MA PROF SORT AVEC MON DEMI FRERE!! ( Partie 1 ) - histoire érotique

Première partie


Je me prénomme Bastien, je viens d’avoir 18 ans et mon bac, ce n'était pas gagné, mais je l’ai eu, cet été, nous sommes partis dans le sud en vacances avec ma mère, mon beau-père et son fils Lucas qui a 10 ans de plus que moi et sa copine Lara (ils sont ensemble depuis 4-5 ans). Jusque-là, vous me direz que tout va bien, sauf que Lara a été ma prof de maths pendant 3 ans, en plus de ça, Lara est vraiment très belle.

Elle doit faire dans les 1m70 assez fine des cheveux châtain blond mi long, des jolis seins et un cul de folie, quand elle écrivait au tableau il était très difficile de quitter des yeux sont joli postérieur, dans le lycée c’était pas un secret qu’elle sortait avec mon demi frère et souvent mes potes me demandaient si j’avais pu la voir en petite tenue,… Mais pour être honnête je la voyais très peu en dehors du lycée, mais pour ces vacances-là nous sommes partis tous ensemble.

Nous voilà donc arrivé dans une jolie villa du sud de la France avec vue sur mer et une piscine, les chambres étaient à l’étage, les parents d’un coté de la maison et les plus jeune d’un autre, en voyant la piscine j’ai percuté que je verrais ma prof, enfin mon ancienne prof en maillot de bain et cela m’excitait particulièrement, la première journée de vacances se passa normalement, installation, course, repas et il était déjà temps d’aller se coucher, alors que je regardais des vidéos, j’ai commencé à entendre des bruits de l’autre coté du mur, des rires étouffés, je me disais que mon demi frère devait bien s’amuser, est ce que j’étais jaloux? Tout à fait. Je pris mon casque pour ne pas entendre un potentiel ébat sexuel, mais ma curiosité fut plus forte.

J’ai collé mon oreille contre le mur mais j’entendais pas mieux, alors poussé par je ne sais quelle force je suis allez sur le balcon (il fait tout le tour du second étage.), je me suis approché doucement de la chambre et j’ai entendu des gémissements, mi gêné mi excité j’ai essayé de voir ce qu’il se passait dans la chambre me se fut impossible, alors je suis retourné dans ma chambre en essayant de trouver le sommeil.

Je me suis levé assez tard et en dernier, quand je suis descendu ma mère est mon beau père était en train de jouer aux cartes et mon demi frère et Lara était parti je ne sais où, ils sont revenus peu de temps après et quand ils m’ont ils m’ont tout de suite demandé si j’avais bien dormi, ils m’ont aussi dit qu’ils avaient regardé la télé (ouais, c’est ça.) assez tard et qu’ils voulaient donc savoir si le bruit ne m’avait pas dérangé, je leur répondit que non j’avais rien entendu et que j’avais le sommeil profond… Ils semblaient rassurés et chacun reprit ses occupations.

Nous avons pris le repas du midi lors duquel tout le monde me demandait si j’avais fait mes devoirs, Lara me disait que si je m’ennuyais elle pourrait me donner des exercices… Je disais que non la plage ou la piscine ferait que l’ennui sera loin de moi. D’ailleurs en parlant de piscine, cet après midi les parents ont décidés d’aller se promener, Lara, Lucas et moi avons décidé de profiter de la piscine, j’étais sur un transat lunettes de soleil sur le nez je voulais arriver à la fac bien bronzé, Lucas était dans l’eau et Lara arriva en maillot et mon dieu quel maillot, ça faisait bizarre de la voir si peu vêtue, son bas de maillot était du genre string, d’ailleurs elle rentra vite dans l’eau peut être qu’elle était gêné du fait que je puisse la voir comme ça, mes lunettes me permettait de pouvoir la mater un peu sans être découvert, bref il fallait que je pense à autre chose sinon j’aurai du mal a camoufler mon érection.

