Ma punition - histoire érotique

PS : Je recherche des personnes souhaitant écrire des histoires avec moi et pour moi par manque de temps dû à mon boulot. Me contacter ici si intéréssé. thebigblackcock27cm@gmail.com . N'hésitez pas même si vous n'avez pas d'expérience dans le domaine de l'écriture, lancez-vous
Tiffany et moi venons d'arriver chez nous après un bon dîner à South Beach. Normalement, un samedi soir, nous nous rendrions à notre club d'échangistes pour des escapades sexuelles nocturnes ou pour retrouver des amis, mais ce soir, Tiffany a dit qu'elle était fatiguée et qu'elle voulait rentrer chez elle.

En entrant dans notre chambre, Tiffany a allumé un joint et a pris quelques coups avant de me le passer. Alors que je commençais à enlever mes vêtements, Tiff m'a regardée et m'a dit : « Je sais que je t'ai dit que je voulais rentrer à la maison, mais j'ai décidé que ma soirée n'était pas encore terminée. Tu dois recevoir une leçon pour ton comportement d'hier soir avec la barman. Parce que tu as été un tel dragueur avec elle, il est temps que tu apprennes les bonnes manières ! »
Vendredi, nous nous étions arrêtés pour boire un verre et danser dans une taverne locale que nous fréquentons. Tiffany avait raison, la jeune barman blonde Maribell attirait un peu trop mon attention. Bien qu'elle soit un peu ronde et que mes motivations soient tout à fait inoffensives, elle a un beau visage et une belle paire de seins qu'elle aime montrer et est toujours très bavarde. Tiffany et moi avons toujours une invitation ouverte à flirter et nous avons aussi une invitation ouverte à déclarer la nécessité pour l'autre d'être discipliné, puni ou simplement de recevoir une leçon qui mène à des résultats excitants. Grâce à cela, je savais exactement où je me situais. Elle était désormais Maîtresse Tiffany et je devais respecter tous ses souhaits.

Sa première consigne : « George, déshabille-toi et va me faire un martini Lemon Drop. »
« Oui, ma chère, je suis plus qu'heureux de vous préparer un verre. Je vais m'en occuper tout de suite. »
En retournant dans la chambre, j'arrive juste à temps pour voir Tiffany sortir de la douche. Je mets son verre sur sa table de maquillage et me pose sur le coin de notre lit. Sans un mot, elle met des sous-vêtements sexy en dentelle, un porte-jarretelles, pas de soutien-gorge et commence à se maquiller.

« George, j'ai besoin de divertissement. Mets une vidéo porno et choisis-en une avec des grosses bites noires qui satisfasse une femme blanche dans le besoin »
Alors que je suis allongé sur notre lit à regarder la vidéo, Tiffany se pavane devant la télévision pour que je puisse la voir. Elle a l'air super sexy. Elle porte une petite robe bleue moulante avec un devant carré décolleté à peine tenu par des bretelles spaghetti qui mettent en valeur ses jolis monticules, les tétons se cachant juste sous le tissu. Ses jambes brillent avec les bas maintenus par le porte-jarretelles accentué de talons de 5 centimètres bleu nuit et blanc. Ses cheveux blonds sont pleins de boucles qui coulent sur ses épaules nues et son dos. Maquillage lourd, salope, juste comme j'aime. Et un collier en or avec un pique noir dessus, qui est perché juste au sommet de son décolleté.

« Tu aimes ce que tu vois bad boy ? »
« Putain oui, tu es superbe bébé. Et le collier est une belle touche. Je n'ai jamais vu celui-là avant. »
Elle s'est penchée et a commencé à me sucer la bite tout en me regardant droit dans les yeux.

« Alors, tu aimes le collier, n'est-ce pas ? Un ami me l'a donné. »
Suçant ma bite dure, tout en me regardant avec ses beaux yeux noisette, pleine d'intensité dans le regard. « Ce ne sera pas la seule bite que j'aurai dans ma bouche ce soir », elle a déclaré : « Tes actions avec Maribell hier soir étaient pathétiques. Le flirt ne me dérange pas, mais tu n'as même pas essayé de la ramener à la maison avec nous, même si tu savais très bien que je voulais être avec une autre femme hier soir. Je dois t'apprendre à me satisfaire, et pas seulement à faire une partie du chemin. Est-ce que tu comprends ? »
Une excuse boiteuse, mais suffisamment pour préparer le terrain. Sur ce, elle a arrêté de sucer ma bite dure et est retournée à son martini. Je suis retourné regarder la vidéo.

