homme que je ne connaissais pas une demi-heure auparavant et devant qui je me trouvais nue ou…presque.
Les deux marches du tabouret et me voila couchée sur le tissu jetable de la table d’examen. Il se saisit du stéthoscope autour de son cou, l’ajusta à ses oreilles et me dit gentiment attention "ça va être froid".
Et voilà, sa main dépose le petit rond de métal sous mon sein gauche, il écoute ma respiration, les battements de mon cœur… pendant ce qui me semble être une éternité, le déplace un peu à droite à gauche entre temps le métal a tiédi et la sensation devient agréable.
A ce moment il me demanda : assieds toi. Et il continue de m’ausculter omoplate gauche, en haut en bas, puis la droite, puis vers les cotes. Et enfin le verdict : Bon jeune Laure tout va bien.
Maintenant je vais te palper les seins et t’apprendre à le faire comme toute femme doit savoir s’examiner afin de découvrir d’éventuelles anomalies pouvant dégénérer.
Il se plaça derrière moi et les mains en coupe, commença à me palper les deux seins puis sa main droite vint rejoindre la gauche et il pétrit mon sein gauche doucement mais fermement afin de détecter d’éventuels kystes ou grosseurs. C’était malgré tout délicieux .Il passa au sein droit ce que j’attendais avec impatience déjà. Il recommença paume en dessous, main droite par-dessus tendre palpation, caresse, ouh là là je m’emballe… Oui mais pour une jeune fille de 18 ans cette découverte d’un homme mûr, fût-il de l’age de mon père, était très agréable.
Allonge toi. Tout ces ordres étaient délicieux à exécuter. Ses mains abandonnèrent mes seins pour palper mon ventre, d’abord délicatement, puis à l’approche des cotés beaucoup plus fermement, profondément, on avait l’impression qu’elles voulaient pénétrer mon ventre. Elles descendirent au dessus du pubis, que j’avais pris la peine de soigneusement raser la veille. Presque intégralement. Mais encore caché à sa vue par mon slip de coton blanc qui renforçait mon coté petite fille. Sa main s’attardait sur le centre de mon ventre et soudain après une ultime palpation il fit le tour vint se placer entre mes jambes et sans me demander mon avis fit glisser mon slip le long de mes cuisses puis retira complètement ma culotte.
En cet instant précis ma température devait au moins atteindre quarante degrés !
Je vais maintenant examiner ton sexe et te faire un frottis, rassures toi ce n’est pas douloureux..
Rassurée je l’étais, mais dans un état que je n’avais pas connu même lors de mes caresses nocturnes intimes.
C’est précisément à ce moment que le docteur Bernard me demanda "Je suppose Laure que tu t’es déjà masturbé ?"Je fus bien obligé de répondre : Oui docteur.
Bien mais tu sais tu peux continuer cela est excellent pour t’aider à développer tes sensations sexuelles et te préparer à tes premiers rapports. As-tu déjà couché avec un garçon ?
Oh non docteur criais-je presque. Pendant que nous discutions, sa main gauche caressait de façon très efficace mon clitoris, qui se mit à entrer en érection et durcir entre le haut de mes grandes lèvres. C’était très chaud ! Mais était-ce encore un examen ? Peu m’importait la sensation d’être un jouet entre ses mains était si agréable, que je l’aurais laissé faire n’importe quoi. Il l’avait bien senti d’ailleurs et prenait possession de mon corps alors que ma mère était dans le bureau d’à coté.
Je ne pus m’empêcher de laisser échapper un énorme soupir et mon bas ventre se souleva à la rencontre de sa main. Il me dit d’un ton doctoral : bien tu réagis très bien au stimulis… J’étais même complètement mouillée et en transe. Il se contenta de me dire : bon cela va aller mieux pour introduire le spéculum. A ces mots j’entendis sexe et mon ventre se sentais près a accueillir l’objet mâle que le docteur allait introduire dans mon sexe. Il se retourna et pris un étrier sur la table d’à coté et le positionna en bout de la table d’examen puis installa le second. Je n’avais encore jamais subi d’examen gynécologique et compris soudainement que j’allais carrément être offerte à sa vue et a ses mains lorsqu’il prit une de mes jambes, la leva, la replia pour l’installer haut dans l’étrier. Il me dit : avance tes fesses au bord de la table et dans le même temps attrapa ma deuxième jambe.
Ce fut une sensation atrocement agréable de me sentir ainsi offerte à sa merci.Il ganta sa main droite de latex, enduisit le gant de vaseline et du bout de l’index écarta sans difficulté mes grandes lèvres puis un deuxième doigt rejoignit le premier et ce furent deux doigts qui pénétrèrent mon sexe, déjà bien lubrifié. C’est parfait me dit-il, cela va bien se passer. Il retira sa main et aussitôt une sensation de vide envahit mon sexe attendant à nouveau d’être remplit.