Les jours se sont enchaînés, il y avait de moins en moins de gêne, elle se promenait plus facilement en maillot même si j’étais là, les nuits se ressemblaient, j’entendais régulièrement des gémissements et une nuit tout bascula. La soirée avait été plus arrosée que d’habitude et dans leur chambre leur ébat était plus bruyant que d’habitude, tellement que je suis descendu dans le salon parce que la tension dans mon caleçon devenait trop forte, il fallait que je m’éloigne… Je pris ma console de jeux portable et je suis descendu dans le salon. J’ai joué quelques temps et j’ai commencé à somnolé, j’ai même pas entendu quelqu’un descendre et ouvrir le frigo mais à la lumière j’ai vu ma prof, enfin le cul de mon prof dans un shorty prendre à boire dans le réfrigérateur, je me suis raclé la gorge pour signaler ma présence et ne pas lui faire peur, elle se retourna et me demanda ce que je faisais là, j’ai dis qu’il faisait trop chaud en haut et que j’étais venu ici pour jouer et que je m’étais endormi , elle sembla soulagée, elle me demanda si je voulais à boire et j’accepta.

Je me suis levé pour la rejoindre, elle avait un genre de débardeur assez long hyper large sur les cotés mais assez long pour cacher son shorty quand elle était droite, elle leva les bras pour prendre des verres ce qui me permis de voir son shorty de plus prêt, elle du s’en rendre compte et me dit de ne pas en profiter pour me rincer l’oeil… Je ne dis rien, elle servit à boire et elle est venue s’asseoir à côté de moi sur les chaises de bar, elle brisa le silence en me demandant si c’était parce que je les avais entendus que j’étais descendu, j’ai fini par dire que oui que c’était à cause de ça, elle me dit que c’était très gênant… Je lui ai dit que ce n’était pas grave que c’est les vacances… Elle me dit que quand même qu’elle est ma prof, je lui ai dit que non qu’elle n’était plus ma prof, elle me dit que c’était vrai, mais que cela restait gênant, je lui dis que oui et nous avons rigolé.

Je lui dis qu’elle était très jolie qu’ils sont jeunes, ils avaient raison de profiter, elle me dit qu’elle fera moins de bruit, quand elle me dit cela ma main frôla sa cuisse accidentellement, elle me dit sur un ton grave (le même qu’elle pouvait utilisera en classe.) « dis donc ça va oui ?! » Je me suis confondu en excuse, elle rigola et me dit de me détendre que c’était pas grave, je lui dis que beaucoup d’élève auraient voulu lui frôler la cuisse, elle me demanda si c’était vrai je lui dis que oui beaucoup d’élèves étaient « amoureux » d’elle et que c’était logique qu’elle plaisait beaucoup, je lui ai aussi dis qu’elle devait s’en douter qu’elle plaisait aux élèves, elle me regarda et me dit oui, je lui ai dis que je dirais rien à mon frère de ce que les autres élèves pensent de sa copine, elle posa sa main sur ma cuisse et elle me dit « en effet des fois vaut mieux rien dire », je ne savais pas trop comment prendre cette déclaration et le fait que sa main soit sur ma cuisse me perturbait et cela m’empêché de réfléchir, reprenant mes esprits je lui dis que là c’était pas accidentelle, elle me dit que c’était amicale, je lui dis je peu faire pareil alors… Elle ne dit rien, je crois que tout les deux nous étions tout proche de franchir une limite mais sans vraiment avoir le courage de faire plus, je lui ai demandé si elle devait pas aller rejoindre mon demi frère, elle me dit que non il y avait pas d’urgence qu’il dormait à point fermé, sans rien dire ma main se posa sur sa cuisse, elle me fit les gros yeux mais tout en souriant, je lui ai dis que c’était amicale, elle dit que tout allez bien si c’était juste amicale, mais elle se leva, elle était toujours à coté de moi, elle me demanda si j’aimais bien regardé ses fesses, qu’elle m’avait aperçu mater son cul à la piscine, je lui dit que oui que j’avais toujours trouvé qu’elle avait un joli cul, elle s’éloigna de moi et releva le bas du t-shirt pour mon montrer ses fesses, je ne sais pas ce qu’il m’a prit à ce moment là mais je me suis levé…