« Ne touche pas à ta bite, dégénéré, ce n'est pas permis ce soir, sauf si je te le dis aussi », cria-t-elle de l'autre côté de la salle.

Elle s'est approchée de moi, s'est penchée et, avec nos lèvres à quelques centimètres seulement, a dit : « Je sors ce soir pour m'amuser. Je veux que tu restes au lit et que tu attendes mon retour. Lorsque je reviendrai et que tu m'entendras ouvrir la porte, tu sortiras immédiatement du lit et tu t’assiéras dans le coin le plus éloigné de la chambre. Tu ne diras pas un mot et tu agiras de manière invisible jusqu'à ce que je t'ordonne de faire autrement. Tu agiras comme un rien et ne me dérangeras pas du tout. Lorsque je te demanderai de prendre un verre, ou quelle que soit mon instruction, tu suivras mes ordres en silence et tu le feras sans parler. Tu marcheras la tête baissée et tu n'apprécieras pas ce qui pourrait se passer. Tu ne quitteras pas le coin de la pièce, sauf si je te le dis, et tu y retourneras après avoir terminé ta mission. Ne me dérange pas à tout moment. Comprends-tu bien ? » Et avec cela à la porte, elle est partie, sexy et excitée, en mission.

En regardant l'horloge, ça fait plus de deux heures que Tiffany est partie. J'étais excité comme une bête tout le temps. Mon esprit courait entre ce qu'elle faisait et les fantasmes similaires qu'elle avait réalisés dans le passé. J'ai pensé à la fois où nous étions sortis avec un couple d'échangistes dans un bar chic pour des boissons que nous avions prévu de baiser. Je pouvais dire que Tiffany était d'une humeur très excitée. Impatiente, et prête pour la bite. Dans son esprit, ils se comportaient de manière assez juvénile au point qu'elle ne pouvait plus le supporter.

En repérant un bel homme noir qui est passé devant nous plusieurs fois au cours de la nuit, elle a décidé de prendre les choses en main. Elle m'a regardé assis à la table et m'a dit : « Personne ne baise plus. Je dois me lever et voir ce que je peux remuer ».

Et avec ça, elle s'est mise à poursuivre sa proie. J'aime bien la voir si excitée et, en mission, trouver de la bite. Pour une raison quelconque, le couple avec qui nous étions l'a ennuyée, alors à bout de patience, elle s'est dirigée vers sa cible masculine. Elle s'est approchée de lui et a malheureusement vite découvert qu'il n'était pas seul. Sa petite amie était tout près. Avant de le quitter, elle lui avait caressé le cul et lui avait fait prendre une photo de ses seins.

Sans être arrêtée, elle est passée à son prochain centre d'intérêt. Il était grand et commençait à grisonner autour des temples. Toute seule, elle l'a regardé dans les yeux en passant. Travaillant dans la pièce, elle a également espionné un homme noir assis seul au bar. Ses yeux étaient tout autour d'elle alors qu'elle marchait dans sa direction. Elle a tout fait pour gagner sa faveur, sauf lui tirer la bite et la sucer.

Je reviens à ma réalité actuelle, mon esprit s'emballe en pensant à ce qu'elle a fait ce soir. Les pensées d'elle en train de flirter et d'essayer de me brancher m'ont conduit dans un état d'érotisme total. Je suis tellement excité à l'idée de la regarder ou de penser à elle avec un autre homme. La poursuite est tellement excitante. Elle est tellement sexy et peut le faire avec les meilleurs d'entre eux. La différence avec Tiffany, c'est qu'elle peut soutenir le flirt.

Mon esprit est allé à une soirée où nous sommes allés en discothèque et, après avoir pris un verre, nous avons pris des chemins différents pour explorer le talent. Elle était incroyable quand je la regardais travailler dans la salle. Ce soir-là, non seulement elle a attiré beaucoup d'attention et a dansé avec plusieurs étalons, mais elle en a ramené un à la maison pour que je le regarde pendant qu'il lui enfouissait son outil noir. Elle a baisé Clint pendant plus d'une heure avant d'être épuisée, lui faisant jouir deux fois en elle avant de partir.