Aussi ce fut presque avec plaisir que je senti le métal froid du spéculum envahir lentement mais d’une main ferme l’intérieur de mon sexe. Il me sembla qu’il pénétrait jusqu’au fond de mon vagin. Il se pencha pour regarder et vérifier la position de l’instrument à l’intérieur de moi et soudain actionna un levier métallique. Je ne ressenti pas immédiatement ce sexe de métal grossir en moi , mais au bout de deux fois le contact fût très net et l’impression d’être écartelé de intérieur, très forte. J’émis un petit Ahhh !
Ca va s’enquit’ il ? Oui oui, mais c’est surprenant !
Il écarta encore un peu le spéculum, se pencha et admira longuement l’intérieur de mon vagin. J’avais l’impression de ruisseler de tout mon sexe. Le docteur se retourna, ouvrit un tube et en sorti la baguette muni d’un embout en forme de coton et l’introduisit délicatement dans mon sexe béant. Il atteignit le col de l’utérus frotta quelques fois… sensation assez désagréable et remit la baguette dans le tube en verre.
Un clic de métal, l’objet se détendit et mon sexe retrouva son élasticité. De son doigt ganté il essuya mes lèvres détrempées et me dit : on dirait que cela t’as mise dans tout tes états. Il me caressa le sexe épilé qui devait vraisemblablement lui plaire et me dit : bon nous allons nous revoir pour les résultats du frottis.
Allez rhabille-toi et rejoins nous. Me dit il en m’aidant a enlever mes jambes des étriers.
Bien chère Madame, Laure est en parfaite santé, tout à fait femme et nous aurons les résultats de son frottis sous 4/5 jours. A ce moment j’entrais rhabillée dans le bureau et consultant son agenda, il se tourna vers moi et me demanda : est ce que tu peux repasser au cabinet disons mardi à 17 heures.
Oui pas de problème mon dernier cours est à 16h.
A suivre...
Notre tour vint et nous rentrâmes dans le bureau du docteur attenant à son cabinet d’examen..
Claire commença à prendre la parôle et le docteur Bernard très vite se retourna vers moi pour me poser des questions précises : Depuis quel âge as-tu tes règles ? sont elles régulières ? etc etc.
Bon si tu veux bien nous allons passer à coté pour t’examiner.
Une fois dans son cabinet il me dit d’une voix douce, déshabille toi, ne garde que ton slip . Tu peux te mettre derrière la paravent si tu veux.
Oh oui que je voulais ! je me retrouvai comme une petite fille tremblante et intimidé. Bon d’accord le docteur aurait pu être mon père, ou plutôt justement. Cela me rendait toute timide. Enfin les mains sur les seins je sortis de derrière mon paravent, très naturellement comme si de rien n’était.
Viens sur la bascule me dit il nous allons te peser. Je montais donc sur la bascule les bras ballant le long du corps et là en s’arrêtant quelques instant, il me dit :Wouah Laure tu es devenue une très belle jeune fille.
53kg Bien pour 1m 70 non ?
Seulement 1,68m répondis je. Bien très bien bon équilibre.
Viens t’asseoir sur la table je vais t’examiner.
Ces simples mots commencèrent à me donner des frissons. Voila un homme que je ne connaissais pas une demi-heure auparavant et devant qui je me trouvais nue ou…presque.
Les deux marches du tabouret et me voila couchée sur le tissu jetable de la table d’examen. Il se saisit du stéthoscope autour de son cou, l’ajusta à ses oreilles et me dit gentiment attention "ça va être froid".
Et voilà, sa main dépose le petit rond de métal sous mon sein gauche, il écoute ma respiration, les battements de mon cœur… pendant ce qui me semble être une éternité, le déplace un peu à droite à gauche entre temps le métal a tiédi et la sensation devient agréable.
A ce moment il me demanda : assieds toi. Et il continue de m’ausculter omoplate gauche, en haut en bas, puis la droite, puis vers les cotes. Et enfin le verdict : Bon jeune Laure tout va bien.
Maintenant je vais te palper les seins et t’apprendre à le faire comme toute femme doit savoir s’examiner afin de découvrir d’éventuelles anomalies pouvant dégénérer.
Il se plaça derrière moi et les mains en coupe, commença à me palper les deux seins puis sa main droite vint rejoindre la gauche et il pétrit mon sein gauche doucement mais fermement afin de détecter d’éventuels kystes ou grosseurs. C’était malgré tout délicieux .Il passa au sein droit ce que j’attendais avec impatience déjà. Il recommença paume en dessous, main droite par-dessus tendre palpation, caresse, ouh là là je m’emballe… Oui mais pour une jeune fille de 18 ans cette découverte d’un homme mûr, fût-il de l’age de mon père, était très agréable.
