Ma propriétaire
Récit érotique écrit par Auteur anonyme [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma propriétaire
Je suis d'Amiens, j'ai 35 ans et je réside chez une commerçante, je loue un studio au dessus de chez elle, elle est coiffeuse et a 52 ans elle est brune aux yeux bleus, elle se prénomme Josiane et elle est divorcée depuis 10 ans. Elle porte toujours des robes à fleurs et des talons, ce fut la patronne de ma mère a son divorce elle a refait le premier étage et me le loue depuis 2 ans elle a toujours était discrète notamment durant ma liaison que j'entretenais avec mon amie mais ça a cassé : ma copine a revue son ex et à préférée me quitter. Au début je déprimais et un soir que je menais mon loyer au rez de chaussée chez ma propriétaire, je savais qu'elle était rentrée, je sonnais vers 19 heures elle m’ouvrait en peignoir, toute rouge et me dit : repasse plus tard car je n'ai pas le temps je suis occupée je t'appelle. Je m'excuse auprès d'elle et je remonte gêné. Après 20 heures je me couche et je lis un peu au bout d'un moment des bruits inhabituels se font entendre c’est ma propriétaire : elle jouissait d'une force ! J’entendais le bruit de son lit : oh oui oh oui plus fort cria t’elle met moi bien profond… cela dura une heure je bandais en imaginant ma proprio en pleine action, à un moment dans un râle son partenaire lui dit : oui c’est ca avale tout, continue Josiane, tu suces à merveille, ralentie je vais venir. Il n’a pas eu le temps de terminer sa phrase qu’il lança un aaahhh de plaisir : oui Josiane comme tu es douce… Je me masturbais en imaginant ma proprio…
Le lendemain âpres midi ma propriétaire m’appela sur mon portable pour me dire si tu veux tu peux sonner chez moi pour le loyer quand tu rentreras ce soir. Étant chez mes parents je ne tardais pas à rentrer à 17 heures. Josiane m’ouvrait, elle portait une robe moulante noire et des escarpins, elle me demanda si ma journée a été, je lui réponds oui et elle me dit pour hier soir excuse moi mais je n’étais pas seule, un ancien copain est venu et nous avons passe un bout de soirée ensemble… je souris et lui dit je l’ai entendu, elle rougie et me dit en posant sa main sur la mienne je ne suis pas de bois moi aussi j’ai besoin de ma dose, ca faisait 4 ans que je n’avais pas eu de rapports. elle se reprit et me dit : je suis folle pourquoi je te dis ca elle se leva pour aller chercher le cahier de quittance en se baissant je vis qu’elle portait des bas, je passais ma main sous sa robe pour caresser ses cuisses, elle sursautais et me dit tout en me laissant faire : enlève moi ma culotte. Je lui fis tomber sa culotte sur ses chevilles, elle se retourna et m’embrassa puis m’affaissa dans le canapé. Elle posa sa main sur ma braguette et me dit tu es bien monté. Son chien à plusieurs reprises monta sur le clic clac et elle se leva pour le mettre dans la cour. Josiane revint toute nue, elle s’allongea dans le sofa et commença à se masturber. J’enlevais mon pantalon et mon slip, je ne quittais pas ses doigts qui allaient et venaient dans son vagin, elle ouvrait ses lèvres trempées, ma langue vadrouillait dans ses poils, son clito gonflait sous mes coups de langues, plus je lui bouffais la chatte plus Josiane s'excitait, je descendais à son anus, je passais plus de 10 minutes à le lui bouffer. Elle suçait au début très vite et elle ralentissait, sa main gauche la masturbait, je sentais sa cyprine sur mon torse, je me dégageais et elle se mit en levrette en ouvrant grand ses fesses. Je pris mon gland et le tapota sur sa vulve afin de bien l’humidifier de sa mouille, je la sodomisais sans ménagement. Josi souffla pour ne pas crier, elle serrait l’accoudoir du sofa et balançait de bons coups de reins : oh c’est bon, continu, retourne moi sans sortir. Je restais dans son œillet et l’aida à se mettre sur le dos. Je relimais de plus belle, avec mes mains je relevais ses cuisses, elle lâcha un jet de cyprine qui m’éclaboussa, son odeur me faisait bander de plus belle… Je me retirais, je bandais, Josiane me suça et me masturba un long moment et je lui demandais de mettre ses escarpins car je voudrais la prendre sur la table de la salle avec des talons. Elle me dit d’accord en prenant mes bourses dans ses mains, elles sont pleines crache d’abord… Elle se leva passa un chemisier sans le fermer et mis ses talons. Josiane posa un torchon sur l accoudoir du clic clac. Elle y posa son menton et me dit : ma bouche est mon vagin, remplie moi… Et elle ouvrit sa bouche et me goba. Je passais mes mains dans ses cheveux et je limais avec force. Josiane rougissait en lançant des humms… avec ses doigts elle me pétrissait les bourses, je stoppais net mes coups de reins et je me vidais dans sa gorge. Josi prit ma verge à la deuxième giclée et la posa sur sa joue, elle embrassa mon gland : merci merci. Elle se releva et alla allumer une cigarette, elle tira deux bouffées et me la passa : détend toi pendant que je fume. Josiane me caressait le torse et me léchait, à ma surprise je rebandais en un tour de main. Elle s’allongea sur la table et je la pénétrais plus de vingt minutes avant de jouir. Nous avons passe la nuit jusqu’au matin et depuis nous entretenons une relation.