Mon esprit s'est à nouveau égaré vers ce soir, en me demandant si elle avait fait atterrir son étalon et s'il avait maintenant ses mains sur elle. Lorsqu'elle dansait, elle aimait se frotter le cul sur l'entrejambe d'un homme puis se tourner vers lui, mettre ses mains sur ses épaules et broyer sa silhouette juste devant lui, le rendant fou. Je suppose qu'on pourrait appeler cela un de ses mouvements caractéristiques. Ce soir, il est fort probable que cela ne fasse pas exception.

J'imagine qu'elle était en train de se faire un type très sexy, et elle aussi. La façon dont elle joue avec l'esprit d'un gars, en appliquant une stimulation à la fois mentale et physique pour que n'importe quel homme la désire. Elle aime trouver un endroit calme ou semi-privé où elle peut toucher et serrer sa bite tout en le regardant droit dans les yeux comme une salope en chaleur lorsqu'elle pose sa proie. Elle prend ensuite sa main, s'il a besoin d'encouragement, et la guide vers ses tétons et lui dit de les toucher en lui expliquant qu'ils sont si sensibles qu'elle peut jouir pendant qu'ils sont sucés. Je l'ai également vue bouger ses doigts entre ses jambes et le supplier de lui masser le clitoris. La progression de ses mouvements au fur et à mesure qu'elle séduit sa prochaine conquête est si érotique à voir.

J'ai toujours du mal à la regarder en action, et ce soir ne fait pas exception. Je fantasme très fort sur ce qu'elle faisait. Le fait que je reste à la maison au lieu d'être un voyeur est un changement par rapport à notre style habituel, mais un bon changement, je dois l'admettre, très érotique. Le fait de ne pas la voir en action et de ne pouvoir que me demander ce qu'elle faisait m'a rendu incroyablement sexy et excité. Ma bite était dure comme de la pierre, mais je n'osais pas jouir jusqu'à ce qu'elle revienne.

J'étais tellement excitée de fantasmer sur ses escapades et de rêver d'une bite gigantesque dans sa bouche quand j'ai entendu la porte de notre maison s'ouvrir. Selon sa direction, je me suis rapidement déplacé vers le coin de la chambre pour me mettre en attente de son entrée. J'ai entendu la voix profonde d'un homme qui répondait à la sienne, mais elle était étouffée et je ne pouvais pas comprendre ce qu'ils disaient.

Ils ont dû se rendre à la salle de télévision ou à la cuisine pour prendre un verre. J'ai imaginé qu'ils avaient versé un verre et qu'ils étaient maintenant sur le canapé pour faire connaissance. D'après le récit de la nuit qu'elle a fait plus tard, j'avais raison.

Elle m'a raconté qu'elle s'était posée sur le canapé en cuir à côté de lui et qu'elle lui avait frotté la poitrine musclée. Ils se sont embrassés et ont échangé leurs langues de manière très sensuelle tout en se frottant l'un à l'autre. Leur respiration devenait lourde tant ils étaient excités et se désiraient l'un l'autre. Pour moi, les avoir si proches mais ne pas pouvoir voir et entendre seulement certains de leurs sons était une excitation, mais je voulais tellement regarder. Mon esprit est resté en alerte en imaginant tout ce qu'ils pouvaient faire.

Finalement, ils sont entrés dans la chambre. Tiffany, lui tenant la main, l'a fait entrer. Il était très grand, et épais. Un beau et fort homme noir d'une quarantaine d'années avec une barbe de deux jours. Le guidant vers notre chaise de baise, elle l'y a doucement poussé. Elle a ensuite reculé en restant devant lui et s'est assise sur le coin de notre lit juste en face de lui. J'avais maintenant l'avantage de la voir dans tous ses mouvements.

Lentement, elle a remonté sa jupe, montrant sa jarretière. Elle a posé sa main en bas et a touché son clitoris. Elle a bougé ses doigts tout autour de son bouton de chatte dur et humide et a commencé à gémir en nous donnant à tous les deux un spectacle. Son autre main a bougé pour déboutonner son haut. Lentement, un bouton à la fois, jusqu'à ce que la chemise s'ouvre, révélant ses gros seins et son ventre plat. Elle était tellement excitée et avait besoin d'attention à ce moment-là. Je peux toujours dire quand elle atteint la limite et le point de non-retour. Plus de flirt pour ma femme, il était maintenant temps d'accoucher.