Je suis arrivé juste derrière elle, pour la première fois nous avions un contact autre qu’amical, mes mains passèrent autour d’elle pour se nouer sur son ventre, ses fesses étaient contre mon bas ventre dont l’érection fut fulgurante, je sentais sa respiration s’accélérée, elle me fit reculer et je me suis retrouvé appuyé sur le dossier du canapé, mes mains quittèrent son ventre et elles sont passée par les ouvertures du coté de son tshirt pour venir agripper ses seins, qu’est ce que c’était agréable de sentir ses tétons durcir dans mes mains, elle était quasiment assise sur moi, une de mes mains quitta son sein et descends vers son shorty et son intimité mais elle m’arrêta me disant qu’elle ne voulait pas ça, à l’oreille je lui demandais si elle voulait que je la laisse partir, elle me dit non qu’elle était bien, alors ma main remonta sur son sein, j’ai commencé à lui faire des bisous dans le cou, mais je crois qu’elle eu un moment de lucidité et elle me demanda d’arreter, alors j’ai relâché mon étreinte, elle se mit en face de moi et elle s’excusa me disant qu’elle n’aurait jamais du aller si loin, je lui dis que c’était pas grave, qu’elle me fasse confiance que je ne dirais rien, elle me dit qu’elle savait mais elle me dit que c’était pas bien aussi par rapport a moi, qu’elle avait fait l’allumeuse que c’était une attitude à avoir, je lui dis de pas s’inquiéter que j’avais apprécié le moment elle me dit qu’elle l’avait senti et que ca se voyait encore en pointant mon érection…

Je lui dis de pas s’inquiéter pour ça que j’irais me soulager dans la salle de bain, elle me demanda si j’allais penser à elle en le faisant je lui dis en rigolant que je penserais à Mde Richard (la vieille prof de français), elle rigola et nous nous sommes séparés, alors qu’elle se dirigeait vers les escaliers je suis allez dans la salle de bain du bas histoire de mie branler, alors que j’avais baisser mon caleçon, la porte s’ouvrit, je me suis retourné la queue a la main, Lara était face à moi, elle me dit qu’elle ne pouvait pas me laisser comme ça, mais elle me dit qu’elle ne ferait qu’avec la main, si je le voulais, ma main lâcha ma queue, elle comprit mon accord elle rentra dans la salle de bain et elle ferma la porte derrière elle, elle prit mon sexe en main et commença des va et vient.

Elle se collait à moi, son visage près du mien et ma queue dans sa main, je lui ai demandé si elle pouvait ôter son haut, elle lâcha ma queue et retira son t-shirt, elle reprit ma queue en main mais elle se mit à genoux, elle branlait ma queue devant son visage et mon dieu que c’était excitant, très vite je du lui signaler que j’allais jouir, elle mit mon sexe contre sa poitrine et elle me branla plus vite jusqu’à ce que plusieurs giclées atterrissent sur sa poitrine, j’ai cru que mes jambes allaient lâcher, une fois vidé elle se releva, elle se nettoya et elle remit son haut, elle s’approcha de moi et elle me dit de n’en parler à personne, je lui dis de ne pas s’inquiéter pour ça, elle me fixa et me fit un baiser sur le coin des lèvres et elle disparue.

Je n'ai pas réussi à dormir de la nuit, repensant à ce qu’il venait de se passer, j’en venais même à douter que ça soit la réalité, le jour se leva et pour une fois je me suis levé en premier, je suis parti courir et prendre des croissants et des pains au chocolat, à mon retour tout le monde était levé, et que Lara se comportait comme d’hab, et moi aussi j’arrivais et moi aussi j’arrivais à ne rien laisser paraître. La journée se passa normalement et lors du diner à un moment j’ai senti un pied contre le mien, au début j’ai cru à un contact malencontreux mais le pied remonta le long de ma jambe, j’ai regardé en direction de Lara mais elle faisait comme si de rien était mais pourtant c’était bien son pied qui se dirigeait vers mon entre jambe et une fois en contact avec mon sexe d’un coup il disparu.

L’heure de se coucher arriva et après quelques minutes j’ai entendu des gémissements, pris de curiosité je me suis levé et je suis allé sur le balcon, et en m’approchant, j’ai vu qu’il y avait une petite visibilité sur la chambre, alors j’ai regardé après quand même un instant d’hésitation, j’ai vu mon demi-frère prendre en levrette la femme qui encore quelques semaines était ma prof, et la vision était parfaite, enfin j’aurai quand même préféré être à la place de mon demi-frère, je me suis souvent demandé si elle avait fait exprès de laisser une visibilité sur le lit, mais je n’ai pas voulu jouer trop les voyeurs et peut-être dans l’espoir de faire le remake de la nuit d’avant je suis descendu dans le salon, mais l’espoir fut vint, elle n’est pas venue.