Allonge toi. Tout ces ordres étaient délicieux à exécuter. Ses mains abandonnèrent mes seins pour palper mon ventre, d’abord délicatement, puis à l’approche des cotés beaucoup plus fermement, profondément, on avait l’impression qu’elles voulaient pénétrer mon ventre. Elles descendirent au dessus du pubis, que j’avais pris la peine de soigneusement raser la veille. Presque intégralement. Mais encore caché à sa vue par mon slip de coton blanc qui renforçait mon coté petite fille. Sa main s’attardait sur le centre de mon ventre et soudain après une ultime palpation il fit le tour vint se placer entre mes jambes et sans me demander mon avis fit glisser mon slip le long de mes cuisses puis retira complètement ma culotte.
En cet instant précis ma température devait au moins atteindre quarante degrés !
Je vais maintenant examiner ton sexe et te faire un frottis, rassures toi ce n’est pas douloureux..
Rassurée je l’étais, mais dans un état que je n’avais pas connu même lors de mes caresses nocturnes intimes.
C’est précisément à ce moment que le docteur Bernard me demanda "Je suppose Laure que tu t’es déjà masturbé ?"Je fus bien obligé de répondre : Oui docteur.
Bien mais tu sais tu peux continuer cela est excellent pour t’aider à développer tes sensations sexuelles et te préparer à tes premiers rapports. As-tu déjà couché avec un garçon ?
Oh non docteur criais-je presque. Pendant que nous discutions, sa main gauche caressait de façon très efficace mon clitoris, qui se mit à entrer en érection et durcir entre le haut de mes grandes lèvres. C’était très chaud ! Mais était-ce encore un examen ? Peu m’importait la sensation d’être un jouet entre ses mains était si agréable, que je l’aurais laissé faire n’importe quoi. Il l’avait bien senti d’ailleurs et prenait possession de mon corps alors que ma mère était dans le bureau d’à coté.
Je ne pus m’empêcher de laisser échapper un énorme soupir et mon bas ventre se souleva à la rencontre de sa main. Il me dit d’un ton doctoral : bien tu réagis très bien au stimulis… J’étais même complètement mouillée et en transe. Il se contenta de me dire : bon cela va aller mieux pour introduire le spéculum. A ces mots j’entendis sexe et mon ventre se sentais près a accueillir l’objet mâle que le docteur allait introduire dans mon sexe. Il se retourna et pris un étrier sur la table d’à coté et le positionna en bout de la table d’examen puis installa le second. Je n’avais encore jamais subi d’examen gynécologique et compris soudainement que j’allais carrément être offerte à sa vue et a ses mains lorsqu’il prit une de mes jambes, la leva, la replia pour l’installer haut dans l’étrier. Il me dit : avance tes fesses au bord de la table et dans le même temps attrapa ma deuxième jambe.
Ce fut une sensation atrocement agréable de me sentir ainsi offerte à sa merci.Il ganta sa main droite de latex, enduisit le gant de vaseline et du bout de l’index écarta sans difficulté mes grandes lèvres puis un deuxième doigt rejoignit le premier et ce furent deux doigts qui pénétrèrent mon sexe, déjà bien lubrifié. C’est parfait me dit-il, cela va bien se passer. Il retira sa main et aussitôt une sensation de vide envahit mon sexe attendant à nouveau d’être remplit.
Aussi ce fut presque avec plaisir que je senti le métal froid du spéculum envahir lentement mais d’une main ferme l’intérieur de mon sexe. Il me sembla qu’il pénétrait jusqu’au fond de mon vagin. Il se pencha pour regarder et vérifier la position de l’instrument à l’intérieur de moi et soudain actionna un levier métallique. Je ne ressenti pas immédiatement ce sexe de métal grossir en moi , mais au bout de deux fois le contact fût très net et l’impression d’être écartelé de intérieur, très forte. J’émis un petit Ahhh !
Ca va s’enquit’ il ? Oui oui, mais c’est surprenant !
Il écarta encore un peu le spéculum, se pencha et admira longuement l’intérieur de mon vagin. J’avais l’impression de ruisseler de tout mon sexe. Le docteur se retourna, ouvrit un tube et en sorti la baguette muni d’un embout en forme de coton et l’introduisit délicatement dans mon sexe béant. Il atteignit le col de l’utérus frotta quelques fois… sensation assez désagréable et remit la baguette dans le tube en verre.
Un clic de métal, l’objet se détendit et mon sexe retrouva son élasticité. De son doigt ganté il essuya mes lèvres détrempées et me dit : on dirait que cela t’as mise dans tout tes états. Il me caressa le sexe épilé qui devait vraisemblablement lui plaire et me dit : bon nous allons nous revoir pour les résultats du frottis.
Allez rhabille-toi et rejoins nous. Me dit il en m’aidant a enlever mes jambes des étriers.
Bien chère Madame, Laure est en parfaite santé, tout à fait femme et nous aurons les résultats de son frottis sous 4/5 jours. A ce moment j’entrais rhabillée dans le bureau et consultant son agenda, il se tourna vers moi et me demanda : est ce que tu peux repasser au cabinet disons mardi à 17 heures.
Oui pas de problème mon dernier cours est à 16h.
A suivre...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tres bon