Je la regarde se diriger vers l'endroit où se trouve son nouvel étalon. Il avait déjà enlevé sa chemise, ses chaussures, ses chaussettes et avait déverrouillé sa ceinture et son pantalon. Elle l'a monté à cheval sur lui, les jambes entre les siennes, et a commencé à l'embrasser profondément. Elle a rapidement porté son sein à sa bouche, « Suce mes seins, bébé, je t'ai dit combien j'aimais ça ».

Elle gémit de reconnaissance alors qu'il entoure sa langue autour de ses tétons durs.

Ses doigts ont trouvé son trou mouillé et ont commencé à la frotter, d'abord sur l'extérieur, puis ont plongé deux doigts en elle. En suçant ses tétons et en doigtant sa chatte mouillée, Tiffany s'est vite retrouvée sur sa main. La ramassant, il l'a étendue sur notre lit. De là, il a enfoncé sa langue dans sa chatte, la léchant jusqu'à ce qu'elle revienne.

Elle était maintenant tellement excitée, et ça m'a aidé de savoir que j'étais dans un coin de la pièce et que je n'avais le droit que de regarder le haras la servir et de savoir que bientôt elle allait avoir sa grosse bite en elle. Après avoir léché sa savoureuse fente, elle lui a rendu la pareille en lui enfonçant sa grosse bite noire de 30 centimètres dans la gorge. J'ai regardé comment elle lui léchait les couilles et entourait son cul. Tiffany l'a léché et sucé jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus. Il l'a retournée sur le dos et l'a montée, plongeant sa bite de 30 centimètres de large dans sa chatte mouillée qui l'attendait. Il est entré à l'intérieur dès la première poussée, sa chatte ayant été étirée par de nombreuses grosses bites au fil des ans.

Elle a gémi fort quand il l'a pénétrée. Elle sentit sa chatte se resserrer autour de sa grosse bite et ferma les yeux à cause de la sensation qu'elle avait.

« Baise-moi, baise-moi fort avec cet énorme bite noire. »
Il a mis son poids sur elle et a enfoncé sa virilité au plus profond d'elle. Je sais combien elle aime avoir une grosse bite qui la remplit quand elle frappe le col de l'utérus. Ce point est l'un de ses points G et lorsqu'il est touché, il la fait jouir instantanément, en mouillant sa queue. Il a continué son rythme pendant qu'elle arrivait, en la frappant encore et encore. Ses orgasmes ont continué à couler pendant qu'il la baisait.

Ils y sont restés pendant plus d'une heure jusqu'à ce qu'elle soit complètement épuisée. Il n'avait toujours pas joui, alors quand elle lui a dit qu'elle n'avait plus rien à donner, il l'a regardée et lui a dit : « Tu n'as pas fini tant que je n'ai pas joui. »
Avec ce défi, elle le retourne sur son dos et lui plonge son outil, le montant une fois de plus comme un étalon. Elle adore cette position car sa bite est énorme et s'enfonce en elle sous cet angle. Elle lui a fait une grimace, a tiré sur ses tétons et est venue une fois de plus. Il l'a ensuite jetée à genoux et a fait jouir sa chienne deux fois de plus. Qui a dit qu'elle en avait assez ?

Finalement, il l'allongea à nouveau sur le dos et la baisa méthodiquement jusqu'à ce que sa respiration devienne bruyante. Ses gémissements indiquant sa propre éruption. Au moment où il est arrivé, il l'a sortie, a retiré son préservatif et a répandu son sperme sur tout son ventre et ses seins. Il a vidé son sperme sur elle, certains même sur sa joue. Épuisée, elle ne pouvait plus bouger et s'est allongée sur notre lit pendant qu'il se retirait et s'étendait à côté d'elle pour reprendre son souffle. Après quelques minutes de récupération, il s'est rhabillé et s'est approché de Tiffany au lit pour lui donner un autre baiser profond. Laissant son numéro de téléphone pour elle à côté du lit, il est parti.

Toujours sur le dos, elle s'est lentement appuyée sur ses coudes et m'a regardé en disant : « Tu n'as toujours pas appris ta leçon. Viens par ici et lèche sa salive, sa sueur et son sperme sur moi. Nettoie-moi bien, espèce de dégénéré. Lèche-moi doucement la chatte pour que je sois toute propre et étincelante pour ma prochaine bite ». Sur ce, j'ai fait ce qu'on m'a dit. Elle n'en savait rien, j'ai profité de chaque instant de la nuit et, en la léchant bien, j'ai planifié ma prochaine raison d'être punie.