Le lendemain âpres midi ma propriétaire m’appela sur mon portable pour me dire si tu veux tu peux sonner chez moi pour le loyer quand tu rentreras ce soir. Étant chez mes parents je ne tardais pas à rentrer à 17 heures. Josiane m’ouvrait, elle portait une robe moulante noire et des escarpins, elle me demanda si ma journée a été, je lui réponds oui et elle me dit pour hier soir excuse moi mais je n’étais pas seule, un ancien copain est venu et nous avons passe un bout de soirée ensemble… je souris et lui dit je l’ai entendu, elle rougie et me dit en posant sa main sur la mienne je ne suis pas de bois moi aussi j’ai besoin de ma dose, ca faisait 4 ans que je n’avais pas eu de rapports. elle se reprit et me dit : je suis folle pourquoi je te dis ca elle se leva pour aller chercher le cahier de quittance en se baissant je vis qu’elle portait des bas, je passais ma main sous sa robe pour caresser ses cuisses, elle sursautais et me dit tout en me laissant faire : enlève moi ma culotte. Je lui fis tomber sa culotte sur ses chevilles, elle se retourna et m’embrassa puis m’affaissa dans le canapé. Elle posa sa main sur ma braguette et me dit tu es bien monté. Son chien à plusieurs reprises monta sur le clic clac et elle se leva pour le mettre dans la cour. Josiane revint toute nue, elle s’allongea dans le sofa et commença à se masturber. J’enlevais mon pantalon et mon slip, je ne quittais pas ses doigts qui allaient et venaient dans son vagin, elle ouvrait ses lèvres trempées, ma langue vadrouillait dans ses poils, son clito gonflait sous mes coups de langues, plus je lui bouffais la chatte plus Josiane s'excitait, je descendais à son anus, je passais plus de 10 minutes à le lui bouffer. Elle suçait au début très vite et elle ralentissait, sa main gauche la masturbait, je sentais sa cyprine sur mon torse, je me dégageais et elle se mit en levrette en ouvrant grand ses fesses. Je pris mon gland et le tapota sur sa vulve afin de bien l’humidifier de sa mouille, je la sodomisais sans ménagement. Josi souffla pour ne pas crier, elle serrait l’accoudoir du sofa et balançait de bons coups de reins : oh c’est bon, continu, retourne moi sans sortir. Je restais dans son œillet et l’aida à se mettre sur le dos. Je relimais de plus belle, avec mes mains je relevais ses cuisses, elle lâcha un jet de cyprine qui m’éclaboussa, son odeur me faisait bander de plus belle… Je me retirais, je bandais, Josiane me suça et me masturba un long moment et je lui demandais de mettre ses escarpins car je voudrais la prendre sur la table de la salle avec des talons. Elle me dit d’accord en prenant mes bourses dans ses mains, elles sont pleines crache d’abord… Elle se leva passa un chemisier sans le fermer et mis ses talons. Josiane posa un torchon sur l accoudoir du clic clac. Elle y posa son menton et me dit : ma bouche est mon vagin, remplie moi… Et elle ouvrit sa bouche et me goba. Je passais mes mains dans ses cheveux et je limais avec force. Josiane rougissait en lançant des humms… avec ses doigts elle me pétrissait les bourses, je stoppais net mes coups de reins et je me vidais dans sa gorge. Josi prit ma verge à la deuxième giclée et la posa sur sa joue, elle embrassa mon gland : merci merci. Elle se releva et alla allumer une cigarette, elle tira deux bouffées et me la passa : détend toi pendant que je fume. Josiane me caressait le torse et me léchait, à ma surprise je rebandais en un tour de main. Elle s’allongea sur la table et je la pénétrais plus de vingt minutes avant de jouir. Nous avons passe la nuit jusqu’au matin et depuis nous entretenons une relation.
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